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    Blanche-Neige et les sept nains
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    285 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Magnifique! D'une beauté incroyable, empli de scènes de légende, Blanche-Neige n'a pas pris une ride et reste toujours un grand dessin-animé.
    Harma
    Harma

    30 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mai 2014
    Le Walt Disney culte par excellence. Chef-d'œuvre à voir et à revoir sans modération.
    caro18
    caro18

    177 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Un chef d'oeuvre de Walt Disney tout simplement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 13 mai 2012
    Sans rien de grandiose, peu importe le charme opère ! Surprenant.
    TheWaaalkingDead
    TheWaaalkingDead

    78 abonnés 980 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 avril 2016
    Les nains sont distrayants, et, comme je l'ai dit, la musique fait une grosse partie du film. Pour moi c'est avant tout un Disney qui reste sombre et qui n'a et ne fera jamais partie de mes favoris.
    Tedy
    Tedy

    255 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juillet 2011
    L’animation est toujours jolie, gage de qualité du travail de l’époque, mais l’histoire a juste de quoi passionner les enfants. Pour les adultes, c’est un peu fade, et puis le personnage de Blanche-Neige est vraiment gourde.
    Julien D
    Julien D

    1 211 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2014
    C'est cette petite merveille féérique qui, malgré la loi anti-trust, a parmi à Walt Disney d'asseoir son pouvoir sur toute l'industrie du film d'animation américain pendant des décennies. Même s’il est aujourd’hui aisé de remarquer le caractère terriblement machiste de la caractérisation de son héroïne et que les chansonnettes sont devenues désuètes, c’est dans la qualité de l’animation, qui elle n’a pas pris une ride, ainsi que dans l’ingéniosité avec laquelle a été adapté le célèbre conte des frères Grimm (avec toute une multitude de références tant religieuses que sexuelles) que ce tout premier long-métrage des studios Disney constitue une œuvre révolutionnaire qu’il est toujours bon de se revoir, en souvenir d’un âge où la transformation de la Reine en sorcière était source de cauchemars enfantins.
    Jack G
    Jack G

