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Un visiteur
5,0
Publiée le 10 juillet 2021
Un film riche un film détonnant .Des dialogues jubilatoires .Une vraie philosophie un vrai quelque chose se degage de ce film.A tous les ineptes infeconds qui ont rien compris ayez juste l'itelligence de vous taire .Vous etes juste des profonds ab ruptis sans cervelle.Merci pour ce film élégant drole inconceptuel
Michelle Pfeiffer à beau être adorable, j'ai trouvé ce film ennuyeux au possible. Tourné à Paris pour rendre le film un peu exotique pour les américains, couleurs un peu chaude pour donner un côté nostalgique, voire copier le style romantique, présenter les clichés des visions américaines de la vie française et parisienne...bref ce film avec son côté de vie désuète, n'est pas arrivé a attirer le moindre intérêt de ma part....j'attendais la fin avec impatience en espérant qu'il se passe quelque chose...eh bien non !
Comment peut on perdre son temps à faire un film aussi vide, sans rythme en espérant qu'il plaira à des spectateurs qui vont laisser couler 1h50 de leur vie pour voir ce navet... Heureusement, je n'ai supporté ce calvaire que 45 min avant de fuir.
Qu'est venue faire cette américaine, ancienne habituée des cercles mondains, avec son fils et son chat à Paris ? Désargentée et mélancolique, a t-elle une raison de vivre quand son félin, dans lequel son mari s'est réincarné, s'enfuit ? Hum, French Exit est un drôle de machin, ballotté entre le drame et l'absurde et qui, faute de choisir, s'enferre dans une atmosphère tiède et vaguement ironique. Hanté par la mort, le film stagne dans un no man's land existentialiste dans lequel le décor parisien ne joue aucune espèce de rôle. Le temps est long, nonobstant une ou deux scènes paranormales fort croquignolettes. L'ensemble est triste et fastidieux, aussi désincarné que le pauvre Lucas Hedges auquel on a sans doute intimé de jouer avec le moins d'expressivité possible. Dans ce morne paysage, il y a tout de même le bonheur de retrouver Michelle Pfeiffer, toujours impeccable et, plus brièvement, Isaach de Bankolé auquel une poignée de scènes suffisent pour imposer son charisme naturel.
Déprimant et décalé. Frances est sur la paille. Obligée de vendre ses biens et de récupérer le fruit de la vent en liquide. Elle doit s'expatrier et profiter d'un bel appartement offert à Paris. Petite visite touristique de Paris avec la place des Vosges et le canal St Martin. Le décalage vient de son excentricité à tout dilapider, à vivre avec son grand fils, à se trimballer son chat qui est censé être habité par son mari Franck. On a droit à des séances de spiritisme, à des serveurs français peu pressés de servir, aux français qui pissent dans les parcs, à des policiers chassant des clodos,... Et puis il y a tous ces personnages bizarres à quion ne s'attache pas: la voyante, le détective, la belle-fille, l'admiratrice veuve, le fils tout ramollo. Bizarre! Bof Bof!
M. Pfeiffer incarne ce personnage, Frances ambiguë et excentrique, avec sa classe habituelle. Mais ce scénario est creux et vide ; on ne croit pas au déroulement de cette histoire qui tourne au ridicule. De plus le climat est froid, sans vie, la mise en scène figée. De quoi quitter la séance prématurément! A noter, une image peu flatteuse de Paris...
Ce ressemble à du Woody Allen mais en pire. Des dialogues insipides, un scenario bancal, c'est bien triste qu'en cette période de crise, on gaspille de l'argent et de l'énergie pour une telle perte de temps.
Comme il fait plaisir de revoir la grande Michelle Pfeiffer dans un rôle de premier plan. Elle avait disparu des écrans pendant près d’une décennie et elle commençait à revenir sporadiquement dans des seconds rôles de luxe comme dans l’horrible « Mother » d’Arronofsky ou « Dark Shadows » de Tim Burton. Ici c’est un véritable festival de cette actrice de talent dans un petit film d’auteur indépendant qui lui est tout entier dédié. Un véhicule parfait pour faire son grand retour ? Oui et non. Oui d’un côté parce que la comédienne y est en tous points parfaite dans le rôle de cette bourgeoise oisive et hautaine. Elle n’en fait pas trop, elle y resplendit et nous réserve quelques bons moments de jeu, jubilatoires et réjouissants. Et non de l’autre côté tant « French Exit » s’annonçait bien mais s’avère au final trop bizarre et inabouti pour convaincre pleinement.
Le long-métrage débute plutôt bien, la première partie manie l’ironie sur la condition des bourgeois new-yorkais avec délice et on sent que l’on va voir un film d’auteur peu commun. Une fois arrivé en France, cela continue à être plaisant de manière moins systématique et puis, plus on tend vers la fin, plus notre intérêt s’amenuise pour presque laisser place à l’ennui dans un dernier tiers bordélique qui se traîne en longueur. Le problème de « French Exit », même s’il est tiré d’un roman, est qu’il n’y a pas vraiment d’histoire ou plutôt de fil narratif conducteur. Ce qui a pour effet de rendre certains passages vides lorsque les dialogues ou que les situations originales et décalées ne nous touchent pas. Ni véritable comédie, ni drame non plus, on est davantage dans une sorte de chronique existentielle à la morale pas toujours claire et qui part parfois dans tous les sens.
C’est ce qui fait la singularité du film mais aussi son talon d’Achille. Si certaines digressions iconoclastes sont amusantes comme le personnage de madame Reinhardt ou le fait que tous les personnages rencontrés se retrouvent dans le même appartement sans aucune logique, d’autres semblent plus tirées par les cheveux et se révèlent être des ruptures de ton mal négociées. L’apparition du fantastique avec la réincarnation du mari en chat et la séance de spiritisme sont, à ce titre, éloquentes. On aime ou on n’aime pas mais cela dénote fortement. Les qualités de « French Exit » se retrouvent dans les petits détails mais, en sortant de la salle, on se demande quelles étaient les intentions du réalisateur. Reste quelques scènes croustillantes et un show Pfeiffer sympathique au point d’éclipser tous ses partenaires et notamment Lucas Hedges, complètement effacé. A réserver aux fans d’étrangetés auteuristes mais c’est loin d’être pleinement convaincant.
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