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Votre avis sur House of Gucci ?
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NammJones
Lady Gaga mène vraiment ce film du début à la fin. C'est une histoire bien menée, intéressante et bien jouée.
L'ensemble donne l'impression que chaque acteur joue dans son propre film... sans parler de la mise en scène chaotique, les transitions tombent comme un cheveux sur la soupe. Le scénario ne rattrape rien, on s'attendait à un opéra tragique et grandiloquent et on se retrouve avec une chronique familiale à la limite de l'ennuie.
Ridley Scott avait terminé l'année 2021 avec un excellent film, "Le dernier duel ". Il replonge avec "The house of Gucci" et c'est tout de même nettement moins heureux, que je revisionne en DVD ce soir. La production y a pourtant mis les moyens avec 75 millions de dollars et au final un Oscar des meilleurs maquillages et coiffures mérité... Mais le film se traîne parce que l'histoire des Gucci est complexe et qu'elle mêle finances et rivalités familiales et que ce cocktail n'est pas toujours heureux à l'écran ...
Mais comme c'est un biopic , le réalisateur colle à l'histoire, du moment où Maurizio Gucci (Adam Driver) le petit fils du fondateur , rencontre Patrizia Reggiani ( Lady Gaga) qui va prendre une importance grandissante dans l'entreprise, conseillant son mari indolent et dépensier à faire d'une marque en pleine décadence un fleuron de l'industrie de luxe italienne. Cette renaissance ne va pas sans trahison, l'oncle Aldo (Al Pacino) et son fils, designer raté , Paolo ( Jared Leto), sans restructuration de capital avec Investcorps ... mais tous ces détails pèsent sur le film jusqu'au dénouement et à l'assassinat du tycoon italien en 1995, meurtre commandité par la femme de Maurizio et exécuté par deux amateurs...
La satire de l'opulence, la désinvolture des riches et l'absence de chaleur humaine dans une famille ou la réussite a brillé longtemps sont montrées crûment mais cette désincarnation tue l'esprit du film pour en faire un thriller froid, très éloigné de l'esprit latin que met en avant, par exemple, La Grande bellezza, où le flegme n'est pas absent , qui joue souvent sur un registre identique ... c'est dommage . Superbe performance de Lady Gaga en revanche ...
Le choix de peindre Maurizio Gucci en grand bourgeois dépassionné, alors qu'il a révolutionné la marque en recrutant Tom Ford comme John Galliano révolutionnera Dior ou Karl Lagerfeld Chanel, est une gageure sans doute un peu audacieuse. Cette présentation aboutit à faire de Patrizia Reggiani le deus ex machina de la multinationale, ce qui est beaucoup lui reconnaître ...
Bon film donc ... mais je reste sur ma première impression ...
Mais comme c'est un biopic , le réalisateur colle à l'histoire, du moment où Maurizio Gucci (Adam Driver) le petit fils du fondateur , rencontre Patrizia Reggiani ( Lady Gaga) qui va prendre une importance grandissante dans l'entreprise, conseillant son mari indolent et dépensier à faire d'une marque en pleine décadence un fleuron de l'industrie de luxe italienne. Cette renaissance ne va pas sans trahison, l'oncle Aldo (Al Pacino) et son fils, designer raté , Paolo ( Jared Leto), sans restructuration de capital avec Investcorps ... mais tous ces détails pèsent sur le film jusqu'au dénouement et à l'assassinat du tycoon italien en 1995, meurtre commandité par la femme de Maurizio et exécuté par deux amateurs...
La satire de l'opulence, la désinvolture des riches et l'absence de chaleur humaine dans une famille ou la réussite a brillé longtemps sont montrées crûment mais cette désincarnation tue l'esprit du film pour en faire un thriller froid, très éloigné de l'esprit latin que met en avant, par exemple, La Grande bellezza, où le flegme n'est pas absent , qui joue souvent sur un registre identique ... c'est dommage . Superbe performance de Lady Gaga en revanche ...
Le choix de peindre Maurizio Gucci en grand bourgeois dépassionné, alors qu'il a révolutionné la marque en recrutant Tom Ford comme John Galliano révolutionnera Dior ou Karl Lagerfeld Chanel, est une gageure sans doute un peu audacieuse. Cette présentation aboutit à faire de Patrizia Reggiani le deus ex machina de la multinationale, ce qui est beaucoup lui reconnaître ...
Bon film donc ... mais je reste sur ma première impression ...
Ce récit de l'ascension de la maison Gucci m'a laissée de marbre.
Je découvrais l'histoire de cette famille, j'ai le sentiment que la phase du procès aurait pu être mieux exploitée, là où le reste de l'histoire est d'une longueur et d'un manque d'intérêt total.
Le casting ne m'a pas non plus convaincue...
Je découvrais l'histoire de cette famille, j'ai le sentiment que la phase du procès aurait pu être mieux exploitée, là où le reste de l'histoire est d'une longueur et d'un manque d'intérêt total.
Le casting ne m'a pas non plus convaincue...
