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    Full Metal Jacket
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    4,4
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    1 019 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 mai 2014
    Tout au long du film, on suit le personnage de « Guignol » (« Joker » dans la VO), celui-ci va petit à petit perdre sa conscience à cause de la guerre, tout d'abord lors de l'entraînement où il doit s'occuper de « Baleine » mais il finit par participer à la correction qui lui a été donnée. Dans la deuxième partie, « Guignol » a un badge « Peace & Love », qui est en contradiction avec son casque « Born to Kill », après avoir failli être tué, « Guignol » va chanter des chants de morts et de destruction. (en lire plus sur mon blog)
    Zbrah
    Zbrah

    48 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mai 2014
    Troisième Kubrick que je regarde, deuxième déception. A vrai dire, j’ai du mal à cerner en quoi ce Fullmetal Jacket est considéré comme un chef d’œuvre, à la différence de 2001. Déjà, le projet en lui-même est scindé en deux parties très, voire trop distinctes. La première partie se concentre sur l’entraînement des soldats, avant qu’ils soient envoyés au front. La mise en scène est assez brute. Le spectateur assiste à un enchaînement d’actions dont le seul intérêt semble être de montrer la dureté de caractère nécessaire pour survivre à la guerre. Le commandant cherche à créer de nouveaux hommes, des hommes qui soient « Né(s) pour tuer », comme il est stipulé sur le casque d’un des personnages principaux. L’approche proposée par Kubrick dans cette première partie est louable car elle est différente de ce que l’on nous montre d’habitude sur la guerre du Vietnam. Elle vaut le coup d’œil, rien que pour sa différence et pour le personnage du sergent instructeur (R. Lee Ermey). Fullmetal Jacket s’ouvre sur une scène très forte où ce dernier sermonne ses troupes à peine débarquées. Au début, le personnage fait rire et intrigue. Au bout de trente minutes, entendre les soldats gueuler sans répit devient fatiguant. Leur psychologie est survolée, certains comportements sont difficiles à comprendre. Pourquoi Guignol, publiquement agréable avec Baleine rejoint ses camarades pour lyncher le pauvre soldat dans la nuit ? À aucun moment, la haine de Guignol envers Baleine n’avait été suggérée, ce qui rend la scène assez surprenante. L’évolution de Baleine vers spoiler: son tragique dénouement
    a en revanche été correctement amenée, mais là, ce sont les conséquences de l’acte qui sont éludées. Suite à cet évènement marquant, Kubrick entame sa deuxième partie, sans explication ni aucune transition. Alors que dans la phase d’entraînement, aucun personnage ne se détachait, ici, c’est le personnage de Guignol qui se tient sous les feux des projecteurs. Pas de chance, ce dernier est profondément antipathique. Oui, il peut nous parler de la dualité de l’homme à la Freud, il n’empêche que ces oppositions dans l’écriture du personnage sont étranges. Il arbore fièrement un symbole de paix tout en se targuant d’être né pour tuer. Il est difficile à cerner, c’est peut-être cela qui le rend peu appréciable. Les personnages retrouvés ou rencontrés dans cette deuxième partie sont, de la même façon, des personnages manquant de charisme. Cowboy est insignifiant, Brute épaisse est comme son nom l’indique un soldat stupide. Les autres sont tellement transparents (Blackboule, Rafterman, Crazy Earl...) qu’il n’y a rien à dire sur eux. Malgré tout, cette partie est un peu plus prenante que celle l’ayant précédée. De l’action, enfin. Guignol et Rafterman, en se rendant au front pour prendre des photos, se rendent enfin compte des horreurs de la guerre. Les villes ravagées semblent plus vraies que nature. Le principal reproche que j’adresserais à cette partie est qu’elle gomme tout ce qui faisait la différence du début du film. Elle présente une approche ultra-classique de cette guerre controversée, bien que présentée à travers les yeux d’un photographe de guerre. Pour résumer : la première partie est originale mais ennuyeuse, la seconde est pleine d’action mais horriblement classique. Un entre-deux aurait pu être bien Mr. Kubrick.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 juin 2014
    Ce film grandiose, devenu culte au fil des années, évoque comme beaucoup de film de son époque la guerre au Vietnam. Ce dernier étant scindé en deux parties : la première racontant la formation d'un groupe de jeunes qui vont être envoyé au Vietnam et la deuxième centré sur le Vietnam. J'ai adoré cette première partie, celle qui a rendu ce film culte grâce à Lee Ermey , ses répliques... et bien sur Vincent d'Onofrio alias Grosse Baleine. Kubrick veut nous montrer la psychologie des jeunes qui doivent endurer sans répit exercices sur exercices et ce taper un sergent instructeur patriote élevé à la dur; sur ce point il a très bien réussi son travail et donner un rendu très réaliste de l'époque en question. Néanmoins pour la dernière je l'ai trouvé longue, parfois même ennuyante...Certes c'est bien filmé il a voulu prendre son temps pour bien insister sur certaines phases comme celle de l'embuscade à la fin mais pourtant je n'ai pas été plongé dans l'ambiance du film comme dans la première partie. Pour moi il manque un truc mais je ne sais pas quoi peut-être qu'en revoyant le film plus tard je changerai d'avis mais vu ce que je viens de dire je ne peut pas le placer au rang de chef d'œuvre. Franchement déçu par rapport à ce que j'attendais, j'ai été complètement immersé par l'atmosphère du camp d'entrainement mais pour le terrain je préfère largement me rabattre sur des films tel Apocalypse Now ou encore la série Band of Brothers de Spielberg qui insiste mieux sur la psychologie des soldats en pleine action.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mai 2014
    (Il n'y a aucun spoiler) Beaucoup de personnes n'aime pas ce film car il trouve qu'il n'y a pas assez d'action ou que le film est long est ennuyeux,pour eux un vrai film de guerre c'est "Rambo" ou un Américain bodybuildé,pendant la guerre du Vietnam ou autre,éclate des pauvre vietnamien (ou autre) a coup d'arc ou de M4 pour retrouver des prisonniers de guerre en geulant:"c'était pas ma guerre".Et qu'a la fin du film il y est une bonne grosse morale Américaine,du genre qui dit que encore une fois que les Américain sont les héros de l'univers ect...
    Full Metal Jacket c'est tout l'inverse de ses films il est même philosophique,au contraire on pourrait presque que dire que les Américains sont des perdants,rien qu'au début on voit des recrue s'entraîner mais on voit bien que ce sont tous des losers et pas des Américains tailler comme Musclor (le personnage de "baleine" nous le montre bien)rien que le début est affreusement psychologique ils sont tous traiter comme des cléès un très dur entrainement qui durent une année,si je me rappel bien,la plupart des recrues partent au Vietnam et là l'horreur k a su montrer avec brio (comme Coppola)l'horreur de la guerre presque sans hémoglobine,il montre la bêtise des Américains autant des Vietnamiens,il montre la cruauté des Hommes...le film prend un statut psychologique effarant,surtout à la fin,on suit ses soldats qui tout au long du film commencent a se rendre compte de leur acte barbare on voit bien qu'ils sont tristes de ce qu'ils font (la plupart,pas tous),ils sont complétement désorientée dans ce pays é bref ce film est un chef d'oeuvre autant dans sa narration que dans ses plans magnifiquement filmé moi un des plus grand film de guerre jamais filmée.
    antony Z.
    antony Z.

