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    Lupin III: The First
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    3,0
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    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2020
    "Lupin III : the first" est confronté d'emblée à trois difficultés. La première concerne le fait qu'il s'agisse d'un film japonais sur une légende littéraire française ; la deuxième relève du fait que le long-métrage se passe entièrement à Paris où les protagonistes parlent le japonais ; et la dernière demeure qu'on ne s'attaque pas à un tel mythe sans craindre la déception. Force est de constater que le long-métrage d'animation contourne admirablement ces trois freins. D'une qualité esthétique indéniable, le film semble même conduit par des comédiens en chair et en os, tant le trait est fin et réaliste. Le spectateur est pris dans une aventure au rythme effréné où les personnages très méchants font craindre le pire pour le monde, et les très gentils personnages se caractérisent par leur complexité et leur malice.

    Le film est destiné autant aux enfants qu'aux adultes. Le plaisir est évident. On ne s'ennuie pas une seule seconde au milieu de décors somptueux, et de personnages facétieux et drôles. Le plus amusant demeure le retour inattendu de l'affreux dictateur Hitler dans les traits d'un vieillard maladif et cruel. Tout va vite, on est projeté des airs au sol et dans des épreuves incroyables, rappelant la culture des jeux vidéos.

    Voilà donc un film qui donnera envie de rester jusqu'aux dernières minutes du couvre-feu, tant le plaisir est évident.
    cortomanu
    cortomanu

    74 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 octobre 2020
    J'étais curieux de découvrir ce dessin animé. A l'arrivée, ne reste que de l'agitation supposée être de la virtuosité, un scénario et des dialogues indigents, des personnages réduits à quelques traits sans finesse, un humour pénible, des situations à gros sabots simplets...
    Quel ennui !
    Licayoni
    Licayoni

    3 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2020
    Une belle enquête menée tambour battant par l'intrépide voleur friand d'énigmes entouré par ses "fidèles" amis et ennemis de longue date (inspecteur Koichi d’Interpol)
    Rebondissements, retournements de situation mais aussi union comme séparation par intérêt des personnages s'enchaînent dans un rythme effréné qui donne la pêche.
    On sourit lors des scènes d'actions rocambolesques et improbables.
    Le dessin esthétique, fin et travaillé des personnages (mains et visages réalistes) comme des environnements riches dans lesquels ils évoluent est très agréable.
    Le sens du titre Lupin III honore la 3eme génération des familles Lupin et Bresson (petit fils et petite fille)
    L'aventure aborde le génie inconditionnel de Lupin mais aussi la folie destructrice de certains hommes : volonté de détenir le pouvoir (ici : l'éclipse ou générateur de trou noir), création d'une race humaine pure unique et supérieure (Aryens aux yeux bleus)...
    La VO sous-titrée sublime l'ensemble par l'authentique voix des acteurs Japonais transmettant avec justesse les émotions et épreuves vécues par les individus.
    À découvrir sans retenue.
    Philippe Moreau
    Philippe Moreau

    13 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 octobre 2020
    Vous attendiez une version dessin animé de James Bond. Vous y êtes. Vous allez être pris par l'aventure, les personnages avec leur lots de méchants. Ma fille adolescente a adoré. Et les images sont superbes.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    354 abonnés 1 790 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 octobre 2020
    J’ai trouvé ce film d’animation Japonais pas terrible. Pourtant, je suis friand des contenus venants du pays du soleil levant, mais dans un registre plus sérieux. Il faut bien comprendre que mon opinion a beaucoup été dictée par le style en lui-même. Je pense que beaucoup pourront passer un bon moment devants, mais ça n’a pas été mon cas et je vous explique pourquoi. Il y avait trop d’exagération dans les actions des personnages. C’est un genre d’humour typique d’anime Japonais. On peut retrouver cette caractéristique dans des œuvres comme Dragon Ball, mais dans une moindre mesure. Là j’ai eu rapidement une overdose. Ce qui était amusant au début, m’a agacé par la suite. Un peu à l’image du personnage de Lupin III que j’ai trouvé fatiguant. Il s’agite beaucoup pour pas grand-chose. C’est dommage que cette forme ne m’ait pas du tout convaincu car sur le fond il y avait des ingrédients pour me séduire. En effet, la période historique des années 60 est plaisante. Je dois dire quand même que c’est un peu étrange de voir un nazi parler Japonais. De plus, l’histoire est finalement bien construite. C’est une quête qui sera remplie d’embuches. Il se passe toujours quelque chose pour qu’on ne s’ennuie pas. Alors même si j’ai été horripiler par le genre, je reconnais un contenu dynamique. En revanche, je ne suis pas fan de la CGI. Je suis de la vieille école.
    Frederic S
    Frederic S

