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    Profession du père
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    velocio
    velocio

    1 325 abonnés 3 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juillet 2021
    Pas facile pour un enfant de 12 ans d'avoir pour père un homme qui, pour lui, fait figure de héros mais est en fait complètement mythomane. C'est dans le roman homonyme de Sorj Chalandon que Jean-Pierre Améris est allé chercher la matière de son film, lui qui avais eu également un père mythomane. Dans le film, André Choulans est un père mythomane mais pas que : véritable dictateur envers sa femme, violent avec son fils, à qui, en plus il confie des "missions" insensées, comme d'aller faire des inscriptions de soutien à Salan, Challe et Jouhaud sur les murs de la ville ou d'aller porter des lettres de menace à qui ne partage pas ses idées pro OAS. Le sujet est traité avec beaucoup de tact par Jean-Pierre Améris. Concernant le jeu de Benoit Poelvoorde, interprète de ce père, certains trouveront qu'il en fait trop. Pour le réalisateur, on doit penser à ce que faisaient Alberto Sordi ou Vittorio Gassman dans la comédie italienne de la grande époque, ce qui n'est pas faux. Audrey Dana est excellente dans le rôle de la mère, ainsi que le jeune Jules Lefebvre dans le rôle du gamin.
    mat niro
    mat niro

    363 abonnés 1 843 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juillet 2021
    L'action du film se déroule en 1961 à l'approche de la fin de la Guerre d'Algérie. Benoît Poelvoorde y incarne un père mythomane et violent qui va "retourner" le cerveau de son fils Cette oeuvre oscille entre humour fantaisiste et drame, car on se doute très vite que le père souffre de problèmes psychiques. Le point de vue de l'enfant (joué brillamment par Jules Lefebvre) est très bien analysé, voyant l'image de son père s'écorner peu à peu. Pour compléter ce trio, Audrey Dana joue la femme soumise d'un autre temps, ne voulant pas faire de vagues en sauvant les apparences. Un film moyen qui vaut néanmoins par la qualité d'interprétation des trois acteurs.
    Chris58640
    Chris58640

