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Votre avis sur Drunk ?
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Il n'y a pas que le cinéma francais, américain ou encore coréen , il y a le cinéma Danois !!
Et c'est super vraiment très bonne idée , très bien réalisée, et de très bons acteurs
Même les musiques sont tops
C'est très réaliste et profond comme sujet bien que le scénario à l'air plutot simple, chapeau à Mikkelsen et au réalisateur
Et c'est super vraiment très bonne idée , très bien réalisée, et de très bons acteurs
Même les musiques sont tops
C'est très réaliste et profond comme sujet bien que le scénario à l'air plutot simple, chapeau à Mikkelsen et au réalisateur
Film 100% danois sorti entre deux confinements, Drunk est idéal pour quitter la déprime, à l'image du personnage central joué par un Mads Mikkelsen juste excellent. Les autres acteurs sont aussi très bon. Un film qui parle à tous d'un thème très peu exploité de cette façon dans le cinéma, en étant pas moralisateur et en proposant plutôt une vision plus nuancée de la consommation d'alcool. Se mêle avec brio et efficacité humour et drame, donc les émotions qui en découlent sont nombreuses et variées. Et puis quel final, il est absolument parfait ! Un film réussi qui ne prend pas la tête et qui fait un bien fou ! C'est tout ce qu'on demande en ce moment...
Je ne suis pas un grand fan de Vinterberg. J’ai, évidemment, été troublé par Festen (1998) et dérangé par La chasse (2012). Les autres films que j’ai pu voir de ce réalisateur m’ont laissé sur ma faim. Ça n’est donc pas pour lui que je suis allé voir Drunk, mais pour Mads MIKKELSEN, qui est un acteur formidable, capable jouer absolument tous les rôles. Il fait partie de ces quelques acteurs qui sont toujours bons, même dans de mauvais films, ou des moyens.
Mais une fois dans la salle, ce fut une autre paire de manches ! On retrouve évidemment le thème privilégié de la filmographie du réalisateur : tous ces petits éléments qui bloquent nos vies et, surtout, qui ne doivent pas paraître et rester enfouis sous les apparences de la bonne société.
Bien sûr, le film fonctionne sur un schéma dont on devine les dessins et les méandres très rapidement. Les débordements prévisibles et les échecs qui en découlent se produisent et le danois, comme à son habitude filme les événements de façon frontale, au plus près des personnages.
Comment ne pas s’attacher à Martin, joué par Mikkelsen, monsieur tout le monde, un peu introverti, mais qui a eu la bonne idée de devenir professeur ? Cette exposition quotidienne devant un public ne lui convient pas complètement et il doit lutter contre sa nature et sa timidité pour s’imposer. Ajouté à cela des enfants et une femme avec qui les relations ne sont pas au beau fixe et l’on tient là un parfait candidat à la dépression que l’ébriété peut libérer. C’est donc lui que l’on va suivre particulièrement et comprendre ce qu’engendre cette théorie scientifique de l’ébriété permanente.
Mais une fois de plus, Vinterberg ne juge pas ses personnages : il les filme pour raconter leur histoire. De fait, les effets de l’alcool sont autant loués que décriés. Mais le film pose aussi une question sociétale. Les Danois sont-ils socialement alcooliques ? Car ces hommes évoluent dans un milieu social où les gens boivent et où leur état est largement accepté tant qu’ils ne dépassent pas les limites de la « bienséance ».
Un film à boire, donc, mais surtout pour la qualité des 4 acteurs principaux.
Mais une fois dans la salle, ce fut une autre paire de manches ! On retrouve évidemment le thème privilégié de la filmographie du réalisateur : tous ces petits éléments qui bloquent nos vies et, surtout, qui ne doivent pas paraître et rester enfouis sous les apparences de la bonne société.
Bien sûr, le film fonctionne sur un schéma dont on devine les dessins et les méandres très rapidement. Les débordements prévisibles et les échecs qui en découlent se produisent et le danois, comme à son habitude filme les événements de façon frontale, au plus près des personnages.
Comment ne pas s’attacher à Martin, joué par Mikkelsen, monsieur tout le monde, un peu introverti, mais qui a eu la bonne idée de devenir professeur ? Cette exposition quotidienne devant un public ne lui convient pas complètement et il doit lutter contre sa nature et sa timidité pour s’imposer. Ajouté à cela des enfants et une femme avec qui les relations ne sont pas au beau fixe et l’on tient là un parfait candidat à la dépression que l’ébriété peut libérer. C’est donc lui que l’on va suivre particulièrement et comprendre ce qu’engendre cette théorie scientifique de l’ébriété permanente.
