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Elisabeth G.
185 abonnés
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1,5
Publiée le 7 juin 2021
Quel dommage pour une comédie de ne pas faire rire. Et de s'oublier aussi rapidement. La faute à un scénario qui part dans tous les sens, survolant les sujets et les personnages. La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com
Quel navet insipide ! Mme Laroque est fatiguante à force de rouler du fessier devant la caméra et sourire bêtement face à toutes les situations clichées qui s'enchaînent avec ennui !
Digne d'un petit feuilleton pourri, ne perdez pas votre temps sur cette comédie, c'est mal joué et vraiment été déçu. C'est sur-joué quasiment tout le temps quel dommage il y avait du bon à la base. Encore un navé Français..
Je pensais rire en allant voir cette comédie, jouée et mise en scène par Michèle Laroque, eh bien c'est raté ; si vous n'êtes pas passionné par les bonsaïs, passer votre chemin. J'ai été bien déçu par un scénario très plat, aux situations déjà vues, et aux dialogues soûlants. Même si Stéphane De Groodt et Alice de Lencquesaing honorent de façon convaincante leur participation à cette distribution, les présences de François Berléand et de Lionel Abelanski que l'on voit trop peu ne changent rien aux défaillances de ce film.
Après son "Nullissime" (un cri du coeur pour s'auto-qualifier en "réalisatrice") en 2018, voici donc le nouvel "opus" de Mlle Laroque dans le même registre. "Chacun chez soi" (et les vaches seront bien gardées - en fait, même pas...) : un (nouvel, et plus consternant encore) essai "cinématographique" (histoire et mise en scène - hum... on ne sait laquelle "admirer" le plus...). Qui louche pathétiquement du côté de "Tanguy" (mais au féminin, et avec conjoint), mâtiné de daubes commises par un certain nombre d'autres "cinéastes" (dont on s'étonne, également, qu'ils réussissent à trouver des financements), sur l'air du "Je retourne chez ma mère" (ici, chez mes parents : la touche d'inspiration personnelle), parce que problèmes divers : logement, travail, etc - une affaire de société. Notons que la dame "Brillantissime" situe la scène dans ce qu'elle connaît bien, le boboland, d'où, notamment, le superbe pavillon en meulière d'une banlieue chic - et non dans quelque banlieue misérable. Cela entraîne, pour alimenter les états d'âme des protagonistes, des problèmes de nantis - ce qui donne fort maigre pitance sur le plan dramaturgique... Outre Mlle Laroque, qui veille à être bien éclairée (histoire de montrer une plastique de maintenant sexagénaire bien conservée), on trouve au casting un Stéphane De Groodt (en amoureux des bonsaïs - mais aussi, finalement, de sa femme) éteint, et quelques jeunes gens, plus nuls les uns que les autres. Découvre - avec quelque inquiétude - que l'année prochaine doit sortir le 3e "long" de Mlle Laroque réalisatrice....
La dernière fois, en 2017, que Michèle Laroque s’est piquée d’écriture et de réalisation, le moins qu’on puisse dire, c’est que ça tenait nettement plus de la catastrophe industrielle que du chef d’œuvre. Alors c’est avec autant de curiosité que d’appréhension que j’ai tenté l’expérience de son nouvel opus. Catherine et Yann sont en couple et amoureux depuis de nombreuses années. Mais depuis que Yann a quitté son boulot, il s'est pris de passion pour les bonsaïs. Une passion dévorante qui prend beaucoup de place aux yeux de Catherine, qui se sent quelque peu délaissée. La situation ne va pas s'arranger lorsque leur fille Anna, et son copain Thomas, viennent s'installer chez eux suite à une galère d'appartement. La cohabitation s'avère plus que difficile pour les deux couples que tout oppose... 73 minutes après, l’impression est mi-figue mi-raisin. Bien meilleur qu’il y a 4 ans, les progrès sont concrets mais on est loin de la comédie inoubliable. Les comédiens sauvent la baraque et font passer un moment pas trop désagréable… Un film évitable. Alors, en résumé, on est dans l’hyper classique. La petite comédie franchouillarde sans prétention qu’on oublie dès la sortie de la salle. On ne sait jamais trop quoi dire de ce type de productions. C’est fade et sans saveur particulière, juste pimenté par quelques répliques bien senties. Le rythme n’est évidemment pas assez soutenu pour une comédie digne de ce nom, la réalisation plan-plan et le scénario dans le genre prévisible. Mais je ne me sens pas en droit d’éreinter totalement un moment sympathique… Donc mission remplie par Michel Laroque et sa troupe. J’aime beaucoup Michèle Laroque que je tiens pour une bonne comédienne, hélas le plus souvent sous ou mal employée. Sa vis comica est indéniable… Le problème, c’est le répertoire dans lequel elle se complaît. Stéphane De Groodt est parfait et grâce à lui, l’émotion affleure parfois. Pour compléter le casting on a Alice de Lencquesaing, Olivier Rosemberg, Lionel Abelanski, et une savoureuse panouille de François Berléand. Voilà, c’est tout, un petit film familial pour un jour d’été pluvieux dont on peut aussi attendre la diffusion un soir de déprime devant la télé. Je le répète, rien de honteux mais il y a tellement mieux sur les écrans du déconfinement…
j'ai trouvé ce film plutot moyen. Stephane De Groodt est toujours excellent. Michele Karoque en fait peut etre un peu trop - et n'ai pas trop accroché sur le couple : Anna / Thomas. Sinon ça reste assez frais mais pas vraiment fait ou fini pour le cinéma. Pleins de 'blagues' tombent plus ou moins à plat (ca A très très peu ris dans la salle d'un vend. à 19H).