    218 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2021
    Jean-Pierre Améris porte à l’écran le roman autobiographique de Sorj Chalandon, et nous offre pendant presque 2 heures le portrait d’un homme spoiler: rendu fou par la Guerre d’Algérie
    . Son film, qui a plein de qualités, a quand même le défaut d’être un peu trop long. Franchement, les 20 dernières minutes n’en finissent pas de finir, étirant les scènes au-delà du nécessaire. Et puis il y en a quelques unes un peu trop longues ou bien dont l’intérêt peut se discuter, mais ce n’est pas bien méchant. Mis à part cela le film est bien tenu. La reconstitution des années 60 est soignée avec les costumes les accessoires, les décors, des images d’archives qui viennent illustrer le propos de temps en temps, histoire de donner le contexte de ces années politiquement très troublées. La musique est là, mais elle n’est pas envahissante. L’humour est relativement absent du film, ce qui peut se comprendre étant donné le sujet, et certaines scènes de violence familiales son pénibles à regarder, comme j’imagine elles on été pénibles à tourner. C’est d’ailleurs plus la violence psychologique (la scène de la porte) que la violence physique qui est pénible pour le spectateur. A part quelques longueurs le film tient la route et c’est aussi en grande partie grâce à son casting. Audrey Dana incarne un père aimante mais totalement passive devant la violence de son mari, et aveugle devant sa folie. Nous sommes dans les années 60 et je sais bien spoiler: qu’il est vain d’attendre de cette femme une révolte qui ne viendra jamais
    : les 10 dernières minutes du film en disant beaucoup sur elle, sur son attitude et sur sa part de responsabilité. Des trois membres de la cellule familiale, c’est la seule qui aurait le pouvoir de faire changer les choses spoiler: et qui ne le fait pas, par lâcheté et par facilité
    , c’est sans doute le rôle le plus insaisissable du film. Audrey Dana est très bien dans un rôle somme toute compliqué. Le jeune Jules Lefebvre est de toutes les scènes et il explore avec ce rôle toute la palette. Tour à tour fasciné, terrifié par ce père exalté, spoiler: et puis comme par mimétisme, machiavélique avec son ami d’école Lucas, une jeune pied-noir qu’il se met à manipuler comme son père le manipule lui, et avec un talent et un aplomb qui fait craindre le pire : le gamin suit-il les traces paternelles jusque dans la folie ?
    Ce tout jeune acteur est absolument parfait, à aucun moment (alors qu’il porte littéralement le film sur ses épaules) il ne baisse d’intensité. Jamais à côté du rôle, quelque soit l‘émotion à transmettre, c’est une petite performance. Benoit Poelvoorde, quant à lui, donne corps à un homme qui fait tout pour qu’on le trouve détestable : Il embarque son fils unique de 11 ans dans ses délires politiques, spoiler: lui fait poster des lettres de menaces, lui montre où il cache son arme, le fait sortir la nuit pour des pseudos missions, il utilise sans vergogne l’ascendant naturel qu’il a sur son enfant pour en faire l’instrument de ses délires mythomanes. Car André raconte tout à son fils : comment il a été écarté des Compagnons de la Chanson parce qu’il chantait trop bien, comment il s’est lié d’amitié avec un militaire américain qui aujourd’hui travaille avec Kennedy et il nourrit des délires avec des faux, des faux coups de fils, des fausses lettres.
    Le grand mystère de cet homme est de déterminer s’il croit lui-même à des délires où s’il ment effrontément et sciemment. L’interprétation de Poelvoorde est suffisamment ambigüe pour qu’on ne sache jamais réellement sur quel pied danser. Doit-on haïr un homme détestable ou plaindre un malade mental irresponsable ? La scène qui semble donner une clef arrive tard, dans le bureau du directeur d’école. Là, on comprend qu’on a surtout à faire à un pauvre type qui s’écrase mollement devant l’autorité, et se venge sur sa femme et son fils une fois la porte refermée. Il n’y a pas à proprement parler d’intrigue dans « Profession du Père », on est davantage dans la chronique familiale. Les faits se déroulent entre 1961 et 1962, le père est revenu d’Algérie complètement traumatisé (mais il faut attendre un bon moment pour comprendre cela), et il est devenu ingérable, psychotique et dangereux. La question est : tout cela est-il crédible ? Parce que cet homme là ne fait pas les choses à moitié question délires mythomanes ! J’aurais tendance à dire oui, vu qu’il s’agit de l’adaptation d’un roman qui, je crois, raconte l’enfance terrifiante de Sorj Chalandon. Une fois les portes de la folie ouvertes, il n’y a plus de limites et André Choulans est en roue libre ! Après, on peut quand même trouver que le scénario finit par tourner un peu à vide, faute d’une colonne vertébrale solide. On imagine que le film veut nous emmener vers le moment où quelqu’un dira (enfin) STOP à cet homme, spoiler: et ce quelqu’un, sans surprise, ce ne sera pas la mère d’Emile.
    Au-delà du cas extrême d’André Choulans, combien de combattants de la Guerre d’Algérie sont revenu avec un stress post traumatique jamais soigné ? Parmi eux, combien de tyrans domestiques, combien de suicidés, combien d’internés, combiens sont devenus des laissés pour compte ? Au travers de ce film, en dépit de ses maladresses et peut-être d’une certaine tendance à la caricature, c’est le sort de ces hommes là qui est évoqué. Et franchement, qui s’en est soucié, des ces hommes là ? Le film de Jean-Pierre Améris mérite d’être vu, pour la qualité indéniable de son casting, mais aussi pour toucher du bout du doigt cette question aussi douloureuse que dérangeante.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    182 abonnés 1 166 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2021
    Dans la France des années 60 un père au chômage fantasque autant qu'il peut être violent, mythomane et inquiétant n'arrive pas à se remettre de ce qu'il considère comme une abdication de De Gaulle en Algérie et entraîne son jeune fils à laver l'honneur perdue de la France. On connaît le don qu'à Poelvorde pour jouer les personnages angoissants, celui-ci ne déroge pas à la règle et l'interprétation du jeune garçon est parfaite et se hisse sans problème à hauteur. Mais le film reste tout de même beaucoup trop fade pour emporter totalement mon adhésion.
    Le Bazar
    Le Bazar

    27 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2021
    Ce film montre les effets du culte de la personalité.
    On y voit un enfant innocent qui écoute son père raconter ses exploits.
    Et on va suivre l'histoire a travers des yeux de l'enfants.
    Benoit qui joue très bien le rôle du père énervé.
    Mais l'histoire est assez monotome sur le fond même si les acteurs jouent biens.
    Jipéhel
    Jipéhel

    42 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2021
    Profession du père