    6 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 décembre 2019
    Premier des longs-métrages Disney, initiateur du Panthéon des « classiques d’animation » du studio, l’adaptation cinématographique de 1937 du conte des frères Grimm, paru en 1812, marque incontestablement l’histoire du cinéma par son innovation des techniques d’animation et de réalisation, sous l’influence et l’audace du producteur Walt Disney.
    Contrairement à ce que l’on peut penser, ce film d’animation n’est pas la première adaptation du conte homonyme des frères Grimm. En effet, en 1903, un film muet réalisé par Siegmund Lubin sort sur les écrans et marque le départ de plusieurs adaptations futures. Parmi elles, celle de 1916, réalisée par J. Searle Dawley, marque irrémédiablement un adolescent de 15 ans lors d’une projection à Kansas City, en 1917 : un certain Walt Disney. De quoi se dire que la genèse de Blanche-Neige et les Sept Nains par le studio Disney pourrait faire l’objet d’un film à elle seule. Quoiqu’il en soit, le visionnage de l’adaptation de 1916 laisse un goût amer au futur génie de l’animation, qui remarque plusieurs défauts de synchronisation et commence à penser à sa propre adaptation du conte original.
    A partir de 1924, Walt Disney anime et réalise plusieurs séries de courts métrages d’animations, dont les Silly Symphonies, en 1929. Cette série est importante dans l’histoire de Blanche-Neige et les Sept Nains, puisqu’elle a permis à Walt Disney de faire de nombreux essais d’animation, dont il s’est ensuite servi pour la conception du film. De plus, des nains et des sorcières apparaissent déjà dans ces courts-métrages et permettent de préparer l’apparition des futurs protagonistes du film.
    Mais rapidement, Walt Disney n’est pas satisfait de ses formats et la nécessite de réaliser un long-métrage se fait ressentir, pour deux raisons principales. D’abord, financière, puisque les recettes des courts-métrages suffisent tout juste à les rentabiliser et que les coûts de production sont sans cesse en augmentation. Ensuite, artistique, car ce format court ne permet pas de développer suffisamment les personnages et de raconter des histoires plus construites. Au printemps 1934, Walt Disney prend donc le risque d’investir sa fortune personnelle pour réaliser Blanche-Neige et les Sept Nains, avec un budget initialement prévu de 250 000 dollars (il atteindra finalement près d’1,5 million). Durant l’été, le projet est présenté publiquement et ni la presse, ni Hollywood, ne croit en lui. Toutefois, l’année suivante, le studio se lance dans une vaste entreprise de recrutement afin d’attirer les meilleurs talents de l’animation pour élaborer ce projet ambitieux et colossal. 300 artistes se présentent, d’horizons et de parcours très variés, parfois sans aucun rapport avec le milieu de l’animation mais qui profitent de séances de formation proposées par le studio, dont certaines ayant pour objet l’étude des mouvements du corps humain afin de rendre l’animation des personnages plus crédible.
    Pour construire ce premier long-métrage, le studio Disney puise essentiellement son inspiration en Europe. Ainsi, durant l’été 1935, Walt Disney voyage sur le Vieux Continent et ramène en Amérique 350 livres d’auteurs européens, ainsi que des dessins, pour enrichir ses sources. L’influence de l’Europe dans la naissance du film se retrouve également dans les origines irlandaises de son créateur, mais également dans celles du conte lui-même, écrit par les frères Grimm, nés en Allemagne. Enfin, plusieurs membres de l’équipe artistique sont également issus de ce continent et apportent leur culture personnelle dans la conception des décors, en partie d’inspiration norvégienne et russe.
    Au sujet des influences, celles-ci sont également importantes dans l’élaboration des personnages. En premier lieu, l’héroïne au teint aussi pur que l’est sa personnalité, Blanche-Neige, dont les traits ont été inspirés par le physique de la jeune actrice américaine Janet Gaynor, essentiellement connue pour son rôle dans L’Aurore (1927). Ensuite, l’aspect de l’odieuse Reine, qui a beaucoup évolué au fil de la production, prend ses racines dans les traits de l’actrice Joan Crawford, même si l’influence de la mythologie européenne n’est pas à négliger, avec des pouvoirs et un tempérament qui se rapprochent de Circé et de la Fée Morgane.
    Parmi les éléments caractéristiques des films Disney, la musique occupe une place prépondérante, dont on peut avoir un premier aperçu dans Blanche-Neige et les Sept Nains. Walt Disney, très tôt convaincu de l’utilité d’intégrer des compositions musicales, fait écrire 32 chansons pour le film, avant d’en sélectionner finalement 8, dont la très célèbre « Un jour mon prince viendra ».
    Blanche-Neige et les Sept marque l’histoire de l’animation par plusieurs progrès et innovation. D’abord, il possède l’inestimable honneur d’être le premier film du genre qui est à la fois en couleurs et sonore. Ensuite, au sujet des techniques d’animation, Walt Disney a permis d’amorcé plusieurs améliorations pour répondre aux besoins spécifiques du film : utilisation du Technicolor trichrome qui en est encore à ses débuts, du procédé de rotoscopie (qui a été parfois critiqué pour sa retranscription jugée trop réaliste des mouvements humains), de la caméra multiplane pour améliorer la sensation de profondeur, ou encore, d’une plus grande quantité de couleurs que celles qui apparaissent dans les précédents courts-métrages.
    Finalement, après trois années de production, Blanche-Neige et les Sept Nains est présenté pour la première fois le 21 décembre 1937 au Carthay Circle Theater, un ancien palais d’Hollywood fermé en 1968, quatre jours avant Noël, date butoir exigée par les investisseurs. Cette projection, réalisée en présence de nombreuses personnalités du cinéma, est un véritable triomphe.
    Un an plus tard, à la fin de l’année 1938, les recettes d’exploitation du film sont estimées à huit millions de dollars. A Paris, Blanche-Neige est restée à l’affiche pendant 31 semaines. En Allemagne, alors sous le régime nazi, le film n’est pas distribué mais certains des plus hauts responsables du gouvernement l’apprécient beaucoup, dont Hitler, qui a visionné le film jusqu’à ses derniers jours. Enfin, au Royaume-Uni, en raison de certaines scènes jugées trop effrayantes, les enfants de moins de 12 ans ont l’interdiction de visionner le film, et ceux de moins de 16 ans doivent être accompagnés. Une décision qui nous semble aujourd’hui assez invraisemblable.
    L’année suivante, Walt Disney reçoit pour la deuxième fois l’Oscar d’honneur (le premier a été obtenu en 1932 pour la création de Mickey Mouse), une récompense offerte pour ce premier long-métrage, qui est devenu le plus important succès du cinéma jusqu’à la sortie d’Autant en emporte le vent, en 1939. Ces recettes ont d’ailleurs permis à Walt Disney de financer le siège actuel de son entreprise et le succès de cette innovation de l’animation reste reconnu et apprécié plusieurs décennies plus tard, en dépit de critiques sur un vieillissement qui rendrait le film obsolète. A ces arguments et à leurs responsables ignorants, on ne peut que conseiller d’étudier la technologie d’animation de l’époque, que la réalisation de ce long-métrage a permis de faire énormément progresser, et d’observer le caractère incroyablement novateur des dessins pour un film des années 1930.
    FaRem
    FaRem