    73 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 avril 2014
    C'est une version cynique et très originale de la guerre du Vietnam. le film est scindé en 2 parties inégales. la première axée sur l'entraînement des jeunes recrues et le bourrage de crâne à la limite de la "lobotomisation" ce qui donne une version assez réaliste bien qu'ultra poussée quand même. On assiste ainsi à la dure préparation militaire sur le plan psychologique et moral essentiellement avant de partir dans l'enfer du front. C'est la meilleure partie du film. Ensuite la seconde partie dans un Vietnam reconstitué de manière assez minimaliste est moins aboutie, plus ennuyeuse malgré quelques scènes prenante. C'est une vision des Marines plus cynique, plus dur que celle affichée d'ordinaire avec un patriotisme exacerbé et moralisateur. C'est ce qui confère la force à ce film. L'opposition moral du "peace & love" et du "born to kill" est très intéressante.
    _domimi_
    _domimi_

    10 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2014
    En 1h56, Kubrick ruine tous les efforts que l'armée a mis dans ses spots de pub pour nous inciter à la rejoindre.
    Pas bien Stanley (quoique...)
    T-Tiff
    T-Tiff

    100 abonnés 1 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2014
    Dans "Full Metal Jacket", Stanley Kubrick donne sa vision de la guerre. Une vision profondément pacifiste. Le film se compose de deux parties distinctes, la première est la formation d’un groupe de Marines. La seconde nous plonge au cœur de la guerre du Vietnam. Dans ces deux parties, le réalisateur critique la guerre et son absurdité. En effet, la première partie s’achève avec le suicide de l’un des engagés que la folie a emporté. La seconde voit la mort de nombreux soldats pour une cause qui semble profondément inutile. Le cinéaste injecte beaucoup d’humour dans sa première partie où les dialogues sont vraiment soignés et souvent hilarants. La fin tragique est en décalage total avec l’atmosphère générale que dégage cette première séquence. Le spectateur est d’autant plus passionné par ce film toujours surprenant et imprévisible. Les personnages sont vraiment amusants, ils sont, par ailleurs, très bien incarnés par des acteurs tels que Matthew Modine, Vincent D'Onofrio, Arliss Howard, mais surtout R. Lee Ermey qui est inoubliable dans son rôle de sergent. La seconde partie met de côté l’humour. "Full Metal Jacket" devient alors un vrai film de guerre avec des scènes finales particulièrement sanglantes. Cette deuxième séquence est moins originale mais remet la guerre du Vietnam au cœur des enjeux. "Full Metal Jacket" est un film absolument nécessaire de Stanley Kubrick qui montre l’absurdité de la guerre et les pertes inutiles dues à celle-ci, la mise en scène est ingénieuse et le cinéaste ajoute beaucoup d’humour.
    nessim2010
    nessim2010

