LES MISERABLES (2019): Un quartier difficile de la banlieue parisienne, des enfants livrés à eux-mêmes. Désœuvrement, agressivité, violence, misère sociale, une réalité quotidienne surveillée par une patrouille de la B.A.C. Le pouvoir de l'image, déclencheur de situations guerrières. Cette réalisation filmera un panier de crabes rempli de comportements différents. Devant une bavure policière, les esprits s'échaufferont. Description d'une fragilité, d'une haine. Des forces de l'ordre autoritaires, mais impuissantes face à une anarchie populaire grandissante. Une histoire qui se clôturera par une terrible image, et cette question devant une telle sauvagerie: Où se trouvent les vraies victimes??????
Cette chance pour moi de vivre dans une région paisible, ce n'est pas non plus le pays des Bisounours, mais les gens se respectent (Oui! Oui! il y a aussi des personnes qu'on n'aime pas, mais bon… on fait avec), aucune angoisse pour sortir le soir, aucune nuisance sonore, la joie de profiter d'un calme venant d'un silence naturel (le cuicui des oiseaux, le clapotis des rivières, le petit zef du vent dans les arbres…), un silence qui appartient à tous, très peu de dégradations, des forces de l'ordre qui ne se prennent pas pour des cowboys, merci à eux pour notre sécurité et pour la sécurité de nos enfants (bien content de les voir arriver quand tout va mal. Dur! Dur! Pour ces gardiens d'une vie tranquille ). Notre société est faite de règles afin qu'elle ne devienne pas une Jungle, des règles pour le bien de tous, des règles pour préserver les richesses des générations futurs, alors, respectons les.