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22 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Lingui, les liens sacrés, d’une grande beauté visuelle, convainc moins par son interprétation de non-professionnels, dommage. Mais le message passe et la dramaturgie prenante mérite la reconnaissance du cœur pour son entreprise nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Mahamat Saleh Haroun filme avec finesse le tabou de l'avortement.
Le Parisien
par La Rédaction
Cette manière de montrer même la tendresse d’un chaton et d’un jeune chien dans un foyer féminin qui n’a rien, sauf son courage indomptable et ses « Liens sacrés », remue et éblouit.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Yannick Lemarié
Si la composition des cadres (toujours aussi remarquables) permet d’instaurer une proximité pudique avec les personnages, elle favorise surtout l’exaltation des corps féminin, leur beauté, leur dignité, leur harmonie, leur force.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Tout le cinéma de Mahamat Saleh-Haroun repose sur cette balance entre dureté et suavité, à l’image de son pays, le Tchad, dont il filme la beauté languide, la lumière ocre, les couchers de soleil somptueux et le boucan infernal de la ville, le pont où grouillent les motos comme autant d’insectes à la recherche d’un butin, les tôles ondulées et les chiens errants...
Transfuge
par Serge Kaganski
Un film aussi juste esthétiquement que politiquement.
Bande à part
par Isabelle Danel
Ce film dossier au sujet brûlant et aux couleurs enivrantes conte avec courage le quotidien des femmes d’aujourd’hui, au Tchad.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Corentin Lê et Josué Morel
Le film trouve, modestement, un équilibre entre la rigueur de son scénario et la souplesse de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Dans ce beau film dépouillé et lumineux, le Tchadien Mahamat-Saleh Haroun met en scène des femmes qui s’entraident pour lutter contre le système patriarcal.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
À travers l'histoire d'une adolescente de N'Djamena enceinte, le cinéaste tchadien fait le tableau accablant d'une société patriarcale, religieuse et intolérante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Sa mise en scène, finaude avec ses ellipses choisies, sa grande pudeur et son petit suspense, nous plonge dans une Afrique contemporaine bien tangible.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Cette fiction sobrement réaliste témoigne avec force d'un certain état des choses dans un pays où les femmes, victimes de l'obscurantisme et de traditions liberticides, doivent lutter à chaque instant pour échapper à des périls mortels.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Lingui est une fable tragique obéissant à une forme de fatalité car, entre la mère et la fille, la malédiction se répète. L’enjeu est ainsi de déjouer le destin.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
On a du mal à l’ignorer, Lingui, en dépit de son tracé limpide, souffre de maladresses dans l’incarnation, et tend vers le tableau moral lorsqu’il peint la ténacité et l’humilité féminines dans de trop belles couleurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Mahamat Saleh Haroun n’a pas perdu son sens du cadre et compose des plans d’une grande force d’évocation, comme ces regards face caméra qui en disent plus longs que tous les discours.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
La puissance de sa mise en scène (jeu subtil sur les couleurs, cadrage d’une précision infernale, grâce des corps en mouvement...) trouve sa pleine expression dans l’angoissante séquence où la fille et sa mère se retrouvent soudain prisent au piège d’un labyrinthe aussi physique que mental.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Avec Lingui, Mahamat-Saleh Haroun explore les limites des droits de femmes au Tchad, sous couvert de drame familial joliment interprété et mis en lumière.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
(…) le choix de laisser respirer les plans et d’imposer un mouvement libérateur à son récit contribue à installer une langueur générale qui confine à la mollesse et affadit terriblement son argument.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un récit symboliquement fort mais trop attendu.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Lingui se borne à cocher, pour les dénoncer, toutes les cases de la domination masculine. Si la cause est noble, on a connu l’auteur plus inspiré.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
Difficile de ne pas saluer ce geste synonyme d’avancée politique. Reste que la forme laisse un peu à désirer. Le casting n’est pas toujours à la hauteur de l’enjeu. Et le récit manque de densité dans sa simplicité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
En dépit de l'importance de son sujet et de ses belles images, le récit peine à engendrer de véritables émotions, d'autant que l'interprétation des actrices peut manquer de naturel.
