Avis : Evil Dead Rise - Page 5

C’est oppressant, beaucoup d’hémoglobine, les scènes sont bien liées. J’aurais aimé avoir une suite de que devient la petite fille plus tard, ça aurait pu être sympa mais ça se regarde bien!

Pas un bon film, acteurs de seconde zone et histoire ambiance pseudo horrifique qui ne marche pas et ne fait pas peur.
Faites-vous votre propre jugement mais moi je suis sorti de la salle en titubant.

Je vous recommande ce film, c'est un mélange entre suspens, horreur ! Film très bien à aller voir au cinéma !

Une relecture du Mythe de Evil Dead, version plus moderne, toujours aussi facile au niveau de l' Histoire, mais toujours plus glauque et Trash ! Assez sympa comme divertissement assez gore !

J'ai détesté et pourtant j'aime les films d'horreur. Scénario bidon, on n'y crois pas une seconde, acteurs sans charisme, du gore juste du gore avec des répliques ridicules. Ça crie sans arrêt à tel point que ça fait mal à la tête. Un véritable navet insupportable de bêtises.

Cinquième film de la franchise, ce "Evil Dead Rise" de 2023 se révèle avec surprise comme un bon film d’horreur. Grâce à ses bonnes références en hommage aux classiques du genre, le film nous propose plus d’une heure et demie de frayeur avec une montée en puissance de l'horreur au fil du récit. Bien que le long-métrage ne tienne pas l’intrigue du siècle et qu’il manque d’équilibre, il reste appréciable pour ses moments de tension et son côté gore qui plaira à tous les amateurs de frissons. De plus, le film tient une réalisation convaincante grâce à une mise en scène sombre et sanglante, et tient des personnages simples, mais efficaces. En résumé, c’est une suite à la hauteur et fidèle à l'esprit de la franchise.
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14/20
Critique sur Evil Dead Rise (film)
Vu le 02.12.2023 sur Canal+

Le film débute avec un prologue vraiment efficace et captivant, prometteur surtout malheureusement on s'aperçoit aussitôt après que cette scène d'ouverture est gratuite et indépendante du reste du film, comme si elle était finalement tirée d'un autre projet. Dommage. On a plus de forêt ou de cabane au fond des bois et donc on n'a plus le paramètre pourtant central de l'isolement. On se demande par exemple comment les voisins n'entendent jamais rien ?! Le scénario reprend un élément important de chaque opus différent ce qui démontre un peu un manque de créativité surtout quand on constate que plusieurs passages sont clairement copiés sur des chefs d'oeuvres du genre en premier lieu desquels "Carrie" (1976) et "Shining" (1980). Le récit évolue de façon très classique, avec trop de déjà vu mais le pire reste sans doute les réactions des protagonistes, entre autre les enfants qui sont d'une maturité et/ou d'un courage inédit et hors normes vu l'horreur qui leur tombe dessus. Le film n'est spécialement râté mais il reste en vérité trop convenu, sans une once d'humour ou de dérision malgré un prologue très réussi, 2-3 jumpscares efficaces et quelques plans marquants.
Site : Selenie.fr

A part un record mondial de la quantité d’hémoglobine, Evil Dead Rise ne restera pas dans les annales. L’ambiance ne prend jamais. A part du dégoût le film ne suscite aucune émotion. Ni peur, ni angoise, ni surprise. Sans intérêt.

Enfin ! ENFIN un bon film d'horreur ! On n'était pas gâté dernièrement... "Screame 6" "M3GAN"

Dès le début, ça commence et ça met l'eau à la bouche pour la suite, ça tape fort et vite.

J'adore l'ambiance, les acteurs sont tous au top. J'adore l'ambiance, les acteurs sont tous au top. Mais surtout... Vous êtes là pour voir un massacre, du rouge partout ? Vous avez toqué à la bonne porte les gars. Les scènes d'angoisse sont super, j'ai sauté au plafond une ou deux fois, alors que je suis habitué... (ça m'a permis de tester la résistance de mon canapé.) Le démon est exceptionnel aussi, j'adore, toutes les scènes sont géniales !

Je ne peux pas le comparer aux précédents cependant, car je les ai vues il y a maintenant plusieurs années... Mais j'ai des bons souvenirs. (d'ailleurs, ça donne envie de tous les revoir pour se rafraîchir la mémoire.)

