AlloCiné
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Votre avis sur En Attendant Bojangles ?
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J'ai beau chercher la métaphore et la poésie, je ne vois que le chaos, l'irresponsabilité et la folie. Ce film est atroce et parle de deux égoïstes destructeurs qui ont un enfant et qui ne feront rien pour le protéger de leurs excentricités : paresse, ruine, incendie, incitation à faire boire l'enfant, descolarisation, asile où rien ne lui est épargné puis le pire final possible,
spoiler:
l'abandon des parents, par suicide, et leur emprunte de menteurs maladifs comme seul héritage
C’est vraiment de la merde ce truc. J’ai rarement autant souffert en visionnant un film, il n’y a absolument rien qui va. Le film raconte l’histoire d’un couple qui adore faire la fête et danser, vivant avec leur fils et leur animal de compagnie peu commun. Déjà le premier problème c’est que le couple ne fonctionne pas à l’écran, on n’y croit pas une seule seconde, ce qui est problématique dans un film reposant principalement sur ce couple (même si le fils est également important). Etant donné qu’il n’y a aucune alchimie entre les personnages et qu’on ne croit pas en leur relation, on ne ressent absolument rien pour eux. Il faut donc juste se contenter de regarder les acteurs surjouer et prier pour que les 2 longues heures passent au plus vite.
Que ce soit la première partie plus joyeuse ou la seconde où on tombe dans le gros pathos, les deux sont désastreuses. Déjà pour la première partie, dès les premières minutes avec Romain Duris imitant un accent de je ne sais plus où, j’ai su que j’allais passer un moment atroce. J’ai trouvé ça insupportable et ridicule (heureusement qu’il ne le fait pas souvent). Pour les scènes de danse assez fréquentes, la réalisation est plate, ne fait ressentir aucune euphorie, on voit juste des gens danser bêtement sans être convié à l’excitation générale à travers la mise en scène (contrairement à "Climax" de Gaspar Noé où les longues scènes de danse en plan-séquences sont jubilatoires et entraînantes). Il doit y avoir des moments pensés pour faire rire je crois, mais là encore ça ne fonctionne pas. C’est donc un bide jusque là.
Mais là où le film frappe fort, c’est en réussissant à proposer une seconde partie encore plus navrante que la première (c’est dire à quel point c’est raté). On tombe alors dans le drame, le couple a des problèmes d’argent, Virginie Efira met le feu à son appartement, elle va dans un hôpital psychiatrique… Et on met des plans sur le mari qui souffre, le fils qui est triste pour te montrer qu’il faut bien pleurer devant ce qui se passe. Après qu’elle se soit échappé de l'hôpital psychiatrique, on enchaine juste les crises surjouées d’Efira, avec à chaque fois des plans sur les personnages tristes (pricipalement le gamin comme ça ils veulent te faire pleurer davantage, génial !). Il y a à nouveau quelques scènes de danse, toujours aussi plates et inintéressantes. La deuxième partie ne sert qu’à ça de toute façon, essayer de te rendre triste (vis-à-vis de personnages auxquels je ne crois absolument pas, bon courage !).
C’est donc un échec à tous les niveaux, tant sur la partie plus joyeuse que sur la partie triste, ou plutôt qui tente d’être triste sans y parvenir. Un supplice tout du long.
Que ce soit la première partie plus joyeuse ou la seconde où on tombe dans le gros pathos, les deux sont désastreuses. Déjà pour la première partie, dès les premières minutes avec Romain Duris imitant un accent de je ne sais plus où, j’ai su que j’allais passer un moment atroce. J’ai trouvé ça insupportable et ridicule (heureusement qu’il ne le fait pas souvent). Pour les scènes de danse assez fréquentes, la réalisation est plate, ne fait ressentir aucune euphorie, on voit juste des gens danser bêtement sans être convié à l’excitation générale à travers la mise en scène (contrairement à "Climax" de Gaspar Noé où les longues scènes de danse en plan-séquences sont jubilatoires et entraînantes). Il doit y avoir des moments pensés pour faire rire je crois, mais là encore ça ne fonctionne pas. C’est donc un bide jusque là.
