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    House of Gucci
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    432 critiques spectateurs

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    Lolipop
    Lolipop

    13 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2021
    Le film aurait peut-être mérité un peu plus d'audace. Dommage, il avait du potentiel. L'ensemble reste un peu superficiel. Un bon film à voir tout de même.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    85 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 novembre 2021
    Envie d'un bon gros nanar façon série diffusée l'après midi sur TF1, autour des turpitudes des nantis de ce monde? Courez-y! Par contre, admirateurs de Ridley Scott, vous risquez fort de vous boucher le nez.... Il est difficile d'imaginer que ce soit le même réalisateur qui se soit attelé à House of Gucci, et à ce magnifique Dernier Duel que nous avons vu très récemment. Un seul point commun: les acteurs sont parfaitement recrutés et incarnent leur rôle à la perfection. Bref, j'ai passe deux heures absolument délicieuses, et je me suis énormément amusée. Car à côté de la famille Gucci, Dallas, c'est de la gnognotte!!!
    Ridley Scott a élagué la famille en supprimant un certain nombre de frères, soeurs, qui ne participaient pas directement à la firme. Il s'est concentré sur les quatre protagonistes principaux: les deux frères, Aldo et Rodolfo; et leurs deux héritiers. Le grand père est parti de rien; il a su détecter les goûts des riches et y répondre; puis utiliser des matériaux substitutifs au cuir; toutes les filles ont eu un jour envie de ces sacs à l'anse en bambou! Bref, Aldo et Rodolfo sont à la tête d'une success story familiale. Rodolfo (Jeremy Irons, plus squelettique que jamais!) est renfermé, ascétique; il ne s'est jamais remis de la mort prématurée de son épouse; Aldo (Al Pacino, qui déborde de partout) est fêtard, commerçant. Il voudrait étendre la marque partout dans le monde; au Japon par exemple. Rodolfo est contre.
    Et puis, il y a la génération qui suit. Maurizio, le fils de Rodolfo (Adam Driver) est un étudiant en droit sérieux et studieux, qui ne s'intéresse pas du tout aux affaires familiales. Paolo, le fils d'Aldo (Jared Leto, qui fait encore un incroyable numéro d'acteur!) est un zozo complètement à l'ouest qui se prend pour le génie du stylisme. Rien que voir ces quatre là justifie votre entrée dans la salle obscure.
    Quatre... enfin quatre plus une! Car Scott a fait de Patrizia, la "veuve noire", celle qui plus tard recrutera des bras cassés pour assassiner son mari avec un amateurisme confondant, le noeud de l'histoire ce qui lui donne évidement un côté plus palpitant! Mais, quand on lit la presse d'époque, il semble que les Gucci se haïssaient suffisamment en famille sans avoir besoin d'une tierce personne.... A t-elle pu être un catalyseur? En tous cas, Rodolfo refuse le mariage de son fils avec celle qu'il considère comme venant de rien (on imagine qu'une union avec une grande famille italienne aurait donné un peu de lustre au nom du petit tapissier), alors Patrizia cajole son nouveau tonton, le dresse contre son père, puis joue alliance contre alliance, on se dénonce pour fraude fiscale entre neveux et oncles, on se dépouille entre frères, bref, Dallas c'est une bluette!
    Patrizia, c'est donc Lady Gaga. Je n'écoute pas ce genre de musique, donc je ne la connais pas du tout. J'avais juste remarqué que, pire que laide (car avec la laideur on peut faire quelque chose), elle était quelconque ce qui l'amenait, sans doute, à se cacher sous ses accoutrements délirants. Là, elle crève l'écran en cagole couverte de bijoux clinquants., pas intelligente, pas cultivée, mais dotée d'une sorte de sixième sens manipulatoire, cajoleuse, puis pleine de rage.... On passe un très bon moment en sa compagnie!
    Notons aussi la présence de Salma Hayek dans le rôle de Pina, la "voyanye" qui manipule la manipulatrice, et Kack Huston dans celui de Domenico De Sole, le "fidèle bras droit" devenu PDG de Gucci après la ruine de la famille et avant le rachat par Kering, et celui de Reeve Carney dans le bref rôle de Tom Ford. Ils sont tous convaincants.
    emilysrt
    emilysrt

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2021
    House of Gucci est un film qui vaut très largement la médiatisation qui est autour.
    Sans attendre quoique ce soit, j'ai été agréablement surprise par le film.
    On en oublie que Lady Gaga n'est pas actrice de métier tellement sa performance est excellente et émouvante.
    Adam Driver est comme toujours, incroyablement antipathique, puis on commence à ressentir un peu d'empathie au milieu du film, pour le détester à la fin. Un rôle dans lequel il est toujours BRILLIANT.
    Jared Leto impressionnant dans ce rôle qui ajoute une touche humoristique très fine au film.

