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Alain Z
77 abonnés
336 critiques
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5,0
Publiée le 2 juin 2008
Magnifique saga qui retrace le destin de Scarlett et de Rett Butler sur fond de guerre de sécession. Une flamboyante chronique des États-Unis qui réunis les grands talents de l'époque au service d'une histoire d'amour, de passion et de drame qui donne un film une aura de chef d’œuvre intemporel. Un classique, une référence absolu du cinéma, du très grand cinéma romanesque, mélodramatique qui enrichit le cinéma et transporte le spectateur durant tout le film pour aboutir à une fin tragique mais inéluctable sur l'amour fou et éperdue. J'ai du mal à concevoir que quelques "jeunes" amateurs de cinéma trouve ce film mauvais ou le traite de navet !!!! Même si le film est loin d'être parfait, succombe à quelques longueurs, il n'en reste pas moins à mon humble avis, un film incontournable qui doit être traité avec respect et humilité tout comme des films précurseurs tels: Metropolis, Ben Hur, Les 10 Commandements ou Naissance d'une nation, .....
Ce film est l'un des plus grands chef d'oeuvre du cinéma hollywoodien ! Tous les acteurs, sauf peut-etre Leslie Howard ( Ashley Wilkes ), sont géniaux ! Les reconstitutions tel que l'incendie d'Atlanta ou la scène des blessés de Gettysburg sont superbes ! Une histoire d'amour tragique, un grand Clark Gable, du suspens même plus de soixante ans après ! Que dire, à mon avis rien de plus ! Ce film m'a fait entrée à dix ans dans le monde du cinéma, je n'ai plus eu envie d'en ressortir ( pour tous les fans de Vivien Leigh, voyez Lady Hamilton : absolument magnifique )
Très belle fresque cinématographique à la hauteur de sa réputation, dans le bon sens du terme. Avant de le voir, j'étais réfractaire, pensant qu'il serait longuet et gnan gnan, mais ce n'est pas le cas, les acteurs ont tous une vraie personnalité, sont crédibles, bref très biens. L'histoire reprend tous les thèmes chers au romantisme. J'étais très étonné également qu'il est été réalisé en 39, il devait être en avance sur son temps à l'époque. Pour ma part, je trouve le personnage de Scarlett très énervant, mais ce n'est qu'un jugement personnel, et puis elle gagne en maturité au fur et à mesure.
Pas mon film préféré mais il faut l'apprecier à sa juste valeur. Des acteurs sublimes, irréprochables, dont le jeu est excellent. Tout est bien interprêté et humour est au rendez-vous. Des images grandioses, pour un film de son époque ... 1950 quand même pour des couleurs et une qualité de l'image aussi nettes. Un film culte. Un grand. Du grand spectacle. Du vrai art.
Que dire.. A mon avis tout a déjà été écrit sur ce film... La semaine dernière il était diffusé pour la énième fois sur la 3 et je n'ai pas pu résister à le regarder pour la 10ème fois au moins. J'adore ce film , pour l'histoire bien sûr mais surtout pour ses comédiens, hors pairs, de vrais stars de Hollywood qui en imposent véritablement!!!!! Un vrai chef d'œuvre du cinéma, qui 60 ans après sa sortie connait toujours un vif succès , rares sont les films qui peuvent se vanter d'une telle longévité!!!!!! A voir, revoir et re-revoir!!!
Un film magnifique, avec d'excellents acteurs et aussi quelques scènes extraordinaires, surtout si l'on considère qu'il a été tourné il y a 70 ans, mais qui traîne parfois en longueur, surtout vers la fin.
L'épatant Clark Gable n'est malheureusement pas assez exploité, au profit d'une omniprésente Vivien Leigh, rapidement execrable. Restent de très beaux effets visuels, qui ont du coûter une somme considérable, pour l'époque, on l'imagine, et un scénario joliment évolutif.
