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    Full Metal Jacket
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    1 016 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 août 2012
    Full Metal Jacket est tous simplement le meilleur film de guerre post 11 septembre. Il retrace la guerre du Vietman tous en créant une atmosphère mitigé entre la comédie et le drame. Que puis-je dire d'autres. Seulement "Born to kill"
    barbarit22
    barbarit22

    14 abonnés 177 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 septembre 2011
    L'un des meilleurs films de guerres de tous les temps signé Kubrick !!! Ce film nous montre parfaitement la psychologie des soldats américain lors de la guerre du Vietnam !!! Un film très réaliste avec des acteurs très bon, de l'humour assassin, des combats très bien réalisés; FULL METAL JACKET est à connaitre pour les fans de film de guerre !!!
    vivien-b
    vivien-b

    57 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 septembre 2011
    C'est quand on voit un film comme Full Metal Jacket dans la filmographie du grand maître Kubrik qu'on se rend compte de la complétivité incroyable de celle-ci en même temps que ses contradictions et ses divergences, surtout à partir de son chef d'oeuvre qui restera aussi dans les annales comme un des films les plus controversés de l'histoire du cinéma, Orange Mécanique, qui avec un regard général sur le travail de Kubrik peut maintenant être considéré comme une sorte de synthèse de tous les souvent très différents thèmes et idées chers au réalisateurs déjà exploitées ou qu'il exploitera plus tard : Une vision futuriste visionnaire, qu'il avait totalement déployé dans 2001, L'odyssée de L'Espace, même s'il est clair qu'il est presque question de l'antithèse d'Orange Mécanique, des pointes satiriques (la scène d'orgie tournée en accélérée), un chemin comique qu'il avait littéralement (oui, j'ai bien dit littéralement) fait explosé dans sa première oeuvre réellement reconnue, Docteur Folamour, et voilà qu'en 1980, presque dix and après Orange Mécanique, le grand stanley dirige une oeuvre entière sur le grand thème de la deuxième partie de son chef d'oeuvre : la déshumanisation de l'homme, non pas par une société expèditive dans l'éradication du mal chez l'être humain comme dans Orange Mécanique, mais parmais par les méthodes lobotomisantes de l'armée américaine pour préparer leurs hommes dans le contexte de la guerre du viet-nam. Comme le veut le destin ou tout simplement l'envie de continuation du cinéaste, on peut découper le film en deux parties distinctes comme Orange Mécanique (et même comme Barry Lyndon avec lequel le concept des deux parties est très utile pour décrire la descente aux enfers du personnage principal) ; mais, cette fois par les caprices du destin et par une logique un peu moins bonne, c'est juste une fois une heure passée grandiose d'une verve incroyable, autant au niveau des dialogues qu'au niveau des acteurs, étrange coincidence que cela arrive juste quand la durée vers le début de la deuxième partie d'Orange Mécanique, qui était ici encore meilleure que la première, est franchi, le film... S'essoufle. Non pas que le générique de fin défile déjà devant les yeux du spectateur, mais que, cet c'est bien ce qui fait de Full Metal Jacket le moins bon Kubrick que j'ai pu voir jusqu'à présent (mieux vaut vous rappeler que je n'ai pas encore vu Fear and desire). Le rythme et l'intérêt subissent malheureusement une chute impartiale au niveau des personnages (et c'est un point qui descend clairement en flèche à cause du choix d'orientation du scénario à la fin de la première partie (dont je reparle plus tard)) et des dialogues (qui garde un ton cynique mais un certain cachet d'écriture est perdu), le dialogue étant pourtant unes des rares actions qui ne se passent vraiment durant ces trentes/allongeons vingt minutes, qui ne restent pas irregardables pour un sou, Kubrik n'abandonnant pas son perfectionnement au niveau de la composition des plans et de la beauté plastique du film (une qualité qui connaît son apogée dans Barry Lyndon (comme quoi je me sens obligé de venir sur d'autres oeuvres du réalisateur pour prouver ma théorie énoncée au début de cette critique...)), le problème est tout de même clair : le cinéaste nous emmène un peu trop brutalement au Viet-nam (Voyage Au Bout De L'enfer avait cette même sorte de transition violente mais arrivait à beaucoup mieux la gérer), après la scène la plus marquante du film et la perte de deux personnages qui amélioraient grandement la réflexion anti-militarisme du film. Heureusement, le grand génie se rattrape en beauté (et en quelle belle beauté !) là où on l'attendait le moins et arrive à brillament soutenir le choc moral la descente aux enfers du film qu'avait excellement préparé Kubrik dans une première heure qui avait tout d'un début de grand chef d'oeuvre avant de l'arrêter subitement à son apogée, ces dix dernières minutes lançant ainsi une nouvelle apogée dans la réflexion du film dans une mise en scène intimiste entre les personnages qui transcende tout le reste du film avec de plus un plan final de génie qui clôture avec la grâce supprême que l'on reconnaît dans les meilleurs moments des meilleurs Kubrik (réussissant comme Docteur Folamour avec son final grandiose d'ironie et de sarcasmes), et qui laissent au final une excellente impression à cette odyssée qui connaît malheureusement quelque, ou plutôt une coupe de rythme péjorativement surprenante. Tout ça qui porte à croire que sans ces 20 minutes au milieu du film, ce Full Metal Jacket aurait pu clairement être une des plus grandes merveilles du septième art offertes par Stanley Kubrik... Mais ce n'est pas le cas. Conclusion : Si le tout reste un brillant et un parfait exemple du traumatisme cinématographique, départager 2001 et Orange Mécanique sera toujours impossible, même si la filmographie de Stanley Kubrik me réserve encore pleins de surprises... (version longue dans les commentaires)
