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Votre avis sur Pourris gâtés ?
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Petit film hexagonal gentillet...ça se laisse regarder en famille et vous arrache 2-3 sourires. Dispensable.
Quel navet ! Le scénario est cousu de fil blanc, les acteurs en dehors de Gérard Jugnot sont mauvais, comme toujours ils en font trop et ne sont pas crédibles, ils récitent... Pauvre cinéma français comme tu es devenu nullissime !
Ca dégouline de bons sentiments, 3 jeunes élevés par leur père débordé par son boulot se conduisent comme des abrutis paresseux, dépensiers, vivant aux crochets de leur père doivent se débrouiller pour vivre sans argent, et oui, encore une fois... c’est une histoire vue et revue...
Je n’ai ni ri ni souri, je me suis ennuyée mais comme il faisait trop chaud je suis restée nusqu’au bout et j’ai un peu somnolé....
Ca dégouline de bons sentiments, 3 jeunes élevés par leur père débordé par son boulot se conduisent comme des abrutis paresseux, dépensiers, vivant aux crochets de leur père doivent se débrouiller pour vivre sans argent, et oui, encore une fois... c’est une histoire vue et revue...
Je n’ai ni ri ni souri, je me suis ennuyée mais comme il faisait trop chaud je suis restée nusqu’au bout et j’ai un peu somnolé....
Le film part avec de bonnes intentions mais la mise en pratique laisse à désirer. Dommage l'idée a du potentiel.
ManoCornuta
Il est apparu très vite que cette comédie sociale n'allait pas forcément creuser bien loin son sillon. Le résultat est très gentillet, misant surtout sur le capital sympathie de ses comédiens (Jugnot et Artus en tête) et sur quelques lignes de texte bien envoyées, mais les situations s'enchaînent sans aller chercher le mordant ou le délire auxquels on aurait pu s'attendre. L'impression d'avoir laissé le frein à main dans bon nombre de séquences, qui fait que la brièveté du film en devient un avantage en nous épargnant des prolongations inutiles. Ça occupe.
Comédie classique, amusante, mais pas vraiment saillante. Tout est dans le titre, c’est cliché et on connait les grandes lignes du scénario et la fin dès la base posée. Face à Gérard Jugnot, Camille Lou, Artus, Louka Meliava et Tom Leeb sont plutôt bons malgré des personnages bien trop stéréotypés.
Une énième comédie où tout est balisé, un récit dont la fin est déjà attendue.
Peu importe, ça ne me dérange pas si le récit est prenant.
Ce qui n'est pas le cas ici.
Evidemment, on peut débattre sur le comportement du père, je fais partie de ceux qui lui trouvent des circonstances atténuantes.
Evidemment, au-delà d’amener ses enfants à prendre conscience de la valeur travail, cette retraite permet de retrouver le sens de la famille. De se découvrir. Mais dans l’ensemble, c’est assez superficiel, d’autant seuls les reproches faits au père nourrissent les conversations.
Alors, oui, c’est vrai, c’est une comédie qui remplit sa mission de grossir le trait des tares de notre société, de s’amuser des clichés mais allez savoir, « Pourris gâtés » ne fonctionne pas sur moi.
Par contre, je veux bien croire que le réalisateur s’approche d’une certaine réalité. Combien sommes-nous à en avoir côtoyés, de ces pourris gâtés méprisants, de près ou de loin ? J’en ai connu des comportements qui sont semblables à Stella (Camille Lou).
Il suffit aussi de lire ou voir des réactions de quelques politiques, d’artistes, d’influenceuses qui se la jouent. Avec des réflexions sincères ou maladroites déconnectées des réalités.
Faut-il rejeter la faute à un père absent, veuf de surcroit ?! Les pauvres, ils sont innocents !
En tout cas, je préfère de loin « Pourris gâtés » à « Mystère à Saint-Tropez » dans la hiérarchie de ces comédies françaises bien superficielles et qui ont pour ambition de m’amuser.
Peu importe, ça ne me dérange pas si le récit est prenant.
Ce qui n'est pas le cas ici.
Evidemment, on peut débattre sur le comportement du père, je fais partie de ceux qui lui trouvent des circonstances atténuantes.
Evidemment, au-delà d’amener ses enfants à prendre conscience de la valeur travail, cette retraite permet de retrouver le sens de la famille. De se découvrir. Mais dans l’ensemble, c’est assez superficiel, d’autant seuls les reproches faits au père nourrissent les conversations.
Alors, oui, c’est vrai, c’est une comédie qui remplit sa mission de grossir le trait des tares de notre société, de s’amuser des clichés mais allez savoir, « Pourris gâtés » ne fonctionne pas sur moi.
