House of Gucci
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432 critiques spectateurs

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cedo mori
cedo mori

1 critique Suivre son activité

4,0
Publiée le 26 novembre 2021
Incroyable histoire quand on sait que tout est vrai!! Le casting est brillant. Les décors, les costumes, les moyens sont à la hauteur du récit.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 26 novembre 2021
Voyage au bout de l'ennuie dans un film caricatural ou il ne se passe absolument rien.
Entre faux accent italien et prestation grotesque, le film et lent et 90% des dialogues sont inutiles.
Hugo Voisin
Hugo Voisin

1 critique Suivre son activité

5,0
Publiée le 26 novembre 2021
Meilleur film de l’année, casting incroyable, tout les détails sont soignés (des costumes aux décors), le film dure 2h40 mais passe a une vitesse phénoménale tant le scénario est riche et bien pensé.
Dois-Je Le voir ?
Dois-Je Le voir ?

370 abonnés 1 842 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 26 novembre 2021
Gucci est dirigé par les deux fils du fondateur – Aldo, personnage rusé et haut en couleur, et son frère Rodolfo, beaucoup plus froid et traditionnel. Pugnace, Aldo n’a pas la moindre intention de céder le contrôle de l’empire à qui que ce soit – et certainement pas à son fils Paolo, garçon fantaisiste qui aspire à devenir styliste. Quant à Maurizio, fils timide et surprotégé de Rodolfo, il a davantage envie d’étudier le droit que de diriger un groupe de luxe mondialisé. C’est alors que Maurizio tombe amoureux de la ravissante et manipulatrice Patrizia Reggiani et, contre l’avis de son père, décide de l’épouser. Lorsque Aldo se découvre des affinités avec Patrizia, il réussit, avec l’aide de la jeune femme, à convaincre son neveu de renoncer à ses ambitions juridiques pour intégrer l’entreprise dont il devient, de facto, le probable héritier. Ce qui ne manque pas de nourrir la rancoeur de Paolo, dont le talent n’est pas à la hauteur de ses rêves artistiques…



C’est Ridley Scott qui adapte le livre La Saga Gucci de Sara Gay Forden paru en 2001. Le Britannique qui fait sa seconde réalisation de l’année après Le Dernier duel qui comptait déjà sans ses rangs Adam Driver. Le scénario a été écrit par Roberto Bentivegna et Becky Johnston.



Comme beaucoup, j’attendais beaucoup House of Gucci, et à défaut de trouver que c’est une merveille, il est tout de même très bien.



Ce film va donc nous raconter l’histoire vraie de Maurizio Gucci, petit-fils du fondateur de Gucci, à partir de sa rencontre avec Patrizia Reggiani, jusqu’à sa fin tragique. Il fut d’ailleurs le dernier Gucci à faire partir de la direction de la marque de luxe Italienne. Fondée en 1921, elle fu au plus mal dans les années 90. Gucci est maintenant devenue florissante avec un chiffre d'affaires avoisinant les 10 milliards d’euros.



J’ai beau avoir passé un très bon moment devant ce film, je l’ai trouvé vraiment trop long avec ses 2h37. Il y aura trp de passage où on va se perdre dans des détails insignifiants. D’autant plus que le nombre de personnages à suivre augmente au fur et à mesure. Au départ c’est simple, il n’y a que Maurizio et Patrizia, puis va venir se greffer tous les Gucci derrière, du père à l’oncle en passant par le cousin. Tout cela sans parler des membres en dehors de la famille venant s’ajouter. Comme Ridley Scott essaie de tous les développer, cela peut faire lourd. Cela n’en reste pas moins passionnant. En effet, le réalisateur arrive à donner un véritable intérêt à chacun. C’est d’ailleurs cela qui permet de supporter les innombrables informations. Le récit dans sa globalité est vraiment passionnant. Quelle histoire nous est proposée là. Il faut tout de même savoir que House of Gucci n’a pas fait l’unanimité auprès des héritiers de Maurizio Gucci.

