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Votre avis sur La Sincérité ?
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J'ai beaucoup aimé le film qui porte bien son nom. Sincérité et légèreté, tout ça sur une composition géniale de Jacky Terrasson
J'avais adoré le 2ième film de ce réalisateur, alors j'ai visionné son premier sur Amazon. Les deux films n'ont pas grand chose à voir, mais les deux sont fascinants, même si pas toujours facile à suivre. Il y a de quoi être désarçonné. La musique du premier est encore meilleure que celle du premier. Ces non acteurs fournissent une partition qui vaut celle de vrais acteurs dont c'est le métier. Et cela m'a redonné envie de retourner en Ardèche, une région que je connaissais si bien...
À la deuxième minute, j’ai regardé cb de temps allait durer ce court-métrage et la, j’ai découvert qu’il s’agissait en fait d’un film. UN FILM.
Mon dieu.
Jeanne Damas, qui ne donne déjà pas le sentiment d’avoir inventé l’eau chaude avec ses yeux de bœuf, propose aisément des la deuxieme minute à un réalisateur (complètement mou) de le mettre en relation avec des escort girls qu’elle connaît très bien… pour faire un film entre copains… voilà, c’est ça l’intrigue.
Puis 5 minutes plus tard, je me suis endormie, 15minutes après je me suis réveillée et comme rien ne s’était passé, je me suis rendormie et 20 minutes après, la bande avait choisi le titre.
Mon dieu.
Jeanne Damas, qui ne donne déjà pas le sentiment d’avoir inventé l’eau chaude avec ses yeux de bœuf, propose aisément des la deuxieme minute à un réalisateur (complètement mou) de le mettre en relation avec des escort girls qu’elle connaît très bien… pour faire un film entre copains… voilà, c’est ça l’intrigue.
Puis 5 minutes plus tard, je me suis endormie, 15minutes après je me suis réveillée et comme rien ne s’était passé, je me suis rendormie et 20 minutes après, la bande avait choisi le titre.
Sincèrement, le casting est excessivement agaçant, pourquoi toutes les actrices du film ressemblent à des mannequins alors que les acteurs ne sont franchement pas sexy, aucun d’entre eux. C’est ça le désir ? Hahaha Forcément le réalisateur est un homme. J’ai ri tellement c’était nian nian, j’attendais que l’une des actrices pete les plombs, sorte ses 4 vérité à « Jean », mais non rien, leur profondeur se résumait à des minauderies pathétiques. Les paroles des chansons sont complètement creuses et ridicules, le film ne va nulle part et les personnages ne sont même pas fouillés. Le philosophe qui sort des phrases alambiquées qui ne veulent rien dire , est caricatural, comme tous les autres personnages d’ailleurs. Et tout ça pour nous emmener nulle part. Alors on va me dire « mais justement c’est ça qui est drôle ! » mais en fait non c’est pas drôle c’est juste agaçant.
"Soyez prêt à ne pas être prêt dans la vie".
Cette phrase résume parfaitement le film. Il rappelle les films du groupe danois Dogma 95, parmi lesquels celui culte « Les Idiots ». D’abord cette caméra à l’épaule, qui rappelle les documentaires (la photo est splendide et parfaitement cadrée en format ciné scope). Cela donne aux scènes un caractère quasi organique. Les personnages jouent avec une grande authenticité, si bien que les barrières entre réalité (le film) et fiction s'estompent.
Le film possède plusieurs niveaux de réalité, créant une mise en abîme. Son propos et et ses personnages sont forts. Bref, un mélange de drame, de comédie, d'histoire(s) d'amour complexe(s), tout cela mené avec une leçon de philosophie sur les pièges de la vie.
En plus, la musique parfaitement intégrée au film et au jeu, évidemment au moins partiellement improvisé des acteurs, tous convaincants, est sublime.
Cette phrase résume parfaitement le film. Il rappelle les films du groupe danois Dogma 95, parmi lesquels celui culte « Les Idiots ». D’abord cette caméra à l’épaule, qui rappelle les documentaires (la photo est splendide et parfaitement cadrée en format ciné scope). Cela donne aux scènes un caractère quasi organique. Les personnages jouent avec une grande authenticité, si bien que les barrières entre réalité (le film) et fiction s'estompent.
Le film possède plusieurs niveaux de réalité, créant une mise en abîme. Son propos et et ses personnages sont forts. Bref, un mélange de drame, de comédie, d'histoire(s) d'amour complexe(s), tout cela mené avec une leçon de philosophie sur les pièges de la vie.
En plus, la musique parfaitement intégrée au film et au jeu, évidemment au moins partiellement improvisé des acteurs, tous convaincants, est sublime.
Un film sans trame, où on ne sait jamais bien si on est dans le film ou le film du film. Mais ça ne m'a pas déplu, au contraire. Vagabondage qui m'a parlé avec des acteurs, une musique, des decors en accord.
Finalement bcp mieux que bcp de navets encensés par la critique.
