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Votre avis sur Pourris gâtés ?
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Nouvelle production du réalisateur Nicolas Cuche, "Pourris gâtés" est un film qui me branchait pas plus que ça après avoir découvert sa bande-annonce, puis finalement je lui ai laissé sa chance. Ça se regarde mais les accumulations de clichés sont trop constantes et les gags parfois lourds. Mais grâce au trio, l'histoire est plus légère à suivre. Les émotions sont bien ressenties à travers le personnage de Jugnot. Une morale qu'on voyait venir et qu'on a déjà vu, c'est dommage. Cependant, cette comédie française remplie bien son rôle de distraction.
Film gentillet idéal pour une famille avec pré-ado. Personnellement j'ai perdu mon temps ! Je ne suis juste pas le public concerné
GyzmoCA
"Pourris Gatés" est une énième comédie française comme on en voit (beaucoup) trop. Un scénario simple et prévisible, des gags parfois lourds, des clichés par centaine. La morale de l'histoire est simpliste "le travail est l'essence de la vie".
Passé ces constats, le film reste une distraction correcte où l'on sourit quelque fois notamment avec les remarques d'Artus ou du duo Gérard Jufgnot / François Morel. Les autres acteurs sur-jouent dans des rôles sans aucun intérêt.
Passé ces constats, le film reste une distraction correcte où l'on sourit quelque fois notamment avec les remarques d'Artus ou du duo Gérard Jufgnot / François Morel. Les autres acteurs sur-jouent dans des rôles sans aucun intérêt.
Un riche veuf élève seul ses trois enfants à Monaco.
Habitués au luxe et à l'argent de papa, ces trois jeunes adultes ont des caractères d'enfants gâtés et ne savent rien faire par eux-mêmes.
Quand leur père décide de leur donner une leçon de vie, les choses vont peut-être pouvoir enfin changer...
L'idée de départ était sympathique avec un Gérard Jugnot en chef d'orchestre de cette troupe de gamins privilégiés et odieux, la copie finale rendue à l'écran n'amuse pas ou très peu tant les situations et les personnages sont exagérément caricaturaux.
Aucune (bonne) surprise dans cette histoire remplie de clichés et se rapprochant dangereusement de la qualité d'un téléfilm basique de TF1 du dimanche après-midi.
Très décevant.
Site CINEMADOURG.free.fr
Habitués au luxe et à l'argent de papa, ces trois jeunes adultes ont des caractères d'enfants gâtés et ne savent rien faire par eux-mêmes.
Quand leur père décide de leur donner une leçon de vie, les choses vont peut-être pouvoir enfin changer...
L'idée de départ était sympathique avec un Gérard Jugnot en chef d'orchestre de cette troupe de gamins privilégiés et odieux, la copie finale rendue à l'écran n'amuse pas ou très peu tant les situations et les personnages sont exagérément caricaturaux.
Aucune (bonne) surprise dans cette histoire remplie de clichés et se rapprochant dangereusement de la qualité d'un téléfilm basique de TF1 du dimanche après-midi.
Très décevant.
Site CINEMADOURG.free.fr
Ce film ne vaut pas plus de 2 étoiles....pour sa légèreté....sinon trop de clichés...que des clichés d'ailleurs....le jeu des acteurs y compris celii de Gérard Jugnot manque de naturel. un scénario convenu et sans surprise...qui se veut moralisateur à souhait..presque indigeste....vraiment déçue car les critiques étaient plutôt bonnes pour un film de ce genre.
Comédie gentillette dont je n'attendais pas plus, merci aux acteurs qui sont tous bien notamment Jugnot.
Début vraiment "nanar"... chez moi j'aurais tout de suite zappé... mais cela reste une bonne distraction.
Début vraiment "nanar"... chez moi j'aurais tout de suite zappé... mais cela reste une bonne distraction.
tixou0
Nicolas Tuche (pardon, "Cuche"..), 59 ans, quelques apparitions comme acteur mises à part, a fait toute sa carrière de réalisateur dans la "fiction télé", sauf à de très rares occasions - ce "Pourris Gâtés" est son 4e "long" sorti en salles.