Pétri de romanesque et bercé de romantisme, «Gone with the wind» (USA, 1959) de George Cukor et Victor Fleming présente les formes idéales pour la matrice du film épique sentimental. L’immensité des décors, magnifiés par un Technicolor flamboyant, fait écho à la musique mickey-mousing de Max Steiner. Parsemé de déictiques pour ne pas perdre le spectateur, le film s’ouvre avec une ambition, celle sempiternelle de répercuter les effets de la grande Histoire sur la petite, avant de s’achever sur la médiocre décadence d’une petite bourgeoise égoïste. Ce changement tangible s’explique par l’abandon de Cukor en cours de production au profit de Fleming. Pour mieux percevoir l’insupportable teneur de l’intrigue et de ses protagonistes fantasques, il faut voir le remake non-avoué que François Ozon en a fait avec «Angel» (France, 2006). L’écrivain arrogante d’Ozon n’est autre que l’héritière de la vaniteuse Scarlett O’Hara. Les deux héroïnes partagent cette même hargne hautaine. Scarlett O’Hara, même encore dans sa solitude folle, délaissée au final par son ultime époux, s’octroie le plaisir d’un rêve sans fin, se réfugiant une dernière fois dans les landes chatoyantes de ses souvenirs. A s’y pencher de plus près, le film-fleuve produit par Selznick n’est autre qu’un plateau immense au-dessus duquel cours innocemment une petite peste bourgeoise sans ne rien voir du mal qui l’entoure. Le plus grand échec du film et de préférer au point de vue de ce mal perdu de vue, celui aveugle de cette enfant trop gâtée. Les poncifs du conte sont présents pour mener cette belle danse amaurose, où chacun n’est que l’outil de l’incroyable maîtresse O’Hara. L’hostilité du contenu renvoie l’intérêt du film à la joliesse des images. Pour peu, Selznick invoquerait l’impressionnisme d’un Monet. Mais le glabre froid qui recouvre les images font glisser notre regard, abolissant toute communion avec l’œuvre. Rares sont les épopées aussi velléitaires.
Si c'est indéniablement une prouesse technique et logistique, le film ne vaut pas vraiment le détour, si ce n'est pour les cinéphiles pur et dur. La première partie qui se déroule durant la guerre est très intéressante et permet de donner un peu de rythme au film qui bien souvent s'englue dans des intrigues amoureuses un peu agaçantes (surtout Scarlet, bien interprété par V. Leigh mais le personnage m'a plus exaspéré que passionné). La deuxième partie est moins intéressante et ça commence vraiment à tirer un peu inutilement dans sa dernière heure. La musique est comme trop souvent pour l'époque largement envahissante et surligne trop chaque scène. Tous les acteurs sont excellents et la mise en scène réserve quelques moments grandioses avec quelques plans d'une beauté époustouflante (les couchers de soleil en Technicolor, y a pas à dire, ça en jette) et des images fortes (le mouroir à ciel ouvert d'Atlanta, l'incendie). Long, longuet, un rythme trop mou et une idéologie qui me laisse perplexe, pas un chef d'oeuvre mais une oeuvre hollywoodienne dans les canons de l'époque. D'autres critiques sur
Ce classique du cinéma a très mal vieillit, le rapport entre les maîtres et les esclaves sont absolument grotesque (éviter la version française une fois de plus). Je ne sais pas si Victor Fleming regrette cette période de l'esclavage mais on dirait bien (beaucoup de gens pensaient sûrement ça à l'époque). Ou sinon les points forts des superbes décors, c'est pas trop mal filmer et je trouve pas que les acteurs sont géniaux.
Une fresque flamboyante unique en son genre, qui retrace la gloire, la démesure et enfin la chute du "Sud" des Etats-Unis. Les acteurs sont tous épatants, les premiers comme les seconds rôles. Une merveille du septième art. Incontournable!
Une fresque romantique exceptionnelle avec des acteurs magnifiquement envoutés. Une des merveilles du cinémas américains dont on sort bouleversé. Rien d'autre à dire que de le recommandé vivement à toute personne se disant cinéphile.
4H de film, c'est long, mais c'est beau!Robes de taffetas, premiers films en couleur assez réussi pour l'époque, les héroes nous transportent dans une époque de guerres, d'esclavage mais tellement romanesque. Je le revoit rarement car il est très long mais c'est LE grand classique!
Chef d'oeuvre du cinéma classique,Gone With The Wind atteint une ampleur dramatique et visuelle indépassable,agrémentée des interprétations de deux géants du cinéma américain: Clark Gable et Vivian Leigh.
Un classique parmi les classiques à voir pour son scénario qui gagne en intensité au fil des minutes, son aspect grand spectacle (musiques, décors...) et surtout son interprétation magnifique symbolisée par le couple vivien Leigh/ Clark Gable.