Pour l'esprit guilleret et coloré, les costumes et les coiffures, sinon certaines scènes sont tout simplement grotesques voir insupportables. Une suite moins utile avec le recul.
J'aime beaucoup ce genre de film, très familiale, très divertissant, très drôle, très sympa. Peut être un peu moins réussi que le premier film, on ne boude pas son plaisir, car les chiens sont à la fois très attachants et très malin, les décors sont vraiment très beaux (parfaitement dans l'ambiance), et les gags sont encore plus délirants, rocambolesques et réussies. Un bon moment.
La suite des 101 dalmatiens, 102 dalmatiens est vraiment mauvaise. Gérard Depardieu signe la un (voir son ) de ses pire rôle avec le personnages de Jean-Pierre Le Pelt ridicule au plus haut point. L'histoire est naze, et pire encore je n'ai absolument rien compris a l'histoire, les chiens on l'aire d'être les mêmes, mais les personnages humains ont complètement changer (sauf Cruela) a croire que Roger et Anita ont donner leurs chiens. Les gags ne sont pas drôle du tout et le film ne réussie pas a divertir. Bref une suite décevante.
une sorte de Remake proposé par Lima pas si décevant que ça mais qui ne conviendra pas forcément aux enfants. Images réelles qui nous permettent de percevoir un autre style. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5
Une suite géniale, par ce que c’est une comédie familiale qui s’assume pleinement. Glenn Close est drôle à souhait, surtout lorsque son personnage est sous l’effet de la thérapie, voir Cruella jouer les gentilles est une pure dose de rire ! Alice Evans est une héroïne attachante, son personnage reflète exactement l’amour que l’on peu porter à ses animaux. Le scénario n’a rien de bien extraordinaire, mais il demeure drôle et frais en intégrant de nouveaux personnages très drôles, comme Gérard Depardieu en maître du style, alors que l’acteur n’a pas du tout le physique qui s’y prête, ont rit beaucoup. La comédie est là, les animaux sont tous très mignons, même si les plus petits apprécieront certainement plus que les grands, on peut tout de même passer un très bon moment en famille.
Comme pour le cinéma en général, les suites de Disney ne dérogent pas à la règle en étant, pour la plupart, moins efficace que les films d'origines et c'est le cas pour cette suite des "101 Dalmatiens". J'avais beaucoup aimé le premier qui était drôle et touchant ce qui n'est pas le cas ici la faute à un scénario identique dans le fond au premier, il n'y plus grand chose qui fonctionne tout le monde a perdu de sa "superbe" à commencer par la grande Glenn Close beaucoup moins machiavélique que dans le précédent ou encore Gérard Depardieu qui n'est d'aucunes utilité de toute façon tout le monde est éclipsé par le perroquet ^^ qui est le seul à apporter cette touche d'humour qui manque tant à ce second film pour autant c'est quand même un film qui se laisse regarder surtout si on aime les animaux.
Les 102 Dalmatiens est une suite correcte au film de 1996. Peut-être un peu moins inspiré que son prédécesseur (qui avait, il faut le reconnaître un matériel de base plus solide), il reste tout de même dans la même veine. Glenn Close s'amuse toujours autant dans le rôle de Cruella de Vil et efface toutes les autres prestations à l'écran. L'histoire est un peu simpliste, mais suffit largement pour un film familial. Les cascades de chiens restent toujours bien réalisé (il n'y a manifestement pas beaucoup d'usage d'effets spéciaux, ce qui implique un entraînement assez impressionnant de tous ces chiens). Ce n'est pas folichon, mais pas à jeter non plus.
3 ans après le premier et étant le second remake live, ce dernier à souffert de plusieurs choses l'ayant rendu moins attractif que le premier: - Casting totalement différent et des vies également opposées. - Des jeux plus approximatifs pour moins de "magie comique". - Une caricature trop élevée du monde de la mode et des fourrures avec un ensemble bling bling trop poussif. - Le personnage secondaire d'Alonzo incarné par Tim McInnerny fut aussi kitsch qu'inutile pour ses performances comiques forcées et sans saveur.
Si Glenn Close retrouve avec panache et folie totale ses tenues complètements flamboyantes et d'une hyper haute volée, le nouveau venu Gérard Depardieu incarne justement la seconde folie vestimentaire, dans un ensemble visuel très excessif et anti-environnemental, anti principes et antisystème avec son usine menée par des immigrés faisant effroyablement écho aux salariés asiatiques travaillant dans des conditions déplorables. Notre autre casting principal mené par le Galois Ioan Gruffudd ("Les 4 fantastiques", "San Andreas"...) et Alice Evans reste dans le classique romantique avec leur lot de scènes de rencontre simpliste et d'humour égale, à peine de développement du monde judiciaire avec son personnage d'avocate "forcée" de Cruella. Si l'idée d'un refuge animal est très bien venue, respectant ainsi la continuité du récit canin, il y à là aussi un manque de développement de ce nouveau lieu. spoiler: Visuellement, ce nouveau récit est marqué par la démesure des décors du manoir d'Enfer et la magistrale robe de sa maîtresse ainsi que l'usine pâtissière du grand final culte culte qui prouve une seconde fois que Glenn est une performeuse hors paire n'ayant point peur de se mettre dans les pires situations pour "sublimer" ou montrer l'humiliation totale de son infâme personnage par les créatures qui on fait sa folie mais qui là fascine tout autant. Un dernier volet moins sensible à l'humour plus forcer mais qui visuellement, ne perd rien de sa superbe. Gérard marque par son talent et rend son passage inoubliable mais avec comme je le citais, une exagération XXL.