Mais une fois de plus, Vinterberg ne juge pas ses personnages : il les filme pour raconter leur histoire. De fait, les effets de l’alcool sont autant loués que décriés. Mais le film pose aussi une question sociétale. Les Danois sont-ils socialement alcooliques ? Car ces hommes évoluent dans un milieu social où les gens boivent et où leur état est largement accepté tant qu’ils ne dépassent pas les limites de la « bienséance ».
Un film à boire, donc, mais surtout pour la qualité des 4 acteurs principaux.
Un film somptueux sur la vie, on rit autant qu'on pleure. La scène finale est désormais culte, beaucoup trop intense.
Les années passent, la vie semble n'avoir plus trop la même saveur. Problème de palais, le goût de la vie s'étiole. Vinterberg, quant à lui retrouve sa grandeur perdue après les sublimes millésimes que son Festen en 1998 et La Chasse en 2012. Mads Mikkelson démontre encore que le monsieur ne dispose pas que d'un bon levé de verre, Drunk est un tourbillon d'émotion de questionnement de partage et d'amitié. Une quête du bonheur ou les corps et les esprits désinhibés se permettre de transmettre encore un peu de vie. Que c'est bon pour les papilles, cela fait revenir des saveurs jadis frelaté. Boulevardducinema.com
Un film qui te fait l'effet d'une bonne grosse caisse entre potes: du lâcher prise, du feel good, du carpe diem, du "one life", relativiser ses problèmes et voir sa chance sans les effets secondaires.
Je tiens a préciser que je suis un fan absolu de Thomas Vinterberg: Festen et son dogme95 et un de mes films préférés The hunt. Je suis au moins autant fan de Mads Mikelsen!
Quelques défauts sur le côté un peu trop classique du film avec 4 amis, 4 problèmes plus ou moins et 4 réalisations du problèmes plus ou moins, sinon un super film a partager entre amis!
Je tiens a préciser que je suis un fan absolu de Thomas Vinterberg: Festen et son dogme95 et un de mes films préférés The hunt. Je suis au moins autant fan de Mads Mikelsen!
Quelques défauts sur le côté un peu trop classique du film avec 4 amis, 4 problèmes plus ou moins et 4 réalisations du problèmes plus ou moins, sinon un super film a partager entre amis!
Drunk est un film savamment dosé, où les effets positifs de l'alcool sous forme d'une théorie, sont analysés jusqu'au point de non retour.
Au delà de ce synopsis, la qualité de l'interprétation et de la réalisation est juste admirable. Du grand cinéma Danois, encore, dont Vinterberg porte fièrement l'étendard.
Au delà de ce synopsis, la qualité de l'interprétation et de la réalisation est juste admirable. Du grand cinéma Danois, encore, dont Vinterberg porte fièrement l'étendard.
Formidable, mention spéciale à la scène finale. Et là on se souvient que Mads Mikkelsen a une formation de danseur classique
C est clairement un bon film pas moralisateur .
Simple efficace et qui fait tout de même se poser des questions sur la consommation d alcool au travail sujet qui demeure tabou .
Simple efficace et qui fait tout de même se poser des questions sur la consommation d alcool au travail sujet qui demeure tabou .
Drunk / Druk c'est l'histoire d'une bande d'amis, tous professeurs d'école secondaire, et tous malheureux que ce soit au sein de la famille, de leur couple, ou en tant qu'instituteur. Ils décident alors de mener une expérience en buvant tous les jours un verre d'alcool et en mesurant leurs performances dans leur vie sociale, on observe alors les bien faits et dérives de l'alcool dans cette bande d'amis danoise à travers des acteurs épatants et un point de vue du réalisateur si tendre et si PLEIN DE VIE. Je recommande !
Quelques grammes de finesse.
