Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
45 critiques presse
Bande à part
par Mary Noelle Dana
Babylon est un miracle de film qui fait écho au passé, reflète le présent, et raconte, comme seul le cinéma peut le faire, notre capacité au meilleur et au pire.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par J.B.
On ressent, à chaque instant, qu'être spectateur est magique.
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
"Babylon" est de ces films qui présentent une architecture si vertigineuse, une telle profusion dans leur expression qu’il est alors difficile de rendre par les seuls mots ce foisonnement de sons et d’images. [...] On pourra lui reprocher sa surenchère et son rythme harassant mais il ne s’agit finalement que du prix à payer pour goûter à cet état de sidération.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Fresque flamboyante, excessive et démesurée, Babylon est une célébration extraordinaire de la grandeur du cinéma, emporté dans un tourbillon de fêtes extravagantes, de décadence sans limite.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film magistral, cruel, flamboyant.
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Démesuré, renversant, Babylon est un bordel virtuose, 3h10 d’un maelström d’émotions vertigineux sur la grandeur et la décadence d'Hollywood avec une Margot Robbie possédée qui n’a jamais été aussi magnétique.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Il faut voir comment Damien Chazelle utilise finalement tous les artifices du cinéma pour réussir une fresque de trois heures à la fois lumineuse, grotesque et tragique pour arriver à prouver, particulièrement dans son ultime chapitre, que le septième art se révélera éternellement plus grand que ceux qui le font.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
C’est un grand spectacle hédoniste et un divertissement iconoclaste comme en filmait Federico Fellini, un éblouissant cirque rococo aux images luxuriantes, magnifiquement filmé.
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Babylon est un film excessif, chaotique, merveilleusement orchestré, brillamment incarné, épuisant, enivrant, fascinant, troublant, ambitieux, tragique, amusant, émouvant, épileptique, fragmenté, musical.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par La Rédaction
Aux manettes, le réalisateur Damien Chazelle fait merveille en jouant avec les méthodes utilisées à l’époque : peu d’effets spéciaux, beaucoup de figurants, un tournage en 35 mm et en Cinémascope, et de la déraison à revendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Cette fiction hors norme, incarnée par Brad Pitt et Margot Robbie, confirme le talent inclassable de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Emmanuel Tellier
Avec son cinquième long-métrage, le Franco-Américain Damien Chazelle livre une orgie visuelle (de plus de trois heures) d’une qualité et d’une énergie enthousiasmantes. Un très grand film !
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film d'une incroyable virtuosité.
Public
par Sarah-Lévy Laithier
Le casting, la bande-son, la réalisation, les effets spéciaux sont tout simplement magistraux.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Cette tragédie baroque est du début à la fin captivante, car le réalisateur de « Whiplash » et « La la land » est le maître du rythme. Damien Chazelle ne craint ni excès ni démesure, il affirme une folle liberté de cinéaste, jusqu’à une séquence finale époustouflante.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Dans un impressionnant geste de cinéma parfois aux frontières de l'hystérie, Damien Chazelle signe une fresque chorale électrique sur l'usine à rêves pour mieux lui renvoyer, derrière son glamour, sa face cauchemardesque.
20 Minutes
par Caroline Vié
Damien Chazelle offre un voyage dans le temps spectaculaire avec l’impressionnante fresque Babylon.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Damien Chazelle signe une fresque brillante, audacieuse, foisonnante, brutale et démesurée sur le Hollywood des années 1920-1930, ou quand le cinéma muet allait s’effacer au profit des films parlants.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Renan Cros
Babylon tend à la cinéphilie le visage grimaçant et dégueulasse d’une industrie, Chazelle filme le cœur pourri d’un monde que le temps et les chefs-d’œuvre ont embelli. Toute la beauté tenace de ce film hors norme tient à cette lucidité et donc à la mélancolie de son réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Antoine Desrues
Avec Babylon, Damien Chazelle signe son magnum opus. Un film excessif, dément et courageux, qui regarde Hollywood droit dans les yeux pour en scruter les abîmes... et la lumière.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
De ce grand vertige, on retient notamment les scènes de fêtes (incroyable travail de mise en scène !), des dialogues spirituels et une superbe déclaration d'amour au cinéma.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une reconstitution au cordeau du Hollywood des années 1920, à la mise en scène ébouriffante, et où le réalisateur américain donne un de ses meilleurs rôles à Brad Pitt.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Filant dans le désert, comme une page blanche qui ne demanderait qu'à être griffonnée, le long-métrage retranscrit merveilleusement l'énergie anarchique de cet Hollywood, encore une industrie balbutiante et totalement désorganisée, qui produit à un rythme infernal des productions destinées à tous les publics.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Nicolas Schaller
