Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Paula Beer excelle dans l'interprétation de ce personnage ambivalent, écrasé par la peur et condamné à perpétuité au sentiment de culpabilité. Un film trouble et dérangeant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Sans être une réhabilitation qui n’a pas lieu d’être, "Stella, une vie allemande" éclaire d’un jour inédit un pan de l’histoire, tout en favorisant l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Un film impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Renaud Baronian
Surtout, on recommande de voir le long-métrage pour la prestation inouïe qu’y livre Paula Beer. La comédienne allemande de 28 ans impressionne une fois de plus en incarnant de façon flamboyante, bouleversante, terrifiante toutes les facettes du personnage…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
« Stella, une vie allemande », malgré ses faiblesses, a l'incontestable mérite de dresser le portrait implacable et dérangeant d'une femme hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Entre survie et perversion, le personnage incarné par Paula Beer fascine autant qu’il effraie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le « cas » Goldschlag est évidemment beaucoup plus connu outre-Rhin qu’en France et Kilian Riedhof, en dressant le portrait de cette « vie allemande » terriblement ambiguë interroge l’histoire et la mémoire collective de son pays natal. C’est tout l’intérêt de ce film dérangeant sur une femme à la fois victime et complice de la persécution nazie et de l’antisémitisme.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Inspirée par l’itinéraire de Stella Goldschlag, cette plongée dans l’horreur de l’Allemagne hitlérienne s’attache, sans jamais chercher à la sauver, au parcours sinistre d’une anti-héroïne, à l’anatomie d’une chute, bien loin des habituelles icônes exemplaires dont le registre historique est friand.
Voici
par La Rédaction
Un drame historique d'une saisissante cruauté.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Dans ses meilleurs moments, le film porte une interrogation morale sur la question de la survie dans des conditions extrêmes, en s’appuyant sur l’interprétation remarquable de Paula Beer, qui compose un personnage à la fois lumineux, charismatique et glacial.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
La part la plus réussie du film tient à son personnage central, et donc à l’interprétation habitée de Paula Beer, tantôt fiévreuse, tantôt glaçante, qui vampirise l’écran de la première à la dernière image.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Tiré d’une histoire vraie, en compétition au dernier Arras Film Festival, porté par une ravageuse Paula Beer, le film, lointain cousin du Black Book de Paul Verhoeven, désarçonne par son montage erratique, mais son énergie illustre parfaitement l’instinct de survie poussé dans ses derniers retranchements.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Télérama
par Frédéric Strauss
Le talent extraordinaire de l’actrice Paula Beer fait résonner ce que le labyrinthe intérieur de son personnage a de plus impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le portrait de cette femme passée du statut de victime à celui de criminelle de guerre est stupéfiant, la mise en scène parfois tapageuse nuit à la gravité du propos.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Un portrait de femme qui manque de nuances malgré les efforts de son actrice principale, Paula Beer.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par V. Cau.
Lumineuse, séduisante et terrifiante, Stella, sous les traits de l’actrice, demeure insaisissable. Paula Beer participe ainsi à ce sentiment d’inconfort auquel travaille toute l’esthétique du film, le montage (lapidaire), la mise en scène et les mouvements de caméra intempestifs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sandra Onana
Effrayé par son sujet, le metteur en scène ne sait sur quel pied danser, alternant entre effets d’identification (on la plaint) et mépris pour la délatrice (on l’exècre), sans demi-teinte.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Malgré un premier rôle remarquablement interprété par Paula Beer, ce film reste toujours en deçà de la puissance dérangeante de l'histoire vraie qui l'a inspiré.
Première
par Nicolas Moreno
En interprétant Stella Goldschlag, Paula Beer essaie de s’inscrire dans la lignée des héroïnes complexes de Fassbinder. Mais ici, la subversion est comme engloutie par une reconstitution lisse et sans accrocs de l’Allemagne nazie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par M.L.
Ce film inspiré de la vie de Stella Goldschlag [...] atteint ses limites dans l'accumulation des horreurs.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
De Stella pour qui la talentueuse Paula Beer ne peut hélas pas grand-chose, Kilian Riedhof n’effleure que trop timidement son mal et ses tiraillements, visiblement plus à l’aise pour en faire le pantin uniforme et idéal d’hommes abuseurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Elle
Paula Beer excelle dans l'interprétation de ce personnage ambivalent, écrasé par la peur et condamné à perpétuité au sentiment de culpabilité. Un film trouble et dérangeant.
