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    After Blue (Paradis sale)
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    39 critiques spectateurs

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    Aubert T.
    Aubert T.

    126 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 février 2022
    L'image a beau être toujours trouble, le spectateur que je suis n'a pas été troublé un seul instant, mais plutôt assommé par ce récit poussif qui n'en finit pas, cet érotisme désuet et la symbolique sensuelle soulignée à chaque plan.
    De la pure masturbation esthétisante.
    soulman
    soulman

    92 abonnés 1 227 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 février 2022
    Comme dans "Les garçons sauvages", Mandico poursuit ses recherches esthétiques, mêlées de culture pop et empreintes d'une sensualité crasseuse. Comme dans son long-métrage précédent, on est ici partagé entre la sidération, devant des plans magnifiques et des compositions chaudes et esthétisantes, et l'agacement engendré par des dialogues insipides et un scénario répétitif. C'est dommage, car on voit ce que le cinéaste pourrait atteindre (la mise en images d'un pan de la BD fantastique des années 70 mâtinée d'érotisme, croisement entre Pratt, Bilal et Manara), mais, encore une fois, ça ne prend pas... En revanche, Elina Löwensohn et Vimala Pons sont remarquables et toujours aussi séduisantes.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    208 abonnés 1 917 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 septembre 2022
    Décors de carton pâte qu'on aurait refusés dans les années cinquante, images vaguement psychédéliques du même niveau, costumes ridicules qui semblent sortir tout droit d'une friperie, dialogues ampoulés qui sonnent archi faux, tout est minable dans ce film. Un mystère : comment des critiques de grands médias peuvent-ils l'encenser ?
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    382 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2021
    C’est un long film de science-fiction qui oscille entre horreur et outrances réalisé comme un western psychédélique. Certes, les décors fantasmagoriques et les images sont très tape à l’œil mais tout cela est vain et le film n’est pas digne d’intérêt.

    Bernard CORIC
    Morgan Blaise
    Morgan Blaise

    3 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 janvier 2022
    Comme le décrit le réalisateur, il s'agit d'une fiction erotico-héroïque.
    Les décors semblent être de papier mâché et les costumes sont sûrement achetés à la foire-fouille locale. Les dialogues sont mauvais et les scènes grotesques. On retiendra le rot qui survient entre deux phrases d'un dialogue, sans que l'on en comprenne l'utilité; ou encore le monstre à tête creusé.
    Film réalisé sous crack, qui ne peut se regarder que sous crack.
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 février 2022
    Après que la Terre est devenue inhabitable, ses habitants ont migré dans une autre planète, After Blue. Seules les femmes survivent à cet exode et s’organisent en micro-communautés autosuffisantes.
    La jeune Roxy (Paula Luna) est une adolescente renfermée qui un jour, sur une plage, sauve Kate Bush (Agata Buzek), une femme condamnée à être enterrée vivante. Roxy et sa mère (Elina Löwensohn) sont tenues pour responsables de l’élargissement de cette criminelle et sommées de la retrouver et de la liquider malgré leur manque d’expérience des armes. C’est le début pour elles d’une longue quête ponctuée de nombreuses rencontres.

    Il y a quatre ans sortait "Les Garçons sauvages", le premier long métrage de Bertrand Mandico. Je l’avais détesté. J’en faisais à l’époque une critique assassine, tout en reconnaissant l’originalité du cinéma de ce cinéaste transgressif venu du court et du moyen métrage.

    Je pourrais presque la recopier au mot près. Avec une circonstance aggravante. Cette fois-ci, Mandico n’a pas le privilège de l’originalité. Il bégaie le même cinéma que celui que "Les Garçons sauvages" nous avait fait découvrir. La même esthétique kitsch filmée à grands coups de fumigènes où l’on retrouve la même créature monstrueuse que dans Ultra pulpe. Le même métissage de science-fiction, de fantasy, de roman d’aventures cette fois-ci mâtiné de western. Le même féminisme radical et, en même temps, malaisant : rassembler un casting exclusivement féminin et filmer ses actrices à poil ("Le Monde", qui fait rarement preuve d’un tel humour, titre sur « La Planète des seins ») est-il la marque d’un féministe engagé ou d’un vieux voyeur libidineux ? Les mêmes provocations gratuites (des seins éjaculent) qui lui valent une interdiction aux moins de douze ans. Les mêmes actrices (Elina Löwensohn, la compagne de Mandico à la ville, Vimala Pons, Nathalie Richard) aux voix postsynchronisées. Les mêmes dialogues bâclés. Un scénario tout aussi indigent dont on comprend vite qu’il n’est qu’un prétexte à une succession de saynètes.