Franchement, c'est pour moi l'un des meilleurs films d'horreur que j'ai vu depuis un petit moment maintenant.

Je suis juste UN peu déçu de la fin.

Sans intérêt. C'est que du revu. Une histoire vide avec des personnages mal écrits. Rien n'est effrayant. Le déluge de sang et les quelques scènes violentes n'y changerons pas grand-chose.

Exclusivement réservé aux amateurs du genre!!!!!!!!!!! sinon vous allez sortir directement!!

Pour ma par après Terrifier2 celui_ci est 1 chef d'oeuvre absolu du début a la fin l 'atmosphère est irrespirable, glauque, gore bref tout ce que je recherche.


J'ai cependant 1 grande question : comment arrivent'ils a faire jouer la superbe petite fille dans ce scénario?? sans la traumatiser pour le restant de ses jours??!!! Quelqu'un a t'il la réponse!!????

En attendant allez y vous ne le regretterez pas!!

Beth va rendre visite à sœur Ellie qu’elle n’a pas vu depuis longtemps. Mais leurs retrouvailles virent au cauchemar lorsqu’une entité maléfique refait surface après avoir été libérée d’un mystérieux livre situé dans le sous-sol de l’immeuble…

10ans nous sépare du mirifique remake (2013) de l’uruguayen Fede Alvarez. Sam Raimi et Bruce Campbell sont toujours présents (en tant que producteurs exécutifs) et la réalisation a cette fois-ci été confiée à l’irlandais Lee Cronin. Après avoir quitté les bois pour le Moyen-Âge (Evil Dead 3), on quitte à nouveau la cabane perdue au milieu de la forêt pour un cadre bien plus urbain, à savoir Los Angeles.

Evil Dead Rise (2023) n’est ni un remake et encore moins une suite, disons plutôt un spin-off où cette-fois-ci, l’origine du mal provient non pas d’un magnétophone mais d’une platine vinyle (spoiler : dans le prochain opus, ce sera un lecteur cassette :ironie:). Il n’y a aucune comparaison à faire avec les précédents opus, la trilogie originale était fauchée et cartoonesque et le remake prodigieusement jusqu’au-boutiste et purement jouissif.

Le film de Lee Cronin s’avère finalement un poil trop gentillet, on en attendait d’avantage, ayant été copieusement gâté avec le remake. Le réalisateur semble plutôt privilégier les clins d’œil et les hommages plutôt que de faire dans l’originalité, c’est ainsi qu’au détour d’une scène, on jurerait revivre la séquence mythique de l’ascenseur dans Shining (1980). A noter aussi l’utilisation d’une tronçonneuse (visiblement, c’est plus courant qu’on ne le pense de trouver ce genre d’outil dans un parking à Los Angeles, sans parler du broyeur à végétaux).

Le film ne réinvente rien et ne renouvelle pas non plus la saga. Les moments gores se comptent sur les doigts de la main mais se savoure comme il se doit (bien que l’utilisation de la râpe à fromage s’avère sous-exploitée). Côté scénario, on aurait préféré tout autre chose, puisqu’ici le huis clos de la cabane dans les bois se retrouve transposé dans un appartement spoiler: (voir même un immeuble, puisque, le hasard fait bien les choses, ni l’ascenseur, ni l’escalier de secours ne seront utilisables).
Quand aux autres locataires situés au même étage, spoiler: ils seront tous rayés de la carte en une fraction de seconde le temps d’une séquence pour le moins expéditive.
Côté casting, Alyssa Sutherland (mannequin australienne) tire son épingle du jeu avec ses faux airs d’Olivia Wilde, en mère possédée et démoniaque.