C'est une comédie gentillette, tous publics et inoffensive, comme "La Chance de ma vie" (en 2010) - ma seule référence Cuche. Francis Bartek, issu d'une famille d'immigrés polonais, s'est fait tout seul. La soixantaine venue (quand le film commence), il est installé à Monaco, ayant fait fortune dans le BTP. Veuf inconsolable depuis 15 ans, il traîne trois boulets : ses deux fils et sa fille. Cette progéniture (la bonne vingtaine pour la fille, Stella, et Alexandre ; la grosse trentaine pour l'aîné, Philippe) est oisive (la plus importante "activité" étant celle de ce dernier, qui multiplie les projets farfelus, quand le cadet est un éternel - mauvais, très mauvais - étudiant et la benjamine une fille à papa dure avec la domesticité et n'aimant que le "bling bling", comme son "fiancé", le beau Juan Carlos, un Argentin cherchant à se caser). spoiler: Le père en souffre - le père se lance dans une stratégie : il est ruiné, et la famille doit fuir la police ! "Réfugiée" près de Marseille, dans la maison de son enfance (modeste et délabrée), la fratrie Bartek va devoir gagner son pain quotidien !...
Chronique mollassonne (voire poussive), rebondissements téléphonés (Juan Carlos en deus ex machina.... ou pas)... pour illustrer une morale simple : "C'est en forgeant qu'on devient forgeron" - comme Papa, d'artisan-maçon besogneux, était devenu patron prospère, dicton que l'on couplera avec cet autre : "Bon sang ne saurait mentir" (les 3 parasites avaient besoin seulement d'être "motivés", pour se révéler).. Gérard Jugnot fait un pater familias "impliqué" crédible, et Artus un aîné tout aussi crédible (et Tom Leeb, en "Argentin", une prestation à "accent" - un peu comme son talentueux père dans la vraie vie, honorable).
Un bon téléfilm - mais une "fiction" trop "juste" (histoire, mise en scène...) pour faire un film de cinéma convenable.
C'est une comédie gentillette, tous publics et inoffensive, comme "La Chance de ma vie" (en 2010) - ma seule référence Cuche. Francis Bartek, issu d'une famille d'immigrés polonais, s'est fait tout seul. La soixantaine venue (quand le film commence), il est installé à Monaco, ayant fait fortune dans le BTP. Veuf inconsolable depuis 15 ans, il traîne trois boulets : ses deux fils et sa fille. Cette progéniture (la bonne vingtaine pour la fille, Stella, et Alexandre ; la grosse trentaine pour l'aîné, Philippe) est oisive (la plus importante "activité" étant celle de ce dernier, qui multiplie les projets farfelus, quand le cadet est un éternel - mauvais, très mauvais - étudiant et la benjamine une fille à papa dure avec la domesticité et n'aimant que le "bling bling", comme son "fiancé", le beau Juan Carlos, un Argentin cherchant à se caser). spoiler: Le père en souffre - le père se lance dans une stratégie : il est ruiné, et la famille doit fuir la police ! "Réfugiée" près de Marseille, dans la maison de son enfance (modeste et délabrée), la fratrie Bartek va devoir gagner son pain quotidien !...
Chronique mollassonne (voire poussive), rebondissements téléphonés (Juan Carlos en deus ex machina.... ou pas)... pour illustrer une morale simple : "C'est en forgeant qu'on devient forgeron" - comme Papa, d'artisan-maçon besogneux, était devenu patron prospère, dicton que l'on couplera avec cet autre : "Bon sang ne saurait mentir" (les 3 parasites avaient besoin seulement d'être "motivés", pour se révéler).. Gérard Jugnot fait un pater familias "impliqué" crédible, et Artus un aîné tout aussi crédible (et Tom Leeb, en "Argentin", une prestation à "accent" - un peu comme son talentueux père dans la vraie vie, honorable).
Un bon téléfilm - mais une "fiction" trop "juste" (histoire, mise en scène...) pour faire un film de cinéma convenable.
Un film inoffensif et sans surprise. Quelques bonnes répliques au début et puis le film tombe dans un conformisme ennuyeux.