Franceinfo Culture
Lingui, les liens sacrés, d’une grande beauté visuelle, convainc moins par son interprétation de non-professionnels, dommage. Mais le message passe et la dramaturgie prenante mérite la reconnaissance du cœur pour son entreprise nécessaire.
Le Monde
Mahamat Saleh Haroun filme avec finesse le tabou de l'avortement.
Le Parisien
Cette manière de montrer même la tendresse d’un chaton et d’un jeune chien dans un foyer féminin qui n’a rien, sauf son courage indomptable et ses « Liens sacrés », remue et éblouit.
Positif
Si la composition des cadres (toujours aussi remarquables) permet d’instaurer une proximité pudique avec les personnages, elle favorise surtout l’exaltation des corps féminin, leur beauté, leur dignité, leur harmonie, leur force.
Sud Ouest
Tout le cinéma de Mahamat Saleh-Haroun repose sur cette balance entre dureté et suavité, à l’image de son pays, le Tchad, dont il filme la beauté languide, la lumière ocre, les couchers de soleil somptueux et le boucan infernal de la ville, le pont où grouillent les motos comme autant d’insectes à la recherche d’un butin, les tôles ondulées et les chiens errants...
Transfuge
Un film aussi juste esthétiquement que politiquement.
Bande à part
Ce film dossier au sujet brûlant et aux couleurs enivrantes conte avec courage le quotidien des femmes d’aujourd’hui, au Tchad.
Critikat.com
Le film trouve, modestement, un équilibre entre la rigueur de son scénario et la souplesse de sa mise en scène.
La Croix
Dans ce beau film dépouillé et lumineux, le Tchadien Mahamat-Saleh Haroun met en scène des femmes qui s’entraident pour lutter contre le système patriarcal.
Le Figaro
À travers l'histoire d'une adolescente de N'Djamena enceinte, le cinéaste tchadien fait le tableau accablant d'une société patriarcale, religieuse et intolérante.
Le Journal du Dimanche
Sa mise en scène, finaude avec ses ellipses choisies, sa grande pudeur et son petit suspense, nous plonge dans une Afrique contemporaine bien tangible.
Les Echos
Cette fiction sobrement réaliste témoigne avec force d'un certain état des choses dans un pays où les femmes, victimes de l'obscurantisme et de traditions liberticides, doivent lutter à chaque instant pour échapper à des périls mortels.
Les Inrockuptibles
Lingui est une fable tragique obéissant à une forme de fatalité car, entre la mère et la fille, la malédiction se répète. L’enjeu est ainsi de déjouer le destin.
Libération
On a du mal à l’ignorer, Lingui, en dépit de son tracé limpide, souffre de maladresses dans l’incarnation, et tend vers le tableau moral lorsqu’il peint la ténacité et l’humilité féminines dans de trop belles couleurs.
Paris Match
Mahamat Saleh Haroun n’a pas perdu son sens du cadre et compose des plans d’une grande force d’évocation, comme ces regards face caméra qui en disent plus longs que tous les discours.
Première
La puissance de sa mise en scène (jeu subtil sur les couleurs, cadrage d’une précision infernale, grâce des corps en mouvement...) trouve sa pleine expression dans l’angoissante séquence où la fille et sa mère se retrouvent soudain prisent au piège d’un labyrinthe aussi physique que mental.
aVoir-aLire.com
Avec Lingui, Mahamat-Saleh Haroun explore les limites des droits de femmes au Tchad, sous couvert de drame familial joliment interprété et mis en lumière.
Cahiers du Cinéma
(…) le choix de laisser respirer les plans et d’imposer un mouvement libérateur à son récit contribue à installer une langueur générale qui confine à la mollesse et affadit terriblement son argument.
La Voix du Nord
Un récit symboliquement fort mais trop attendu.
Les Fiches du Cinéma
Lingui se borne à cocher, pour les dénoncer, toutes les cases de la domination masculine. Si la cause est noble, on a connu l’auteur plus inspiré.
Télérama
Difficile de ne pas saluer ce geste synonyme d’avancée politique. Reste que la forme laisse un peu à désirer. Le casting n’est pas toujours à la hauteur de l’enjeu. Et le récit manque de densité dans sa simplicité.
Voici
En dépit de l'importance de son sujet et de ses belles images, le récit peine à engendrer de véritables émotions, d'autant que l'interprétation des actrices peut manquer de naturel.