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La saga horrifique (voire comique parfois) culte des années 80, « Evil Dead » a connu l’un des rares remake/reboot réussis du cinéma d’horreur il y a dix ans tout pile. Et ce « Evil Dead » de 2103 avait en effet révélé l’excellent cinéaste uruguayen Fede Alvarez qui nous a offert depuis le tout aussi magistral « Don’t breathe ». Une décennie plus tard, la Warner décide de faire marcher à nouveau la planche à billets (puisqu’on sait que les films d’horreur coûtent en général peu mais rapportent beaucoup) et de réitérer l’opération. Ils ont déniché un cinéaste tout aussi inconnu pour le moment, Lee Cronin, mais tout aussi prometteur, tant cette nouvelle itération (davantage qu’un remake puisque le concept de cette malédiction est inépuisable) est pareillement réussie. Intense, désespérément gore et sans concession en plus d’être généreux, ce « Evil Dead Rise » satisfera autant les amateurs de gore que la plupart des fans de la saga initiale. Manque juste l’humour, hormis un ou deux délires, mais ce n’est pas plus mal : ce que la saga perd en pantalonnade elle le gagne dans le poisseux et le malsain.

On pourra reprocher un prologue et un épilogue parfaitement inutiles censés raccorder les bouts avec le précédent. Pour le reste, il faut se préparer à une plongée jusqu’au-boutiste au sein des forces de l’enfer. Néanmoins, « Evil Dead Rise » ne se limite pas qu’à cela. Cronin prend le temps non seulement d’exposer son script (certes pas bien épais) mais surtout ses personnages, tout comme il instaure une atmosphère délétère avec unité spatiale et temporelle du meilleur effet. Enfermer la narration dans le huis-clos d’un immeuble citadin de Los Angeles change un peu la donne des maisons isolées en pleine campagne ou assimilé. Ce vieux building qu’un tremblement de terre et une coupure de courant isole est optimisé en tous points. Un décor qui donne un cachet visuel original laissant à Cronin exploser ses idées de mise en scène dont on retiendra surtout le jeu malin avec l’œil de bœuf. Il est aussi très doué pour les travellings et mettre en scène l’angoisse.

Quant aux personnages, on ne peut pas dire qu’ils soient toujours bien écrits, crédibles et bien joués dans les films d’horreur. Et bien ici, de prendre une famille monoparentale et une tante comme personnages principaux, sans avoir peur de les malmener, est plutôt osé, rare et méritoire. On s’attache à eux et c’est pourquoi on a encore plus de mal à les voir subir tous ces sévices diaboliques. Alison Sutherland avait le physique pour s’acquitter d’une possession maléfique et Lily Sullivan tient le rôle principal avec un bel aplomb tandis que les enfants sont tous excellents. Notons un impressionnant final, certes très référencé avec « Shinning » pour l’ascenseur sanglant et « The Thing » pour cette bestiole finale horrible (le summum de l’écœurement pour cet « Evil Dead Rise ») qui nous hantera longtemps. Et hormis une ou deux invraisemblances ou scènes gores de trop (l’œil avalé, c’était un peu ridicule), on doit louer l’inventivité de Cronin pour les délires gores avec toutes sorte d’outils et de sévices possibles. Une heure et demie de cauchemar éveillé assumé, réussi et extrême qui fera date comme le précédent et met beaucoup de films du genre à l’amende. Et félicitations au responsable des maquillages et trucages gores, il y avait de l’ouvrage et c’est un travail de maître!

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La bande annonce me laissait craindre le pire, enfin juste un film d horreur lambda avec une possédée qui n a rien d original. Et bien ce n est pas le cas. Si comme le remake il délaisse le slapstick et la comédie d horreur il s avère suffisamment généreux en gore pour satisfaire l amateur. Je lui reprocherai une scène d introduction un peu hors de propos et des clins d œil un peu trop appuyés aux précédents films et à plusieurs classiques de l horreur. C est dans son originalité et ses nouveautés qu Evil Dead Rise s en sort le mieux. On trouve de bonnes idées, au scénario et à la mise en scène avec de belles (enfin horribles surprises). J ai apprécié le fait de trouver des personnages construits et bien caractérisés (ce qui est une nouveauté dans la saga), l impression rapidement donnée que chacun est en danger. Après leur mise en place c est une foire au gore et à l hémoglobine qui ne fait pas tache dans la saga, même si certains passages auraient pu pousser plus loin le délire (ha, la râpe à fromage…). Bref un film qui souffre plus de son héritage que de ses propres tares et finalement un bon moment pour les gens qui aiment le cinéma qui en met plein les murs.

Un huit-clos horrifique bien gore mais sans aucune tension, malgré quelques effets spéciaux efficaces.