Mais là où le film frappe fort, c’est en réussissant à proposer une seconde partie encore plus navrante que la première (c’est dire à quel point c’est raté). On tombe alors dans le drame, le couple a des problèmes d’argent, Virginie Efira met le feu à son appartement, elle va dans un hôpital psychiatrique… Et on met des plans sur le mari qui souffre, le fils qui est triste pour te montrer qu’il faut bien pleurer devant ce qui se passe. Après qu’elle se soit échappé de l'hôpital psychiatrique, on enchaine juste les crises surjouées d’Efira, avec à chaque fois des plans sur les personnages tristes (pricipalement le gamin comme ça ils veulent te faire pleurer davantage, génial !). Il y a à nouveau quelques scènes de danse, toujours aussi plates et inintéressantes. La deuxième partie ne sert qu’à ça de toute façon, essayer de te rendre triste (vis-à-vis de personnages auxquels je ne crois absolument pas, bon courage !).
C’est donc un échec à tous les niveaux, tant sur la partie plus joyeuse que sur la partie triste, ou plutôt qui tente d’être triste sans y parvenir. Un supplice tout du long.
Romain est baratineur (à la Belmondo), fanfaron, vaniteux, puis désemparé.
Virginie est déjantée, pleine de vie, puis déprimée et hystérique.
La 1ère partie est une pure comédie assez théâtrale avec 2 fantasques. Des trouvailles en pagaille : héron en laisse dans la rue, huissier refoulé à coups de parapluie, balade nue dans la rue, amour sur autel de chapelle,...
Mais la gravité s'installe après une naissance. Et tout se dégrade par touches progressives. Nous avons droit à vivre ces étapes dramatiques. Quelques scènes auraient pu être évitées sur les mauvais traitements psychiatriques.
Virginie, après Benedetta et Madeleine Collins confirme qu'elle est une actrice remarquable.
Virginie est déjantée, pleine de vie, puis déprimée et hystérique.
La 1ère partie est une pure comédie assez théâtrale avec 2 fantasques. Des trouvailles en pagaille : héron en laisse dans la rue, huissier refoulé à coups de parapluie, balade nue dans la rue, amour sur autel de chapelle,...
Mais la gravité s'installe après une naissance. Et tout se dégrade par touches progressives. Nous avons droit à vivre ces étapes dramatiques. Quelques scènes auraient pu être évitées sur les mauvais traitements psychiatriques.
Virginie, après Benedetta et Madeleine Collins confirme qu'elle est une actrice remarquable.
J'aurais tellement aimé aimer ce film ! Effira-Duris - Roinsard à la tête de l'adaptation d'un tel succès littéraire, l'affiche promettait.
Et patatras... au bout de 5 minutes on se rend compte que rien ne va fonctionner dans ce film totalement bancal, oscillant entre comédie presque burlesque et drame humain. Sauf que la comédie est plus agaçante que drôle et le drame plus pathétique que touchant. La faute à des personnages qu'on aurait aimé aimer là aussi, mais qui se révèlent au final antipathiques à force d'une légèreté qui confine à l'idiotie et même à un certain complexe de supériorité.
Et puis c'est long.. c'est long...
Bref.. on oublie !!
Et patatras... au bout de 5 minutes on se rend compte que rien ne va fonctionner dans ce film totalement bancal, oscillant entre comédie presque burlesque et drame humain. Sauf que la comédie est plus agaçante que drôle et le drame plus pathétique que touchant. La faute à des personnages qu'on aurait aimé aimer là aussi, mais qui se révèlent au final antipathiques à force d'une légèreté qui confine à l'idiotie et même à un certain complexe de supériorité.
Et puis c'est long.. c'est long...
Bref.. on oublie !!
Très joli film sur un thème difficile et scabreux, la folie, d’abord douce, assez vite dangereuse et finalement suicidaire. Ce n’est pas la folie absolue filmée toutes voiles dehors par Kubrick ou par Forman, c’est autre chose, plus subtil et plus ambitieux. L’illustration est légère, virevoltante au début, jamais pesante malgré la noirceur qui s’annonce. Les acteurs sont impeccables, Romain Duris confirmant une fois de plus son aisance exceptionnelle à passer en un instant du registre du drame à celui de l’euphorie, de la séduction classieuse à l’empathie désespérée vis-à-vis de celle qu’il a choisie comme exutoire de ses propres névroses, mais surtout pour compagne et pour mère de leur progéniture. Virginie Effira réussit, elle aussi, une performance hors du commun. Peut-être se serait-on néanmoins attendu, pour évoluer dans un tel rôle, à une actrice au visage plus émacié que celui de la charmante Virginie, au risque de perdre ce superbe grain de folie évanescente au profit d’un caractère dramatique alors plus accentué. Le jeune Solan Machado-Graner est sans doute appelé à faire une belle carrière dans le 7ème art, tant il joue juste dans cette composition difficile..
