House of Gucci
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Jrib94
Jrib94

1 abonné 15 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 2 décembre 2021
une belle affiche un grand réalisateur nous faisaient penser à un film de haut niveau avec un tel sujet. Dommage, force est de constater que Scott passe totalement à côté de son sujet en filmant sans véritable envie . On attendait beaucoup du casting et la e côté c'est surjoué, les accents italiens terribles, Paccino Leto en font des tonnes et frôlent le ridicule . Lady Gaga n'est pas à la hauteur de son personnage. Reste Adam Sandler pour sauver les meubles...mais c'est peu sur 2 h 40 de film.
le_criticoeur
le_criticoeur

2 abonnés 15 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 2 décembre 2021
C’est un grand oui M. Scott ! après Le Dernier Duel, je ne m’attendais à rien voire j’avais des appréhensions mais là… wow ! Film excellent racontant une histoire vraie passionnante et parfaitement bien adaptée par notre cher Ridley. Un des castings les plus parfaits que j’ai jamais vus, Lady Gaga est à son sommet, Adam Driver est génial dans son rôle et que dire des acteurs de second plan Jared Leto, Al Pacino, Salma Hayek et surtout Jeremy Irons que j’ai trouvé tout simplement extraordinaires. Il va en pleuvoir des nominations et récompenses aux Oscars et Golden Globes…

Dans un registre encore différent de Alien, Gladiator et plus récemment Le Dernier Duel, Great Scott nous offre une réalisation simple mais quand même technique et intéressante dans House of Gucci. Le film est un peu long (2h30) mais on ne s’ennuie absolument pas grâce aux jeux d’acteurs complètement fous, les décors des années 80-90, les costumes et les BO anglaises comme italiennes de l’époque.
Serge Soleil
Serge Soleil

2 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 2 décembre 2021
très grand casting qui ne deçoit pas - très bien filmé - à voir car belle histoire (vraie) - film de + de 2 heurs sans temps mort
Yves G.
Yves G.

1 528 abonnés 3 544 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 2 décembre 2021
Fondé au début du vingtième siècle par un modeste tanneur toscan, Gucci est devenu une marque de luxe internationalement réputée. Dans les 70ies, l’entreprise familiale est co-dirigée par les deux fils du fondateur, Rodolfo (Jeremy Irons) et Aldo (Al Pacino). Ils se déchirent sur la stratégie à suivre. Rodolfo, esthète florentin, est soucieux de qualité avant tout ; Aldo, installé à New York, veut internationaliser la marque, quitte à encourager en sous-main la contrefaçon.
Rodolfo et Aldo ont chacun un fils. Maurizio (Adam Driver) est un jeune homme discret qui ne souhaite pas travailler dans l’entreprise familiale ; mais Patrizia Reggiani (Lady Gaga), une jeune femme d’origine modeste, qu’il épouse, est ambitieuse pour deux. Paolo (Jared Leto), le fils d’Aldo, est au contraire un personnage excentrique qui se pique de créer alors qu’il est dépourvu de tout talent.

Un mois après "Le Dernier Duel" sort un nouveau film de Ridley Scott. Ils sont à la fois différents et similaires. Le premier se déroule dans la France médiévale, le second dans l’Italie contemporaine. Le premier est centré autour de l’ordalie mettant aux prises un homme accusé de viol (Adam Driver) et l’époux de la femme qui l’accuse de l’avoir violée (Matt Damon) ; le second raconte les querelles des membres d’une famille autour de la marque prestigieuse créée par leur aïeul. Le premier utilise un procédé particulièrement astucieux, la narration successive d’un même événement par ses différents protagonistes, là où le second est plus platement chronologique.

