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    Full Metal Jacket
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    4,4
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    1 016 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 mars 2012
    Ce film est super comme la plupart des Kubrick mais c'est un des films les moins réussi de Kubrick. Il n'est même pas comparable à Ora,ge Mécanique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 décembre 2012
    Full Metal jacket est un pur bonheur ce film fait partie des meilleur film sur la guerre du Vietnam je l'ai
    revu et franchement je me dit que des fois je raconte vraiment des connerie dire que Full Metal jacket
    est un film banal relève de la connerie pur est simple en bref oublier tout se que j'avais dit sur ce long
    métrage du grand Stanley Kubrick Full Metal Jacket est un véritable chef d’œuvre dans la lignée d'un
    The Deer Hunter ou encore Platoon un grand film a voir et a revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 mars 2012
    Un chef d'oeuvre. Kubrick nous montre une fois de plus son génie.
    Wobot
    Wobot

    20 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 janvier 2013
    Stanley Kubrick,peut-être le plus grand metteur en scène de tous les temps,imposait malheureusement une froideur dans presque toute sa filmographie qui nous mettait à distance de l'histoire ou des personnages.Il répare cette faiblesse dans son meilleur film,pour moi,"Full Metal Jacket" en nous émissant dans le quotidien d'un groupe de soldats américains pendant la Guerre de Vietnam.Niveau "psychologie des personnages",ça n'atteint pas le chef d'oeuvre du genre "Deer Hunter" mais le cinéaste fait un gros effort sur l’intérêt porté à ses protagonistes.Et comment parler de l'ampleur de sa mise en scène qui est toujours aussi parfaite(peut-être trop) choisissant toujours la bonne axe,le bon cadre ou le bon mouvement de caméra.S'ajoute en plus la subversion propre à son auteur traitant les dérives de la guerre de façon contestataire et nous avons là un magnifique chef d'oeuvre!
    Merytamon
    Merytamon

    21 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2012
    Bon film, peut être pas le meilleur film de guerre que j'ai vu mais pas mal ! La bande son est super, surtout la chanson " Painted it black" des "Rolling Stones" que j'adore ! Les acteurs ne sont pas forcément connus mais cela ne les empêche pas de bien jouer leur rôle. A voir au moins une fois, juste parce que ce film est culte !
    Chef, oui Chef !
    Gwen Doline
    Gwen Doline

