Vu en VOSTFR, j'étais très très curieux de voir ce film je reconnais de part cette histoire d'une femme qui à une vie de rêve mais qui petit à petit voit ce monde sous un autre oeil quand des souvenirs reviennent à la surface!!! Un jolie casting avec Florence Pugh que je trouve aussi charmante que bonne actrice, Chris Pine, Olivia Wilde et Harry Styles... le film part donc sur ce "monde" parfait et assez rapidement cela part en sucette et on ce demande si la demoiselle va arrivé à s'en sortir, qui collabore à ce mensonge énorme. On nous donne du grain à moudre avec certains personnages et on à une part de mystère bienvenue. Perso la bande annonce en balance trop, cela gâche un peu et c'est dommage je trouve mais bon c'est la mode de montrer le plus pour attirer...je préfère être surpris mais c'est ainsi bref...Ici Miss Pugh est l'attraction principal et elle rayonne dans cette immense mensonge ; bon mon côté fan de super héros, je la voyais bien défoncer la tête du chef et des autres gus (oui c'est la soeur de feut Black widow!!!) mais elle se défend à sa façon et on espère vraiment qu'elle va réussir à ce barrer de cette endroit qui cache bien des secrets et moi même je me suis fais avoir. En tous cas super film plein de suspense à voir absolument. Alors je me suis peut être fais avoir en partant trop tôt car scène post générique possible... NOTE : 9/10
Un des meilleurs films que j'ai eu la chance de voir, c'est un triller psychologique incroyable et il y a des rebondissements qui sont tellement inattendus !
Un film très prenant, basé sur un récit qui ne se permet que peu de lenteurs. On est crispés sur notre siège pendant une bonne partie de l'intrigue, qui mêle habilement les émotions pour nous perturber.
ÉPOUSTOUFLANT !!!! Un film incroyable de maîtrise, une ambiance anxiogène, une actrice fascinante et qui mérite un oscar, la naissance d'une réalisatrice.
J'adoré ce film. Il est vraiment trop bien. À revoir. Et Harry Styles est un de mes chanteurs préférés et son rôle est parfait comme Florence Pugh aussi
Vu en V.O. Ce film est une belle trouvaille visuelle. La réalisation est impeccable, soignée, rythmée. Le scénario bien travaillé. J'ai adoré chaque moments, Florence y est clairement une très belle révélation, Harry Styles aussi (même si j'en doutais un peu).
Un suburb américain idéal, des véhicules et une playlist typés années 50, ainsi que de parfaites épouses qui s'occupent du foyer pendant que leurs gentils maris vont travailler. Ici tout est réglé comme du papier à musique et le bonheur amplit l'air d'un doux parfum de perfection. Il ne manque que la pierre pour faire grincer cet engrenage trop bien huilé : et justement la réalisatrice laisse une atmosphère d'étrangeté s'installer peu à peu dans cette communauté isolée et à l'épanouissement apparent. Un paradis... doré ? Peu à peu les visions / souvenirs s'imposent jusqu'au basculement, basculement qui ne surprendra que bien peu, malheureusement, et qui s'enlise dans une morale trop intuitive et attendue, un rien tarabiscotée. Cependant, sans être immense, la réalisation tient la route et porte le film. Piochant à la fois dans the Truman show ou d'autres productions dans le genrel, avec quelques allures matrixiennes concernant la distorsion de la réalité, Don't worry darling se veut être à la fois métaphore de la condition féminine et du fascisme, mettant les deux dos à dos. Le renfermement, la psychose, les secrets et l'intolérance à la dissidence restant, sans doute, des points communs à ses deux états de fait.
Après avoir vu plusieurs milliers de références cinématographiques telles que cars, étant cinéphile, j'eu l'espoir de voir un thriller psychologique sortant du lot. Avec Harry Styles on peut s'attendre à tout. À mon grand désespoir c'était d'une nullité sans faille. Mis à part les scènes un peu holé holé non pas déplaisante. Aucune leçon de morale. Puis la gente féminine est toujours aussi peu intrigante ne sachant toujours pas conduire. Pass région si vous passez remboursez moi svp
Vu une majorité de bonne critique, j'ai été malheureusement influencé et aussi hypé par l'excellente bande annonce qui vendait du lourd...et bien le lourd est bien là mais pas pour le bon. Dommage la photo et les décors sont bien plantés mais le scénario et la mise en scène est une purge total, je me suis vraiment tordu le cerveau pour rentrer dedans et y croire. J'ai vraiment eu le sentiment d'un réel manque de cohérence pour défendre les choix artistiques infligés. Pour moi un trop gros bonbon indigeste pour en faire le bon thriller compréhensible que j'espérais. Un manque de respect qui mérite ma dure critique My DARLING.
