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    Les Misérables
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    1 100 critiques spectateurs

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    Roobie
    Roobie

    44 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 novembre 2019
    Franchement pas fameux, au delà de la réalisation qui est de qualité, je trouve que c'est un film qui pose une idéologie dangereuse ou l'on victimise les délinquants et on vulgarise / Normalise leur mode de vie.
    Un film que l'on peut ranger dans la catégorie #JeSuisVictimeSARL. A éviter selon moi
    Abdelkader S
    Abdelkader S

    4 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 novembre 2019
    Excellent film ! des acteurs au max , de bonnes repliques un constat plutot realiste sur l etat de la situation dans les quartiers.
    le coté cité bizness du traffic de stup est occulté mais le reste est tres bien restitué.
    Damien BONNARD doit prendre le Cesar sans aucune discussion possible.
    Un realisateur qui doit être largement encouragé.
    JeremGar
    JeremGar

    93 abonnés 1 569 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2019
    Les Misérables, un énième film sur la banlieue ? Pas vraiment ! Si aux yeux du public, cette réalisation est une fiction, pour Ladj Ly et les habitants de ces quartiers tout est réalité. Bien entendu les personnages ont été "inventés", leurs dialogues aussi mais de nombreuses scènes sont tirées de la vie du réalisateur. D'ailleurs, de nombreux comédiens de ce long-métrage sont de vrais habitants de ce quartier. Un plateau de tournage vivant et plus vrai que nature.
    Tout y est décrit : la violence, la précarité, les embrouilles et magouilles, la relation avec ces "flics" qui deviennent le quotidien des plus et moins jeunes de ces banlieues du nord de Paris. Filmées comme si vous y étiez, toutes les scènes sont impressionnantes, prenantes et parfois choquantes.
    Et c'est avec grande fierté que ce film représentera la France lors de la prochaine cérémonie des Oscars.
    LPhilippe C
    LPhilippe C

    3 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 novembre 2019
    Film indescent et horrible à plus d'un titre. La banlieue y est représentée d'une façon totalement malhonnête et fausse, les flics sont des êtres répugnants , c'est une honte, ce film devrait même être interdit, à fuir
    Benjamin Delcourt
    Benjamin Delcourt

    12 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 novembre 2019
    Peu intéressant, un film très politique et politiquement correct sur des sujets vus et revus sans originalité.
    pierrre s.
    pierrre s.

    428 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2019
    Vu grâce au Club 300.
    Un drame percutant et très bien réalisé qui ne fait jamais l'erreur de prendre parti ou de tomber dans la facilité. Ici pas de bien ou mal, seulement des êtres qui tentent de survivre.
    Les Misérables, nous met face à la réalité des banlieues, et c'est assez impressionnant.
    mat niro
    mat niro

    354 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 novembre 2019
    Prix du Jury à Cannes 2019, Ladj Ly nous offre un film coup de poing sur le quotidien des "Bacqueux" du 93. C'est une œuvre qui monte en puissance à mesure que les événements s'enchaînent. Il règne une ambiance anxiogène dans les relations des policiers avec les habitants, surtout les jeunes de cette cité des Bosquets (d'où est natif le réalisateur). Le choix de Ladj Ly de filmer la vie du quartier à travers ces trois personnages servant l'Etat et aux caractères bien différents est très judicieux. C'est très rythmé et le film montre qu'une petite étincelle peut embraser tout un quartier gangréné par des imams douteux ou des travailleurs sociaux véreux. L'ensemble est cru, violent, mais filmé avec une intensité rare jusqu'à la scène finale.
    rogerwaters
    rogerwaters