    Le cinéma de papa

    Adapté du roman du même nom écrit par Sorj Chalandon, le drame réalisé par Jean-Pierre Améris laisse un malaise étrange à la sortie de la salle. L’originalité du sujet, la morale de l’histoire, les personnages atypiques, tout relève presque de l’incongru dans ces 105 minutes. Emile, 12 ans, vit dans une ville de province dans les années 1960, aux côtés de sa mère et de son père. Ce dernier est un héros pour le garçon. Il a été à tour à tour était chanteur, footballeur, professeur de judo, parachutiste, espion, pasteur d'une Église pentecôtiste américaine et conseiller personnel du général de Gaulle. Et ce père va lui confier des missions dangereuses pour sauver l’Algérie, comme tuer le général. Une distribution brillante suave un film dont on n’a du mal à percevoir les intentions. Un cauchemar intime et cruel qui s’avère intéressant mais troublant.
    La mystification est au centre de l’intrigue où des personnages qui se font avoir par un autre qui leur raconte des fables auxquelles ils croient dur comme fer, et cette douleur qui est celle de découvrir que l'on a été berné, que tout était faux. L’intrigue se déroule en grande partie dans le huis clos étouffant de l’appartement familial. Les extérieurs se situent à l’école où dans les rues désertes et angoissantes du vieux Lyon, filmées comme un lieu d’enfermement. On rit parfois, on pleure souvent, mais on est surtout pris d’effroi par ce père mythomane et violent. Une réflexion sur le thème du déni du réel, poignante et déstabilisante.
    Jean-Pierre Améris connait bien Benoît Poelvoorde pour l'avoir dirigé dans les excellents Les Emotifs anonymes et Une famille à louer. Comme d’habitude, notre géant belge est énorme, jouant de l’outrance avec une délectation jubilatoire. Il y a du Sordi ou du Gasmann dans cet acteur là. A ses côtés, l’impeccable Audrey Dana, que j’avais rarement vue autant à son avantage et le jeune Jules Lefebvre, formidable petit acteur qui crève l’écran et que l’on devrait revoir très vite. Nous nous rappellerons de la fin touchante et l’ultime phrase de la mère soumise : j’ai vu le poisson mais je n’ai rien dit parce que c’était plus simple. Un point final bouleversant.
    samourai19091952
    samourai19091952

    3 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2021
    J'ai trouvé ce film intéressant. La violence psychologique exercée sur l'enfant par le père mythomane, veule et irresponsable, ainsi que l'absence de protection de l'enfant par la mère peureuse et dns le déni parce que cela justifie son absence de courage sont bien montrées.
    C'est un rôle en or pour B. Poolvorde qui n'en fait pas trop. A. D'ana interprète avec justesse le rôle de cette mère défaillante.
    L'enfant est bien interprété également. Je trouve la critique de Télécom assez dure.
    Tekkeitsertok
    Tekkeitsertok

    3 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 août 2021
    J'étais relativement mitigé en lisant le synopsis, mais c'était un drame français plutôt sympathique. Les relations toxiques dans un ménage, la folie, l'embrigadement d'un enfant ; voilà des thèmes difficiles et relativement bien abordés. La scène final résume bien le problème dans ce genre de relation, et conclu très bien ce film que je conseille.
    Nicolas TEXIER
    Nicolas TEXIER

    1 abonné 40 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2022
    L'idée de base est extrêmement intéressante, avec l'ascendant psychologique d'un père mythomane patriotique voire complotiste sur son fils (et accessoirement sa femme), avec une 1e partie dépeignant le père, puis une 2e partie dépeignant les conséquences sur son fils. Le film est au final assez inégal, et se perd parfois, notamment car Poelvoorde en fait un peu trop. Dommage car les passages avec les grands-parents, ou encore l'école apportent de la profondeur au récit. Au final, un film intéressant, qui aurait mérité un peu plus de finesse.
    Ciné2909
    Ciné2909

    73 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 février 2022
    Après Je vais mieux de David Foenkinos, le réalisateur Jean-Pierre Améris signe une nouvelle adaptation d’un roman. Cette fois, il s’attaque à Profession du père écrit par Sorj Chalandon et retrouve pour l’occasion son compère Benoît Poelvoorde. L’action nous ramène au début des années 1960 alors que se termine la guerre d’Algérie et à travers le portrait d’André on perçoit les terribles traumatismes causés par ces conflits. Au départ, c’est un personnage qui se montre attachant par ses propos fantasques mais c’est un visage qui en cache un autre. Cela se traduit par des scènes fortes où la violence se manifeste aussi bien physiquement qu’à travers des dialogues éloquents. Complétez cela avec un trio Lefebvre / Dana / Poelvoorde tout simplement extraordinaire et vous voilà devant un joli film !
    Roger D
    Roger D