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 septembre 2011
    énorme ! cultissime ! bande son superbe ! dérangeant à son époque, et peu être encore aujourd’hui ! un chef d' œuvre du maitre !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 mars 2013
    Réalisé plus de 10 ans après la Guerre du Vietnam, FMJ bénéficie d'un recul idéal sur le conflit qui fit trembler les États-Unis des seventies. Dans cette œuvre majeure, où chaque scène, chaque réplique, chaque plan de caméra est un morceau d'anthologie à lui tout seul, on assiste, désenchantés,
    à la transformation de jeunes hommes naïfs et inexpérimentés en redoutables machines à tuer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 août 2011
    Full Metal Jacket fait inévitablement partie des meilleurs films de guerre qui soit ! Réalisé par ce génie perfectionniste de Stanley Kubrick, il nous à tous démontrer qu’il pouvait percer dans chaque genre cinématographique à savoir le film d’époque « Barry London », le film d’horreur avec son chef d’œuvre Shining, le film de romance avec Eyes with Shut mais aussi Lolita, le film comique saupoudré d’humour noir avec Docteur Folamour, le thriller et la psychologie extrême avec Orange Mécanique, la science-fiction avec le culte 2001 : L’odyssée de L’espace et son oscar, mais également dans le film de guerre avec ce Full Metal Jacket qui en est la preuve réelle. Décidemment on a rien à lui apprendre, il à tout compris. Un film réalisé en 1987 découpé en deux parties, la première se déroulant dans un camp militaire où de jeunes recrues marines sont formés afin d’aller au Vietnam, là-bas soumis à un chef tyrannique, ils devront tous faire preuve de courage et de ténacité face à ses multiples humiliations, surtout que c’est bien connu, interdiction de parler de travers au supérieur ! Dans la deuxième partie on assiste à une vraie bataille au Vietnam, c'est-à-dire l’offensive de Tet à Hue en 1968 avec quelques éléments connus lors de leur formation au camp miliitaire. Ainsi, le scénario est originalement distillé suivit d’une mise en scène « Kubrickienne » c'est-à-dire implacable et vraiment très bonne. Les acteurs sont convaincants en particulier Matthew Modine interprétant le « Guignol » (évidemment c’est un surnom auquel chaque élément à droit suivant ses particularités) et Vincent D’Onofrio dans le rôle de « Grosse baleine », qui pousse vraiment bien sa psychologie jusqu’au bout… De plus R.Lee Ermey dans la peau du Sergent instructeur Hartman est tout simplement remarquable représentant toute la sévérité des supérieurs à l’armée ou ici dans les marines traitant leurs jeunes recrues comme des moins que rien pour mieux les pousser à bout et les endurcir à bloc. D’ailleurs il n’y a qu’à voir la première scène du film culte et superbe se déroulant aux dortoirs pour l’affirmer, il fût réellement Sergent dans sa vie. Les scènes sont vraiment bien mené, maitrisé jusqu’au bout des doigts, les décors sont vraiment bons bien que le film fût tourné dans une banlieue de Londres et dans un immense entrepôt pour les scènes au Vietnam, ça se sent dans le son. D’ailleurs parlons-en du son, la bande sonore est vraiment typique du monde militaire dans lequel Kubrick nous immerge totalement et appréciable à l’image de la musique du générique final vraiment bonne. La fin du film est vraiment bonne ou lors de la découverte de l’identité du sniper vietnamien, on tombe sur le cul et un réalisateur banale aurait certainement montré son visage, Kubrick en bon réalisateur qu’il est, l’a dévoilé au dernier moment. La psychologie des personnages est bien exploitée et en plus de cela, le film est admirablement bien filmer avec des plans pertinents à la hauteur d’un Orange Mécanique. Rien que pour ce film et pour ce énième genre maitrisé, Chapeau Monsieur Kubrick !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 août 2011
    jai apprécier l'humour du film pris vraiment au second degrès, c'est un bon film que je conseille si vous aimez les films de guerre :)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 août 2011
    Dérangeant, bouleversant, cruel. L'un des meilleurs films sur le Viet-Nam !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 juin 2013
    Le "full metal jacket" est une balle 7,62 mm (balle chemisée métal) prononcée une fois, une seule par Pyle (Baleine) avant son meurtre oedipien (meurtre de Harthman - figure du père récurrente dans l'oeuvre du cinéaste) et son suicide (les deux scènes se raccordent implacablement) dans des toilettes qui se font face comme dans le "fantôme de la liberté" de Bunuel...