Ce qui impressionne le plus est le casting fantastique réuni. Au-dessus de tous, il y a Lady Gaga. L’actrice sublime tout du long. Trois ans auparavant, elle m’avait mise une claque avec A Star Is Born, et là ça recommence. Même si je ne l’apprécie pas toujours en dehors de ce film, ici la prestation d'Adam Driver est parfaite. Ce duo donne une autre dimension à House of Gucci. Pour les entourer, la brochette d’acteur n’en reste pas moins impressionnante. On y retrouve notamment Al Pacino, Jeremy Irons, Salma Hayek et Jack Huston, sans oublier de faire un petit cocorico pour Camille Cottin. Par contre, je n’ai pas trop aimé la performance de Jared Leto qui surjoue clairement.

Tout cela se joue dans un cadre sublime. La photographie est très bien travaillée et on voit clairement la colométrie évoluer au fur et à mesure que l’histoire avance. Au début, plus chaleureuse, elle finira avec dès ton beaucoup plus froid. L’aspect esthétique est très soigné. C’est un plaisir de retrouver le Milan des années 70. On sent la capitale mondiale de la mode. Ironiquement, pour un film parlant de Gucci, le luxe et les vêtements ne sont pas tellement mis en avant. Il va en avoir bien entendu mais ça ne sera clairement pas le centre de l’attention. Là, on va s’intéresser à l’histoire même de la relation entre Maurizio et Patrizia, plutôt qu’à l’empire Gucci qui passe en second plan.
Tescelin Hanoteaux
Tescelin Hanoteaux

1 critique Suivre son activité

4,0
Publiée le 26 novembre 2021
Un film retraçant l’histoire de Maurizio Gucci, non de la création de la marque.
Le film en reste tout de même excellent, agréable et captivant pour ceux qui désirent en savoir plus sur l’histoire de cet empire de luxe.
Jorik V
Jorik V

1 292 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 26 novembre 2021
Un mois seulement après son très bon suspense médiéval, « Le dernier duel », Ridley Scott nous revient déjà. Et ce sont les aléas de distribution des films, fortement impactés par la crise et les reports de sortie, qui en sont la cause. Il fait partie des cinéastes qui non seulement sont des stakhanovistes des tournages, avec au minimum un film tous les deux ans, si ce n’est pas un par an. En outre, c’est aussi l’un des cinéastes les plus éclectiques en activité, passant d’un genre à l’autre avec une facilité déconcertante. Mais pas toujours des réussites, forcément. En effet, on ne peut réussir à frapper fort à tous les coups surtout avec autant de films dans sa carrière. Et ce nouvel opus se positionne dans une veine tiède. Ce ne sera pas un opus inoubliable à la « Gladiator » ou « Hannibal » mais un film qui ressemble un peu au moyen « Tout l’argent du monde » où il plongeait déjà dans les arcanes d’une riche famille.



« House of Gucci » est ce que l’on peut appeler une œuvre à performance d’acteurs. D’ailleurs, plus que pour le reste, davantage classique et oubliable, ce film devrait se retrouver en bonne place dans la saison des récompenses grâce à son casting. Lady Gaga confirme qu’elle est une bonne actrice même si sa prestation est moins puissante que dans « A star is born ». Al Pacino et Jeremy Irons font le travail dans des rôles plus fonctionnels et le premier se détache clairement. Adam Driver est celui qui a le rôle à la fois le plus discret mais avec le temps de présence à l’écran le plus important et il s’en tire encore une fois avec panache. Salma Hayek et Camille Cottin ne font que passer, quant à Jared Leto il nous offre encore une composition extrême dont il a le secret et qui divisera. Trop maniéré et maquillé, il en agacera certains. Mais sa transformation physique et son investissement sans faille devrait plaire aux votants de l’Académie des Oscars par exemple. A n’en pas douter...