    39 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2020
    bon scénario et bluffant de réalisme.
    un bon petit film d animation japonais......................
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 359 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2020
    “Lupin III” est un personnage de fiction créé en 1967. Le petit fils du gentleman-cambrioleur Arsène Lupin a été adapté en mangas, séries animées, téléfilms et films d’animation. En 2020, le héro est adapté pour la première fois en CGI, une technique d’animation en 3D. Visuellement très attrayant, “Lupin III : The First” propose une aventure effrénée où notre héro s’associe à une jeune femme pour mettre la main sur le journal du professeur Bresson, vingt ans après la Seconde Guerre Mondiale. Sur fond d’Indiana Jones et James Bond, l’histoire s'avère palpitante grâce à l’humour et au dynamisme des personnages. Le scénario connaît quant à lui quelques faiblesses, mais l’animation dès 10 ans trouvera à coup sûr son public.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 329 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Il suffit de voir le générique pour comprendre.
    Oui, ce « Lupin III » a un charme, c’est certain ; un charme qu’il tirera pour l’essentiel de sa série originale.
    D’abord il y a ce personnage de Lupin aux faux airs de Bébel, mais aussi cet univers gentiment bordélique qui pioche un peu dans tout et dans n’importe quoi, et puis surtout ce goût prononcé pour la cabriole bien plus que pour la cambriole.
    Et je ne vais pas vous mentir, sitôt j’ai entendu les premières notes du célèbre thème de « Lupin III » – un bijou d’énergie et d’années 70 que je me suis déjà écouté des centaines de fois sans me lasser – j’ai ressenti ces petites vibrations qui ne m’assaillent que très rarement au cinéma.

    Seulement voilà, il était dit que ce générique était voué à annoncer tout ce qui allait advenir – et notamment la terrible déconvenue qui allait s’en suivre – car en même temps que je vibrais pour la musique je sentais en parallèle que le moteur était déjà en train de se gripper.
    L’élan insufflé par la musique s’avérait lesté. La mise en scène qui aurait dû accompagner cette puissance dynamique était à côté de ses pompes. Pas de punch. La coupe molle. Le mouvement trop peu saillant…
    Un détail diront certains… Mais de mon point de vue il s’agissait bien plus là d’un véritable fardeau.
    …Un fardeau amené à gâcher tout le plaisir.

    Parce que le problème avec ce long-métrage « Lupin » c’est qu’il est désespérément plat.
    A dire vrai la mise en scène n’est qu’une des multiples déclinaisons formelles de tout ce qui cloche dans ce film.
    Alors certes l’image est très soignée, on s’efforce de respecter le matériau original en mobilisant pas mal de figures de l’animé original et l’intrigue sait à la fois jouer la carte de la grandiloquence attendue d’une adaptation au grand écran de l’œuvre de Monkey Punch. Sur tous ces points-là, rien à redire : c’est du travail tout ce qu’il y a de plus honnête.
    Seulement voilà le problème c’est que le cinéma ça ne s’arrête pas qu’à ça.
    Le cinéma c’est de l’image mise en mouvement. C’est de la rythmique. C’est une orchestration savante de tous les aspects formels pour qu’à un moment donné on ait l’impression que ça prenne vie.