Malheureusement le genre de comédie qui s'oublie vite et qui ne vas pas au fond des choses niveau émotion et psychologie des personnages. dés le début on sait comment le film va finir. Même si le casting est intéressant dommage que le film survole, mise en scene classique, scénario aux rebondissement téléphonés et des dialogues assez courts quand le réalisateur veut faire passer un moment "émotion". je trouve vraiment dommage que ce soit survolé sans relief; reste que les acteur font le minium syndical mais ne sont pas aidé par l’écriture de leur personnage. C'est dommage vu que le postulat de départ est assez fun bref j'ai l'impression de voir un téléfilm basique de tf1 cela tombe bien vu que tf1 fait partie des producteurs de ce film
Comédie agréable qui se laisse regardée. Néanmoins de grosses fausses notes comme le homard apporté par le bras droit du boss, les coucheries d’Alexandre, le mariage avec le maire, l’équipe réunie dans la maison du grand-père, … apportent malheureusement un côté niais gâchant le meilleur. Dommage !
Voilà encore une comédie plan-plan comme la France aime en produire en nombre chaque année, ici avec tonton Jugnot. C'est pas complètement mauvais mais ça ne dépasse jamais le stade du convenu, de l'attendu, du déjà vu, du déjà entendu. Puis quand on commence à faire des gags sur du handicap, sans l'intelligence et la subtilité qui peuvent le permettre, là le film devient même un peu malaisant. Il y a tellement de meilleures choses à voir en salle en ce moment...
Fêtons le cinéma
Le pain à l’huile est dit bourratif. Le film est à son image. Non qu’il cause une quelconque indigestion. Seulement une impression de lourdeur qui dure pendant une heure et demie, puisque cette histoire nous la connaissons déjà. Ses caricatures semblent sorties d’une autre comédie caricaturale, sa morale extraite d’une autre comédie moralisatrice – la même, en l’occurrence – avec un happy end écœurant qui rassemble la famille et punit les méchants. Le pire étant ici la représentation du travail, tantôt dégradant pour l’individu tantôt support à sa féérie intérieure, avec cette scène de danse et de chant simulés pendant le lavage de la salle de restauration. Les gags peuvent nous faire sourire, nous divertir un temps ; pour autant, l’hilarité est évacuée au profit d’une vulgarité gratuite que desservent la réalisation publicitaire et un montage digne des téléréalités diffusées en masse sur les chaînes de la TNT. Un programme « pourri gâté » à l’image des personnages qu’il croque.
Un film très moyen...
Une comédie.....qui m a fait très peu rire...
Dommage!
Les acteurs sont sympas mais la magie n a pas opéré
Une comédie.....qui m a fait très peu rire...
Dommage!
Les acteurs sont sympas mais la magie n a pas opéré
PLR
Une fable familiale avec, comme il convient, la morale qui va bien. Gérard Jugnot nous ayant habitué aux rôles d’un personnage sympathique, le spectateur n’a pas de mal à compatir aux tracas de ce père ayant réussi en affaires mais ayant, par trop de facilités matérielles, raté certaines choses dans l’éducation de ses enfants. C’est le genre de sujet qui, au moins en tant qu’observateur, parle à tout le monde. En n’y prenant pas assez garde, tout un chacun peut rapidement avoir les mêmes à la maison. Le scénario reste toutefois assez superficiel. On est dans la comédie, pas dans l’analyse socio-éducative.
FaRem
"Pourris gâtés" est l'adaptation du film mexicain "Nosotros los Nobles" de Gary Alazraki sorti il y a près de dix ans. Une adaptation qui est fidèle dans les grandes lignes, mais qui est bien évidemment adaptée à notre culture. Dans ce film, Gérard Jugnot incarne un père qui décide de donner une leçon à ses enfants pourris gâtés sauf que cela va se retourner contre lui. Francis en a marre que ses trois enfants, Stella, Philippe et Alex, ne fassent rien de leur vie et vivent à ses crochets, donc il décide de leur faire croire qu'ils sont ruinés et recherchés par la brigade financière, ce qui est les oblige à se mettre au vert à... Marseille. Son objectif est de les obliger à travailler et de les faire comprendre la valeur de l'argent. Le film est évidemment plein de clichés puisque c'est le principe de l'histoire de se moquer de ces enfants pourris gâtés qui découvrent la "vraie vie". Cependant, il n'y a rien de bien méchant à ce niveau-là et on a déjà vu pire dans certaines comédies françaises. Si les personnages sont stéréotypés et que certains traits de leur personnalité sont exagérés, on pourrait facilement imaginer ce genre de situations avec de vrais gosses de riches. C'est pour cela que le film n'est pas forcément honteux et moins mauvais que ce à quoi je m'attendais. Pour autant, je ne l'ai pas trouvé terrible, car il n'y a rien de drôle et que l'histoire est totalement prévisible.
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