    38 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2012
    "Chef, oui Chef!" Stanley Kubrick signe avec ce film, un chef d'oeuvre des temps modernes.
    Full Metal Jacket est découpé en deux parties distinctes:
    L'entrainement, avec un chef tirant qui victimise ces recrues. Suite à cette partie des expressions sont devenues mythiques.
    La second partie, on entre dans le vive du sujet avec des scènes poignantes et des choix difficiles. J'ai beaucoup aimé la transition entre es deux parties et les acteurs qui jouent leurs rôles a merveilles. Ce film est l'un de mes films cultes que je pourrais regarder a foison.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 février 2012
    Il s'agit là du premier film de guerre qui ne cède jamais à la tentation du spectaculaire. Stanley Kubrick fait méditer sur une émotion. Ce ne sont pas les avatars de la guerre, son délire et ses outrances, exposés dans « Platoon », sorti sur les écrans au même moment, qui l'intéressent. Ce qu'il nous montre, c'est comment fonctionne cette machine, sur quelles normes elle se constitue. Les acteurs sont interchangeables comme les soldats, incarnant une fonction qui vise à l'anihilation de l'ennemi par la négation de son propre moi. La guerre est réduite à son essence: le soldat s'ennuie, il a peur. Il est là, vivant, et puis il n'est plus là. Mort. Tout le film se condense dans le long gros plan du visage figé de Joker qui vient d'achever la Vietnamienne, et où passent toutes les émotions que nous avons accumulées. Un critique de cinéma américain compara l'attitude de Kubrick de celle d'un général à quatre étoiles qui dirigerait le Jugement dernier de l'arrière – la caméra « en joue ». Pourtant, le réalisateur semble plutôt antimilitariste; on retrouve sa froide distance envers la guerre dans deux de ses films précédents: « Les Sentiers de la gloire » et « Docteur Folamour ». Deux moments forts, deux volets, deux films: « Full Metal Jacket » opère comme un film à épisodes tourné avec les mêmes interprètes mais par des cinéastes différents. Au réalisme brutal des scènes « d'entraînement » du début succède un théâtre des opérations qui semble presque synthétique,e t alors que l'ordre impitoyable de la première partie montre le chaos qui règne dans les têtes, le chaos de la guerre du Viêt Nam qui domine la seconde partie révèle l'ordre auquel se soumettent les militaires et les civils. L'ordre et le chaos, on les retrouve aussi chez Joker, l'humaniste, qui arbore sur son uniforme le symbole de la paix et sur son casque l'inscritpion « Born to Kill ». Un film de guerre culte.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 février 2012
    " Dans un film , on ne filme pas la réalité , on essaie de filmer des images qui reflètent une réalité " . Tels sont les propos du cinéaste de génie qu'est bien évidement qu'est Stanley Kubrick et qui s'appliquent parfaitement à Full Metal Jacket , un chef-d'oeuvre absolu cinématographique parfaitement construit en deux parties . Dans la première , on peut suivre la difficile et dans l'ensemble totalement éprouvante formation militaire des futurs combattants par le cruel et tyrannique Sergent Hartman ( l'excellent et à la fois terrifiant Ronald Lee Ermey ) , séquence qui va donner lieu à l'exposition réelle du patriotisme de guerre étasunien ( la marche militaire où on peut entendre des phrases telles que Ho Chi Minh is a son of a bitch _ Ho Chi Minh est un fils de pute en français ) . Stanley Kubrick brosse un portrait implacable de Hartman , homme possédant peu de scrupules et de contenance surtout à l'égard de l'un d'entre eux surnommé "Gomer Pyle" _ Grosse Baleine dans la traduction française ( l'exceptionnel et grand Vincent D'Onofrio ) et qui s'avère être également la tête de turc de ses camarades de chambre . Ce sont ces scènes d'affrontement , de souffrances physiques et morales , le poids de l'humiliation que Stanley Kubrick arrive comme à l'accoutumée à sublimer , à rendre dures voire insoutenables : on pense notamment au moment où le personnage martyre de "Gomer Pyle" se retrouve contraint de manger un donut devant les autres pour le rabaisser , bien-sûr , ou bien encore quand il est rué de coups , d'injures de ses compagnons la nuit dans son lit sans qu'il puisse s'exprimer , pousser le moindre son . Et Kubrick , grâce à une mise en scène formidable va arriver à nous montrer jusqu'à où va aller cette déshumanisation , cette dégradation de ce protagoniste va le conduire peu à peu dans un état bestial spoiler: le menant jusqu'à tuer son bourreau principal , au point même de se perdre ( à tous les sens du terme ) _ on voit là le héros tragique se rebellant de ses persécutions accumulées
    . La deuxième partie de Full Metal Jacket concerne l'affrontement étasuniens-vietnamien plus directement et cette partie s'avère être plus forte , plus poignante encore que la précédente : les horreurs sans tabous sont dévoilées : les violences physiques ( une fois de plus ) , les meurtres , les massacres et les fusillades . Ces horreurs qui conduisent les combattants à essayer d'avoir finalement un espoir qui est suggéré grâce à l'alcool et à la prostitution évoqués qui les font en quelque sorte "oublier" ( de manière temporaire et éphémère ) . Tout est dépeint avec une extrême précision . Le thème de l'animalisation du combattant se retrouve , comme dans la première partie , ici : le soldat est représenté au bout d'un moment comme une bête sauvage , une totale machine à tuer ( "born to kill" ) qui doit assassiner et survivre . Le film de Kubrick se trouve aussi être plus qu'un excellent long-métrage totalement sublime et l'émotion arrive lors de cette magistrale scène de fin avec en particulier le personnage bouleversant de la tireuse vietnamienne qui est en train d'agoniser , protagoniste où l'on sent inévitablement un véritable regard suppliant , de pitié et qui illustre une vérité de la guerre : les civils , femmes et enfants , obligés , malgré eux , de s'insérer dans le processus de l'effort de guerre . Full Metal Jacket est également un film sur les désillusions du monde adulte avec ce final incroyable spoiler: où les soldats repartent en entonnant Mickey Mouse est également symbolique : cette chanson les ramène à leurs années de jeunesse , d'enfance où le monde semblait tellement plus simple
    . Un film incroyablement réussi .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 février 2012
    Encore un chef d'oeuvre signé Kubrick ! Le scénario montre bien comment un pauvre soldat "innocent" peut devenir un assassin "au service de sa patrie". Incontournable film de guerre !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 février 2012
    Tout ce que touche Stanley Kubrick devient culte , il démontre une fois de plus avec "Full Metal Jacket" son intérêt évident pour le thème de la guerre qu'il avait auparavant traité ( Fear and Desire , Les Sentiers de la Gloire ). Basé sur un roman , «Le Merdier» de Gustav Hasford , Stanley Kubrick nous livre deux parties : la première notamment connu pour la réplique culte «Chef , oui chef !» encore plus éclatante en version original ! Dans la première partie on assiste à la formation de ces jeunes soldats. Dans la deuxième partie on les découvrent au front au cœur des paysages urbains durant la guerre du Vietnam. Il y a tellement d'intensité qui émane de ce film ! ( la relation des personnages , les sentiments qui sont présentés ). L’esthétique du film quant à lui subjuguent et la mise en scène est prenante ! Chaque balle qui fusent fait sursauter le spectateur happé par les prises de vues ! Moments d’adrénaline au moment où un tireur d'élite est camouflé ! A voir absolument et en version original !
    WenJiaoBao
    WenJiaoBao

