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[Un] tourbillon d’émotions dans lequel Virginie Efira excelle et [une] belle adaptation du best-seller d’Olivier Bourdeaut, dont elle partage l’affiche avec Romain Duris.
Succès de librairie, cette histoire d’amour fou, au sens littéral du terme, est portée par Romain Duris et Virginie Efira, magiques en amants éperdus qui construisent des châteaux en Espagne et dansent sur un volcan.
Cette histoire d’amour fou, au sens littéral du terme, est portée par Romain Duris et Virginie Efira, magiques en amants éperdus, qui construisent des châteaux en Espagne pour repousser l’emprise de la démence.
Ils nous touchent en plein cœur, les héros de ce film qui prend la forme d’un étonnant hymne à l’amour. Aussi excentriques soient-ils, Régis Roinsard (Populaire, Les Traducteurs) sait les rendre proches de nous, comme ils sont, à l’évidence, proches de lui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si le film tend à se départir d’une certaine raideur en contradiction avec le propos léger de la première moitié, les effets marqués qui réussissent davantage à Régis Roinsard dans la comédie (Populaire) tiennent en partie à distance les sentiments d’un récit pourtant terriblement romanesque.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
À mi-chemin entre la comédie et le drame, autour du couple Efira/Duris, Régis Roinsard réussit un film étonnant, flirtant entre le burlesque outré et le drame le plus noir. Cet équilibre fragile tient le choc grâce à son énergie et au talent de ses acteurs.
On sent le cinéaste plus à l’aise dans les moments joyeux où l’espièglerie est aux commandes. Mais quand le ton se fait plus noir voire désespéré, il peut s’appuyer sur une Virginie Efira, à l’aise, elle, dans tous les registres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Virginie Efira irradie, passant, en un regard, de l’euphorie au désespoir, face à un Romain Duris aussi charmeur que désemparé. Il aurait néanmoins fallu une mise en scène plus aérienne et fantaisiste, à la Jeunet ou à la Burton, pour que l’émotion nous submerge.
L’émotion affleure, mais la fringale généralisée de romanesque parasite le foyer tragique du récit : la perte d’une amante et d’une mère, altérée sans retour, et la sommation glaçante faite au fils d’être « heureux à sa place et de danser ».
Toute la poésie du livre, qui tenait pour bonne part à sa narration par le regard émerveillé de l'enfant, disparaît dans un récit plus à plat. Restent les décors et la présence de Virginie Efira, une nouvelle fois impeccable en femme borderline.
Malgré une représentation convenue de ce bonheur fou, le film réussit à émouvoir lorsqu'il rompt le contrat de la comédie rétro et stylisée des années 1950.
Mais quand le cinéma français sera-t-il enfin débarrassé de son décorum chromo, de sa nostalgie de pacotille et de ce sentimentalisme dégoulinant [... ] ? Nous ne désirons ni cynisme, ni méchanceté, mais juste un peu moins de gros sabots, d'écriture archétypique et de regard si sommaire sur l'humain.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Là où il fallait du panache, du style, une folie douce qui ne soit pas sur commande, on a de la figure imposée, clinquante, appuyée. D’où l’impression d’un film bancal, qui tourne en rond et à vide comme si le couple de Bojangles ne dansait que sur un pied.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
La lente chute à laquelle le film condamne ses personnages souffre, à l’instar de la première partie, de situations si fabriquées que, même dans la peine, on compatit peu.
CNews
Servi par un impeccable trio d'acteurs, ce long-métrage haut en couleurs [...] offre une parenthèse poétique, enchantée, et bouleversante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sensuelle et fantaisiste, Virginie Efira s’abîme dans un tourbillon sentimental élégant et dérangeant.
Femme Actuelle
Une belle adaptation du best-seller d'Olivier Bourdeaut.
Le Dauphiné Libéré
Un tourbillon sentimental élégant et dérangeant.
Marie Claire
[Un] tourbillon d’émotions dans lequel Virginie Efira excelle et [une] belle adaptation du best-seller d’Olivier Bourdeaut, dont elle partage l’affiche avec Romain Duris.
Ouest France
Un film attachant où rayonne Virginie Efira, décidément à l'aise dans tous les registres.
Public
La sensualité, la passion, l'amour crèvent l'écran.
Télé 2 semaines
Succès de librairie, cette histoire d’amour fou, au sens littéral du terme, est portée par Romain Duris et Virginie Efira, magiques en amants éperdus qui construisent des châteaux en Espagne et dansent sur un volcan.