    Comme dans "Les Garçons sauvages", Mandico nous propose de nous emmener dans un trip hypnotique qui n’appartient qu’à lui. Heureux ceux qui s’y laissent embarquer. Au vu des spectateurs qui ont quitté le film en cours de séance, étouffant un fou rire ou une injure rageuse, il est à craindre que soient plus nombreux ceux qui, comme moi, seront restés sur le bord du chemin.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    232 abonnés 1 013 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 mars 2022
    Bertrand Mandico nous propose avec After Blue, paradis sale du pure Bertrand Mandico : tout est trop. Trop long, trop de décors, trop de costumes, trop de maquillages. A vouloir briser les codes et montrer un monde différent, il frôle la caricature et l’overdose. Dans ce nouveau film, les femmes seules subsistent dans un monde fantastique où Roxy et Zora sont missionnées d’éliminer Kate Bush, une terrible criminelle…
    Aleister A.
    Aleister A.

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 janvier 2022
    Je voulais me laisser tenté par curiosité, étant ouvert au Cinéma expérimentale, résultat ?

    Aucun fond que de la forme, et même cette forme et aussi laide que repoussante.
    Je résumerais donc ce moment comme une longue torture, qui je vous préviens sera aussi lente et insipide qu’Interminable !

    En bref :
    "Un long cauchemar spasmodique qui donne la nausée par la stupidité de son (non) scénario, car oui SPOILER; IL N'Y EN AUCUN, et de part sa réalisation Nanardesque totalement abyssale, ou les rires deviennent nerveux, petit bonus pour les jeux catastrophique est ridiculement grotesque (et vulgaire ! C'est à noté) des actrices; qui je pense, ne comprennent pas elles-mêmes ce qu'elles sont censés jouer"

    En Bonus : Un hommage à la fin insupportable et irrecevable de par la nullité de ce film au Génial eXistenz (et donc forcément pour les connaisseurs du genre, à Videodrome), MAIS n'est PAS DAVID CRONENBERG qui veux... LOIN LOIIIIIIIN DE Là.

    D'habitude j'attends la fin du générique pour "m'imprégner de l'essence du film" mais puisqu'il n'y en avait tout simplement pas j'ai rompu ce rituel personnel pour cette fois....
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 février 2022
    Ce serait bien exagéré de prétendre qu'il s'agit d'un film. Il n'y a rien, pas de scénario, aucun dialogue cohérent mais des voix délirantes d'un niveau sonore insupportable, un décor fait de brume et de carton-pâte...
    Bref, au bout d'une heure environ, j'ai dû quitter la salle.
    MIKIKI95
    MIKIKI95

    5 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 septembre 2022
    Un réalisateur sans argent et sans talent. Décors et costumes identiques aux films de serie Z des années 60. Dialogues pompeux. Scénarios très léger. Femmes à poils (seins nus). Aucune transpositon aux problématiques actuelles. Aimer metal hurlant, vouloir faire pareil mais sans en comprendre le sel et surtout sans talent. En plus fauché... Pauvre France...
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    108 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mars 2022
    Deuxième long-métrage de Bertrand Mandico après Les garçons sauvages, After Blue nous embarque sur une planète imaginaire, peuplée seulement de femmes, où les renégates ont des noms de chanteuse britannique (Kate Bush) et les armes à feu des noms de maisons de luxe (Gucci, Paul Smith, Louis Vuitton). Imposant un univers complètement artificiel, à la fois pop, kitsch, artisanal, sombre et oppressant, Mandico trouve un fragile équilibre sur une ligne de crête permanente, quelque part entre le sublime et le ridicule le plus absolu. Ce néo-western féminin et expérimental à l’érotisme omniprésent nous emmène dans des contrées visqueuses, embrumées, pailletées et s’il souffre de séquences plus faibles, il constitue d’abord et surtout un superbe témoignage de ce que le cinéma français contemporain peut offrir de plus singulier.
    Mr T.
    Mr T.