Mais les différences s’arrêtent là. Les deux films ont en commun une durée particulièrement distendue ("Le Dernier Duel" dure 2h33 et "House of Gucci" 2h37) à laquelle le cinéma ne nous a plus habitués et qui les rapprochent des séries que nous avons binge-watchées pendant le confinement. Ils s’étalent sur plusieurs années voire sur plusieurs décennies et racontent une histoire riche en rebondissements – mais aussi victimes de quelques « trous d’air ». Ils sont servis par un casting éblouissant. Dans "House of Gucci", Lady Gaga réussit le pari incroyable de surpasser de la tête et des épaules ses partenaires. Un défi de taille face à Al Pacino, Jeremy Irons, Adam Driver, Jared Leto (auquel je prédis l’Oscar du meilleur second rôle tant sa prestation est hallucinée) ou Salma Hayek… et quand on mesure à peine 1m55 (contre 1m91 pour Adam Driver).

"House of Gucci" se déguste comme un énorme dessert, parfois étouffe-chrétien, à l’élégance vénéneuse – puisque l’on sait dès sa première image qu’il y est question de conspiration de crime et de mort. Les costumes, les décors rivalisent d’élégance, de chic…. et parfois de bling-bling scandaleusement daté (les 70ies et les 80ies ont commis quelques funestes erreurs de carre). La musique est une tuerie pour tous ceux et celles qui ont grandi à cette époque : Eurythmics, Blondie, George Michael, Donna Summer…. "House of Gucci" est un spectacle grandiose et funèbre.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 3 décembre 2021
Je suis réellement très déçu de ce film pour lequel j'en attendais beaucoup. Le rythme est horriblement lent, je me suis rarement autant ennuyé au cinéma, et heureusement que le jeu d'acteur de Lady Gaga et d'Adam Driver vient un peu sauver les meubles sur certaines scènes. Tout est très plat, on ne retrouve pas beaucoup de reliefs, comme si le réalisateur n'avait pas réussit à trouver l'angle pour rendre l'histoire intéressante. Au vu des nombreuses critiques positives, j'ose espérer que ce manque d'engouement provient de mon léger état de fatigue ce soir-là, mais je dois tout de même ajouter qu'aucun de mes amis présents lors de la séance n'a apprécié le film également.
Maximetaran7
Maximetaran7

2 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 1 décembre 2021
Très bon film. Bien que le scénario soit assez convenu, le charisme permet de sublimer l'histoire...
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 1 décembre 2021
Long, barbant, ennuyant... Malgré un casting 5 étoiles, une marque sexy et un fait divers captivant, le scénario est vraiment mal écrit pour en faire un chef d'oeuvre digne de ce nom.

Beaucoup trop de scènes sans grand intérêt qui ne fait qu'alourdir le film.
Nous nous attendions à beaucoup plus de gloire et de paillettes, j'en suis même venue à regretter les séries

Triste mention pour Al Pacino et notre icône nationale Camille COTTIN qui sont
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 1 décembre 2021
Mais où est-ce que Ridley Scott a voulu en venir ?
Non vraiment, j'ai beau chercher je ne vois pas ce qu'il a voulu dire avec "House of Gucci".
Peut-être qu'il a voulu dire qu'il n'avait plus rien à dire, ce qu'on savait déjà depuis une bonne dizaine d'années. Peut-être qu'il a voulu nous rappeler une fois de plus qu'il n'est définitivement plus le réalisateur de génie qu'il était dans ses jeunes années, et si c'est le cas c'est quand même sacrément triste.
Avant, Ridley Scott c'était le mec qui savait rendre exceptionnel un pitch banal, celui qui innovait dans des terrains que l'on croyait déjà bien battus, celui qui réinventait un genre quand il y touchait.
Et je pense qu'il y avait moyen de faire un film à la Ridley Scott avec "House of Gucci".

Par là j'entends un film à la Ridley Scott des bonnes années.

Mettre un bon coup de pied dans la fourmilière d'un genre qui tourne en rond, en l'occurrence le film de gangsters.
Pas comme son "American Gangster" était un film de gangsters. Non, on va plus loin.
Là, on édifie le portrait d'une famille sans scrupule qui se déchirera au vent des trahisons et de l'argent sale.
On crée une histoire épique et tragique dans lequel un homme se verra passer de la droiture morale à la corruption et à l'inhumanité.
Ça ne vous rappelle rien ?