Film très intéressant traitant de la marque Gucci et des problèmes internes à cette famille connue dans le monde entier. Le film se regarde bien, les acteurs sont très bons. Lady Gaga épate de films en films. Adam Driver, je ne suis pas grand fan de cet acteur, mais il faut reconnaître qu'il joue très bien. Le casting est de qualité. Le scénario est intéressant même s'il y a quelques lenteurs. J'ai commencé à décrocher à la deuxième partie du film même si le final est intéressant. Un bon film qui met encore une fois en avant la qualité et l'esthétisme de Ridley Scott.
Ridley Scott nous offre encore un film tire d'une histoire vraie, et il le fait très bien. Il s'attaque a la famille Gucci et nous racontes son histoire. On retrouve une Lady Gaga surprenante, un très bon Adam Driver, un Jared Leto méconnaissable physiquement et avec un jeu d'acteur absolument dingue et Al Pacino qui est lui aussi très bon. Entre amour, trahisons, amitiés, liens de famille brisés etc... le film nous offre une belle histoire et une excellente fin surprenante.
Jonathan M
L'insatiable Ridley Scott s'empare de cette saga familiale, fait d'excentricité et coup bas, dans une Italie élégante et bourgeoise. Adam Driver qui porte à merveille le costume Gucci, c'est à peu près tout ce que l'on peut retenir de positif du film. Linéaire, assommant d'ennui, mise en scène neutre, on observe avec désarroi une Lady Gaga s'empêtrait dans un jeu suranné qui frise avec le grotesque. Chaque répliques étant dans un constant surjeu, ni fait ni à faire, rien n'est mis en place pour valoriser cette tragédie.
C'est en effet un peu long (plusieurs autres critiques pointent ce détail) avec plus de 150 minutes, mais c'est une belle réussite malgré une ou deux longueurs. Acteurs remarquables, à commencer par celle dont je ne peux écouter la moindre chanson ("Shallow" exceptée) mais en même temps, son style de musique n'est pas du tout le mien : Lady Gaga. Son deuxième film, et son premier dans lequel la musique n'a aucune importance, vu que "A Star Is Born" est un film musical.
Elle est exceptionnelle ici, et mention ultra spéciale, aussi, à Adam Driver (qui, en cette même année 2021, a joué un des trois rôles principaux de l'autre film de Ridley Scott sorti à peu près en même temps que "House Of Gucci" : "Le Dernier Duel" ; la sortie rapprochée des deux films a nui à leur promotion, d'ailleurs) et au méconnaissable Jared Leto.
Vraiment un excellent film, pas besoin d'aimer la mode (ce n'est personnellement pas du tout mon cas) pour l'apprécier.
Elle est exceptionnelle ici, et mention ultra spéciale, aussi, à Adam Driver (qui, en cette même année 2021, a joué un des trois rôles principaux de l'autre film de Ridley Scott sorti à peu près en même temps que "House Of Gucci" : "Le Dernier Duel" ; la sortie rapprochée des deux films a nui à leur promotion, d'ailleurs) et au méconnaissable Jared Leto.
Vraiment un excellent film, pas besoin d'aimer la mode (ce n'est personnellement pas du tout mon cas) pour l'apprécier.
FaRem
Ridley Scott et Adam Driver étaient inséparables au cours de cette année 2021 puisque après le très bon "The Last Duel", les deux se sont retrouvés pour ce film sur Maurizio Gucci et sur l'empire de la célèbre marque italienne. Adapté du livre éponyme, le film s'intéresse principalement au couple formé par Maurizio Gucci et Patrizia Reggiani. Cette dernière a tout d'une veuve noire qui ne pense qu'à l'argent. On découvre une femme un peu bébête et niaise sauf qu'elle cache bien son jeu de femme redoutable et manipulatrice qui va tisser sa toile et "manger" les indésirables pour obtenir ce qu'elle veut. Avec les histoires de couple comme fil rouge, le réalisateur s'attarde également sur les affaires et querelles familiales autour du contrôle de la marque. Une immersion dans le monde de la mode et des affaires que j'espérais plus intéressante. Ce qui m'a bloqué immédiatement, c'est le manque d'authenticité du film. Ça commence à Milan dans les années 70 et tout le monde parle anglais. Si je regarde tous les films en version originale, c'est justement pour avoir cette authenticité qui est absente ici. C'est comme pour les films de guerre qui sont en anglais alors qu'ils se déroulent dans des pays où personne ne parle la langue. Il faut que ça cesse surtout si c'est pour arborer un accent ridicule comme ici. Où est la logique ? D'ailleurs, à ce niveau-là, on se demande si Ridley Scott a voulu faire un drame familial ayant abouti sur un fait divers ou une satire fantasque de cette famille. On se demande, car certains personnages sont bien grotesques. D'un point de vue purement cinématographique, "House of Gucci" est un film décevant avec une histoire superficielle et bâclée sur de nombreux points qui manque de piquant.
L'histoire américanisée des Gucci. Entre accumulations de clichés, faux accents italiens (VO) et jeu épouvantable de Lady Gaga... un navet, tout simplement.