    Or là, dans ce « Lupin III », l’élan est désespérément atone.
    Les plans sont longs, les transitions s’enchainent selon un rythme régulier quelque-soit la nature de l’instant, le cadre ne parvient jamais à sortir d’une banale forme d’illustration.
    De même, à force de s’enchaîner les scènes révèlent des choix curieux en termes de mise-en-scène. Parfois on s’étale dans des discussions un brin longuettes alors que d’un autre côté on opère des ellipses assez violentes qui peuvent passer à côté de l’essentiel.
    spoiler: Je pense notamment au moment où Lupin et Laëtitia décident de s’associer pour retrouver le livre de Bresson. A peine l’accord est-il acté que les deux aventuriers se retrouvent planqués dans les caisses d’un cargo. Pourquoi ? Comment ? Dans quel but ? Tout ça n’est pas clairement dit. Il est juste question d’un rendez-vous mais dont on ne sait pas grand-chose. Et quand soudain un immense avion vient se poser, une transition s’opère brusquement au sein du repère de Lambert et de Geralt. On remarque alors que Lupin et Laetitia sont là. Par déduction j’ai fini par me dire que le repère était certainement dans l’avion mais sans en avoir la certitude sur l’instant. Et c’est con parce que franchement, l’idée d’avoir un repère avec des vieilles bibliothèques à l’intérieur d’un avion de combat ça envoie vraiment pas mal, du coup c’est aurait quand même une phase où on le découvre !

    D’ailleurs, il faut savoir que durant tout le premier tiers du film, la réalisation opte d’ailleurs assez régulièrement pour la transition en fondu enchainé. C’était comme si le cut était perçu comme quelque-chose de trop brutal alors du coup on amortit tout.
    Ça donne en conséquence un film mou qui n’arrive pas à faire impacter quoi que ce soit.
    Et vu que l’intrigue et les personnages ne sont pas des trésors d’inventivité et de profondeur non plus, cette mise-en-scène a un effet anesthésiant des plus pénalisants.

    Et franchement c’est triste, parce que sur la longueur ce « Lupin III » parvient à poser quelques bonnes idées qui auraient pu faire de lui un spectacle frais et charmant.
    Le dernier tiers avec l’exploration de la cave de l’Eclipse est assez sympa. Et cette idée de faire intervenir un Hitler ayant survécu à 1945 est aussi – l’air de rien – quelque-chose d’assez original et culotté.
    La frustration n’en est donc pour moi que plus grande. Le fait de constater qu’il y avait un fond intéressant dans ce film mais que c’est au final la forme qui le savate en grande partie ne peut générer que d’autant plus de regrets…
    …Des regrets et des questions.

    Parce qu’en effet, avec le recul, il y a quand-même des choix qui questionnent.
    Il m’a suffi de me refaire un épisode de la série originale en rentrant chez moi pour que certaines évidences me sautent aux yeux.
    Alors certes, un épisode de « Lupin » à la base c’est aussi assez figé. On sent qu’on a affaire à du manga un peu fauché qui économise de l’animation un peu partout. Les foules sont immobiles, les visages sont rigides et les discussions dans les lieux clos, sans mouvements, sont bien plus nombreux qu’il n’y parait…
    Seulement voilà, à l’époque on a visiblement conscience de ces contraintes alors on les compense avec plein d’autres choses. On créé des dynamiques à l’écran en jouant sur des contre-plongées, on enchaine les postures et les expressions très signifiantes, on multiplie les zooms ou rotation, on enchaine les coupes et les effets de rupture, on habille avec des musiques… Et surtout on fait ça avec la cohérence et le savoir-faire pour que ça fonctionne ; pour qu’on ressente la tension et l’aventure alors que, dans les faits, il n’y a pas grand-chose à l’écran.

    Mais là, dans ce « Lupin III : The First » on a presque tout l’inverse.
    C’est comme si le choix qui a été fait d’animer en images de synthèse avait bousculé et perturbé toute la grammaire visuelle de la série.
    Vu qu’avec cette méthode, les contraintes en termes de nombre de valeurs de plans différentes, de mouvements ou de détails dans l’image ne se posent plus de la même manière, plus rien n’est géré de la même façon. Ainsi se retrouve-t-on désormais avec une image très belle mais en contrepartie on a perdu toute la percussion de la mise-en-scène.
    Pire, dans ce nouveau cadre où tout devient plus souple, les jeux de gestuelles en deviendraient presque étranges. Comme ils ont voulu garder la gestuelle de Lupin mais que la fluidité de l’animation rend désormais caduques ses longues poses figées, alors Lupin se retrouve désormais à bouger partout et tout le temps sans raison particulière.
    Et le problème se retrouve aussi sur les scènes d’action. Entre d’un côté les scènes très cartoon et de l’autre ce rendu visuel assez réaliste, l’osmose ne prend pas toujours.
    En fait il aurait fallu faire des choix : soit acter le changement de mode de production et dans ce cas là revoir totalement l’identité visuelle de la série, soit vouloir rester fidèle aux gestuelles et la grammaire de la série et dans ce cas faire de l’animation classique.
    Or, ce choix-là, il n’a pas été fait, ce qui explique certainement cette mise-en-scène qui ne sait pas où se poser au point d’en perdre jusqu’à sa grammaire la plus élémentaire.