En attendant Bojangles, on regarde sa montre.
Pour qui n'a pas lu le livre dont est tiré le film, ignore tout du pitch, la magnifique séquence d'ouverture donne le ton, celui d'une comédie policière enlevée, à l'image de L'Affaire Thomas Crown.
La caméra virevolte, légère et fluide, autour d'une réception dans une belle villa de la Côte d'Azur à la fin des années cinquante, et isole les deux personnages, Camille et Georges, qui font connaissance sous le sceau de la fantaisie, du travestissement de leurs identités : deux escrocs introduits sans invitation.
Si Mister Bojangles ne se fait pas attendre longtemps, la chanson de Nina Simone élue comme fétiche par le couple, le film, lui, n'arrive jamais.
Romain Duris enlève Virginie Efira dans une superbe MG (les autos anciennes fournissent son unique point d'attraction au projet), il passe la première, jamais la deuxième d'un long pensum de deux heures qui montre deux êtres fantasques dont les sautes d'humeur, les frasques confinant à la folie écrivent le scénario.
Que la folie ne soit pas cinématographique n'est pas le sujet. Kubrick avec Shining, Milos Forman dans Vol au-dessus d'un nid de coucou, Scorsese et son Taxi Driver, bien d'autres, ont démontré le contraire. Eux sont des metteurs en scène capturant la maladie mentale dans les rêts d'une écriture filmique transcendée par le talent, ne se bornant pas à saturer l'écran de couleurs à la mode, ne posant pas leur caméra sagement, façon téléfilm de France 2.
Le film démarre à deux minutes de la fin en un plan d'une beauté émouvante qui donne une idée d'à côté de quoi il est passé s'il avait été "mis en scène". Le hic, c'est le livre d'Olivier Bourdeaut qui le lie à la patte et dont il semble une fidèle adaptation.
Notre avis est très marginal si on en croit les réactions à la sortie de l'Eden hier. On a plutôt aimé. On aura apprécié les numéros d'acteurs, épatants c'est certain, les décors somptueux, voir au sol une grue, comme celles qui défilent au-dessus de la Loire, goûté les couleurs saturées et rigolotes, comme dans un Ouigo, c'est déjà pas mal.
Pour qui n'a pas lu le livre dont est tiré le film, ignore tout du pitch, la magnifique séquence d'ouverture donne le ton, celui d'une comédie policière enlevée, à l'image de L'Affaire Thomas Crown.
La caméra virevolte, légère et fluide, autour d'une réception dans une belle villa de la Côte d'Azur à la fin des années cinquante, et isole les deux personnages, Camille et Georges, qui font connaissance sous le sceau de la fantaisie, du travestissement de leurs identités : deux escrocs introduits sans invitation.
Si Mister Bojangles ne se fait pas attendre longtemps, la chanson de Nina Simone élue comme fétiche par le couple, le film, lui, n'arrive jamais.
Romain Duris enlève Virginie Efira dans une superbe MG (les autos anciennes fournissent son unique point d'attraction au projet), il passe la première, jamais la deuxième d'un long pensum de deux heures qui montre deux êtres fantasques dont les sautes d'humeur, les frasques confinant à la folie écrivent le scénario.
Que la folie ne soit pas cinématographique n'est pas le sujet. Kubrick avec Shining, Milos Forman dans Vol au-dessus d'un nid de coucou, Scorsese et son Taxi Driver, bien d'autres, ont démontré le contraire. Eux sont des metteurs en scène capturant la maladie mentale dans les rêts d'une écriture filmique transcendée par le talent, ne se bornant pas à saturer l'écran de couleurs à la mode, ne posant pas leur caméra sagement, façon téléfilm de France 2.
Le film démarre à deux minutes de la fin en un plan d'une beauté émouvante qui donne une idée d'à côté de quoi il est passé s'il avait été "mis en scène". Le hic, c'est le livre d'Olivier Bourdeaut qui le lie à la patte et dont il semble une fidèle adaptation.
Notre avis est très marginal si on en croit les réactions à la sortie de l'Eden hier. On a plutôt aimé. On aura apprécié les numéros d'acteurs, épatants c'est certain, les décors somptueux, voir au sol une grue, comme celles qui défilent au-dessus de la Loire, goûté les couleurs saturées et rigolotes, comme dans un Ouigo, c'est déjà pas mal.