Par contre, je veux bien croire que le réalisateur s’approche d’une certaine réalité. Combien sommes-nous à en avoir côtoyés, de ces pourris gâtés méprisants, de près ou de loin ? J’en ai connu des comportements qui sont semblables à Stella (Camille Lou).
Il suffit aussi de lire ou voir des réactions de quelques politiques, d’artistes, d’influenceuses qui se la jouent. Avec des réflexions sincères ou maladroites déconnectées des réalités.
Faut-il rejeter la faute à un père absent, veuf de surcroit ?! Les pauvres, ils sont innocents !
En tout cas, je préfère de loin « Pourris gâtés » à « Mystère à Saint-Tropez » dans la hiérarchie de ces comédies françaises bien superficielles et qui ont pour ambition de m’amuser.
Petite fable humoristique, pas désagréable à regarder grâce aux actrices et acteurs plutôt sympathiques, mais légère voire douteuse quant à la transmutation expresse de ces véritables bons à rien sans éthique en superbes personnes actives et respectables. J'ai trouvé Tom Leeb (que je ne connaissais pas) étonnamment assez incroyable.
Une comédie française qui se laisse regarder mais qui n'a rien d'innovante. Beaucoup de clichés. Des situations invraisemblables. Les personnages restent sympathiques mais ce n'est pas assez pour rendre ce film vraiment intéressant.
Petite comédie sans prétention mais qui ne va pas au bout de ses idées, on dirait une sorte de brouillon. dommage car il y avait du potentiel notamment du côté de la distribution.
Le début du film laissait augurer du pire avec ces trois enfants dilapidant la fortune de leur père (Gérard Jugnot) qui va trouver un moyen de se venger : ils doivent dorénavant subvenir à leurs besoins. Comme vous l'aurez compris, le scénario n'est guère innovant mais la catastrophe est évitée avec des comédiens crédibles (je pense principalement à Camille Lou). On passe un moment de divertissement moyen du fait des gags assez inégaux dans leur potentiel comique. Une énième comédie tout juste passable sur la valeur du travail.
Film qui, faute d'être brillant, est correct et fait le job. Échec en salle, il cartonne sur Netflix dans de nombreux pays. Ce n'est pas immérité car si on debranche son cerveau, c'est un produit honnête.
La comédie française habituelle, avec une bonne idée sur le papier, des acteurs reconnus mais un traitement poussif et un manque d'inspiration dans le scénario ou dans les dialogues.
Il ne se passe rien qui nous surprenne et la morale est tellement convenue, simpliste qu'elle en est sans intérêt.
Bien sûr il y a toujours deux-trois sourires et des scènes un peu plus inventives pour passer le temps.
Il ne se passe rien qui nous surprenne et la morale est tellement convenue, simpliste qu'elle en est sans intérêt.
Bien sûr il y a toujours deux-trois sourires et des scènes un peu plus inventives pour passer le temps.
Une comédie gentillette à l'humour léger et quelques situations cocasses. Niveau interprétation c'est acceptable.
Par contre le scénario prévisible et le message simpliste (sur la richesse opposé à la simplicité de la vie) pourraient décevoir qui rechercheraient un film à la critique plus poussée.
Au final, ""pourris gâtés" est un film divertissant permettant de passer du bon temps malgré des personnages un peu trop stéréotypés.
Par contre le scénario prévisible et le message simpliste (sur la richesse opposé à la simplicité de la vie) pourraient décevoir qui rechercheraient un film à la critique plus poussée.
Au final, ""pourris gâtés" est un film divertissant permettant de passer du bon temps malgré des personnages un peu trop stéréotypés.
L'idée de base est amusante. Mais le film est finalement moins une comédie qu'un feel good movie. On rigole surtout durant la première partie du film.
Mais Pourris gâtés vaut surtout pour ses acteurs, tous bons bons dans leur rôle.
A regarder pour qui veut une dose de bons sentiments, plus que des barres de rire.
Mais Pourris gâtés vaut surtout pour ses acteurs, tous bons bons dans leur rôle.
A regarder pour qui veut une dose de bons sentiments, plus que des barres de rire.
