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    Autant en emporte le vent
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    347 critiques spectateurs

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    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    215 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mai 2008
    Pétri de romanesque et bercé de romantisme, «Gone with the wind» (USA, 1959) de George Cukor et Victor Fleming présente les formes idéales pour la matrice du film épique sentimental. L’immensité des décors, magnifiés par un Technicolor flamboyant, fait écho à la musique mickey-mousing de Max Steiner. Parsemé de déictiques pour ne pas perdre le spectateur, le film s’ouvre avec une ambition, celle sempiternelle de répercuter les effets de la grande Histoire sur la petite, avant de s’achever sur la médiocre décadence d’une petite bourgeoise égoïste. Ce changement tangible s’explique par l’abandon de Cukor en cours de production au profit de Fleming. Pour mieux percevoir l’insupportable teneur de l’intrigue et de ses protagonistes fantasques, il faut voir le remake non-avoué que François Ozon en a fait avec «Angel» (France, 2006). L’écrivain arrogante d’Ozon n’est autre que l’héritière de la vaniteuse Scarlett O’Hara. Les deux héroïnes partagent cette même hargne hautaine. Scarlett O’Hara, même encore dans sa solitude folle, délaissée au final par son ultime époux, s’octroie le plaisir d’un rêve sans fin, se réfugiant une dernière fois dans les landes chatoyantes de ses souvenirs. A s’y pencher de plus près, le film-fleuve produit par Selznick n’est autre qu’un plateau immense au-dessus duquel cours innocemment une petite peste bourgeoise sans ne rien voir du mal qui l’entoure. Le plus grand échec du film et de préférer au point de vue de ce mal perdu de vue, celui aveugle de cette enfant trop gâtée. Les poncifs du conte sont présents pour mener cette belle danse amaurose, où chacun n’est que l’outil de l’incroyable maîtresse O’Hara. L’hostilité du contenu renvoie l’intérêt du film à la joliesse des images. Pour peu, Selznick invoquerait l’impressionnisme d’un Monet. Mais le glabre froid qui recouvre les images font glisser notre regard, abolissant toute communion avec l’œuvre. Rares sont les épopées aussi velléitaires.
    this is my movies
    this is my movies

    645 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2016
    Si c'est indéniablement une prouesse technique et logistique, le film ne vaut pas vraiment le détour, si ce n'est pour les cinéphiles pur et dur. La première partie qui se déroule durant la guerre est très intéressante et permet de donner un peu de rythme au film qui bien souvent s'englue dans des intrigues amoureuses un peu agaçantes (surtout Scarlet, bien interprété par V. Leigh mais le personnage m'a plus exaspéré que passionné). La deuxième partie est moins intéressante et ça commence vraiment à tirer un peu inutilement dans sa dernière heure. La musique est comme trop souvent pour l'époque largement envahissante et surligne trop chaque scène. Tous les acteurs sont excellents et la mise en scène réserve quelques moments grandioses avec quelques plans d'une beauté époustouflante (les couchers de soleil en Technicolor, y a pas à dire, ça en jette) et des images fortes (le mouroir à ciel ouvert d'Atlanta, l'incendie). Long, longuet, un rythme trop mou et une idéologie qui me laisse perplexe, pas un chef d'oeuvre mais une oeuvre hollywoodienne dans les canons de l'époque. D'autres critiques sur
    ygor parizel
    ygor parizel

    211 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2012
    Ce classique du cinéma a très mal vieillit, le rapport entre les maîtres et les esclaves sont absolument grotesque (éviter la version française une fois de plus). Je ne sais pas si Victor Fleming regrette cette période de l'esclavage mais on dirait bien (beaucoup de gens pensaient sûrement ça à l'époque). Ou sinon les points forts des superbes décors, c'est pas trop mal filmer et je trouve pas que les acteurs sont géniaux.
    SebD31
    SebD31

    78 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2008
    Une fresque flamboyante unique en son genre, qui retrace la gloire, la démesure et enfin la chute du "Sud" des Etats-Unis. Les acteurs sont tous épatants, les premiers comme les seconds rôles. Une merveille du septième art. Incontournable!
    Jérôme H
    Jérôme H