    La réal est sympa, elle permet de ne pas s'ennuyer pendant 2h37.

    Très bon film, je croise les doigts pour les Oscars, que Lady Gaga mériterait largement.
    Alice025
    Alice025

    1 689 abonnés 1 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 novembre 2021
    Ridley Scott nous offre encore une fois un film qualitatif sur l'histoire de la famille Gucci, de sa marque et de ses conflits entre membres de cette tribu. L'atout principal de cette histoire est avant tout son casting laborieux où chacun impressionne. Lady Gaga est divinement détestable.
    On en apprend davantage sur la marque, sur cette guerre commerciale et sur le destin de Maurizio Gucci, de sa rencontre avec Patrizia jusqu'à sa fin tragique.
    La bande-son est top, l'esprit 70/80 est bien retranscrit à l'écran, « House Of Gucci » réussit son pari.

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    David Zean
    David Zean

    3 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 novembre 2021
    J'ai bien aimé, malgré la longueur du film. Peut-être cette histoire est plus adapté pour une série limitée de 8 ou 10h, au lieu de film de 2h40! Lady Gaga est sublime! Bcp mieux que son rôle à A star is born.
    Eli P
    Eli P

    14 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2021
    En 3 mots : fastueux, drôle, accrocheur. Les acteurs sont tous incroyables, Lady Gaga m'a effectivement bluffé et porte le film, mais les autres ne sont pas en reste. J'appréhendais un peu les 2h30 mais au final le temps passe assez vite tant les personnages sont attachants et l'intrigue intéressantes. J'enlève 0.5 étoiles pour la quantité de musiques connues qui passent tout du long comme ci Ridley Scott avait peur que son film manque de rythme, c'était parfois franchement pas nécessaire. Le film du moment c'est certain.
    MJ B
    MJ B

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2021
    Ce film est tout simplement incroyable ! Il est le noyau de Gucci et on est très très très vite dedans !
    Logan L.
    Logan L.

    7 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2021
    Très bon film avec une panoplie d'acteurs de haut vol. La performance de Lady Gaga (jeune actrice) est époustouflante. S'il est vrai que certains détails peuvent gêner, accent italien forcés, jeu d'acteur parfois à la limite du parodique, il est évident que le réalisateur a su percer à jour le destin tragique de cette famille italienne connue mondialement. Le film est long 2h40 et pourtant il se laisse regarder sans réel temps mort. Le duo Adam Driver - Lady Gaga fonctionne parfaitement. J'ai vraiment passé un très bon moment devant ce film dont je n'attendais finalement pas grand chose.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 novembre 2021
    Un début un peu rapide avec un montage parfois étrange spoiler:
    la réconciliation entre maurizio et son père puis la mort de son père avec vu sur son cercueil. Neanmoins le film est extrêmement plaisant. On ne voit absolument pas le temps passé. Un casting parfaitement choisi et un plaisir de retrouver le grand Al pacino à l’écran. À aller voir aussi bien pour l’histoire que pour ce magnifique casting
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    540 abonnés 956 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 novembre 2021
    À peine plus d'un mois après l'excellent Dernier Duel, Ridley Scott revient avec House of Gucci. Époque, genre, sujet ; tout semble les dissocier. Pas tant que ça, en fin de compte. L'exploration au royaume d'un des plus grands noms de la mode, le démiurge l'envisage comme une visite des coulisses de la scène, là où tous les "trucs" sont livrés en l'espèce. Ici, cela signifie démystifier la superbe derrière le célèbre patronyme. Et dévêtir les participants de cette mascarade pour les regarder dans leur vérité nue. En soi, poursuivre le travail de désacralisation également à l'œuvre dans son brûlot moyenâgeux sorti en octobre dernier.