Pleine de musique et de fluides corporels, cette fresque too much – trop exaltée, trop démonstrative −, outrancière et documentée, inégale mais passionnante, trouve son sens dans ses moments de gueules de bois et ses petites épiphanies mélancoliques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
L’outrance et la vulgarité y sont en permanence désamorcées par l’humour, et si une ou deux scènes peuvent sembler particulièrement étirées, le film n’est jamais ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec son nouveau film, le réalisateur de La La Land reproduit toute la démesure du Hollywood des années 1920. Trois heures de montagnes russes dont on ressort KO, et ravi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Philippe Guedj
Épuisant mais surtout réjouissant.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Pour parler de l’Histoire du cinéma, Damien Chazelle conjugue brillance et excès au sein d’une fresque ludique.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Au-delà d'une mise en scène folle d'inventivité, d'un casting aux petits oignons, voilà une œuvre manifeste qui revendique l'excès de sa narration, ses personnages empiriques et sa rythmique saccadée.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Puisque tout devait être spectacle déjà à cette époque, Chazelle prend le mot d’ordre à la lettre. Mais sa plus belle réussite est de savoir communiquer le plaisir qu’il en a manifestement tiré.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
Certains trouveront peut-être le temps long (plus de trois heures !). Mais un tel hommage au 7e art en vaut la chandelle.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Porté par son casting en or, Chazelle signe un hommage échevelé aux pionniers du cinéma et au 7e art, qui, s’il ne fait pas toujours dans la dentelle, divertit tout le temps, touche par sa folie, son audace et se révèle profondément émouvant.
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Damien Chazelle ne se refuse rien dans cette épopée visuellement foisonnante et techniquement aboutie.
Télérama
par Frédéric Strauss
Le cinéphile Damien Chazelle s’est judicieusement méfié de la mémoire des spécialistes, des noms qu’il faut connaître, des incontournables qu’il faut citer. C’est une histoire collective qu’il veut partager.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Avec une énergie hors du commun, Chazelle signe déjà, à quarante ans à peine, un film fleuve aux tournures testamentaires. Aussi ambitieux qu’étonnant, Babylon est le dernier opus d’une filmographie exceptionnelle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Damien Chazelle signe une œuvre monstre, à l’image de son sujet : démesurée, tourbillonnante, boursouflée, épuisante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Parfois la provocation sonne faux -n’est pas Gaspar Noé qui veut- et le récit choral se disperse. Reste que cet objet théorique désarçonnant, à travers la mise en abyme, décortique les fantasmes et la psychologie humaine avec une liberté et une indépendance remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Marie Claire
par Emily Barnett
Une satire cruelle, baroque, déchaînée – trop ? À vous de juger...
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Première
par Thierry Chèze
Difficile de bouder son plaisir devant ce geste d’amoureux éperdu mais lucide du septième art.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Josué Morel
De l’ambivalence promise initialement par Babylon, film à la fois nourri par l'amour (du cinéma) et le dégoût (du système hollywoodien), il ne reste en fin de parcours plus grand-chose, sinon une mélasse assez informe.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Murielle Joudet
Babylon emboîte les séquences comme d’imposants tableaux que traversent des parades felliniennes. A chaque fois, le même principe : la situation pourrit lentement, court vers la gueule de bois, révélant peu à peu son envers cauchemardesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Chazelle, on l’avait déjà identifié dans ses œuvres précédentes, est semblable à ses héros : travailleur acharné et technicien hors pair, il lui manque encore la finesse de trait.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Faire le procès en mauvais goût de Babylon justifierait sans mal de ne rien vouloir en sauver. Foutu pour foutu, on veut bien sauver le repoussant si c’est à ça que tient la part attendrissante du film, avec ses choix difformes qui lui font gagner en inquiétude, sa naïveté [...], son gigantisme ludique et enragé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Porté par une énergie mal contenue, mais pas moins évocatrice, grisante et parfois émouvante, ce pandémonium bouffon, qui se rêve en Casino scorsesien mais se complaît trop souvent dans une version trash du Dernier Nabab, se dissout dans une fin à la lisière du grotesque, mais dont la naïveté confondante finit par faire le prix, en révélant le romantisme exacerbé qui le sous-tend.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Toutes les scènes sont montées selon des effets de crescendo, voire d’orgasme, surlignés par l’insupportable mickeymousing du compositeur Justin Hurwitz, mais cette agitation tient du bouche-à-bouche désespéré, tout comme la surexpressivité du jeu d’acteur présentée comme un feu sacré.
Bande à part
Babylon est un miracle de film qui fait écho au passé, reflète le présent, et raconte, comme seul le cinéma peut le faire, notre capacité au meilleur et au pire.