Ridley Scott a l’air bien moins en forme niveau mise en scène qu’il ne l’était pour son film précédent. Académique et fonctionnelle, elle aurait pu être bien plus flamboyante et mémorable. Sur près de trois heures d’une saga fleuve, il réussit quelques jolis plans mais on l’a connu bien plus inventif et investi. Même si le film est long, il se suit avec plaisir à défaut d’être dévoré avec passion. On suit la grandeur puis la décadence et la chute de cette dynastie du luxe sans surprise certes mais avec intérêt. En revanche, on s’intéresse encore plus à la fin du film qui apparaît un peu bâclée. En effet, l’arrivée de Tom Ford dans la maison de couture ou l’assassinat du fils Gucci et le procès qui s’en suit semblaient bien plus prenants que tout ce qui a été montré avant. Un choix narratif discutable donc qui pourra en frustrer certains. En somme, une œuvre loin d’être déplaisante mais qui ne restera pas dans les annales de la filmographie riche et pléthorique de son auteur et du septième art en général.



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JRG
JRG

8 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 26 novembre 2021
Lady Gaga, exceptionnelle, porte le film par sa performance éblouissante. Jared Leto, Salma Hayek et Alpacino font de leurs scenes un véritable délice. Ridley Scott arrive, malgré quelques longueurs, à faire de ce thriller familiale un véritable film à suspense
dillinger75
dillinger75

10 abonnés 79 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 28 novembre 2021
Un casting de haut vol, une histoire passionnée qui retrace la guerre familiale des Gucci. Tournée façon thriller, j'ai bien aimé l'ambiance luxueuse qui s'y dégage, le côté chic et élégant de ses personnages tous très bien incarné, et le personnage de Lady Gaga Mme détestable contraste avec la classe du personnage incarné par Adam Driver.
Après "le dernier duel" Ridley Scott nous dépeint là une tout autre vision de la femme.
Cinememories
Cinememories

492 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 26 novembre 2021
La maison Gucci est un empire, fondé sur la base d’une toile en cuir de luxe et il y a de la place pour en conter son prestige, son héritage et sa désillusion. Ridley Scott nous ramène ainsi en Italie, comme dans une sorte de prolongement de son « Tout l’argent du monde ». Le Britannique, à ce stade n’a plus rien à prouver, il a atteint les sommets dans la science-fiction, tout comme dans le péplum. Mais ce qui fascine toujours autant chez ce cinéaste, c’est qu’il ne se limite jamais à l’horizon le plus proche, ni le plus limpide. Le récent « Dernier Duel » en est la preuve, mais qui confirmera également à moitié que son génie commence à tourner en rond, sinon à s’éteindre. Quand il ne sait plus sublimer part la mise en scène, il feint de répondre avec une astuce narrative. Ici, c’est la même chose. En échange, il troque la richesse de son récit avec une performance de comédiens, qui oscille entre le jour et la nuit.

L’adaptation de « la saga Gucci » de Sara Gay Forden emprunte des routes classiques, mais qui étonneront quelques fois, lorsque l’on découvre la piètre fierté de la célèbre enseigne de mode. Le tout est de savoir comment explorer l’ambiguïté entre le conservatisme des parents, où Jeremy Irons apparaît trop peu et Al Pacino s’embourbe dans un premier degré de bouffonnerie. Loin du schéma de la mafia, mais cousine par ses méandres et sa nonchalance. C’est une famille qui vit par l’esprit d’entreprise, autrement dit, par le pouvoir, le prestige et donc l’argent. Cette fortune, nous la découvrons, peu à peu dilapidée entre les mains de ses héritiers, qui s’entredévorent. Adam Driver rempile pour restaurer la pudeur et sophistication de Maurizio Gucci, tandis que Lady Gaga manque de convaincre par son accent italien à en décrédibiliser sa Patrizia Reggiani. Ces deux formidables comédiens ne font toutefois pas la paire. Lorsqu’il s’agit d’introduire ce « parfait » amour, cela passe rarement par une complicité électrisante et subtile.