Finalement bcp mieux que bcp de navets encensés par la critique.
Personnellement je n'ai rien contre les film ennuyeux car j'y trouve toujours quelque chose à analyser. Les prise de vues les jeux d'acteurs les paroles ou les silences dans ce film n'ont rien de spécial ou d'intéressant pour le spectateur. Même les films qui ne veulent au premier abord rien dire on parfois quelque chose a offrir mais pour celui-ci je n'y ai trouvé aucun intérêt. Je me sent juste avec leurs problèmes que je n'ai pas pris de réel plaisir à regarder, C'est un film avec certaines scènes trop vue et revues et des personnage que l'on connaît déjà avant de les connaitre par son biais. Pour la philosophe son scénario n'est pas profond on ne réfléchis pas on apprend rien de nouveau. Les personnages disparaissent ou ne servent à rien et il n'y a rien d'étonnant ni même de touchant dans cette histoire. Il y a un acteur principal froid ou du moins si c'est bien l'acteur principal car au fond on n'en sait rien. Bref c'est une parodie bien fade et fausse pour un film qui en plus se nomme sincérité...
J'ai regardé le film malgré les mauvaises critiques car j'ai vu qu'il y avait Jeanne Damas à l'affiche. Je l'aime beaucoup et elle est sublime à l'écran. Je comprends qu'on puisse détester ce genre de cinéma un peu sans queue ni tete mais j'ai trouvé ça très beau et je n'ai eu aucun mal à me laisser porter par l'histoire, jusqu'au bout. Film poétique et charmeur dans l'ambiance. Et les dialogues intelligents et sensibles. Je n'écris pas souvent de critiques mais je voulais le faire ici car j'ai trouvé les critiques négatives très injustes avec ce beau film.
Très chouette. Ma curiosité avais été attirée par Damas et les critiques pratiquement toutes négatives de ce film (cf le "bouffon prétentieux" de "Positit"). Et bien... immersion ravissante grâce à la mise en scène et les mouvements de caméra très justes. L'idée d'un projet qui fini en jus de boudin mais dont on retire quelque chose de supérieur avec une morale à l'appréciation personnelle sur l'imprévu... Y a volontairement un petit brouillage de piste au niveau de la narration que j'ai bien aimé. Enfin pour ces acteurs non professionnels mais si vrais... ça serait malhonnête de ne pas avouer que les filles qui jouent aussi bien que les gars ont ce petit attrait en plus qu'elles sont... magnifiques ;)
La Sincérité est un film honnête, avec une réelle sensibilité. Avec ce film, le réalisateur conçoit une œuvre qu'on pourrai qualifier de post-nouvelle vague. En réunissant un groupe de non acteurs et en les confrontant à la difficulté de faire un film, c'est une mise en abîme habile que réalise Charles Guérin Surville. Chaque non-acteurs ( car oui, aucun des acteurs de ce film n'est un professionnel) se saisit de l'histoire et, en naviguent entre maladresses amoureuses, discours philosophiques et comportement hédoniste avec une agilité et une simplicité étonnante. Je recommande fortement.
C est un film avec peu de moyens certes ... mais c est également une véritable daube ... jeu d acteurs frisant l amateurisme et un scénario assez simpliste. Inutile de perdre son temps ... d ailleurs il sera difficile de finir ce film tant il est sans intérêt.
L’équipe de tournage a dû se faire plaisir en se payant des vacances en Ardèche, le spectateur beaucoup moins. Même si les acteurs jouent bien : le philosophe est parfait dans son rôle, la femme jalouse est criante de vérité, etc. … il manque un vrai scénario : la mise en abyme du film (« La Sincérité » raconte le tournage d’un film nommé « La Sincérité ») est une idée, pas un scénario. Sur le thème proche de la construction d’un film avec une durée identique et des paysages voisins, « La Sincérité » n’a rien à avoir avec l’excellent « Maestro », sorti en 2014, rendant hommage à Eric Rohmer. J’ai trouvé un postulant très sérieux au titre de pire film sorti au Cinéma en 2020.
Un scénario dans la sincérité c'est comme des dialogues dans "le Cuirassé Potemkine."
Dans ce film, la seule personne qu'on reconnaît est Jacky Terrasson. Il est si on peut dire comme Marlon Brando dans "le dernier tango à Paris."
Signature: Igor Suleyman
Dans ce film, la seule personne qu'on reconnaît est Jacky Terrasson. Il est si on peut dire comme Marlon Brando dans "le dernier tango à Paris."
Signature: Igor Suleyman
Étonnant ces 7 critiques trés élogieuses pour un film sans scénario et sans intérêt à part quelques morceaux de piano de jacky terrasson. ...
j'ai eu un peu du mal au début mais au fur et à mesure le film prend corps pour devenir finalement assez intéressant. Et il a le mérite de prendre le contrepied d'un discours qui devient dominant (voire exclusif) sur les questions de genre. A voir!!
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