    147 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 avril 2008
    Une fresque romantique exceptionnelle avec des acteurs magnifiquement envoutés.
    Une des merveilles du cinémas américains dont on sort bouleversé.
    Rien d'autre à dire que de le recommandé vivement à toute personne se disant cinéphile.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 mars 2008
    4H de film, c'est long, mais c'est beau!Robes de taffetas, premiers films en couleur assez réussi pour l'époque, les héroes nous transportent dans une époque de guerres, d'esclavage mais tellement romanesque. Je le revoit rarement car il est très long mais c'est LE grand classique!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mars 2008
    Chef d'oeuvre du cinéma classique,Gone With The Wind atteint une ampleur dramatique et visuelle indépassable,agrémentée des interprétations de deux géants du cinéma américain: Clark Gable et Vivian Leigh.
    falex
    falex

    9 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mars 2008
    Un classique parmi les classiques à voir pour son scénario qui gagne en intensité au fil des minutes, son aspect grand spectacle (musiques, décors...) et surtout son interprétation magnifique symbolisée par le couple vivien Leigh/ Clark Gable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 février 2008
    Un film splendide, autant pas sa musique et ses paysages que par les acteurs qui jouent divinement bien. L'histoire est magnifique et c'est sans aucun doute, l'une des plus belles histoires d'amour du cinéma. Si vous ne l'avez pas vu, vous savez ce qu'il vous reste à faire !!
    Peichan2
    Peichan2

    51 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 février 2008
    Tout simplement fabuleux. Une des meilleures histoires d'amour de toute l'histoire du cinema. Si vous n'avez jamais vu ce film culte, vous savez ce qu'il vous reste à faire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 février 2008
    Alors la bravo c'est un grand classique.L'émotion l'emporte,en plus c'est un hit au box office français.Je n'aimepas trop ces vieux films mais j'ai trouvé l'éxception.Pour l'époque,c'est du grand art!Le cinema d'aujourd'hui n'a plus rien a voir...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 février 2008
    Une fresque grandiose.
    Niko0982
    Niko0982

    65 abonnés 1 331 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 juin 2009
    Une perle. On trouve de tout dans ce film : de l'action, de la romance, de l'humour, ... Clark Gable et Vivien Leigh forment un des plus beaux couples de l'histoire du cinéma. Un film grandiose qu'on est pas près d'oublier.
    NeoLain
    NeoLain

    4 408 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 janvier 2008
    Cette grande fresque sudiste reste toujours aussi passionnante à voir et à revoir et les quelque 3 heures 45 de projection passent bien rapidement. il symbolise à lui seul la splendeur d’Hollywood : on reste ébloui par le grand spectacle qu’il nous offre et on se laisse volontiers porter par son souffle épique. Le couple formé par Vivien Leigh et Clark Gable reste toujours aussi électrique et fascinant. Trois années de préparation et un budget colossal furent nécessaires pour arriver à un résultat si techniquement parfait. Le film n’a pas pris une ride malgré quelques rares passages qui pourront paraître un peu mièvres à nos yeux modernes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 novembre 2007
    Autant le dire d'emblée, "Autant en emporte le vent" (1950) est une grosse production Hollywoodienne qui se démarque par sa grandeur technique plus que pour son expérimentation sensorielle. Car il est vrai l'image est belle, peut-être trop, à l'image de ce couché de soleil récurrent qui renvoie aux clichés cartes postales. Car voilà tout, c'est une carte postale cinématographique, au même titre que "Ben Hur" et "Titanic", avec le rythme plaisant en moins. Mise à part dans la seconde partie où l'intrigue à la dramatique montante nous laisse émerveillé d'autant qu'il est excitant de voir la bourgeoisie Georgienne et Scarlett O'Hara, désagréable à souhait, en pleine décadence. Parlons-en de Scarlett O'Hara : Une interprétation signée Vivien Leigh, un rôle d'actrice surprenant tant on s'éprend à adorer la détester. Au même titre que Clark Gable, plus cabotin, qui réserve son lot de comportements machistes et répugnants. Là où Victor Fleming réussit merveilleusement c'est dans le chemin que le film prend lorsqu'il évoque la douloureuse destinée de ses personnages durant le conflit historique de la guerre de Sécession, de même que sur la construction évidemment difficile d'une femme dont l'égocentricité et la méchanceté grandissante sera payé par un destin éminnement malheureux. En revanche, tout n'est pas parfait. La scène de danse n'arrive pas à la cheville d'une réalisation Visconti, la scène festive n'atteint guère une séquence à la Cimino, une dramaturgie bien en dessous d'un certain "Barry Lyndon" de Kubrick et un formalisme dans le traitement qui ferait sourire un Bergman. Et avons-le, certaines séquences nous accablent d'ennui.
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