...pas même "Le Parrain" ?

Je ne blague pas : je reste persuadé qu'il y avait moyen de faire une fresque épique digne de la divine trilogie "Le Parrain".
Quitte à être LE film de gangster culte de sa génération.
Et quand on voit à quel point les références à l'œuvre de Mario Puzo et Francis Ford Coppola fusent dans le film de Ridley Scott, on peut voir ça comme un aveux de la part de ce dernier de vouloir marquer les esprits.
Que ce soit au niveau de l'écriture de son protagoniste, Maurizio Gucci, de certains décors quasiment repompés de son modèle ou bien de la présence d'Al Pacino, Michael Corleone en personne mesdames et messieurs (qui cette fois fera plus office de Marlon Brando qu'autre chose).
La volonté y est. Ça peut le faire. J'y crois à mort pour le grand retour de Ridley Scott. J'étais sûrement le seul à autant attendre House of Gucci mais il y avait tant à faire sur un tel projet.

Et puis... pfffffff...
J'ai dû très rapidement me rendre à l'évidence : quel navet.
C'est non seulement mal filmé mais incroyablement immature dans la manière de traiter son sujet.
À la fois le film en raconte trop et il n'en raconte pas assez.
Car les seuls événements intéressants sont balancés lors des panneaux de fin, et si vous voulez mon avis on n'est pas censé piquer du nez pendant 2h30 pour avoir ça.
Les dialogues, eux, sont aux fraises, et sont interprétés par des acteurs extrêmement peu investis (sauf Jared Leto, mais en même temps c'est Jared Leto). Dommage alors que Lady Gaga m'avait bien surpris dans "A Star is Born" et qu'Adam Driver m'avait déjà cette année complètement transporté avec "Annette". Sinon Al Pacino vient prendre son chèque et c'est tout.

Et là où j'étais impatient de voir ce qui allait pouvoir être raconté avec un cadre aussi original, le film se contente d'empiler les banalités, les retournements de situation trop prévisibles et des scènes assommantes d'ennui...
Si au moins la bande-son pouvait apporter du charme à l'ensemble, que nenni ! La musique s'inscrit incroyablement mal dans le contexte et ne vient qu'accentuer un côté tape-à-l'œil vomitif que semble nous rabâcher papy Ridley à chaque instant.

Pendant 2h37.

2h37 interminables. J'aurai pu déclarer forfait mais je suis resté sur le ring, et pourtant le film me mettait des coups de plus en plus fort au fur et à mesure que ça avançait.
Alors je ne le renie pas : de temps en temps il y a un joli plan. Il y a Jared Leto qui cabotine pour mon plus grand plaisir. Il y a... euh... ouais.
Mais quand de l'autre on se tape une avalanche de débilité, ça refile vite un affreux mal de crâne et j'ai vite perdu tout ce à quoi je pouvais me raccrocher pour éviter de sombrer.
Bon, il reste les références au Parrain...
Mais citer un si grand nom du cinéma ne fera pas de ton film un aussi grand nom du cinéma.
Là c'est juste de la prétention.

De la bonne grosse prétention... il ne manquait plus que ça.
J'ai déjà parlé du côté tape-à-l'œil mais je n'ai fais qu'effleurer la surface !
Comme on fait un film sur Gucci on va en profiter pour mettre des gros costumes bien chics bien Deluxe lors de défilés à rallonge.
Mais là où Maurizio a l'air de prendre du plaisir à voir ses sujets se déhancher devant lui, le spectateur s'en retrouve bien vite laissé de côté...
"House of Gucci" semble bien déterminé à prendre son public de haut à coup d'histoire que l'on ne cesse d'artificiellement complexifier et de scènes hot et sexy (qui au moins ont le mérite de ne pas trop être filmées comme des clips de MTV, n'est-ce pas Michael Bay) pour se mettre dans la poche un public facilement impressionnable.
Ah, et des fois on pense quand même à raconter un truc, car pourquoi pas.