    Alors oui, d’accord, oui c’est vrai que ce « Lupin III : the First » n’est pas malhonnête, ça je l’entends. Mais malheureusement il n’est pas vraiment pertinent non plus.
    Être fidèle à une série qu’on adapte, ce n’est pas seulement reproduire des personnages, des intrigues et une esthétique. Être fidèle à une série qu’on adapte c’est aussi être fidèle à une atmosphère et à un esprit. Or ça, ça se traduit aussi par la forme ; par la mise en scène.
    Et sur ce plan-là, je suis désolé, mais ce « Lupin III : the First » passe à côté de l’essentiel.
    Il n’a ni le sel, ni le rythme, ni le relief de l’œuvre qu’il entend adapter.
    Il est juste tristement plat.
    Et faire du cinéma plat, non seulement ce n’est pas rendre hommage au travail de Monkey Punch, mais ce n’est clairement pas non plus rendre hommage au cinéma tout court…
    Padami N.
    Padami N.

    61 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2020
    bon dessin animé ,en 3D , plein d action et d humour., mysteres .bref les recettes d'un blockbuster... qu'on verra pas cette année.
    Samuel Samson
    Samuel Samson

    3 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Avec une animation 3D et des scènes d'actions bien construite, Ce film fait renaitre le personnage de Lupin III et nous offre un bon film d'aventure bien rythmé
    7fabcool7
    7fabcool7

    53 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Somptueux, super images de synthèse carrément magnifiqueS. Une belle aventure! on est pris dedans dés le début : 1h30 qui passe vite. A voir absolument en vue des comédies françaises catastrophiques et ridicules qu'on nous propose en ce moment! A voir au ciné. Bluffant.
    selenie
    selenie

    6 233 abonnés 6 183 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Le début donne surtout une incohérence chronologique (10 ans après ?! âge de Laëtitia ?! années 60 ?!), dommage mais on prend un réel plaisir dans un trip fidèle au délire manga dans la forme, et qui sur le fond fait surtout appel à d'autres références et/ou inspirations comme "Indiana Jones" et "Spider-Man". La dernière demi-heure est nettement moins intéressante, on est trop dans du pompage, avec un Lupin presque à se faire voler la vedette par la belle Laëtitia. Au vu de l'attente et du potentiel le film reste une petite déception donc, mais esthétiquement ça reste une petite claque visuelle, Lupin/Edgar et son équipe restent un régal de cool attitude, le rythme est bien géré avec un mixte action/humour savamment dosé. Un très bon moment donc, mais avec un chouïa d'objectivité on précisera que la note reste très indulgente.
    Site : Selenie
    Cinévore24
    Cinévore24

    342 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Malgré un scénario téléphoné et des méchants caricaturaux, cette nouvelle adaptation en images de synthèse fait plutôt le taf.

    Divertissante sans être exceptionnelle, cette course au trésor fonctionne notamment grâce à son rythme frénétique et ses scènes d'action qui défient les lois de la gravité, ainsi que son animation, cartoonesque et classe à la fois.
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    76 abonnés 603 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2020
    Un scénario déjanté, des personnages haut en couleurs et excessifs au possible, une très belle animation qui ravira les fans du genre. Des aventures délirantes, d'une facilité déconcertante, mais agréables et faciles à suivre. Un bon moment en perspective. J'aime bien.
    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 octobre 2020
    " Lupin III: The First" pour la première fois sur le grand écran français est un film d'animation Japonais divertissant . En effet en l'absence de grosse sortie américaine, ce film d'animation fait le job en proposant des scènes actions efficaces, supers effets spéciaux et des personnages haut en couleurs malgré une histoire qui part dans tous les sens parfois ( mais que vient faire Hitler dans cette histoire).
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