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Un visiteur
3,5
Publiée le 23 janvier 2024
Bonjour à la communauté d'Allociné. N’ayant pas été écrit par le créateur d'origine, j'étais vraiment sceptique quant à ce chapitre IV… Au final, celui-ci s’est révélé être du grand spectacle soutenu par un casting réellement exceptionnel. Les acteurs sont tout simplement incroyables. Même si le scénario n'est pas vraiment le point fort de cette production, il rend un hommage vibrant de deux heures cinquante au cinéma asiatique. Impossible de ne pas y adhérer. Au fur et à mesure que le film se déroule, la caricature est de plus en plus poussée, on a l'impression de ne pas être chez soi mais dans un autre monde… John Wick : Chapitre IV vous plonge dans un état hypnotique rempli de testostérone et constitue l'un des films les plus rafraîchissants de l’année 2 023. Ce volet a placé la barre vraiment très haut, peut-on envisager d'augmenter la dose dans un chapitre V ? J’espère que oui.
dernier chapitre du héros qui tire plus vite que lucky Lucke et que son ombre . force et de constater que le rythme malgré l'âge de Keanu Reeves ne baisse jamais , pas de temps mort . ça tire ça tue ça tape ça tue . un très bon divertissement. place a la série en espérant que ça soit digne de mister John Wick.
Il était attendu avec impatience, et on retrouve en effet de très jolies scènes d’action, notamment dans la maison en vue de dessus. Donnie Yen est au top en antagoniste, mais malgré tout ça, le film est un peu long, certaines scènes sont vraiment top much (rond-point de l’Etoile, escaliers interminables)
Quand je commence à regarder un John Wick, je me demande toujours si je vais être capable de compter le nombre de morts. Généralement je décroche au bout d'un moment car ça tombe comme des mouches. Il faudra peut-être que je regarde le film au ralenti la prochaîne fois. Fait notable, pas besoin d'aspirine lorsque le film est terminé. Celui-ci n'invite guère à l'introspection....
Au vu du succès de la franchise et de l'attente générée, ce quatrième chapitre se devait bien de céder à la surenchère! Et bien, tout le monde en aura pour son argent car le résultat ne manque pas de générosité! Entre une durée totale assez extravagante pour le genre et des scènes d'action à rallonge de plus en plus impressionnantes, le spectateur est repu...voire épuisé! Attention, on est loin du ratage pathétique des derniers volets de la franchise Fast and Furious, John Wick ne déçoit jamais vraiment! Mais il n'est pas interdit d'être sceptique vis-à-vis d'un méchant pas du tout à la hauteur (le syndrome James Bond), d'un Donnie Yen encensé mais à la limite du risible (je veux bien que la franchise ne s'embarrasse jamais de la vraisemblance mais ce personnage ne peut pas être aveugle!!!) ou d'une mythologie qui commence à fatiguer... même les scénaristes! Bref, alors même que ce volet avait des allures d'opus définitif, voilà qu'un cinquième volet est annoncé! Celui de tous les dangers...
Il est passionnant de voir comment de la série B John Wick (2014) et la franchise consécutive arrivent maintenant à cette superproduction qu'est ce Chapitre 4. Tout en conservant les ingrédients du premier et de la franchise, mais abandonnant certains éléments de réalisme pour aller vers de l'exagération permanente qui déréalise complètement dorénavant. John Wick, le personnage, semble immortel, insensible aux balles, au chutes et aux chocs. Le film prend son temps, avec peu ou pas d'action pendant les trente premières minutes, puis va ensuite enchaîner les séquences d'anthologie, littéralement, toujours visuellement impressionnante, plastiquement superbes, riches d'invention, toujours dans des endroits luxueux ou historiques, comme les films précédents. Et en combinant à chaque fois un personnage avec ses talents d'artiste martial : Marko Zaror, Donnie Yen, Hiroyuki Sanada, pour les plus mémorables. Nous comprenons bien le rôle technique pour sauver John Wick qu'incarne Shamier Anderson ; c'est d'ailleurs le personnage le moins intéressant et uniquement là pour permettre d'éttirer le scénario et donc le film. Du coté de la distribution donc, nous trouvons ces ajouts qui sont fondamentaux dans les multiples couleurs et parfums qu'ils convient pour cette franchise : Donnie Yen, Scott Adkins, Hiroyuki Sanada ou Marko Zaror. Ils amènent chacun une coloration et une culture. Le personnage de John Wick tend vers une épure, à un corps sans logiciel, quasiment sans voix : un costume (blindé dorénavant), un pistolet, une fuite en avant, des coups et des chutes multiples. Keanu Reeves est plus mutique que d'habitude et parait incassable (voir ses multiples chutes qui égrainent le films)... John Wick est maintenant un super héros immortel.