    4 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 août 2022
    ce n'est pas un film, c'est une bouillie indigeste d'images troubles et qui se veulent psychédéliques, avec des dialogues insipides et des actrices qui le sont tout autant, sans parler des décors et des costumes. Les effets kitch c'est bien, mais trop c'est trop.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 351 abonnés 7 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 septembre 2021
    Roxy & Zora (une adolescente et sa mère) sont condamnées par leur communauté à traquer une criminelle et à l’éliminer. Ce film raconte leur quête, entre onirisme et fantasmagorie.

    Dans la droite lignée de ses précédentes réalisations, Bertrand Mandico retrouve ses actrices fétiches, à commencer par la roumaine Elina Löwensohn et la française Vimala Pons, aux côtés d’un casting à 99% féminin et d’une petite nouvelle, en la personne de Paula Luna (l’héroïne).

    After Blue / Paradis sale (2021) est une épopée, une aventure singulière, oscillant entre la science-fiction et le western féministe (où les Winchesters se font appelées Chanel & Gucci). Une œuvre barrée et extravagantes, dans le même registre que son court-métrage Notre Dame des Hormones (2014) et moins accessible au grand public que ne l’était Les Garçons sauvages (2018).

    Un univers très dense, comme à son habitude, Bertrand Mandico n’est pas avare, les couleurs sont intenses, les décors kitsch et les corps sont pailletés (quand ils ne sont pas couverts de poils). Un voyage déroutant qui ne fera pas l’unanimité et qui surtout, risque d’en décontenancer plus d’un, surtout sur une durée aussi excessive.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 janvier 2022
    After Blue ou Paradis sale, appelez-le comme vous voulez, le dernier délire de Bertrand Mandico aurait pu aussi avoir comme titre Il faut tuer Kate Bush mais la susdite n'aurait peut-être pas apprécié. Le film va être adoré par ceux qui se passionnent pour un cinéma "merveilleux", en dehors des sentiers battus, et haï par d'autres, qui n'y verront que poudre de perlimpinpin aux yeux, et cela n'a rien à voir avec le fait d'être cinéphile ou non,mais plutôt avec ses propres sensibilité et attentes. Quoi qu'il en soit, visuellement, After Blue est affriolant de par sa créativité malgré la présence de quelques créatures gélatineuses (pourquoi faut-il en SF que les monstres soient gluants à ce point ?) surtout si l'on est conscient que le métrage a été tourné pour la plus grande part sur le plateau de Millevaches ! En revanche, côté scénario, on n'atteint pas des prodiges d'originalité dans un récit de chasse à la femme tueuse qui n'est qu'un prétexte à faire voisiner plusieurs genres : SF, bien sûr, mais aussi western et érotisme lesbien soft, sur une planète peuplée à 100% (ou presque) par la gent féminine. Quitte à négliger l'aspect narratif, le film aurait pu se passer de ce duo de voix off qui vient expliquer de lourde façon les tenants et les aboutissants de cette course à la poursuite de la dénommée Kate Bush. Par ailleurs, retrancher trente minutes aurait aussi permis de donner davantage de rythme sans perdre beaucoup de l'intrigue et de ses digressions. Dans ce film dont le réalisateur est la star principale, deux comédiennes tirent magnifiquement leur épingle du jeu, Élina Löwensohn et Vimala Pons, la seconde en particulier, dont le charisme sensuel sidère.
    didbail
    didbail

    31 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 octobre 2022
    Quel calvaire ! je me demande comment j'ai pu tenir plus de 2 heures devant ce prétention film nul ! J'avais déjà détesté les Garçons Sauvages. After Blue reprend les mêmes recettes : scénario fourre-tout sans queue ni tête, filles nues et images surréalistes à grands coups d'effets numériques.
    On ne m'y reprendra plus.
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