Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Bande à part
par Benoit Basirico
Un documentaire immersif au coeur d'une lutte sociale, où les images d’un cinéaste observateur font naître une véritable œuvre de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Une caméra placée au cœur de combats - ceux, visibles, pour la survivance d’emplois et ceux, invisibles, contre l’indifférence d’un système : "On va tout péter" est le récit d’une (dé)prise de conscience, et d’une croyance émouvante en une révolution juste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
"On va tout péter" [...] est de ces documentaires qui, par leur présence brute, engagée, saisie par l’urgence à enregistrer ce qui a lieu, prouvent l’inanité de la question esthétique de savoir «s’il y a» ou «s’il n’y a pas» du cinéma là-dedans.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Éric Derobert
Marqué par la culture punk de son réalisateur, "On va tout péter" y va beaucoup plus fort qu'à l'accoutumée.
Première
par Christophe Narbonne
Au plus près des grévistes, lors des assemblées ou des opérations coup de poing, ce passionnant documentaire en immersion s’interroge en filigrane sur la notion de combat dans notre société de consommation qui valorise l’individu au détriment du collectif.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Un éclairage brut et à fleur de peau sur ces héros de la classe ouvrière, diffusé sur Arte en juin 2019.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Chloé Cavillier
S’il documente bien une lutte, le cinéaste fait preuve d’originalité en la filmant comme dans son documentaire D.O.A, c’est-à-dire à la manière d’un concert de rock, en saisissant toute sa rage et son énergie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On en déduit la tonalité de ce film de cinéma direct, qui passe de chaude à glaciale à mesure que le combat, d’abord incandescent, s’essouffle, que les promesses politiques sont trahies, que la répression fait son oeuvre et que les héros se retrouvent, inexorablement, face à leur solitude.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
(C)ette chronique immersive (..) ne cesse de réfléchir au sens et au poids d’une révolution, à sa représentation. Aujourd’hui, des centaines d’emplois ont été broyés. Il n'y aura donc pas de réponse, ni de réelle victoire, mais des images immortelles, prêtes à exploser au visage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
Un documentaire immersif au coeur d'une lutte sociale, où les images d’un cinéaste observateur font naître une véritable œuvre de cinéma.
Les Fiches du Cinéma
Une caméra placée au cœur de combats - ceux, visibles, pour la survivance d’emplois et ceux, invisibles, contre l’indifférence d’un système : "On va tout péter" est le récit d’une (dé)prise de conscience, et d’une croyance émouvante en une révolution juste.
Libération
"On va tout péter" [...] est de ces documentaires qui, par leur présence brute, engagée, saisie par l’urgence à enregistrer ce qui a lieu, prouvent l’inanité de la question esthétique de savoir «s’il y a» ou «s’il n’y a pas» du cinéma là-dedans.
Positif
Marqué par la culture punk de son réalisateur, "On va tout péter" y va beaucoup plus fort qu'à l'accoutumée.
Première
Au plus près des grévistes, lors des assemblées ou des opérations coup de poing, ce passionnant documentaire en immersion s’interroge en filigrane sur la notion de combat dans notre société de consommation qui valorise l’individu au détriment du collectif.
Télérama
Un éclairage brut et à fleur de peau sur ces héros de la classe ouvrière, diffusé sur Arte en juin 2019.
Critikat.com
S’il documente bien une lutte, le cinéaste fait preuve d’originalité en la filmant comme dans son documentaire D.O.A, c’est-à-dire à la manière d’un concert de rock, en saisissant toute sa rage et son énergie.
Le Monde
On en déduit la tonalité de ce film de cinéma direct, qui passe de chaude à glaciale à mesure que le combat, d’abord incandescent, s’essouffle, que les promesses politiques sont trahies, que la répression fait son oeuvre et que les héros se retrouvent, inexorablement, face à leur solitude.
Les Inrockuptibles
(C)ette chronique immersive (..) ne cesse de réfléchir au sens et au poids d’une révolution, à sa représentation. Aujourd’hui, des centaines d’emplois ont été broyés. Il n'y aura donc pas de réponse, ni de réelle victoire, mais des images immortelles, prêtes à exploser au visage.