    8 767 abonnés 9 621 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Un classique de Disney que tout le monde connaît avec une histoire qui a traversé les époques et qui est connue de tous même de ceux qui n'auraient pas vu le film. "Blanche Neige et les sept nains" est un film d'animation qui a bien vieilli malgré le fait qu'il soit sorti il y a déjà près de cent ans. Évidemment, il faut le regarder avec son âme d'enfant sous peine de le trouver complètement niais. Le personnage de Blanche Neige est un peu nunuche et sa représentation de femme au foyer qui n'a qu'un rêve dans la vie à savoir rencontrer le grand amour de sa vie ferait bondir certaines personnes si le film sortait à notre époque. La première et dernière partie avec la Reine est toujours aussi bien, par contre tout le long passage avec les nains est quand même très ringard au contraire des chansons qui sont toujours mythiques. Bref, une œuvre qui n'a pas pris une ride sur le plan visuel, mais qui n'est plus forcément aussi magique en vieillissant. Pas mal.
    moket
    moket

    539 abonnés 4 345 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2017
    Un grand classique qui a aujourd'hui ce charme un peu vieillot. L'animation est somptueuse, le film est tour à tour léger et sombre. Seul le prince, réduit au rôle de potiche, est un peu décevant. Pour le reste, la magie est intacte.
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 décembre 2019
    Premier film d'animation de l'histoire du cinéma, cette splendide adaptation du récit des frères Grimm n'a rien perdu de sa fraîcheur. Un Disney incontournable aux couleurs somptueuses.
    Alasky
    Alasky

    358 abonnés 3 450 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 février 2021
    Une oeuvre tendre et touchante, haute en couleurs, et qui garde un petit charme rétro dans sa musique et ses dialogues. Blanche-Neige est éternelle dans le coeur de tous ceux qui ont vu ce film et qui ont été bercés par ces mélodies. Un classique à faire (re)découvrir aux nouvelles générations !
    legend13
    legend13

    251 abonnés 1 058 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2020
    Le premier long métrage de Walt Disney est un chef d'œuvre indémodable. J'ai grandis avec et c'est avec plaisir non dissimulé que je l'ai redecouvert sur Disney+. Seul regret, certaines voix françaises ont changées par rapport à la version que j'ai connu petit.
    bobmorane63
    bobmorane63