Sans doute, est-ce voulu ? Sans doute, est-ce le point de vue du réalisateur que de se placer entre ces deux personnages qui se vampirise mutuellement ? Hélas, cette approche a ses limites. Le jeu d’escroquerie virevolte d’un bout à l’autre de l’intrigue, imposant un rythme délicat aux protagonistes, qui d’une scène à l’autre aura perdu toutes ses valeurs qui les caractérisaient. La chute après l’ascension est inéluctable, mais change trop souvent de main, ou de plan de caméra, pour que l’on puisse suivre avec cohérence ce drame familial, dans un emballage très explicatif. Rares sont les moments qui nous transportent, sans même que l’on évoque l’effet soporifique de l’œuvre. Un cabotinage après l’autre, en passant par un Jared Leto qui sèche dans l’excès et le ridicule, la maison Gucci tente de préserver ses biens et ses droits, mais tout ce qui en résulte passe dans le hachoir d’un Scott, indéniablement diminué.

Plus question d’invoquer les ténèbres, pour en extirper de l’effroi ou une bonne dose de révolte, comme les apprécie dans « Thelma et Louise ». Il n’y a ni duo, ni passion qui se révèle à la hauteur, lorsqu’on revisite « House of Gucci » après le générique. Amour, trahison et vengeance ornent chaque chapitre du récit, qui aurait préféré s’attarder sur la perdition d’un nom de famille, que l’on aime, que l’on rejette, mais que l’on garde au chaud dans le sang ou bien dans une vilaine pensée, projetant de mettre le monde à genou. Cette tragédie shakespearienne aura du mal à trouver l’issue le plus glamour, ou à défaut le plus solennel. Au lieu de cela, c’est une balade humaine tout à fait banale, frustrante et oubliable.
Antoine Rousseau
Antoine Rousseau

1 critique Suivre son activité

3,0
Publiée le 26 novembre 2021
Bon film dans l'ensemble, les musiques ne sont pas très bonnes. Certaines scènes ne sont pas nécessaires avec Salma Hayek.
remyll
remyll

198 abonnés 446 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 26 novembre 2021
Al Pacino : magnifique.
Lady Gaga : au top.
Jeremy Irons : fabulous.
Salma Hayek : transcendante et si drôle quand on pense à qui elle est aujourd’hui.
Le film est captivant du début à la fin, plein de charme, amusant et cruel; j’ai juste regretté qu’on y parle un peu trop anglais et bien peu italien.
Mais le film est très bon.
A voir sans hésiter.
Hi2816J.
Hi2816J.

8 abonnés 38 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 26 novembre 2021
Le second film de 2021 pour Ridley Scott est une immense déception tant le film est trop long (2h40) et tant ça joue très mal, on ne ressent aucune supériorité de puissance de certains personnages. Le scénario est très mal écrit, avec des personnages sans grand attachement, sans profondeur, et d'autres qui ne servent à rien, la musique inexistante de Harry Gregson Williams, sans aucun sens dans le fil conducteur musicaux du film. Après avoir vu ce film, on est plutôt sur un décès de quand tu bois ton 15ème verre de rhum pur a 50% à 20h30 alors que la soirée a commencé à 20h. Bref, je n'aime pas du tout.
eldarkstone
eldarkstone

236 abonnés 2 115 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 26 novembre 2021
Un Polar dramatique certes un peu long, mais avec des images magnifiques, un casting de rêve et un scénario très bon et précis !
laurent joulin
laurent joulin

52 abonnés 72 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 26 novembre 2021
Une bonne pub pour la maison gucci. Sans intérêt cinématographique . Scénario quelconquesans originalité , d epaisseur de suspens , de rythme c est une succession d images les unes aux autres sans éclats . Bref film sans intérêt à part une pleiade d acteurs qui ont été bons dans d autres films .
Hugo S.
Hugo S.

3 abonnés 2 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 26 novembre 2021
Lady Gaga est autant incroyable par sa qualité d'actrice, que par la diversité de ses tenues et que la perfection de son accent italien.
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