Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Avec ce film, Thorn s’émancipe du documentaire pur jus et s’aventure en terre poétique. Et c’est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Thorn ne fait pas dans la nostalgie : il filme ses amis aujourd’hui, ceux qu’on voyait dans ses films, mais aussi leurs descendants et leurs activités engagées à leur manière, parce que l’engagement peut changer de forme et s'exprimer par le spectacle, la danse (...) [U]n très joli film, poétique et politique, mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
[...] l’Âcre Parfum des immortelles n’évite volontairement aucun écueil discursif ni formel. On a pourtant envie de l’aimer, de lui répondre [...] ou d’engager avec lui la conversation [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Éric Derobert
[Jean-Pierre Thorn] évoque Joëlle, son bel amour de jeunesse. [...] Le film devient déchirant, et Joëlle, immortelle.
Télérama
par Mathilde Blottière
Allant et venant entre les images d’archives et aujourd’hui, entre le politique et le poétique, le collectif et l’intime, le cinéaste retrouve, en même temps que la trace d’une histoire d’amour tragiquement finie, celle de camarades militants perdus de vue. Avec cette double quête, Jean-Pierre Thorn ravive le désir de changer la vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Ce n’est pas un documentaire sur des rêves souvent brisés. C’est du cinéma poétique, chargé d’espoir, qui, comme ces fleurs des dunes, les immortelles, refuse de mourir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Retour, tout à la fois, sur une vie de cinéma et de militantisme, et sur le souvenir d’une femme aimée et disparue à l’âge de 25 ans : Jean-Pierre Thorn opère la jonction entre les luttes et les temporalités dans ce documentaire modeste et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par Mathieu Macheret
La plus belle part du film réside dans ce mouvement de balancier qui rapporte sans cesse les espoirs du passé aux béances du présent, même si la tentation explicite de la poésie a parfois tendance à figer l’ensemble sous le sceau d’un certain romantisme.
L'Humanité
Avec ce film, Thorn s’émancipe du documentaire pur jus et s’aventure en terre poétique. Et c’est bouleversant.
Les Inrockuptibles
Thorn ne fait pas dans la nostalgie : il filme ses amis aujourd’hui, ceux qu’on voyait dans ses films, mais aussi leurs descendants et leurs activités engagées à leur manière, parce que l’engagement peut changer de forme et s'exprimer par le spectacle, la danse (...) [U]n très joli film, poétique et politique, mélancolique.
Libération
[...] l’Âcre Parfum des immortelles n’évite volontairement aucun écueil discursif ni formel. On a pourtant envie de l’aimer, de lui répondre [...] ou d’engager avec lui la conversation [...].
Positif
[Jean-Pierre Thorn] évoque Joëlle, son bel amour de jeunesse. [...] Le film devient déchirant, et Joëlle, immortelle.
Télérama
Allant et venant entre les images d’archives et aujourd’hui, entre le politique et le poétique, le collectif et l’intime, le cinéaste retrouve, en même temps que la trace d’une histoire d’amour tragiquement finie, celle de camarades militants perdus de vue. Avec cette double quête, Jean-Pierre Thorn ravive le désir de changer la vie.
L'Obs
Ce n’est pas un documentaire sur des rêves souvent brisés. C’est du cinéma poétique, chargé d’espoir, qui, comme ces fleurs des dunes, les immortelles, refuse de mourir.
Les Fiches du Cinéma
Retour, tout à la fois, sur une vie de cinéma et de militantisme, et sur le souvenir d’une femme aimée et disparue à l’âge de 25 ans : Jean-Pierre Thorn opère la jonction entre les luttes et les temporalités dans ce documentaire modeste et émouvant.
Le Monde
La plus belle part du film réside dans ce mouvement de balancier qui rapporte sans cesse les espoirs du passé aux béances du présent, même si la tentation explicite de la poésie a parfois tendance à figer l’ensemble sous le sceau d’un certain romantisme.