Closer
On ressent, à chaque instant, qu'être spectateur est magique.
Culturopoing.com
"Babylon" est de ces films qui présentent une architecture si vertigineuse, une telle profusion dans leur expression qu’il est alors difficile de rendre par les seuls mots ce foisonnement de sons et d’images. [...] On pourra lui reprocher sa surenchère et son rythme harassant mais il ne s’agit finalement que du prix à payer pour goûter à cet état de sidération.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Fresque flamboyante, excessive et démesurée, Babylon est une célébration extraordinaire de la grandeur du cinéma, emporté dans un tourbillon de fêtes extravagantes, de décadence sans limite.
Elle
Un film magistral, cruel, flamboyant.
Filmsactu
Démesuré, renversant, Babylon est un bordel virtuose, 3h10 d’un maelström d’émotions vertigineux sur la grandeur et la décadence d'Hollywood avec une Margot Robbie possédée qui n’a jamais été aussi magnétique.
La Voix du Nord
Il faut voir comment Damien Chazelle utilise finalement tous les artifices du cinéma pour réussir une fresque de trois heures à la fois lumineuse, grotesque et tragique pour arriver à prouver, particulièrement dans son ultime chapitre, que le septième art se révélera éternellement plus grand que ceux qui le font.
Le Dauphiné Libéré
C’est un grand spectacle hédoniste et un divertissement iconoclaste comme en filmait Federico Fellini, un éblouissant cirque rococo aux images luxuriantes, magnifiquement filmé.
Le Journal du Geek
Babylon est un film excessif, chaotique, merveilleusement orchestré, brillamment incarné, épuisant, enivrant, fascinant, troublant, ambitieux, tragique, amusant, émouvant, épileptique, fragmenté, musical.
Le Parisien
Aux manettes, le réalisateur Damien Chazelle fait merveille en jouant avec les méthodes utilisées à l’époque : peu d’effets spéciaux, beaucoup de figurants, un tournage en 35 mm et en Cinémascope, et de la déraison à revendre.
Les Echos
Cette fiction hors norme, incarnée par Brad Pitt et Margot Robbie, confirme le talent inclassable de son auteur.
Marianne
Avec son cinquième long-métrage, le Franco-Américain Damien Chazelle livre une orgie visuelle (de plus de trois heures) d’une qualité et d’une énergie enthousiasmantes. Un très grand film !
Ouest France
Un film d'une incroyable virtuosité.
Public
Le casting, la bande-son, la réalisation, les effets spéciaux sont tout simplement magistraux.
Sud Ouest
Cette tragédie baroque est du début à la fin captivante, car le réalisateur de « Whiplash » et « La la land » est le maître du rythme. Damien Chazelle ne craint ni excès ni démesure, il affirme une folle liberté de cinéaste, jusqu’à une séquence finale époustouflante.
Voici
Dans un impressionnant geste de cinéma parfois aux frontières de l'hystérie, Damien Chazelle signe une fresque chorale électrique sur l'usine à rêves pour mieux lui renvoyer, derrière son glamour, sa face cauchemardesque.
20 Minutes
Damien Chazelle offre un voyage dans le temps spectaculaire avec l’impressionnante fresque Babylon.
CNews
Damien Chazelle signe une fresque brillante, audacieuse, foisonnante, brutale et démesurée sur le Hollywood des années 1920-1930, ou quand le cinéma muet allait s’effacer au profit des films parlants.
CinemaTeaser
Babylon tend à la cinéphilie le visage grimaçant et dégueulasse d’une industrie, Chazelle filme le cœur pourri d’un monde que le temps et les chefs-d’œuvre ont embelli. Toute la beauté tenace de ce film hors norme tient à cette lucidité et donc à la mélancolie de son réalisateur.
Ecran Large
Avec Babylon, Damien Chazelle signe son magnum opus. Un film excessif, dément et courageux, qui regarde Hollywood droit dans les yeux pour en scruter les abîmes... et la lumière.
Femme Actuelle
De ce grand vertige, on retient notamment les scènes de fêtes (incroyable travail de mise en scène !), des dialogues spirituels et une superbe déclaration d'amour au cinéma.
Franceinfo Culture
Une reconstitution au cordeau du Hollywood des années 1920, à la mise en scène ébouriffante, et où le réalisateur américain donne un de ses meilleurs rôles à Brad Pitt.
GQ
Filant dans le désert, comme une page blanche qui ne demanderait qu'à être griffonnée, le long-métrage retranscrit merveilleusement l'énergie anarchique de cet Hollywood, encore une industrie balbutiante et totalement désorganisée, qui produit à un rythme infernal des productions destinées à tous les publics.
