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Vannouschka h
1 abonné
4 critiques
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0,5
Publiée le 31 mai 2024
Je ne comprends pas Qu'on m'explique cette palme ? je dois être stupide ok y a du gore mais les adeptes du genre ont dû s'ennuyer ok y a Vincent Lindon mais c'est bien la première fois qu'il me laisse de marbre et pour le reste ben rien ou presque, une musique peut-être certes aussi une actrice qui j'espère s'est fait plaisir avec ce tournage car son personnage est vide, ne véhicule -c'est le cas de le dire!!!- rien... juste du tape à l'oeil
Film dingue. Film beau. Violent, crasseux, dérangeant . Film émouvant, poétique et renversant. Ce film a tout pour lui, une image magnifique, une musique splendide et surtout des acteurs exceptionnels au service d'une histoire non-conventionelle. Accrochez-vous à votre canapé et regardez 'Titane' vous n'en ressortirez pas indifférents.
Alexia danseuse sexy dans des rassemblements de tuning a des pulsions meurtrières et d'automutilation. Recherchée par la police pour ses crimes, elle se fait passer pour un jeune homme porté disparu depuis 10 ans.
La première demi-heure enchaîne les scènes de violence et de sexe. La demi-heure suivante met en scène des "retrouvailles" invraisemblables où la violence domine entre un père et son fils supposé. La troisième partie nous plonge dans des scènes toujours plus improbables les unes que les autres, toujours sur fond de musique pop ou de cathédrale. Tout sonne faux, entre outrances et invraisemblances. Le dessin des personnages est bâclé, plus que parcellaire. On ne saisit pas leur psychologie. Même l'excellent Vincent Lindon sonne faux dans son personnage de père, de pompier et d'homme vieillissant.
Si on se réjouit pour Julia Ducournau qu'elle ait reçu la Palme d'Or (Cannes 2021), on ne saisit pas bien la raison de cet honneur.
Titane n'est pas le pire film que j'aie vu mais certainement un des plus dérangeants. Malaisants. Si tel était le but, c'est parfaitement réussi. Violence, folie, noirceur et...incompréhension sont les maîtres mots. Rien n'est "normal", comme cette "boum" chez les pompiers qui semble être un mix entre pogo punk et ambiance de bar gay. J'en ressors très dubitatif sur l'état de santé de la réalisatrice.
Film très dérangeant qui casse les codes habituels du cinéma de genre. Très esthétique, il réussi à nous captiver de bout en bout, avec un certain écœurement il faut bien le dire. La rupture du récit initial déboussole. Ce qui commence comme un thriller cybernétique se finit en une quête d'identité et de liens familiaux. La violence, la déviance psychique, l'homosexualité, le transformisme et la chair sont ici exploités sans retenue ni morale pour servir des buts narratifs peu évidents (notamment l'obsession mécanique du personnage principal). Même si tout est invraisemblable et que le spectateur doit formuler ses propres réponses, il y a une relative cohérence dans ce scénario ubuesque (celle des dégâts des blessures d'enfance et de leur réparation). Les deux acteurs principaux sont primitivement excellents. L'ambiance générale et la bande son mérite le détour par cette œuvre si originale.
On pourra se persuader de trouver tout ce que l'on veut dans Titane... À condition d'y chercher quelque chose. Mais au final, que reste-t-il si ce n'est le sentiment d'un film plus que bancal, au scénario et aux dialogues insignifiants ? Un film "petit budget", tant dans les idées que les moyens mais tellement prompt à étonner un jury, fasciné depuis toujours par la simple idée de la provocation... Qui plus est et dans le cas présent, même la description du corps des pompiers en est une. Je ne sais pas si ces derniers auront apprécié...
Beaucoup de bruit pour rien. On choque vite Cannes avec peu. Le film est tout de même pas mal mais vu la presse dithyrambique on s’attendait à beaucoup. Un peu de trash, un peu lent aussi et des acteurs pas très inspirés, je ne suis décidément pas fan de Ducournau.