Télé Loisirs
Cette histoire d’amour fou, au sens littéral du terme, est portée par Romain Duris et Virginie Efira, magiques en amants éperdus, qui construisent des châteaux en Espagne pour repousser l’emprise de la démence.
Télérama
Ils nous touchent en plein cœur, les héros de ce film qui prend la forme d’un étonnant hymne à l’amour. Aussi excentriques soient-ils, Régis Roinsard (Populaire, Les Traducteurs) sait les rendre proches de nous, comme ils sont, à l’évidence, proches de lui.
Voici
La mise en scène peine à donner corps à l'excentricité des personnages mais les interprètes, en particulier Virginie Efira, l'incarne superbement.
La Croix
Si le film tend à se départir d’une certaine raideur en contradiction avec le propos léger de la première moitié, les effets marqués qui réussissent davantage à Régis Roinsard dans la comédie (Populaire) tiennent en partie à distance les sentiments d’un récit pourtant terriblement romanesque.
La Voix du Nord
Une adaptation parfois hésitante mais émouvante du roman à succès d’Olivier Bourdeault.
Le Parisien
De ce roman fou, reste un film un peu sage. Mais qui fait battre le cœur très fort, ne le boudons pas.
Les Fiches du Cinéma
À mi-chemin entre la comédie et le drame, autour du couple Efira/Duris, Régis Roinsard réussit un film étonnant, flirtant entre le burlesque outré et le drame le plus noir. Cet équilibre fragile tient le choc grâce à son énergie et au talent de ses acteurs.
Paris Match
Le film est un poil trop long et hésitant, mais il s'en dégage quand même une vraie élégance.
Première
On sent le cinéaste plus à l’aise dans les moments joyeux où l’espièglerie est aux commandes. Mais quand le ton se fait plus noir voire désespéré, il peut s’appuyer sur une Virginie Efira, à l’aise, elle, dans tous les registres.
Télé 7 Jours
Virginie Efira irradie, passant, en un regard, de l’euphorie au désespoir, face à un Romain Duris aussi charmeur que désemparé. Il aurait néanmoins fallu une mise en scène plus aérienne et fantaisiste, à la Jeunet ou à la Burton, pour que l’émotion nous submerge.
Cahiers du Cinéma
L’émotion affleure, mais la fringale généralisée de romanesque parasite le foyer tragique du récit : la perte d’une amante et d’une mère, altérée sans retour, et la sommation glaçante faite au fils d’être « heureux à sa place et de danser ».
Le Journal du Dimanche
Toute la poésie du livre, qui tenait pour bonne part à sa narration par le regard émerveillé de l'enfant, disparaît dans un récit plus à plat. Restent les décors et la présence de Virginie Efira, une nouvelle fois impeccable en femme borderline.
Le Monde
Malgré une représentation convenue de ce bonheur fou, le film réussit à émouvoir lorsqu'il rompt le contrat de la comédie rétro et stylisée des années 1950.
Positif
Le troisième film de Régis Roinsard (qui retrouve Romain Duris après le déjà très décoratif Populaire) échoue à nous attacher aux personnages.
Culturopoing.com
Mais quand le cinéma français sera-t-il enfin débarrassé de son décorum chromo, de sa nostalgie de pacotille et de ce sentimentalisme dégoulinant [... ] ? Nous ne désirons ni cynisme, ni méchanceté, mais juste un peu moins de gros sabots, d'écriture archétypique et de regard si sommaire sur l'humain.
L'Obs
Les comédiens font ce qu’ils peuvent pour faire exister cette tragédie qui ressemble à un mauvais soap pour TF1.
Le Figaro
Le film patine, tourne à vide, inutile, gênant, enchanté de lui-même et hésite entre Modiano et Boris Vian.
Le Point
Là où il fallait du panache, du style, une folie douce qui ne soit pas sur commande, on a de la figure imposée, clinquante, appuyée. D’où l’impression d’un film bancal, qui tourne en rond et à vide comme si le couple de Bojangles ne dansait que sur un pied.
Sud Ouest
La lente chute à laquelle le film condamne ses personnages souffre, à l’instar de la première partie, de situations si fabriquées que, même dans la peine, on compatit peu.
aVoir-aLire.com
L’adaptation cinématographique du best-seller d’Olivier Bourdeaut mise sur la surenchère et fatigue trop souvent.