    Des effluves qui sentent bon l'aigreur et les ténèbres, on les a souvent humés chez le réalisateur notamment cette dernière décennie. Ils s'accompagnent cette fois d'une bonne louche de sarcasmes. Voire même de bouffonnerie. En réalité, House of Gucci c'est une tragédie racontée dans le style Commedia dell'arte. Dès le début, les personnages recouvrent leurs masques et jouent un rôle qu'ils se sont eux-mêmes donnés, à tel point qu'aucun ne semble à sa juste place. Patrizia se projette comme une starlette tandis que Maurizio Gucci s'efface au point d'être pris pour un simple barman. Le patriarche s'enferme dans une caricature d'ermite imbuvable. Quant au cousin Paolo, il s'enfonce dans le cabotinage de l'artiste incompris et du fils à papa capricieux. À la rigueur, le seul qui semble raccord pourrait être Aldo, entrepreneur et fier de l'être. Sinon, la photo de famille est pour le moins insolite. Ridley Scott choisit donc de le surligner en optant pour une direction artistique exempte de clinquant, une photographie sinistre, pour mettre en évidence le décalage avec cette galerie de gens pittoresques. La première partie est à ce titre assez réussie. On s'amuse de la grossièreté de la sangsue inculte, de la fadeur de son mari débonnaire ou du comportement exacerbé de Paolo. Scott en avait bien assez pour refaire le portrait de ce clan. Le film veut aller plus loin, un entrain qui va lui coûter cher.

    Au niveau de la dramaturgie, ça foisonne de grands thèmes et de possibilités. L'implosion d'une dynastie, tragédie. Le parcours d'une profiteuse superficielle, satire. Chute ininterrompue d'un héritier excentrique, comédie burlesque. Trois films en un, sauf qu'il faut les faire tenir ensemble. Ce qui réclame un soin minutieux sur le montage pour jouer sur tous les tableaux. Chose rarissime chez Sire Ridley, son œuvre pêche par sa longueur. Il y a trop et pas assez d'énergie, House of Gucci déborde de tous les côtés, comme s'il ne pouvait choisir quelle partie favoriser et laquelle suggérer. Bascules abruptes, intrigue éparpillée, passages étirés sans raison ; on en arrive à un long-métrage qui compte 30 minutes en trop. Ce laps de temps en plus d'être injustifié épuise la veine caustique que Scott vise. Le message était limpide, le fait de le rabâcher joue contre lui. La troupe qui se charge de le convoyer en pâtit bien malgré elle. Al Pacino et Adam Driver font montre d'une grande maîtrise jusqu'au bout. En face, Lady Gaga et Jared Leto tentent le cabotinage incontrôlé. Ce qui fonctionne à partir du moment où l'on comprend qu'ils jouent des personnages qui jouent d'autres personnages et se plantent. C'est toujours sur la ligne, grotesque, gênant et pathétique. Cela dit, l'abattage force le respect. De toute évidence, les interprètes ne participent pas au même film.

    On termine en comptant les points, en voyant les intentions louables se court-circuiter tout en s'amusant des percées car il y en a. À l'image de l'ensemble, elles arrivent de manière chaotique et apportent du relief à un vrai monstre de Frankenstein. Ridley Scott se refuse à sectionner le gras, ce qui surprend pour un cinéaste dont la carrière est jalonnée de travaux dont les versions longues avaient plutôt tendance à amplifier la puissance (exception faite de Gladiator). House of Gucci présente le cas inverse. Ce qui amène à se demander si un montage plus recentré ne permettra pas d'en embellir l'audace.
    Clément Bernaud
    Clément Bernaud

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 novembre 2021
    Un film sombre avec beaucoup de finesse. Un plaisir visuel ! Un jeu d’acteur merveilleux avec Lady Gaga à sa tête !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 novembre 2021
    Très beau film, que se soit dans les costumes que l'univers.
    Les acteurs sont juste géniaux, ils font à travaille de fou.
    Et Lady Gaga, mon dieu, on sent qu'elle voulait jouer ce rôle à la perfection
    Maxime B.
    Maxime B.

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 novembre 2021
    Un casting 5 étoiles, des jeux d'acteurs plus que convaincants, un film qui se dévore.

    Lady gaga et Adam driver brille dans leurs rôles, un réel plaisir, à voir et à revoir
    Thomas Reye
    Thomas Reye

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 novembre 2021
    Le film était génial et Lady Gaga exceptionnelle et magnifique. Je vous conseille d'aller le voir très vite.
    arthur guerin
    arthur guerin

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 novembre 2021
    House of Gucci est sensationnel. Je n’ai jamais autant ris pour un film supposé être un drame et non une comédie. Les acteurs brillent, la force de Gaga dans ce rôle m’a impressionné.
    Ridley arrive à peindre le portrait d’une famille sur le déclin, de personnes qui se bâtent pour sauver leur nom, mais qui finalement le perdent pour toujours. L’alchimie entre les acteurs m’a vraiment touché.
    Il y avait sûrement 1000 façons de raconter cette histoire et de mettre le zoom. Ridley a choisir non pas de raconter un meurtre ni même les paillettes d’une maison de luxe, mais la chute d’un empire, la chute individuelle de personnages qui finissent par se tourner au ridicule tel un opéra.
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