Je pensais passer un bon moment en regardant Titane primé à Cannes.Ben j'aurais mieux fait de faire autre chose. Il faut m'expliquer comment un film comme celui ci peut etre lauréat de la palme d'or du festival de Cannes...Je trouve que ca enleve du crédit à ce prix que de récompenser un film aussi décousu, sans sénario sans émotions et avec de la violence gratuite qui n'aboutit à pas grand chose.Bref, je cherche encore la morale de ce film... Courage à ceux qui auront l'envie de le regarder
Ce film est d'une laideur sans freins, et d'un grotesque fier de lui. je l'ai regardé du début à la fin avec un rictus de dégoût, et un petit sourire en coin parcque Palme d'or en plus ! Chapeau a ceux qui aiment ça, vous êtes l'avenir du cinéma, non je plaisante. Et La femme est l'avenir de l'homme, car beaucoup mettaient en avant le fait que ça faisait longtemps qu'une réalisatrice n'avait pas eu la palme d'or, et bien si ils en sont fiers avec ce film là, c'est tragi-comique à souhait.
Difficile d'aimer un tel film, violent, gore, répulsif même qui malgré ses évocations allégoriques, le soin de la mise en scène et le jeu des acteurs a du mal à faire passer un message et même donner matière à réfléchir
J'y suis allé sans aucun a priori, sans rien savoir. J'ai été choqué, surpris et heurté, mais j'en garde que des sensations positives. Ducournau provoque des frissons, veut qu'on détourne le regard pour nous mettre face à nos propres limites. Elle questionne la pudeur, l'immontrable et par-là le rapport au corps. Le scénario sert parfaitement l'image, et nous amène d'un univers à l'autre, sans transition. Une expérience à faire.
"Titane" n’est pas un film d’horreur mais un cinéma expérimental totalement impur, mélangeant métal, cambouis, flammes et larmes avec des scènes trashs , des obsessions autour du meurtre, de la monstruosité du corps de la femme enceinte pour quel accouchement ? un monstre mi titante, mi homme C’est le chef d’œuvre du gore, la palme d’Or du mazout, la répulsion d’un « film d’auteur » qui ne peut pas trouver son public
Découvre tardivement cette Palme d'or 2021, à l'occasion de son passage sur ARTE – tardivement, pour cause de terrorisme covidiste à l'époque. Partagée entre rire (jaune) et consternation ! L' « oeuvre » distinguée par le jury cannois , c'est du Julia Ducournau à 100 % (réalisation, mais aussi scénario et même « dialogues » - sic pour ces derniers, qui plus est inaudibles). Elle a alors à peine dépassé le milieu de la trentaine, et ce n'est que son deuxième « long » de cinéma, après un « Grave », déjà horrifique et peu appétant (hum...) au « pitch ». Pas vu – et quant à ce « Titane », souhaite qu'il soit plutôt son second opus ! C'est quoi, « Titane » ? Du sous sous Cronenberg. Et au mieux, dans l'intention, une fable futuriste sur le transhumanisme (beurk !), empruntant les codes du film d'horreur grand guignolesque. Le tout est mal foutu, et mal joué - « palme » à Vincent Lindon, en pompier - chichiteux et ridicule aux effets (d'où la rigolade... jaune). Vite... à oublier.
Première fois que je m'évanouis devant un film à cause de sa violence et du malaise qu'il m'inspire. Je ne dis donc pas que j'ai à proprement parler aimé le regarder, mais je reconnais qu'on a là une proposition artistique forte et majeure (indépendamment du discours de la réalisatrice sur l'"inclusivité" et notre "besoin de monstres", qui ne me convainc guère). Je croyais que ce film ne méritait pas la palme d'or, et je conviens que j'ai eu tort : c'est une palme d'or valable.