AlloCiné
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Certes, on peut apprécier la performance de Michelle Pfeiffer peu habituée à ce genre de rôle et qui ressemble à s'y méprendre à Isabelle Huppert, certes, le ton est original et décalé mais... Quand les américains se mettent à faire des films à la française, le même ennui s'installe irrémédiablement et on se lasse vite de ce film foutraque et sans intérêt.
Aucune intrigue, aucun sens. Le personnage principal est détestable, un monstre d'égoïsme, le portrait d'une mère indigne. Au surplus, aucun regard critique n'est porté sur les agissements de celle-ci. Contre toute attente, elle bénéficie de la bienveillance généralisée de son entourage ainsi que celle du réalisateur. L'introduction d'un élément surnaturel dans le récit lui fait perdre toute crédibilité.
Une histoire lente, des personnages un peu déjantés, de très beaux dialogues (à regarder en Anglais de préférence); de belles images; bref un univers poétique à la Boris Vian. Michelle Pfiffer est insaisissable. J’ai bien aimé.
Film résolument étrange avec des personnages étranges qui semblent flotter et ne pas vraiment pagayer leurs bateaux.
Le thème que je peux voir dans le film est l'attachement que l'un a pour quelqu'un d'autre sans explication. Une sorte d'affinité je suppose.
De cette manière, le film est très intellectuel et nous oblige à essayer de comprendre ce qui se passe et pourquoi.
Pour aider au voyage, il y a un chat avec une âme apparentée. L'âme est peut être le thème du film. Certains ont des âmes sœurs, se connectant facilement sans dire un mot. Certains sont comme l'eau et l'huile et doivent être secoués pour se mélanger correctement. Et à la fin, si une âme existe, la mort n'est pas une condamnation à mort.
Le thème que je peux voir dans le film est l'attachement que l'un a pour quelqu'un d'autre sans explication. Une sorte d'affinité je suppose.
De cette manière, le film est très intellectuel et nous oblige à essayer de comprendre ce qui se passe et pourquoi.
Pour aider au voyage, il y a un chat avec une âme apparentée. L'âme est peut être le thème du film. Certains ont des âmes sœurs, se connectant facilement sans dire un mot. Certains sont comme l'eau et l'huile et doivent être secoués pour se mélanger correctement. Et à la fin, si une âme existe, la mort n'est pas une condamnation à mort.
Joli film à la mise en scène soignée et au récit travaillé. Dommage, les longueurs et une psychologie quelque peu superficielle des personnages ne convainquent pas.
Dernière sortie pour Pfeiffer dans un Paris éteint. La gloire d'antan de la blonde et la misère d'une richesse malheureuse. Décevant pour Paris.
Très jolie fable, déroutante, mais bourrée de charme.
Un condensé d'émotions, de poésie et de non-dits et d'élégance dans lequel il ne faut pas chercher le rationnel mais qui fait émerger de sentiments contradictoires que l'on peut ressentir a l'heure des bilans.
Michelle Pfeiffer domine en reine le film, ce qui est plutôt une surprise de la part de cette actrice.
A découvrir, sans préjugé.
Un condensé d'émotions, de poésie et de non-dits et d'élégance dans lequel il ne faut pas chercher le rationnel mais qui fait émerger de sentiments contradictoires que l'on peut ressentir a l'heure des bilans.
Michelle Pfeiffer domine en reine le film, ce qui est plutôt une surprise de la part de cette actrice.
A découvrir, sans préjugé.
Apparemment non sorti en salles, ce film ne peut que déplaire à celles et à ceux qui veulent des histoires solides, de l'action, des rôles aptes à valoriser les interprètes, et faire fuir tout particulièrement les spectateurs que rebutent les films bavards et psychologiques de Woody Allen, sachant que ce film-ci, French exit (l'équivalent de notre Filer à l'anglaise ?) lorgne du début à la fin vers les thématiques et l'esthétique du créateur d'Annie Hall.
Et pourtant, avec son scénario qui semble partir dans tous les sens, ses épisodes parisiens ayant des airs de clichés, son surnaturel de pacotille, ses personnages si peu crédibles, ce petit film, léger comme du champagne s'élevant à foison des coupes et des flutes, dispense un charme étrange, presque inexplicable, eu égard à son apparente inconsistance.
Michelle Pfeiffer trouve dans ce rôle de femme finissante, au désespoir frivole, une magnifique occasion de rappeler qu'elle n'a pas vocation à ne demeurer, dans l'histoire du cinéma, que la Présidente de Tourvel.