Les sales gosses
Nicolas Cuche, c’est La Chance de ma vie, Prêt à tout, Après moi le bonheur,… bref que du très mauvais ! Ça ne donnait pas vraiment envie de remettre le couvert. Eh bien ces 95 minutes, sans faire dans le génie, sont moins pires que prévu. Paresseux, capricieux, fêtards, les trois enfants de l’homme d'affaires Francis Bartek ne font rien de leur vie, à part dépenser l’argent que leur père a durement gagné. Lassé par leur comportement, celui-ci leur fait croire qu’ils sont totalement ruinés, les forçant ainsi à faire l’impensable: travailler ! On est très loin du chef d’œuvre, même de la comédie de l’année. C’est plan-plan, parfois vulgaire, mais quand l’émotion affleure, on se dit pourquoi pas. Bon, cette réserve positive posée, c’est le type même du film évitable.
Les problématiques de départ sont intéressantes : les difficultés de transmission entre génération. Comment donner le goût de l’effort et du travail à des jeunes qui ont peut-être, grâce à leurs parents, une vie plus facile ? Comment faire face aux tentations des marques, de la mode, de la surconsommation ? Reste que les caricatures des 3 enfants sont à la limite du supportable : L’aîné qui tente de marcher sur les traces de son père dans le business mais qui est velléitaire et nul, la fille à papa gâtée, totalement écervelée, et le petit dernier soi-disant anarchiste qui est dans le rejet du système et de l’argent mais qui en profite à fond. Type même de la comédie feel good à la française pleine de beaux sentiments, le film prend un soupçon d’intérêt quand la farce se retourne contre le farceur. Tout cela ne tient qu’à la qualité du casting qui sauve les meubles de ce qui aurait pu s’avérer un monument de laideur et de vulgarité. Mais il y a tellement mieux, tellement plus important, tellement plus grand sur nos écrans en ce moment que le choix est vite fait.
Gérard Jugnot, à lui seul, sauve une grande partie de l’entreprise. Très sobre, il campe un père désemparé et piégé. Un rôle plus nuancé que tous les autres. Car côté Camille Lou, Artus et Louka Meliava, on charge la mule avec délectation. Tom Leeb, lui aussi en fait des tonnes en beau gosse prédateur. Reste l’excellent François Morel qui s’avère un acteur d’une subtilité infinie. A quand un grand rôle pour ce merveilleux acteur ? Voilà, tout est dit. Il faut aussi savoir parler des mauvais films, même si, celui-ci n’est pas entièrement à jeter aux orties.
Nicolas Cuche, c’est La Chance de ma vie, Prêt à tout, Après moi le bonheur,… bref que du très mauvais ! Ça ne donnait pas vraiment envie de remettre le couvert. Eh bien ces 95 minutes, sans faire dans le génie, sont moins pires que prévu. Paresseux, capricieux, fêtards, les trois enfants de l’homme d'affaires Francis Bartek ne font rien de leur vie, à part dépenser l’argent que leur père a durement gagné. Lassé par leur comportement, celui-ci leur fait croire qu’ils sont totalement ruinés, les forçant ainsi à faire l’impensable: travailler ! On est très loin du chef d’œuvre, même de la comédie de l’année. C’est plan-plan, parfois vulgaire, mais quand l’émotion affleure, on se dit pourquoi pas. Bon, cette réserve positive posée, c’est le type même du film évitable.
Les problématiques de départ sont intéressantes : les difficultés de transmission entre génération. Comment donner le goût de l’effort et du travail à des jeunes qui ont peut-être, grâce à leurs parents, une vie plus facile ? Comment faire face aux tentations des marques, de la mode, de la surconsommation ? Reste que les caricatures des 3 enfants sont à la limite du supportable : L’aîné qui tente de marcher sur les traces de son père dans le business mais qui est velléitaire et nul, la fille à papa gâtée, totalement écervelée, et le petit dernier soi-disant anarchiste qui est dans le rejet du système et de l’argent mais qui en profite à fond. Type même de la comédie feel good à la française pleine de beaux sentiments, le film prend un soupçon d’intérêt quand la farce se retourne contre le farceur. Tout cela ne tient qu’à la qualité du casting qui sauve les meubles de ce qui aurait pu s’avérer un monument de laideur et de vulgarité. Mais il y a tellement mieux, tellement plus important, tellement plus grand sur nos écrans en ce moment que le choix est vite fait.
Gérard Jugnot, à lui seul, sauve une grande partie de l’entreprise. Très sobre, il campe un père désemparé et piégé. Un rôle plus nuancé que tous les autres. Car côté Camille Lou, Artus et Louka Meliava, on charge la mule avec délectation. Tom Leeb, lui aussi en fait des tonnes en beau gosse prédateur. Reste l’excellent François Morel qui s’avère un acteur d’une subtilité infinie. A quand un grand rôle pour ce merveilleux acteur ? Voilà, tout est dit. Il faut aussi savoir parler des mauvais films, même si, celui-ci n’est pas entièrement à jeter aux orties.
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