L'Obs
Pleine de musique et de fluides corporels, cette fresque too much – trop exaltée, trop démonstrative −, outrancière et documentée, inégale mais passionnante, trouve son sens dans ses moments de gueules de bois et ses petites épiphanies mélancoliques.
La Croix
L’outrance et la vulgarité y sont en permanence désamorcées par l’humour, et si une ou deux scènes peuvent sembler particulièrement étirées, le film n’est jamais ennuyeux.
Le Figaro
Avec son nouveau film, le réalisateur de La La Land reproduit toute la démesure du Hollywood des années 1920. Trois heures de montagnes russes dont on ressort KO, et ravi.
Le Point
Épuisant mais surtout réjouissant.
Les Fiches du Cinéma
Pour parler de l’Histoire du cinéma, Damien Chazelle conjugue brillance et excès au sein d’une fresque ludique.
Paris Match
Au-delà d'une mise en scène folle d'inventivité, d'un casting aux petits oignons, voilà une œuvre manifeste qui revendique l'excès de sa narration, ses personnages empiriques et sa rythmique saccadée.
Rolling Stone
Puisque tout devait être spectacle déjà à cette époque, Chazelle prend le mot d’ordre à la lettre. Mais sa plus belle réussite est de savoir communiquer le plaisir qu’il en a manifestement tiré.
Télé 2 semaines
Certains trouveront peut-être le temps long (plus de trois heures !). Mais un tel hommage au 7e art en vaut la chandelle.
Télé 7 Jours
Porté par son casting en or, Chazelle signe un hommage échevelé aux pionniers du cinéma et au 7e art, qui, s’il ne fait pas toujours dans la dentelle, divertit tout le temps, touche par sa folie, son audace et se révèle profondément émouvant.
Télé Loisirs
Damien Chazelle ne se refuse rien dans cette épopée visuellement foisonnante et techniquement aboutie.
Télérama
Le cinéphile Damien Chazelle s’est judicieusement méfié de la mémoire des spécialistes, des noms qu’il faut connaître, des incontournables qu’il faut citer. C’est une histoire collective qu’il veut partager.
aVoir-aLire.com
Avec une énergie hors du commun, Chazelle signe déjà, à quarante ans à peine, un film fleuve aux tournures testamentaires. Aussi ambitieux qu’étonnant, Babylon est le dernier opus d’une filmographie exceptionnelle.
L'Humanité
Damien Chazelle signe une œuvre monstre, à l’image de son sujet : démesurée, tourbillonnante, boursouflée, épuisante.
Le Journal du Dimanche
Parfois la provocation sonne faux -n’est pas Gaspar Noé qui veut- et le récit choral se disperse. Reste que cet objet théorique désarçonnant, à travers la mise en abyme, décortique les fantasmes et la psychologie humaine avec une liberté et une indépendance remarquables.
Marie Claire
Une satire cruelle, baroque, déchaînée – trop ? À vous de juger...
Première
Difficile de bouder son plaisir devant ce geste d’amoureux éperdu mais lucide du septième art.
Critikat.com
De l’ambivalence promise initialement par Babylon, film à la fois nourri par l'amour (du cinéma) et le dégoût (du système hollywoodien), il ne reste en fin de parcours plus grand-chose, sinon une mélasse assez informe.
Le Monde
Babylon emboîte les séquences comme d’imposants tableaux que traversent des parades felliniennes. A chaque fois, le même principe : la situation pourrit lentement, court vers la gueule de bois, révélant peu à peu son envers cauchemardesque.
Les Inrockuptibles
Chazelle, on l’avait déjà identifié dans ses œuvres précédentes, est semblable à ses héros : travailleur acharné et technicien hors pair, il lui manque encore la finesse de trait.
Libération
Faire le procès en mauvais goût de Babylon justifierait sans mal de ne rien vouloir en sauver. Foutu pour foutu, on veut bien sauver le repoussant si c’est à ça que tient la part attendrissante du film, avec ses choix difformes qui lui font gagner en inquiétude, sa naïveté [...], son gigantisme ludique et enragé.
Positif
Porté par une énergie mal contenue, mais pas moins évocatrice, grisante et parfois émouvante, ce pandémonium bouffon, qui se rêve en Casino scorsesien mais se complaît trop souvent dans une version trash du Dernier Nabab, se dissout dans une fin à la lisière du grotesque, mais dont la naïveté confondante finit par faire le prix, en révélant le romantisme exacerbé qui le sous-tend.
Cahiers du Cinéma
Toutes les scènes sont montées selon des effets de crescendo, voire d’orgasme, surlignés par l’insupportable mickeymousing du compositeur Justin Hurwitz, mais cette agitation tient du bouche-à-bouche désespéré, tout comme la surexpressivité du jeu d’acteur présentée comme un feu sacré.