    81 abonnés 901 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 novembre 2021
    "Profession du père" Emile voit en son père un héros, ancien combattant de la guerre d'Algérie sauf que celui-ci invente un passé glorieux dont le fils raffole . Malheureusement il l'entraîne dans l'un de ses délires c'est à dire de devenir un résistant contre l'indépendance de l'Algérie en imaginant même de tuer le général De Gaulle.
    Pensait en voyant Poelvoorde à une comédie mais que nenni très vite on voit que c'est loin d'en être une au vu du comportement du père envers son fils et sa femme. C'est dur par moment de voir comment il maltraite sa famille en restant dans ses délires de résistance et en embrigadant son fils qui peu à peu devient comme lui a la grande tristesse de sa mère...
    On arrive à le détester même si son état provient des horreurs vécu pendant la guerre, on vient à détester la mère qui l'excuse et qui offre trop peu de résistance et même parfois le gamin qui devient une belle enflure...cela monte vite dans cette folie et on se demande si il ne vas y avoir un mort a force de pousser le bouchon...le film est prenant Poelvoorde n'abuse pas de ses cabotineries habituel (et assez souvent pénible) et reste donc juste en père malade. Et bon point jusqu'au bout on reste dans cette émotion dont les 3 protagonistes se voilent la face enfin plus ou moins. Bref bon film!
    NOTE : 6.5/10
    Marlowe_roth
    Marlowe_roth

    1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juillet 2021
    Un sujet - pas évident - traité avec beaucoup de justesse et fragilité, interprété avec brio par l'immense Benoît Poelvoorde. La mise en scène est juste, la caméra ne juge pas ses personnages, c'est un film touchant et parfois dur : on rit, on pleure, on est parfois effrayé par le rôle du père et parfois pris d'empathie.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 815 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2021
    Emile, 12 ans, vit aux côtés de sa mère et de son père. Ce dernier est un héros pour le garçon. Il va lui confier des missions dangereuses pour sauver l’Algérie Française.

    C'est Jean-Pierre Améris, réalisateur d’Une Famille à Louer (2015), déjà avec Benoît Poelvoorde, qui adapte le roman de Sorj Chalandon. Le scénario a été écrit avec Murielle Magellan.

    Forcément voir Benoît Poelvoorde à l'affiche me donne envie de voir le film. Je pense qu'il y avait moyen de faire mieux malgré tout le résultat est pas mal.

    L'histoire part sur une bonne base avec ce père clairement mythomane, et qui s'invente une vie auprès de son fils. Un vice allant tellement loin qu'il lui fera même prendre des risques. J'ai apprécié la façon dont est travaillée la figure paternelle où l'amour du fils pour son père le pousse à avoir une confiance plus qu'aveugle. Le petit boit les paroles de son paternel et il va se mettre en danger sans s'en rendre compte.

    La personnalité du père, et la relation avec son fils sont donc les deux éléments primordiaux de ce drame. On arrive à cerner les méandres de l'esprit de ce menteur maladif. Ces contradictions sont cernées et j'aime l'attitude qui lui est donnée lorsqu'il est dans ses retranchements. C'est du point de vue du fils qu'on va observer ce rapport. Cela permet de ressentir l'amour innocent qu'a l'enfant. Ça en est touchant tellement cela devient nocif et l'influence mal.

    On ne peut qu'être admiratif devant la prestation de Benoît Poelvoorde qui maitrise admirablement son rôle dramatique. On voit toute sa hargne, et qu'il essaie de se convaincre lui-même de cette "fausse réalité". Le jeune Jules Lefebvre est tout à fait à la hauteur des émotions dégagées par Émilie. Par contre, j'ai moins été convaincu par le jeu de la mère Audrey Dana.

    Par contre, l'histoire devient vite répétitive malgré le fond intéressant. Une fois qu'on est dans la routine du mensonge, il n'y a plus de dynamisme. Dommage car le film arrive pourtant à rebondir mais un peu tard. Surtout qu'on nous réserve un final un peu lourd car il vient souligner des choses évidentes. Cela gâche un peu la beauté dramatique de l'instant.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 201 abonnés 5 224 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 août 2023
    Un film dur qui semble jouer sur un registre de complicité père-fils mais qui est plutôt glaçant dans sa démonstration. Un âge où l'enfant est véritablement sous l'emprise de l'adulte qui est son référent unique. Quelle maturité a-t-il pour se révolter ou même comprendre les enjeux de cet amour inconditionnel ??
    Pas mal du tout.
    moket
    moket

    545 abonnés 4 353 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2022
    Un étrange mélange de gravité et de légèreté pour ce film qui se place à hauteur d'un enfant en proie aux délires paternels. Benoît Poelvoorde est excellent.
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