Fêtez la journée mondiale du rêve ce 25 septembre. Allez voir Don't Worry Darling! World Dream Day... "Life could be dream" dit la chanson du générique de fin. C'est aussi le résumé du film... Avant, ça craint un peu
L'intérêt numéro 1 du film est Harry Styles, qui est craquant sous tous les angles. On comprend que la réalisatrice s'en soit amourachée ! Sérieusement, son rôle est loin du rôle (nul) qu'il avait dans le film Dunkerque. Et dans ce rôle-là il est super. Intérêt numéro 1 parce que le film lui-même est un peu éloigné de ce que dit le battage publicitaire (c'est Get Out plus Black Swann). Mais c'est pas mal quand même. Le début du film est prometteur : on sent bien un trouble s'installer, venant de la soumission diffuse ça et là des personnages, venant des discours tenus par le gourou du lieu (joué par Chris Pine), venant des hallucinations d'une épouse, le personnage principal du film (joué par Florence Pugh). D'où vient cette soumission ? Les discours du gourou sont-ils honnêtes ? Les hallucinations en sont-elles vraiment ? Cette épouse, qu'on fait passer pour folle, l'est-elle vraiment ? Elle fait penser au "numéro 6" de la série "Le Prisonnier" (1968) : il se déclarait libre envers et contre tout, malgré un ballon gardien qui rattrapait les évadés. Le numéro 1 voulait des "renseignements" (on ne saura jamais lesquels). Ici, le numéro 1 est ce gourou, qui demande trop souvent "es-tu ce que tu prétends être ?", "es-tu loyal?" (questions intéressantes au passage). Il adore l'ordre, sans lequel tout n'est que chaos. Mais dans ses arrière-cuisines, on saurait comment vaincre le chaos du genre humain, remettre de l'ordre dans une vie, quitte à créer des souvenirs (des souvenirs d'ordre et de bonheur), c'est-à-dire en créant des univers de vie. Ces choses excitent l'imagination du spectateur et font peur. L'épouse doute, elle semble seule. Les ingrédients de la peur sont là. Mais ce début prometteur ne se poursuit pas dans la simplicité. On glisse dans la confusion entre le réel, les hallucinations et les flashbacks. Et surtout, du pur point de vue de la progression du film, dans des répétitions qui en font la longueur et la perte d'intérêt. La fin est même incompréhensible. "Life could be dream" dit la chanson du générique de fin. A.G.
Les premières minutes (même la première heure) de film sont immersives, l'atmosphère est à la fois pop et angoissante, l'horreur réside dans la subtilité d'un univers de perfection vintage et fantasmé, résolument superficiel. Les visuels , les sons, instaurent un cadre et un suspense qui préludait une chute à haute tension. Et arrive cette scène du miroir ... et du dîner. Où toute intention subtile se crash dans une énième propagande féministe. Et si 80% des créations audiovisuelles n'étaient pas consacrés au bashing peu subtile d'hommes blancs hétérosexuels qui nuisent aux droits fondamentaux des femmes , oppressées et opprimées systématiquement par ces derniers , j'aurais été peut être plus tolérant... Mais quand la morale finale explicite que la libération existentielle de cette femme réside dans la mort de son mari (pitoyable et égoïste) et qu'elle ne peut être libre qu'émancipé de sa vie de couple ... je trouve ça exaspérant. Mais quelle vision caricaturale et cynique de la vie de couple. La femme inexorablement soumise si elle souhaite subsister dans une vie amoureuse avec son homme ? On a l'impression que la production à une vision quelque peu erroné du réel (qui est loin d'être idyllique et parfait). Mais visiblement, mesdames entre amour et liberté , vous devrez faire systématiquement un choix... (Dans le film cela se justifie complètement, il l'a emprisonné contre son gré...)
La scène du dîner où étrangement Alice effectue les corrélations nécessaires à lever le voile sur la mascarade qui se joue est ... bâclé. Aucun suspense , aucune subtilité. On se demande comment elle est parvenue à découvrir ça en un citron coupé et un verre de vin.
La course poursuite finale n'a rien d'haletante, je me suis surtout demandé quand est ce qu'on arriverait au bout (car le désert semblait interminable et sans danger particulier) Et le final ... et bien, le gourou du monde imaginaire meurt des mains de sa femme qui n'attendait que ce jour pour le tuer et Alice est heureuse et danse dans son salon car enfin libérée de son hétérosexuel cis genre oppresseur (d'un égoïsme effarant je le rappelle).
On aboutit donc à un Black Mirror moralisateur sur les dangers d'un homme égoïste et pitoyable qui a embarqué sa femme dans un univers qu'il considérait idyllique dans l'espoir de lui apporter une vie meilleure et dont l'émancipation de cette dernière réside dans la mort pur et simple de ce dernier. L'ironie c'est la mise en garde contre les nouvelles technologies, et la fuite dans un monde virtuel pour s'émanciper du réel. Malheureusement, c'est à force de fuir dans le digital et l'irréel que l'on est plus capable d'appréhender des relations homme-femmes saines , et que l'on se retrouve toutes les semaines avec un nouveau film-message de sensibilisation "attention aux méchants blancs".