J'ai 54 ans, j'adore le cinéma, j'adore Virginie Efira et encore plus Romain Duris mais qu est ce qu'il leur a pris de signer pour une m..... pareille !?!?!?! Les gens partaient les uns derrière les autres, je n ai jamais vu ça !!! Nous avons réussi à tenir 30 minutes en souffrant mais en espérant que ce très très très très mauvais début allait enfin déboucher su quelque chose mais non, plus on avance et plus on souffre ! C est d une nullité sans nom ! Sans queue ni tête, pas drôle, pas émouvant, pas triste, c est d'un vide abyssale ! On a même pas le plaisir de voir nos acteurs pourtant tant aimés ailleurs ! Qu est ce qui leur a plus pour signer ce scénario de m.... ??? Une honte !!!!
Interminable,loufoque, grotesque et sans interet ! J ai tenu une heure pour faire plaisir a ma douce, puis comme la vie est courte et le temps precieux je m en suis allé...
Tout le monde sait la difficulté pour un réalisateur d'adapter un ouvrage au cinéma, particulièrement quand le ton était hautement original. "En attendant Bojangles" reprend le titre du roman d'Olivier Bourdeaut tout en offrant une narration plus dense que l'ouvrage lui-même. En fait, le film de Régis Roinsard constitue une sorte d'ode à la prestation de la comédienne principale, Virginie Efira, au mépris sans doute de l'écriture subtile et ironique du roman. L'actrice est omniprésente aux côtés de Romain Duris, dans le rôle d'une mère tout aussi originale que totalement déjantée.
Mais quelque chose ne fonctionne pas bien. La narration emprunte des détours permanents qui jouent entre réalisme et réinvention du quotidien. On se perd dans les tourments mentaux de la mère et l'insouciance des parents qui ne veulent pas se laisser envahir par les choses de la vie. Il y a un rythme proprement étourdissant, mais hélas fatigant. On s'use de ces pérégrinations imaginaires continues malgré des personnages attachants et hauts en couleur. Le narrateur constitue le fil rouge du récit. C'est un petit garçon sensible et drôle qui compose avec l'originalité de ses parents. Le film jouit de quelques moments d'une grâce infinie où on se laisse emporter par la candeur des personnages. Mais la plupart du temps, on se fatigue des revirements narratifs, de la grandiloquence des lieux, et de l'agitation des protagonistes.
Mais quelque chose ne fonctionne pas bien. La narration emprunte des détours permanents qui jouent entre réalisme et réinvention du quotidien. On se perd dans les tourments mentaux de la mère et l'insouciance des parents qui ne veulent pas se laisser envahir par les choses de la vie. Il y a un rythme proprement étourdissant, mais hélas fatigant. On s'use de ces pérégrinations imaginaires continues malgré des personnages attachants et hauts en couleur. Le narrateur constitue le fil rouge du récit. C'est un petit garçon sensible et drôle qui compose avec l'originalité de ses parents. Le film jouit de quelques moments d'une grâce infinie où on se laisse emporter par la candeur des personnages. Mais la plupart du temps, on se fatigue des revirements narratifs, de la grandiloquence des lieux, et de l'agitation des protagonistes.
Quel film énervant ! Je prends la plume pour la première fois sur ce site pour partager mon dépit. Le ton est artificiel, le jeu de Duris est outré comme souvent, les parents et les enfants se vouvoient, les gamins disent "assurément". Plus les personnages à l'écran font la fête, plus le spectateur s'ennuie. Le pathos présent dans la deuxième partie du film m'a laissée tout aussi indifférente que la fantaisie du début. Tout est en toc, tout est vain. Après s'être fait longuement attendre, la fin du film arrive comme une délivrance. Ouf ! Les amateurs de longs clips façon Moulin Rouge ou La Belle époque seront ravis. Ceux qui cherchent les vibrations, l'émotion, l'art derrière l'esbroufe : passez votre chemin.