Franceinfo Culture
Sans être une réhabilitation qui n’a pas lieu d’être, "Stella, une vie allemande" éclaire d’un jour inédit un pan de l’histoire, tout en favorisant l’émotion.
L'Obs
Un film impressionnant.
Le Parisien
Surtout, on recommande de voir le long-métrage pour la prestation inouïe qu’y livre Paula Beer. La comédienne allemande de 28 ans impressionne une fois de plus en incarnant de façon flamboyante, bouleversante, terrifiante toutes les facettes du personnage…
Les Echos
« Stella, une vie allemande », malgré ses faiblesses, a l'incontestable mérite de dresser le portrait implacable et dérangeant d'une femme hors du commun.
Les Fiches du Cinéma
Entre survie et perversion, le personnage incarné par Paula Beer fascine autant qu’il effraie.
Marianne
Le « cas » Goldschlag est évidemment beaucoup plus connu outre-Rhin qu’en France et Kilian Riedhof, en dressant le portrait de cette « vie allemande » terriblement ambiguë interroge l’histoire et la mémoire collective de son pays natal. C’est tout l’intérêt de ce film dérangeant sur une femme à la fois victime et complice de la persécution nazie et de l’antisémitisme.
Télé 7 Jours
Inspirée par l’itinéraire de Stella Goldschlag, cette plongée dans l’horreur de l’Allemagne hitlérienne s’attache, sans jamais chercher à la sauver, au parcours sinistre d’une anti-héroïne, à l’anatomie d’une chute, bien loin des habituelles icônes exemplaires dont le registre historique est friand.
Voici
Un drame historique d'une saisissante cruauté.
Cahiers du Cinéma
Dans ses meilleurs moments, le film porte une interrogation morale sur la question de la survie dans des conditions extrêmes, en s’appuyant sur l’interprétation remarquable de Paula Beer, qui compose un personnage à la fois lumineux, charismatique et glacial.
Culturopoing.com
La part la plus réussie du film tient à son personnage central, et donc à l’interprétation habitée de Paula Beer, tantôt fiévreuse, tantôt glaçante, qui vampirise l’écran de la première à la dernière image.
La Voix du Nord
Tiré d’une histoire vraie, en compétition au dernier Arras Film Festival, porté par une ravageuse Paula Beer, le film, lointain cousin du Black Book de Paul Verhoeven, désarçonne par son montage erratique, mais son énergie illustre parfaitement l’instinct de survie poussé dans ses derniers retranchements.
Télérama
Le talent extraordinaire de l’actrice Paula Beer fait résonner ce que le labyrinthe intérieur de son personnage a de plus impressionnant.
aVoir-aLire.com
Si le portrait de cette femme passée du statut de victime à celui de criminelle de guerre est stupéfiant, la mise en scène parfois tapageuse nuit à la gravité du propos.
La Croix
Un portrait de femme qui manque de nuances malgré les efforts de son actrice principale, Paula Beer.
Le Monde
Lumineuse, séduisante et terrifiante, Stella, sous les traits de l’actrice, demeure insaisissable. Paula Beer participe ainsi à ce sentiment d’inconfort auquel travaille toute l’esthétique du film, le montage (lapidaire), la mise en scène et les mouvements de caméra intempestifs.
Libération
Effrayé par son sujet, le metteur en scène ne sait sur quel pied danser, alternant entre effets d’identification (on la plaint) et mépris pour la délatrice (on l’exècre), sans demi-teinte.
Ouest France
Malgré un premier rôle remarquablement interprété par Paula Beer, ce film reste toujours en deçà de la puissance dérangeante de l'histoire vraie qui l'a inspiré.
Première
En interprétant Stella Goldschlag, Paula Beer essaie de s’inscrire dans la lignée des héroïnes complexes de Fassbinder. Mais ici, la subversion est comme engloutie par une reconstitution lisse et sans accrocs de l’Allemagne nazie.
Télé Loisirs
Ce film inspiré de la vie de Stella Goldschlag [...] atteint ses limites dans l'accumulation des horreurs.
Les Inrockuptibles
De Stella pour qui la talentueuse Paula Beer ne peut hélas pas grand-chose, Kilian Riedhof n’effleure que trop timidement son mal et ses tiraillements, visiblement plus à l’aise pour en faire le pantin uniforme et idéal d’hommes abuseurs.