    35 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mars 2014
    un film pas mal mais ce film repr�sente pas un film mais deux court m�trages. Une premi�re partie sur l'arm�e, le chef tres s�v�re et tres sympathique quand t on ne fait pas partie des �l�ves. les exercices tres compliquer a faire, les eleves batant et battu. la premiere partie du film est super, tres drole et tres bien faite. si je devrais not� que la premiere partie du film, je l'aurai note 5/5. La deuxi�me partie est plutot d�cevante , on est sur le terrain de guerre, plus d entrainement, sa devien du s�rieux, du sang gicle de partout, y a pas vraiment d'histoire, ca gicle, sa explose et sa crie dans tout les sens. Donc, si je devrais note que la deuxieme partie du film, je l aurai note 2/5. Ce qui fait un total de 7/10 donc 3,5/5. Ce qui est bien, donc si vous voulait voir ce film, foncer n attendais pas, ce cous aimez les film de guerre, foncez. Par contre si vous prenez un film au hasard ou juste pour regarder un film de kubrick, c est pas la peine.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 mai 2014
    Quand on allié Kubrick a un film de guerre ça donne forcément un chef d'œuvre. C'est le cas dans le sublime Full Metal Jacket dans lequel on retrouve la patte l'immortel réalisateur. Le film se présente en deux parties : une partie se déroulant pendant l'entraînement des soldats et une se déroulant au front de la guerre du Vietnam. J'ai adoré les deux mais je vais plutôt m'attarder sur la première parce que unique par rapport au autres films. Cette partie dans laquelle les soldats sont entraînés a devenir des vrais "marines", ou ils sont entraînés a devenir des machines a tuer sans pitié nous montre vraiment toute l'horreur et la stupidité de la guerre. Mais que serait ce film sans l'incroyable sergent Hartman, cruel et intransigeant toujours en train de hurler et d'humilier ses soldats même quand il se retrouve face a la mort. La façon dont les hommes sont traités
    les pousse même a se tourner les uns contre les autres. L'un d'entre eux finira d'ailleurs par craquer. C'est la que Stanley Kubrick cherche a nous montrer les ravages de la guerre a travers ce brillant film. Une référence sûre en ce qui concerne la guerre du Vietnam
    Stephane H
    Stephane H

    38 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mars 2014
    Quand on se hasarde à critiquer l'oeuvre d'un maître du cinéma, on est prié de laisser son sens critique au vestiaire.
    Il est d'ailleurs assez frappant de constater que pour certains metteurs en scène, les notes données par la presse sont systématiquement supérieures à celles données par le public. Quand on est critique professionnel, il y a des choses qui ne se font pas. Ne pas donner ses cinq étoiles à un film de Kubrick en fait partie.
    En ce qui me concerne, loin de voir un chef-d'oeuvre, j'ai juste vu un bon film à la construction assez basique. Une première partie montrant la formation et le bourrage de crâne des jeunes recrues. L'acteur qui joue le rôle de l'instructeur bas du front est d'ailleurs parfait.
    La deuxième partie est nettement moins réussie. Je suis désolé, mais le Vietnam de M. Kubrick ressemblait à mon avis un peu trop à un Vietnam de zone industrielle occidentale avec ajout de palmiers en pot. Ce fut l'impression que j'eus quand je vis le film, impression qui fut confirmée par la suite quand je lus un article d'un journaliste spécialisé se prosternant devant le « maître » qui avait si bien reconstitué le Vietnam ... Dans une zone industrielle.
    Le même film sans le nom de Kubrick sur l'affiche n' aurait pas bénéficié de critiques presse aussi dithyrambiques.
    Olivier Ferry
    Olivier Ferry

    4 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2014
    Un monument du cinéma qui est a voire de toute façon, qui montre la dureté de l'armer que ce soit à l'entrainement ou sur le champ de bataille. Le film reste emblématique de la guerre du Vietnam, cependant j'ai été à la limite de l'ennuie pendant tous le film, notamment la première partie où le sergent Hartman passe sont temps à crier; certes cela est intéressent de voire la vie d'un camp d'entrainement mais au bout de 10 min on a compris
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mars 2022
    La guerre du Vietnam est encore dans les esprits lorsque Stanley Kubrick se lance dans Full Metal Jacket, lui permettant d'aborder à nouveau la Guerre, après Paths of Glory et Dr Strangelove, mais cette fois-ci de manière plus frontale.