Je n’avais pas touché au cinéma de Vinterberg depuis Festen. Et j’ai probablement eu tort. Quatre potes et collègues profs s’ennuient. Leur job les gonfle. Leur vie familiale part en cacahuète. Ils se sont enfermés dans une routine dont ils n’osent plus sortir. L’un deux a l’idée de tester une théorie selon laquelle, il manque à l’homme 0,5 grammes d’alcool. Histoire d’être au top et de se donner de nouvelles perspectives, ils vont tenter de rester tout le temps ivres. Le concept est fort, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais derrière ce concept accrocheur, c’est surtout le portrait de quatre types qui veulent retrouver la fraîcheur des jeunes qu’ils ont devant eux. Le ton est bien sûr provoc’ tant cela ressemble à un éloge de l’ébriété. Et si on jubile de vivre cette idée drôle et idiote par procuration, on sait que ce remède ne résout rien. Ou presque rien. Car si l’alcool désinhibe, il permet surtout à nos gugusse de prendre conscience de ce qu’ils ont au fond d’eux. De se souvenir à quoi ils sont attachés. De revivre l’euphorie de la découverte. L’intrigue avance dans une tension contenue mais chargée d’inéluctable. Et par chance les quatre acteurs s’en sortent à merveille et en particulier le toujours charismatique Mads Mikkelsen. Par son regard froid et fatigué et par ses traits qui sont ceux du mec qui a déjà beaucoup vécu il parvient en de toutes petites mimiques à montrer l’intérieur ravagé de son personnage. Oui, c’est dire comme on aimerait le voir dans un autre registre. A l’image, c’est parfaitement éclairé et la caméra à l’épaule de Vinterberg sait capter l’instant sans se montrer trop présente. On aime donc cette ambiance de fin d’année, de fin de vie, de fin du monde, de début d’aventure propre au rivage danois. Et en toile de fond, la jeunesse insouciante (et complètement torchée) se prépare à la vie de ses aînés. Belle surprise donc, du genre qui reviendra hanter les remises en question.
Je n’avais pas touché au cinéma de Vinterberg depuis Festen. Et j’ai probablement eu tort. Quatre potes et collègues profs s’ennuient. Leur job les gonfle. Leur vie familiale part en cacahuète. Ils se sont enfermés dans une routine dont ils n’osent plus sortir. L’un deux a l’idée de tester une théorie selon laquelle, il manque à l’homme 0,5 grammes d’alcool. Histoire d’être au top et de se donner de nouvelles perspectives, ils vont tenter de rester tout le temps ivres. Le concept est fort, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais derrière ce concept accrocheur, c’est surtout le portrait de quatre types qui veulent retrouver la fraîcheur des jeunes qu’ils ont devant eux. Le ton est bien sûr provoc’ tant cela ressemble à un éloge de l’ébriété. Et si on jubile de vivre cette idée drôle et idiote par procuration, on sait que ce remède ne résout rien. Ou presque rien. Car si l’alcool désinhibe, il permet surtout à nos gugusse de prendre conscience de ce qu’ils ont au fond d’eux. De se souvenir à quoi ils sont attachés. De revivre l’euphorie de la découverte. L’intrigue avance dans une tension contenue mais chargée d’inéluctable. Et par chance les quatre acteurs s’en sortent à merveille et en particulier le toujours charismatique Mads Mikkelsen. Par son regard froid et fatigué et par ses traits qui sont ceux du mec qui a déjà beaucoup vécu il parvient en de toutes petites mimiques à montrer l’intérieur ravagé de son personnage. Oui, c’est dire comme on aimerait le voir dans un autre registre. A l’image, c’est parfaitement éclairé et la caméra à l’épaule de Vinterberg sait capter l’instant sans se montrer trop présente. On aime donc cette ambiance de fin d’année, de fin de vie, de fin du monde, de début d’aventure propre au rivage danois. Et en toile de fond, la jeunesse insouciante (et complètement torchée) se prépare à la vie de ses aînés. Belle surprise donc, du genre qui reviendra hanter les remises en question.