    195 abonnés 1 977 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2015
    Un classique du studio Disney que je n'avais pas vu depuis tout petit qui garde toujours son charme et se laisse regarder avec un brin de nostalgie d'enfance !! Blanche Neige est une très belle princesse qui attend son prince mais la reine du royaume à la silhouette glaciale la jalouse pour sa beauté qu'elle veut la prendre en la tuant. La demoiselle s'échappe du fort pour trouver refuge dans une maison au milieu de la foret appartenant à sept nains travailleurs aux personnalités différentes à l'abri de la reine démoniaque. La magie d'enfance en regardant ce dessin animé connu et apprécié par plusieurs générations revient à la surface en le visionnant. Le coté animation est très bien faite pour son époque et ne prend pas une ride aujourd'hui. Le conte de "Blanche Neige" sera adapté deux fois en 2012 en version moderne par différents studios Hollywoodiens pour le faire connaitre aux plus jeunes, je leur conseille aussi cette version de "Blanche Neige et les sept nains" a voir en famille bien évidemment.
    Artriste
    Artriste

    123 abonnés 2 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2024
    Premier long-métrage d'animation des studios Disney, réalisé par David Hand, Blanche-Neige Et Les Sept Nains est une très belle carte de visite. L'histoire nous fait suivre Blanche-Neige, une princesse vivant auprès de sa vaniteuse et malveillante belle-mère, la Reine. Jalouse de la beauté de la jeune femme, elle l'oblige à faire des tâches ménagères et se vêtir de haillons. Obsédée par l'idée d'être la plus belle, elle demande quotidiennement à son miroir magique qui est la plus belle du royaume. Mais un jour, en interrogeant ce dernier, il lui répond que la plus belle est désormais la princesse. Folle de rage, elle ordonne à son fidèle chasseur de tuer sa rivale. La victime va alors s'échapper et se perdre dans la forêt ou elle va faire une rencontre inattendue. Ce scénario, adapté du conte éponyme des frères Grimm paru en 1812, nous immerge dans une intrigue simple mais efficace pendant un peu moins d'une heure et demie. Le récit s'avère plaisant à visionner, notamment grâce à son ton se voulant à la fois enfantin et mature. En effet, si certaines scènes sont gentillettes et pleine de bonhomie, d'autres sont beaucoup plus sombres. Cela en partie dû à la thématique principale traitant de jalousie par rapport à la beauté physique, créant ainsi une haine viscérale allant jusqu'à vouloir supprimer l'autre. L'ensemble est porté par des personnages mémorables et attachants, à commencer par l'héroïne qui donne son nom au métrage. Celle-ci est souriante et candide, tout le contraire de la Reine qui est un antagoniste effrayant et impactant. Les sept nains possédant chacun une caractéristique unique permettant de les reconnaitre sont eux amusants. Les animaux de la forêts sont pour leur part adorables. Le prince est lui plus anecdotique malgré son importance mais il apparaît trop peu à l'écran pour être charismatique. Tous ces individus entretiennent des échanges procurant tout de même peu d'émotions, hormis quelques sourires. Sur la forme, la réalisation de David Hand s'avère de qualité. La direction artistique est quant à elle particulièrement charmante, aussi bien au niveau de l'aspect des protagonistes que des environnements. Ça fourmille de détails et de vie à l'écran, en plus d'être magnifié par des couleurs chatoyantes. Ce ravissant visuel est accompagné par une b.o. aux airs légers collant à merveille avec les images, ainsi que des chansons iconiques comme "un jour, mon prince viendra" et "heigh-ho !". Ce conte féérique s'achève sur une fin attendue mais satisfaisante, venant mettre un terme à Blanche-Neige Et Les Sept Nains, qui, en conclusion, est une œuvre familiale à la beauté éclatante.
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