Et pourtant, avec son scénario qui semble partir dans tous les sens, ses épisodes parisiens ayant des airs de clichés, son surnaturel de pacotille, ses personnages si peu crédibles, ce petit film, léger comme du champagne s'élevant à foison des coupes et des flutes, dispense un charme étrange, presque inexplicable, eu égard à son apparente inconsistance.
Michelle Pfeiffer trouve dans ce rôle de femme finissante, au désespoir frivole, une magnifique occasion de rappeler qu'elle n'a pas vocation à ne demeurer, dans l'histoire du cinéma, que la Présidente de Tourvel.
Une heureuse surprise. Le scénario tient sur un ticket de métro mais les personnages sont vraiment originaux et décalés, ça fait plaisir. La relation mère /fils, vrai sujet du film, prend toute sa dimension au fur et à mesure. Et voir la beauté Paris sans cacher ses problèmes (sdf, violence, déchets, absence de convivialité) , c'est rare.
L'exil à Paris d'une bourgeoise veuve et ruinée. Film foutraque qui mêle personnages bizarres et spiritisme mais qui est bien filmé, bien joué, bien sonorisé et finalement prenant. Michele Pfeiffer, sexagénaire blasée est remarquable (encore belle, si ce n'était son obsession de botoxer sa lèvre supérieure, à l'instar de Julia Roberts. Mauvais choix...).
Très déçue. Un film monopolisé par Michelle Pfeiffer en pleine crise bipolaire sans prendre des médicaments. Pourquoi delapider tous son argent et rien laisser à son fils qui lui est en pleine crises mommy et daddy Une perte de temps. La seule chose que j'ai compris était une image très défavorable mais vraie de Paris
Bon, très franchement, pas de quoi bousculer une charrette.
Au début, on pense à une comédie dramatique un peu cynique plutôt bien écrite qui sort de l’ordinaire mais en réalité on finit par vite s’ennuyer.
Mise à part le fait qu’on y retrouve inlassablement les mêmes clichés sur les français, l’intrigue traîne en longueur et Michel Feiffer semble toute seule porter le scénario sur le dos.
Au début, on pense à une comédie dramatique un peu cynique plutôt bien écrite qui sort de l’ordinaire mais en réalité on finit par vite s’ennuyer.
Mise à part le fait qu’on y retrouve inlassablement les mêmes clichés sur les français, l’intrigue traîne en longueur et Michel Feiffer semble toute seule porter le scénario sur le dos.
Magnifique. Une histoire riche de sens et de profondeur avec un regard interrogatif sur la vie menée et le temps. Ça questionne le sens, et la musique vient appuyer chaque questionnement avec juste ce qu'il faut de justesse.
Première fois de ma vie que je ressors d'une session en pleurant ma race et en devant me calmer pendant 30 minutes dans les toilettes, tant le sanglot est inarrêtable...
Première fois de ma vie que je ressors d'une session en pleurant ma race et en devant me calmer pendant 30 minutes dans les toilettes, tant le sanglot est inarrêtable...
Le premier problème majeur du film est l'absence d'une intrigue claire. Il contient plusieurs petits éléments de décor avec des dialogues absurdes et sarcastiques qui auraient pu faire l'objet d'un court métrages légèrement amusants. Pourtant aucun d'entre eux ne contribue vraiment à soutenir l'histoire et encore moins à créer un fil conducteur narratif pour maintenir l'intérêt du spectateur. Les deux personnages principaux sont mal développés et leurs personnalités ne sont jamais particulièrement originales ou uniques. Même si Frances a perdu un être cher le film n'a pas vraiment de noyau émotionnel ni de sentiment d'empathie envers ses personnages. Au contraire il y a un niveau de froideur et de manque de crédibilité même dans un contexte de comédie noire qui rappelle les tons déplaisants des films de Yorgos Lanthimos. Les tentatives d'humour surréaliste ne sont ni drôles ni même intelligentes en ce qui concerne la comédie noire il n'est ni assez drôle pour être considéré comme une comédie originale ni assez sombre pour être choquant. Les acteurs se débrouillent comme ils peuvent avec le matériel qui leur est donné mais personne n'a une grande liberté de caractère. Pour un film qui tente de paraître sophistiqué il ne laisse pas non plus beaucoup de place aux spectateurs pour réfléchir ou interpréter ce qui se cache sous sa surface narrative. Les seuls aspects du film qui sont plus ou moins bons sont les vues de Paris et encore...
Michelle Pfeifer joue une mondaine désargentée... avec son fils elle s exile dans Paris. Un Paris vu par un américain, donc pas le notre. À côté de ça malgré le jeu de Michelle l histoire ne décolle pas vraiment, ça reste assez ennuyeux, peu crédible... dommage un rdv manqué avec cette actrice.
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