Fêtons le cinéma
Avec Druk, Thomas Vinterberg porte à l’écran de façon fort pertinente la pensée philosophique de Søren Kierkegaard et déplace la malédiction depuis l’ancrage familial strict vers une bande d’amis par ailleurs membres d’un corps plus vaste : l’École. Aussi le réalisateur adapte-t-il pour mieux déporter, déplace-t-il un mal essentiellement individuel pour mieux le greffer à l’échec d’un collectif au sein duquel s’opèrent des enjeux politiques. Il s’agit désormais, comme le dit l’un des personnages principaux, de « s’accepter comme sujet faillible », sujet à entendre à la fois dans son sens philosophique – comme unité pensante – et dans son sens d’assujetti à une puissance souveraine, en l’occurrence le royaume du Danemark. Notre quatuor mobilise cette polysémie en ce qu’ils sont professeurs et perçoivent l’ivresse comme une marche progressive vers la liberté, comme une expérience de dérèglement soigneusement réglée avec ses principes, ses chapitres, ses phases d’observations, ainsi que des individus malheureux dans un monde terne qui fait d’eux des pièces d’un rouage qui les dépasse et qui les broie. L’alcool raccorde l’homme au possible avec lequel il gouverne son existence, sans quoi elle serait aussi vaine que lui ; néanmoins, ce possible heurté à ses conséquences, tantôt anticipées tantôt subies, le place dans une situation déstabilisante : l’individu se trouve confronté à un vertige, celui de devoir donner du sens à ses actions puisqu’aucune instance supérieure ne leur en donne. Druk est donc une œuvre boiteuse dans laquelle deux tensions entrent en contact : d’une part la retenue maladive, traduite par une caméra posée qui soigne son cadre, d’autre part le dérèglement de tous les sens, la caméra se mettant alors à virevolter jusqu’à nous donner le tournis. Ainsi, plus le film avance et plus il semble rattrapé par les enjeux moraux de ses protagonistes, leur mauvaise conscience doublée d’une perte de contrôle dommageable – s’effondrer dans la salle des professeurs, exploser des verres dans la cuisine, uriner dans le lit familial – les torturant de la même manière que l’alcool les ronge. Jusqu’à la clausule qui présente Martin écartelé entre deux possibles, le portable sur les genoux, les verres remplis sur la table, avant de se jeter dans le vide précédant l’eau comme signe du choix effectué. Une réflexion intelligente sur le Danemark contemporain, incarnée par des comédiens formidables.
Quatre profs décident d'appliquer à leur vie la théorie d'un psychologue norvégien qui dit que l'homme serait né avec un déficit d'alcool dans le sang qu'il convient de combler pour trouver le bonheur. Avec une rigueur scientifique, chacun relève le défi en espérant tous que leur vie n’en sera que meilleure !
J’ai adoré ce film, les interprétations sont remarquable Mads Mikkelsen est incroyable et joue à la perfection comme d’habitude, c'est sympa de le voir dans la peau d'une personne ordinaire (où du moins dans le cinéma danois), parce que à Hollywood il a toujours un coté "bad guy" ( prochain Grindelwald)
En dehors d’une représentation lucide et amusante sur l'alcoolisme, le film aborde des thèmes comme l'amitié, les regrets et la nécessité de parler avec ses proches.
Thomas Vinterberg livre un drame profond, un film rempli d’humanité entre comédie et tragédie.
Mention spéciale à la scène finale qui est tout simplement somptueuse (et le morceau What a Life)
Drunk c’est un film intelligent, brillant, émouvant, drôle, et original qui fait réfléchir sur les ravages de l'alcool mais aussi sur la vie.
J’ai adoré ce film, les interprétations sont remarquable Mads Mikkelsen est incroyable et joue à la perfection comme d’habitude, c'est sympa de le voir dans la peau d'une personne ordinaire (où du moins dans le cinéma danois), parce que à Hollywood il a toujours un coté "bad guy" ( prochain Grindelwald)
En dehors d’une représentation lucide et amusante sur l'alcoolisme, le film aborde des thèmes comme l'amitié, les regrets et la nécessité de parler avec ses proches.
Thomas Vinterberg livre un drame profond, un film rempli d’humanité entre comédie et tragédie.
Mention spéciale à la scène finale qui est tout simplement somptueuse (et le morceau What a Life)
Drunk c’est un film intelligent, brillant, émouvant, drôle, et original qui fait réfléchir sur les ravages de l'alcool mais aussi sur la vie.
Quelle classe ! Quel grand moment ! Une ôde ... que dis-je, une Philosophie, sur la vie, l'amitié, la maturité, les relations avec l'alcool et tous ses problèmes, et solutions ! Avec un Mads Mikkelsen encore une fois impérial ! Un très grand film, loin des blockbusters habituels, ici ce ne sont pas les effets spéciaux mais la vie qui rayonne ! A coups sur l'un de mes grands coups de cœur ciné 2020 ! ❤
Un film du côté de la vie. Vibrant, fébrile, par moment sombre et pourtant lumineux lorsqu'on en ressort. Mads Mikkelsen est toujours aussi incroyable !
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