    Si Full Metal Jacket est divisé en deux actes distincts, avec deux visions de l'armée et de la Guerre, elles mettent toutes deux en scène une véritable descente aux enfers, ainsi qu'une dénonciation du système militaire américain, voulant transformer des hommes en machines. Pour cela, il procède de manière frontale, l'évolution des personnages joués par Vincent D'Onofrio dans la première partie puis Matthew Modine (tous deux remarquables) dans la seconde est nette, l'un va vivre l'enfer par un entrainement inhumain et inadapté, l'autre sur le terrain, où les cadavres et la peur instantanée vont vite faire parties du quotidien des soldats.

    Les dialogues sont crus, volontairement excessifs pour un Kubrick faisant preuve d'un impitoyable cynisme face à toute cette déshumanisation. En ce sens, Full Metal Jacket rejoint des thématiques qui lui sont associées, à commencer par la (tentative) de métamorphose de l'homme par l'état, comme dans A Clockwork Orange. Ici, il ne fait pas toujours preuve de subtilité, ce qui n'altère en rien la puissance du film, bien au contraire même, l'absurdité de la Guerre est bien mise en avant, par les actes, la violence (dans les images ou les propos) ou même les citations directes, à l'image de l'ex président Johnson ne comprenant pas que l'on envoie des américains régler des affaires qui ne les concernent pas.

    Le personnage de Matthew Modine cristallise toutes les interrogations que l'on peut avoir face à cette Guerre. Personnage réfléchi, il est lâché face à des sergents qui ne voient que le sacrifice de soi comme solution, ses réflexions seront régulièrement heurtées par la réalité, du terrain certes, mais aussi humaine. Lui-même lynchant violemment un camarade qu'il aidait ou n'hésitant pas à aller sur le terrain, sachant l'horreur qui l'attendrait. Personnage passionnant voire fascinant, il symbolise totalement la dualité que Kubrick met régulièrement en avant, qu'elle soit philosophique, à l'image du Born to Kill face au signe de paix, dans les actes ou esthétiques, à l'image des nombreux jeux d'ombre et de lumière, en particularité dans le dernier acte du film.

    Après Coppola, Cimino ou Oliver Stone, c'est Stanley Kubrick qui nous plonge de manière marquante dans l'horreur de cette guerre du Vietnam, absurde donc et incompréhensible et impopulaire sur le territoire américain. Cette horreur, qu'elle soit psychologique, visuelle ou violente, fait parti du monde impitoyable et inhumain que dépeint le cinéaste. Personne n'aimerait être à la place de ces types ou pourrait même imaginer ce que c'est que d'être à leur place, ce qui peut expliquer tous les comportements que l'on voit dans le film. Il accompagne le propos, direct, d'une intensité, dramatique ou dans les combats, avec comme point d'orgue les finalités des deux parties, et le voyage en enfer vécu par les deux protagonistes.

    Avec Full Metal Jacket, Stanley Kubrick met la Guerre du Vietnam en scène en deux actes distincts, la préparation puis le terrain, à travers un personnage ne rentrant pas vraiment dans le moule intellectuel de l'armée. Il n'y va pas par quatre chemins pour dénoncer à la fois la Guerre, mais surtout le système militaire américain, formant des humains prêt à devenir de la chair à canon dans une bataille inutile.
    Grégory D.
    Grégory D.

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2014
    Oui ce film est culte. Oui il ne se regarde pas au 1er degré (comme 90% des 1 étoile). Non il ne faut pas être fan de Kubrick pour apprécier (je suis loin de l'être. Et surtout dire que c'est n'est pas réaliste dans la 1ère partie est une idiotie, surtout avec un acteur qui fut réellement sergent instructeur.
    Ce n'est pas des tonnes d'explosions à grand coup de millions qui font un bon film. C'est brut, c'est dérangeant, c'est ce qui a fait le traumatisme du Vietnam.
    Et les dialogues... cultes!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 mars 2014
    S'il ne fallait en (re)garder qu'un seul sur la guerre du Vietnam, ce serait celui-ci... Voilà tout est dit...
    pierrre s.
    pierrre s.

    440 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 février 2014
    Kubrick réussi à faire rire avec la guerre du Vietnam, et pas qu'un peu. Grâce à une première partie de film consacrée à l'entraînement et à la formation des troupes, Kubrick se lance dans l'humour, la parodie et la caricature, avec un incroyable génie! La seconde partie se passe sur le terrain, et le film redevient plus classique et bien sur plus sombre. En voulant montrer toute l'absurdité de cette guerre, le réalisateur a fait un pari sans doute risqué mais il l'a remporté haut la main.
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