Envie de mettre max 2 étoiles mais j'aime les acteurs et me demande pourquoi ils sont mis dans cette galère ! Film sans couleur fade Passez votre chemin
Un scenario nul et convenu, des situations connues d'avance (Le couple qui revient a la maison, petits mensonges, petites "vacheries" et un happy end habituel. J'attendais beaucoup de Stéphane De Groodt mais... un personnage lunaire et peu crédible . Pour ce Chacun chez soi j'aurais du rester chez moI !!!!!
Une pub pour Nutella Très déçue. Ennuyeux. Je n ai pas rit et c était très long… un sentiment de bâclé . La culture est essentielle la créativité aussi
Michele Laroque, comédienne avec un certain talent comique, sous exploité de mon avis, signe son deuxième film comme réalisatrice. On ne peut pas ire que c'est une réussite. Malgré une trame interessante avec les thèmes de l'éducation des enfants ou encore la routine dans un couple, le film est plat et peu drôle. ça manque de profondeur, de qualité d'écriture pour booster l'intérêt. Malgré la bonne prestation de Stéphane de Groot, on s'ennuie en attendant la chute finale avec une certaine impatience.
Comédie agréable de Michèle Laroque où l'action, les déplacements et les dialogues sont très "théatre" voire café-théatre. Bien entendu, c'est assez vif et aucun temps morts ; par contre limite surjoué entre les couples "typés" en mode ping-pong continuellement, presque fatiguant ! Catherine (M L) est débordante, Yann (Stephane De Groodt) ne sort pas du cadre et on retrouve un copier/coller déjà vu - un peu barge avec ses bonzaïs - et n'ai pas accroché sur le couple : Anna/Thomas, improbable. Film drôle assurément, mais on reste sur sa faim, trop propre, faisant penser au suppositoire bien fuselé dont on connaitrait parfaitement les effets... !!**
Chacun chez soi creuse le sillon, déjà profond, du film inspiré des séries télévisuelles françaises et destiné à occuper la première partie de la programmation d’une chaîne publique un dimanche soir. Nous oscillons entre Scènes de ménage et En famille (au choix), sans jamais passer par la case cinéma ; aussi le comique applique-t-il les recettes formatées d’une cuisine fast food qui doit satisfaire le plus de spectateurs, en l’occurrence des familles trop peureuses pour franchir le seuil de Mandibules (Quentin Dupieux, 2021) et rassurées à l’idée de retrouver des figures bien connues du grand écran comme du petit. Michèle Laroque n’aborde le comique qu’à la façon d’une joute verbale incessante, incapable de le penser en termes de gestuelle, de direction d’acteurs, de cadrage ou de montage ; ce faisant, elle accumule, entasse, remplit sa production narcissique de répliques prétendument bien senties et musclées, qui empruntent davantage aux discussions de comptoir après une soirée arrosée. Soit une collection de clichés embourgeoisés pour l’occasion et empaquetés dans un papier bon marché. « On ne touille jamais assez », entend-on au début ; voilà le film résumé par lui-même, une soupe sans saveur, adipeuse pourtant, que l’on remue sans cesse dans l’espoir d’obtenir une saveur inédite.
Avec son deuxième long-métrage sorti en 2020, Michèle Laroque prouve qu’elle est définitivement une piètre réalisatrice. L’histoire d’un couple harmonieux qui accueille temporairement chez eux leur fille et son compagnon constitue déjà un scénario réchauffé. Mais si, en outre, aucune scène ne provoque le moindre rire, on a le droit à une mauvaise comédie. Ce ne sont pas les apparitions de Lionel Abelanski ou de François Berléand qui sauvent le film du naufrage. Bref, une véritable purge.