John Wick chapitre 4 est ENFIN à la hauteur de son héros. Après un 1er opus magnifique et marquant les suites ont peiné à être tout juste bonnes et c'est à reculons que je suis allée voir ce dernier volet pensant à une 3e copie moins bien que l'originale. He bien non cette clôture est magistrale et fait honneur à la franchise et tout ce qui a composé le succès du premier volet. La bande son est énorme, les plans camera fabuleux, l'esthétisme, les combats, les acteurs sont parfaits. Tous éminemment charismatiques. On constate qu'un soin réel à été apporté à tout ce qui faisait défaut dans les épisodes 2 et 3. C'est du grand John wick hissé juste derrière le 1er ! Merci pour le super momentd'action.
La transition avec le volet 3 n'est des plus limpide... Le 3e volet de la sage n'était pas nécessaire et pas très bon à mes yeux, surtout à coté du premier. Ce 4e lasse finalement, on est toujours dans les mêmes intrigues et même schémas, faudrait penser à mettre fin à la story ou renouveler le concept !
John est de retour pour en finir avec la table et obtenir enfin sa liberté. Il va encore tuer des centaines de gars, résister à des centaines de balles grâce à son costume en kevlar et s'en sortir vivant... ou pas. C'est peut-être bien la fin de l'histoire ! Mais rien n'est sûr. En tout cas, cet opus est digne des précédents.
Ce film brille magnifiquement sous tous ses aspects. La performance charismatique de KEANU REEVES atteint des sommets remarquables. Le quatrième opus de la saga John Wick pousse l'intensité encore plus loin, en introduisant davantage de personnages, de combats, d'armes et de moments fatidiques. L'influence japonaise est accentuée, apportant une profondeur supplémentaire au récit. Les scènes d'action extraordinaires propulsent ce film au sommet de la série, en faisant ressortir toute sa grandeur.
Et oui même keanu Reeves vieilli ça se voit et ça se sent C’est le chapitre de trop pour moi Dommage j’ai adoré les trois premiers et dans le 4 les retrouvailles avec son compère du film 47 Ronins est plutôt sympa mais question combat c’est vraiment pas ça
Comment imaginer qu’un gars tout seul contre autant de bonhommes armés jusqu’aux dents fera le poids ? Dommage
Fan de John Wick , j'ai apprécié le 1er opus , j'ai fait la moue sur le 2eme opus. Le 3eme a commencé à m'inquiéter. Mais là le 4eme bat tous les records de nullité. Si la première partie à Osaka m' a agréablement séduit. Je tombe à l'eau avec John Wick in Paris. Le méchant marquis de Gramont prend son petit déjeuner dans la salle du palais de glace à Versailles, puis il vient prendre le thé dans la salle du Louvre seul devant "la victoire guidant le peuple de Delacroix" sans un seul touriste.
On assiste à un gun shot en plein milieux de la place de l'étoile. 388 morts flingués par John Wick sans que la circulation ne soit perturbée.En boite de nuit , nouvelle fusillade avec 124 morts sans que pour autant les danseurs cessent de se trémousser. Notre John Wick se fait renverser 16 fois par des véhicules et se relève à chaque fois, il gravit les 220 marches de la butte Montmartre et zut, dégringole la totale. C'est bête. Enfin duel face à un aveugle qui de son coté a tué QUE 89 sbires mais ça c'est parce qu'il est aveugle. Enfin face à face au Sacré Coeur ou là encore , personne , nobody , nada........Au secours c'est trop Je n'irais pas voir le chapitre 5 ; John Wick face à Walking dead... Et j'oublie très vite ce film décérébré, long et avec un acteur en souffrance