J'ai trouvé ce film honnêtement imbuvable. Car déjà avoir refilé le rôle principal à Lady Gaga n'était certainement pas le bon choix (elle est détestable, mais genre passivement détestable, elle est juste inintéressante et gonflante en fait), mais avoir refilé tout le projet à Ridley Scott n'était déjà pas une bonne idée.
Alors que je disais être prêt à retrouver le Ridley Scott des grands jours, on a eu droit au Ridley Scott de "Exodus", de "Robin des Bois", de "Prometheus", on a eu droit au Ridley Scott de l'insipide, de la prétention, de l'immaturité.
Et au vu du potentiel, c'est un énorme gâchis.
Un énorme navet taille XXL.
Peut-être le pire que sir Ridley ait pu nous pondre, et c'est dire venant de celui qui a massacré sa propre franchise avec "Alien : Covenant".

Donc vas-y ! Cite "Le Parrain" autant que tu veux ! Tu l'as déjà égalé avec quelques chefs-d'œuvre passés. Mais t'aurais mieux fais de le citer dans un de tes chefs-d'œuvre que dans un raté remarquable comme "House of Gucci"...
Tu ne veux pas nous laisser entrer dans ta maison Gucci, soit ! Au fond je crois que je préfère rester sur le palier, c'est plus agréable.
lesjols
lesjols

6 abonnés 101 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 1 décembre 2021
Un casting a l américaine pour la saga et la chute des Gucci. Un bon senar , de bons acteurs un bon moment
Laëtitia Simongiovanni
Laëtitia Simongiovanni

1 abonné 1 critique Suivre son activité

5,0
Publiée le 1 décembre 2021
Excellent en VO, Lady Gaga est exceptionnelle, Jared Leto également il m'a totalement fait mourir de rire 😁 et Al Pacino excellent comme à son habitude.
Un très bon film avec un très bon casting.
Serge Cannasse
Serge Cannasse

6 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 1 décembre 2021
le film se laisse regarder, grâce à ses acteurs, tous formidables. mais il est beaucoup trop long et poussif
ffred
ffred

1 754 abonnés 4 033 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 1 décembre 2021
A peine un mois après Le dernier duel, voici déjà sur nos écrans le nouveau film de Ridley Scott. Il a été tourné vite et cela se voit. La mise en scène est lourde, le scénario peu accrocheur. Le tout est vraiment trop lisse et sans émotion aucune, aucun souffle, aucun relief pour une saga familiale qui n’en manquait pas. Comme en plus on sait comment cela se termine, et qu’on en a beaucoup entendu parler récemment, peu de suspens. Et puis c’est long. Le casting est prestigieux mais c’est à celui qui cabotinera le plus. On va dire que Lady Gaga s’en sort la mieux. Par contre, j’ai cherché pendant tout le film quel rôle pouvait bien tenir Jared Leto. Je n’ai jamais trouvé. Après coup j’ai compris, c’était donc normal, vu la couche de prothèses et de maquillage. Personnellement, je ne vois pas trop l'intérêt de transformer un acteur totalement comme ça. Au final, ça se laisse tout de même regarder, belle direction artistique et nouveau rôle américain pour Camille Cottin après Stillwater. Mais un Ridley Scott mineur, l’un de ses films les moins réussis...
Jipéhel
Jipéhel

43 abonnés 176 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 1 décembre 2021
La chute d’une grande maison