Je ne connaissais pas la saga Gucci. Je connaissais juste l'histoire du meurtre du principal intéressé. Ce film m'en a appris davantage. Le casting est 5 étoiles avec un Jeremy Irons et un Adam Driver sont très bons. Lady Gaga, Al Pacino, Jared Leto un peu moins, ils en font des tonnes je trouve et manquent de nuances. L'ensemble est correct mais toutefois pas très passionnant et plutôt plat au vu de la longueur. Content de voir la française Camille Cottin bien que son rôle ne soit pas très bavard.
Shephard69
Dernière réalisation en date de Ridley Scott, sorti peu de temps après "Le dernier duel", un long-métrage qui revient, avec un casting monumental d'Adam Driver à Al Pacino en passant par une Lady Gaga impressionnante en femme fatale manipulatrice et vénéneuse et un Jared Leto méconnaissable physiquement et livrant au passage une excellente partition, sur la saga de la famille Gucci, célèbre maison de la mode, et surtout sur les frasques de la dynastie durant les années 80 et 90. Une fresque à la mise en scène très formaliste, presque lisse et ennuyeuse par moments, un rythme pas toujours très palpitant. Au final, un ensemble qui repose en majeure partie sur le jeu de ses acteurs. Assez quelconque et moyen.
Alain D.
Un film parfaitement réalisé par Ridley Scott nous contant les démêlés houleux et dramatiques de la famille Gucci de 1978 à 1995. Un Biopic de guerre économique et familiale assez compliquée et peu passionnante. Elle est fort heureusement magistralement interprété par le couple Lady Gaga-Adam Driver dans le rôle de Maurizio Gucci.
L'affiche prestigieuse de ce film nous offre aussi les belles prestations de Salma Hayek, Jeremy Irons, Al Pacino que l'on voit trop peu, dans le rôle de Aldo Gucci. Son fils dans le film est joué par Jared Leto lui aussi fantastique dans le rôle de Paolo. Remarquée également la belle présence de Camille Cottin seule française dans ce casting de luxe.
L'affiche prestigieuse de ce film nous offre aussi les belles prestations de Salma Hayek, Jeremy Irons, Al Pacino que l'on voit trop peu, dans le rôle de Aldo Gucci. Son fils dans le film est joué par Jared Leto lui aussi fantastique dans le rôle de Paolo. Remarquée également la belle présence de Camille Cottin seule française dans ce casting de luxe.
L'histoire de la grandeur puis de la décadence et de la chute d'une dynastie du luxe, j'ai nommé la Maison Gucci. Nous suivons l'ascension progressive d’un homme (Maurizio) qui n’avait pas l’ambition de reprendre cet empire du luxe et de sa femme (Patrizia), issue du peuple, qui a pris les rênes de sa carrière jusqu'à devenir omniprésente et toxique.
Le film se révèle long (2h37) malgré la nouvelle grande performance de Lady Gaga, quelle formidable actrice ! L'évolution physique de son personnage est remarquable. Nous nous glissons littéralement dans le costume de Maurizio : nous tombons sous le charme ravageur de Patrizia dès le premier regard puis, ses excès passant, sa laideur intérieure se révélant, son physique s'en ressent et elle s'amochit de scène en scène. Nous finissons par nous lasser et nous détourner, au même titre que Maurizio.
Un biopic instructif se suivant avec intérêt mais trop académique pour passionner !
Le film se révèle long (2h37) malgré la nouvelle grande performance de Lady Gaga, quelle formidable actrice ! L'évolution physique de son personnage est remarquable. Nous nous glissons littéralement dans le costume de Maurizio : nous tombons sous le charme ravageur de Patrizia dès le premier regard puis, ses excès passant, sa laideur intérieure se révélant, son physique s'en ressent et elle s'amochit de scène en scène. Nous finissons par nous lasser et nous détourner, au même titre que Maurizio.
Un biopic instructif se suivant avec intérêt mais trop académique pour passionner !
Le grand retour de Ridley Scott sera sous le signe du biopic Gucci entre histoire d'amour, conflits familiaux et prises de pouvoir! Dècidèment, Scott aime les histoires qui partent dans tous les sens! En plus, il sait leur donner une force ètrange, baroque et loufoque. "House of Gucci" (2021), avec ses allures de grande oeuvre èpique et intimiste, de guerre familiale bariolèe, est une tragèdie contemporaine en bonne et due forme, d'une efficacitè totale, se permettant même des ellipses rèjouissantes! Et quel casting de haut vol! Après "A Star is Born", Lady Gaga a de nouveau la part belle...mais pas forcèment le beau rôle, car prise par l'ivresse de l'argent! A ses côtès, Adam Driver (Harrison Ford) est formidable, comme toujours! Les deux donnent une autre dimension à ce "House of Gucci". Et au coeur des luttes de pouvoir ? Du solide : Al Pacino, Jeremy Irons...Jared Leto (mèconnaissable et en roue libre), tous parfaits! Plaisir garanti de les voir jouer et se faire la guèguerre! Et une B.O complètement dans le thème qui, grâce à Donna Summer, Blondie ou George Michael, donne envie de se trèmousser sur la piste de danse! Une vèritable gourmandise pour les sens...
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