    Kubrick, une fois de plus , joue avec ses deux mouvements préférés et significatifs : la symétrie et le travelling arrière. Au delà de tout ce qui impressionne dans cette première partie, l'annonce est faite : "à quoi bon un tel entrainement ?"

    Ironiquement, cela nous est dit dans la seconde partie, c'est à dire : à rien.

    Dès lors, ce film unique se révèle plus comme une analyse quasi documentaire d'une guerre "abstraite" - le Vietnam comme prétexte - un phénomène - qu'un film lambda antimilitariste comme tout ce qui a précédé en bien et en mal comme dans la propre oeuvre de Kubrick dans les Sentiers de la Gloire".

    Brillamment analysé par Michel Ciment, universitaire et spécialiste du grand Stanley - ce film lui apparait comme la douzième symphonie de cet artiste, une conjuration de la mort déjà évoquée dans 2001 quand l'homo erectus devient sapiens donc appréhendant la mort pour la combattre et inventer l'Art comme meilleur outil.

    C'est dire si cette évocation balaie tous les préjugés et figure dans un ensemble unique et universel comme un pas de plus dans l'oeuvre la plus cohérente, tous arts confondus, tout en restant libre et forcément complexe, de l'art du 20ème siècle.

    Un vide immense s'est opéré le 7/3/99 traumatisant en quelque sorte les amoureux du 7ème art devenu premier avec cet homme qui a consacré sa vie à son travail minutieux et tyrannique dont il fut aussi la victime.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 août 2011
    Le maitre Stanley Kubrick réalise encore un excellent film de guerre sur le dur entrainement des marines avant de partir à la guerre. Il nous montre les douleurs physiques et psychologiques d'un homme faible qui se fait persécuter et humilier à longueurs de journée et qui fini par craquer de manière magistrale avec un Vincent D'Onofrio génial. Ensuite les soldats partent au Vietnam et se retrouvent dans l'enfer avec un ennemi invisible et insaisissable. A la fin, le réalisateur nous montre toute la haine que les vietnamiens avaient contre les Américains. Un grand film de guerre, pas le plus grand film de Kubrick mais grand film quand même. A voir d'urgence !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 août 2011
    Ce film est bien sûr dépassé. Sur la première partie portant sur la formation, des émissions de TV ont montré des formations militaires encore plus ardues et pas basées sur les engueulades du chef. Sur la deuxième partie, celle de la guerre, on a l'impression que le cinéaste et ses acteurs suivent la vraie armée et les vrais accrochages pour ensuite inventer une pseudo guerre. L'ensemble fait maintenant un peu désuet, mais on ne s'ennuie pas, c'est déjà çà.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 août 2011
    Je ne comprends pas trop l’encensement autour de ce film, enfin bref. L’histoire est divisée en 2 partie. La 1ère présente l’univers des marins, les diffultés, la pression du groupe, le chef qui gueule et les soldats qui subissent, c’est marrant au début mais ça devient vite redondant. La 2ème partie porte sur la guerre du Viet-Nam, rien qui ne m’a vraiment marqué.
    SuperMadara
    SuperMadara

    84 abonnés 935 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 août 2011
    Un film de guerre prenant et vraiment tétanisant , une impression de défaite et de folie qui rode sur tout le film comme l'ombre de la guerre ! Se concentrant sur ses personnages , le scénario envoie une critique réaliste et crue de la guerre et de ses fondements , montrant le symbole de la folie dans des scènes plus cultes les unes que les autres , avec quelques lenteurs sur le milieu certes ! Trouvant la son rôle culte , Matthew Modine est excellent en spectateur crédule et réaliste mais qui reste embourber dans ce foutoir immense et insensé , et comment rester insensible de colère devant le célèbre sergent instructeur Lee Ermey ou le pauvre Vincent D'Onofrio , incarnation de la folie militaire ! Cinéaste culte , Kubrick filme avec un style très personnel et angoissant : on se croit souvent dans la peau de ces soldats envoyés au massacre , entre les cercles de mort (comme dans la scène finale , vraiment culte !) et les moments de solitude et d'angoisse qui se lit sur les visages des soldats .
    Une oeuvre particulièrement critique et réaliste , abordant de très prés la folie de la guerre (mais sans le côté sublime de "La Ligne Rouge" ou de "Apocalypse Now")
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 août 2011
    Jamais un film ne m'avait mis dans cet état. Des acteurs parfaits, une BO parfaite, une mise en scène parfaite, et une fin magistrale avec en générique Paint it Black. Chapeau bas Kubrick, je suis resté bouche bée.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 août 2011
    Que dire!!!! Magnifique, Stanley Kubrick nous montre une film sur la guerre du vietnam extrémement réaliste et superbement bien fait.. Film divisé en deux parties distincte, premièrement l'entrainement des Marines avec leurs tribulations et enfin la guerre... Personnages cultes, répliques cultes, Film culte.. A voir absolument
    Titicatsmg
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