Un film qui n'a cessé de me mettre mal à l'aise et pour différentes raisons. D'une part il y a 2 parties distinctes, et aux antipodes : le film commence comme une comédie légère avec une patine très Le Petit Nicolas (autrement dit une France d'autrefois reconstituée) avec un couple amoureux et fantaisiste, en surjeu perpétuel, puis une seconde partie dramatique voire tragique où la folie douce vire à la démence. Le problème c'est que le couple fait trop fabriqué pour attirer l'empathie, du coup le film est souvent pénible. Si Virginie Efira est géniale, Romain Duris est bon (et il faut arrêter d'en faire un Dom Juan), le gamin est étonnant (mais ses dialogues en alexandrins manquent de naturel), bref il y a quelque chose qui ne fonctionne pas et le plaisir des premières minutes virent rapidement au pénible.
J'ai trouvé que les 3 acteurs principaux ne jouaient pas très bien ( Virginie Efira, Romain duris et même l'acteur qui joue le fils).
J'ai vraiment eu du mal y croire, je pense que les rôles un peu déjantés ne collaient pas avec les acteurs, c'était surjoué, d'autres acteurs arrivent bien mieux à entrer dans ce style de personnage.
Il aurait fallu des acteurs capable d'un vrai grain de folie et de décalage, la ça fait vraiment faux, je n'y ai pas cru, j' ai vraiment eu du mal à rentrer dans le film à cause de leur jeu.
Ensuite l'histoire est assez inssupportable en fait.
On a à faire à une femme histrionnique et dépressive, et un homme dépendant affectif et tout aussi névrosé, qui se rencontrent et font rapidement un enfant, pour lui apporter une existence peuplé de souffrances et de traumatismes auprès de deux parents totalement égocentriques.
J'imaginais trop une suite, avec l'enfant devenu adulte et interné en hôpital psy tellement traumatisé de cette affreuse enfance lol...
Bref pour moi le gros problème c'est le jeu des acteurs.
Je n'ai pas lu le livre, je serais curieuse de voir si il arrive à mieux retranscrire cette pseudo existence de rêve que les deux adultes essayent de se créer dans la 1ere partie du film, ça ressort comme pathétique dans le film mais je n'ai pas trouvé la mise en scene des plus top.
J'ai vraiment eu du mal y croire, je pense que les rôles un peu déjantés ne collaient pas avec les acteurs, c'était surjoué, d'autres acteurs arrivent bien mieux à entrer dans ce style de personnage.
Il aurait fallu des acteurs capable d'un vrai grain de folie et de décalage, la ça fait vraiment faux, je n'y ai pas cru, j' ai vraiment eu du mal à rentrer dans le film à cause de leur jeu.
Ensuite l'histoire est assez inssupportable en fait.
On a à faire à une femme histrionnique et dépressive, et un homme dépendant affectif et tout aussi névrosé, qui se rencontrent et font rapidement un enfant, pour lui apporter une existence peuplé de souffrances et de traumatismes auprès de deux parents totalement égocentriques.
J'imaginais trop une suite, avec l'enfant devenu adulte et interné en hôpital psy tellement traumatisé de cette affreuse enfance lol...
Bref pour moi le gros problème c'est le jeu des acteurs.
Je n'ai pas lu le livre, je serais curieuse de voir si il arrive à mieux retranscrire cette pseudo existence de rêve que les deux adultes essayent de se créer dans la 1ere partie du film, ça ressort comme pathétique dans le film mais je n'ai pas trouvé la mise en scene des plus top.
donc la direction d'acteurs ça existe. Efira sublime dans Madeleine Collins, nulle dans machin dont le titre m'échappe.
Ce film vient déshonorer le roman éponyme d'Olivier Bourdeaut. A commencer par le choix de Romain Duris dans le rôle du père, le rôle ne lui va pas du tout, c'était trop demandé pour cet acteur qui a, il faut se l'avouer, un jeu d'acteur très limité. Virginie Efira confirme son talent de comédienne à la fois drôle et tragique mais ça ne suffit pas à sauver ce film d'une médiocrité consternante.
Un super film!
On s'amuse, on s'enthousiasme, on pleure, on vit à travers le film.
On retrouve un très bon Romain Duris dans un rôle qu'il rempli à merveille er une Virginie Effira au sommet de son art.
Cette dernière est captivante, drôle, sexy et touchante.
Un grand bravo pour les dialogues !
On s'amuse, on s'enthousiasme, on pleure, on vit à travers le film.
On retrouve un très bon Romain Duris dans un rôle qu'il rempli à merveille er une Virginie Effira au sommet de son art.
Cette dernière est captivante, drôle, sexy et touchante.
Un grand bravo pour les dialogues !
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