    3 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2014
    Œuvre singulière qui dépasse le film de genre. Fin totalement ahurissante et ébouriffante comme le sujet traité finalement.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    526 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mai 2013
    7 ans après avoir frappé fort dans le domaine de l'épouvante, avec sa lecture de l'oeuvre de Stephen King, Shining, Stanley Kubrick nous revient pour une oeuvre à caractère encore plus sulfureux: la guerre du Vietnam. Se basant sur le récit d'un correspondant de guerre au Vietnam et du livre de Gustav Hasford, The Short Timers, Kubrick a décidé de séparer son nouvel opus en deux parties. La première suit les nouvelles recrues dans un centre d'entraînement, dirigés d'une main de fer par un sergent instructeur des plus virulents. La deuxième se concentre sur la vie au front et les combats. Choix des plus intelligents de la part de Kubrick qui, de cette façon, remplace un enfer par un autre, et nous donne un bon aperçu des conditions de vie des jeunes bidasses pendant ces périodes. "L'entraînement" s'apparente plus à de la torture psychologique, afin de transformer des jeunes en machine de guerre dénués de toute émotion. Chaque jour est un vrai calvaire pour Guignol, Cowboy et Baleine: entre travaux forcés et humiliations permanentes, ils n'ont pas une minute pour s'en remettre. Chacun fait ce qu'il peut pour garder un semblant d'humanité face au bloc de glace Hatmann. Ce dernier est interprété Lee Ermey, ancien sergent-instructeur, et l'auteur même du monologue du début. Et il y met toute ses tripes. Il livre une prestation inoubliable, tant elle ne nous lâche pas pendant une heure. On hésite parfois entre la colère et le rire, tant ce qu'il inflige aux recrues est extrême. Les trois personnages principaux peuvent représenter les différentes figures que composent une armée, dans l'inconscient collectif: Guignol (génial Matthew Modine), avec son casque sur lequel un badge pacifiste est accolé à une inscription "Born to Kill", représente bien la contradiction du personnage, qui nous est surement le plus proche. Formé pour devenir une machine à tuer, mais ayant réussi à conserver une part d'humanité l'empêchant d'en être une. Cowboy, lui, représente l'entre-deux, machine à tuer mais dans lequel un semblant d'âme existe. Baleine (Vincent D'Onofrio, mémorable), quant à lui, représente la réussite du système, qui parvient à le faire passer de nounours naïf à bête de guerre. Les scènes se passant sur le terrain sont une autre manière de Kubrick de dénoncer une guerre sans visage dans laquelle seules des ruines existent et d'où aucun ne peut échapper. La scène finale achève le tout, avec ces soldats entonnant un hymne joyeux sur fond de ville incendié et de guerre où finalement peu d'humanité subsiste. Un bijou, comme Kubrick nous a habitué: sans concession, sans échappatoire. Une oeuvre atypique, et un autre chef d'oeuvre sur la guerre du Vietnam.
    Alan Villemin
    Alan Villemin

    4 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 janvier 2012
    Un très bon film sur la guerre du Vietnam. Les acteurs jouent vraiment bien et les scènes durs ( quand celui surnommé baleine se tue d'une balle dans la bouche ) sont tristes
    Lorry-James
    Lorry-James

    10 abonnés 218 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2014
    Du très bon Kubrick, film très effice! De bons acteurs et des scènes cultes, à voir !
    shmifmuf
    shmifmuf

    178 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2012
    Un film de guerre sans concession construit en 2 parties.
    L'instruction dans le camp d'entraînement montre comment l'armée dresse des recrues innocentes pour en faire de vraies hommes. Ou plutôt comment elle peut détruire ses plus faibles recrues avec ses méthodes basées sur l'humiliation et les insultes.
    Ensuite nous voici au Viet-Nam, sur le terrain des opérations dans un paysage urbain en ruine.
    On est ici confronté directement à la violence brute de la guerre et à ses effets psychologiques dévastateurs sur les hommes.
    UN FILM INCONTOURNABLE.
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