Gucci est une marque reconnue et admirée dans le monde entier. Elle a été créée par Guccio Gucci qui a ouvert sa première boutique d’articles de cuir de luxe à Florence il y a exactement un siècle. Pourtant, à la fin des années 1970, l’empire italien de la mode est à un tournant critique de son histoire. Et c’est là que débute le nouveau film de Ridley Scott. L’entreprise rayonne à l’international, mais elle est handicapée par des rumeurs de malversations financières, une innovation en berne et une dévalorisation de la marque. Le groupe est dirigé par les deux fils du fondateur – Aldo, personnage rusé et haut en couleur, et son frère Rodolfo, beaucoup plus froid et traditionnel. Pugnace, Aldo n’a pas la moindre intention de céder le contrôle de l’empire à qui que ce soit – et certainement pas à son fils Paolo, garçon fantaisiste qui aspire à devenir styliste. Quant à Maurizio, fils timide et surprotégé de Rodolfo, il a davantage envie d’étudier le droit que de diriger un groupe de luxe mondialisé. C’est alors que Maurizio tombe amoureux de la ravissante et manipulatrice Patrizia Reggiani… J’abrège le pitch proposé par les distributeurs, tant il est long et détaillé. Pour un peu ce n’est même plus la peine d’aller voir ces 157 minutes et ce serait une erreur. Encore un coup de maître pour ce bon vieux Ridley.
Le film est tiré du livre La Saga Gucci de Sara Gay Forden paru en 2001. Je ne suis pas personnellement un grand passionné de la mode, mais, au-delà du biopic, on peut être intéressé par la dimension passionnelle de cette histoire tragique. A part la mort violente du dernier patron de Gucci en 1995 qui constitua un fait divers retentissant dans le monde entier. – D’ailleurs les descendants de la famille Gucci menacent de porter plainte contre le film l’accusant de donner une mauvaise image des membres de la famille -. Cette énorme fresque familiale a été tournée en 43 jours. Impressionnant ! Le réalisateur a dessiné le moindre plan du film, si bien qu’il est arrivé sur le plateau en étant parfaitement préparé et n’a eu besoin généralement que d’une ou deux prises pour filmer une scène. Il a également participé au montage au fur et à mesure du tournage. Certes, le film balance en permanence entre romance, saga familiale et thriller au point de ne plus savoir sur quel pied danser. Passion, jalousie, trahison, et vengeance sont au menu, mais aussi magouilles affairistes et désir de pouvoir. L’argent mène le monde, ce n’est pas une découverte et ce n’est pas cette histoire qui démentira cette évidence. Ce film est un portrait de la monstruosité dans le monde du luxe, du bling-bling et du fric roi.
A 84 ans, Ridley Scott n’a qu’à claquer du doigt pour réunir des distributions ahurissantes. C’est encore une fois le cas avec Lady Gaga, - excellente surprise -, Adam Driver, Jeremy Irons, Jared Leto, - méconnaissable – ou l’immense Al Pacino, - du solide et on n’est pas déçu -, et encore Salma Hayek, Jack Huston, et notre Camille Cottin nationale qui, après Stillwater, continue son ascension aux États-Unis et sort parfaitement son épingle du jeu. Le film est grandiose et on oubliera volontiers un certain manque de rythme pour ne retenir que le portrait cinglant et aussi glacé que la 1ère page d’une revue de mode.
kingbee49
kingbee49

41 abonnés 615 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 1 décembre 2021
Un film de monstres. La comédia dell arte qui tourne au jeu de massacre. C'est un peu ça "House of Gucci". Des personnages presque décadents et nombrilistes qui se vautrent un à un dans la chute. A l'écran, ça marche pas mal grâce au savoir faire de Ridley Scott, aux décors italiens et, bien sur, à la maestria des acteurs à commencer par une Lady Gaga qui casse la baraque et s'installe définitivement en icône cinématographique. A ses côtés, Adam Driver est impeccable, Jared Leto assume sa folie et Al Pacino, en commodore Gucci, assure grave dans un des derniers grands rôles de sa carrière. Tous ont quelque chose de jubilatoire. Sinon, faut reconnaître que c'est quand même un peu long tout ce défilé de lunettes et de sac à main, on aurait aimé que le réalisateur de Gladiator tasse un peu son affaire et pousse plus loin le curseur du cynisme. Mais au moins, il n'est toujours pas passé de mode, le gars Scott ,c'est toujours ça !!
thenewchamp
thenewchamp

45 abonnés 304 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 30 novembre 2021
Une guerre familliale pour le pouvoir la notoriete et tt ce qu il s en suit on voit ce que l être humain est prêt à faire pour toutes ces choses et ici l empire lié de Gucci. Le film est bien mais un peu long et des personnages stereotypés.
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