    141 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2019
    Excellent long-métrage qui fait preuve d’une vraie volonté de présenter la situation actuelle sous tous les angles possibles, le tout en essayant de ne pas succomber aux clichés en vigueur. Ici, tout le monde en prend pour son grade puisque les forces de l’ordre sont clairement dépassés par les événements, mais que les soi-disant caïds des cités également. Le cinéaste renvoie dos à dos chaque protagoniste et termine son film exactement comme La haine il y a plus de vingt ans. C’est sans doute une facilité narrative, mais cela permet à chacun de se faire son avis. Tout ceci est filmé avec talent, des acteurs formidables et un sens évident de l’efficacité. Bref, un film de salubrité publique.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    529 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2020
    "La banlieue", ce concept brumeux auquel on associe une vision. Elle converge vers la fureur, la désespérance et l'indignation. Au niveau du son et de l'image, on est servi : les émeutes de 2005, les discours enflammés d'une partie de la classe politique ou les vidéos de bavures policières. C'est d'ailleurs de là que tout est parti pour le réalisateur Ladj Ly. En 2008, il filmait l'arrestation violente d'Abdoulaye Fofana par les forces de l'ordre. Une simple vidéo qui contribua à éclairer les citoyens sur une réalité souvent occultée par la sphère médiatique, et permettre la tenue d'un procès contre les agents responsables de ces actes de sauvagerie. C'est également le point de départ des Misérables.
    La référence à Victor Hugo n'est évidemment pas anodine. Le célèbre romancier a effectivement une partie de son œuvre phare dans le quartier de Montfermeil (où se déroule le film du collectif Kourtrajmé). Mais le parallèle touche évidemment à son sujet même, les populations étant toutes aussi délaissées aujourd'hui qu'il y a 150 ans dans la prose de l'écrivain.
    L'histoire du film écrit par Giordano Gederlini, Ladj Ly et Alexis Manenti trouve sa source dans le réel. Et son ambition est d'immerger le spectateur dans la situation inextricable dans laquelle habitants, jeunes et policiers se retrouvent coincés. Pour ceux qui s'attendaient à un parti pris en seront pour leur frais, la seule ligne tenue s'avère être celle du milieu. La meilleure position pour capter le quotidien des enfants, des gardiens de différents groupes, les rondes de police. Mais aussi le seul angle possible pour rendre compte de l'horreur quand les choses dérapent...
    Filmé à vif, avec une caméra à l'épaule nerveuse mais lisible, et agrémenté de sublimes plans au steadicam, Les Misérables atteint un degré d'immersion époustouflant, quelque part entre Training Day et le cinéma de Michael Mann. Une chose rendue également possible grâce à l'investissement grandiose des comédiens, tous prodigieux. Damien Bonnard, Alexis Manenti, Djebril Didier Zonga sont terrassants d'énergie et d'émotions. Impossible de ne pas parler du jeune Issa Perica qui crève l'écran, et je n'occulterai pas les prestations brillantes de Steve Tientcheu ou Almany Kanoute.
    Des images fortes, Les Misérables en contient une myriade. La plus parlante reste peut-être cette introduction, prenant place à la victoire des Bleus lors de la Coupe du Monde 2018. Comme il y a 20 ans, ces instants ont une place forte dans l'identité nationale. Et c'est aussi pour l'amertume qui s'y rattache. Parce qu'à défaut d'être réellement unis tous ensembles, ce genre de moments a le mérite de nous l'avoir fait croire pendant quelques minutes. Hélas, tout reste à faire. L'équilibre de surface est toujours au bord du précipice. Tombera, tombera pas ? Ça dépend de nous. Les Misérables représente peut-être une nouvelle étape vers la prise de conscience. Ce qui suffit déjà à en faire un très bon film.
    patosud26
    patosud26

    105 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 novembre 2019
    J'avais un peu peur en allant voir Les misérables, que le réalisateur nous montre une banlieue édulcorée, peuplée d'angelots, victimes de la violence policière, auxquelles s'ajoutent celles de notre société et du climat social particulièrement violent pour ceux qui y habitent.
    Mais ce n'est pas du tout ça. Nous avons des gosses de banlieue, qui loin d'être angéliques, font des conneries. Pas des trucs bien grave, mais des conneries quand même. Mais ce n'est pas d'eux que vient la violence, la vraie, mais des policiers, deux d'entre eux surtout, l'un débarquant tout juste d'un monde rural et portant encore en lui, la conviction qu'il est là pour protèger et servir. Et cette violence engendre la violence. C'est fou comme ce film montre que la violence ne peut être la solution et que lorsque la police est violence, elle montre juste un abus de faiblesse. Et cette faiblesse est aussi celle des gouvernants, des politiques, des ministre de l'Intérieur... C'est un film à voir et c'est assez rare que je dise ça d'un film français. Quant à la fin, elle est magistrale, car chacun l'interprétera comme il l'entend.
    cosette2010
    cosette2010

    51 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2019
    Le film est très fort. Il n'est ni manichéen ni naïf, ce qui lui donne toute sa valeur. Les questions sont posées. Le film ne prétend pas y répondre, il montre un engrenage infernal de haine et de violence, qui pourrait être évité.
    Printis V.
    Printis V.

    16 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 novembre 2019
    Superbe film qui illustre ce que devrait être la relation entre les jeunes de banlieue et les forces de l'ordre au travers d'un personnage exemplaire.
    Cynévore
    Cynévore

    59 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 décembre 2019
    Les Misérables, c'est le tableau glaçant des "quartiers chauds" de la République, pour ne pas dire bouillants. C'est la chronique en images de trois policiers qui patrouillent dans une ville rongée par les larcins et la guerre de gangs. Le tour de force de Ladj Ly vient de la forme quasi documentaire qu'il adopte pour son film. Impossible de se reposer sur des effets de manche pour prendre les événements à distance. Si la première partie a une tournure très descriptive, profitant de ce temps pour exposer la personnalité de ses personnages et nous permettre de s'attacher à eux, la deuxième partie montre les choses dégénérer et s'embraser dans une violence bien sentie. Le style est simple, efficace, authentique. C'est une mise à nu de ces banlieues, pleine de nuances, de contrastes et de pudeur. Enfin un film sur les banlieues qui aime mieux les montrer qu'en "discuter" verbeusement ! C'est un visionnage dont on ne ressort pas indemne.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 novembre 2019
    C'est un premier long métrage de fiction, très brillant que signe Ladj Ly. Pour aller fréquemment en banlieue. Je peux vous dire que ce film transpire la réalité. J'ai fortement apprécié la nuance du réalisateur. Il n'a pas pri parti... Les policiers ou la jeunesse banlieusarde sont livrées à eux mêmes. Dans des territoires oubliés par l'état. Les acteurs sont excellents et le rythme parfait. On ne tombe pas dans le misérabilisme... Car la problématique est plus profonde que cela. Ce film questionne et surtout va vous transmettre des émotions.... Bravo ça fait du bien.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 331 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2019
    Ces « Misérables » se concluent par une citation de Victor Hugo.
    Réflexe évident au regard du titre.
    Démarche cohérente au regard du propos.

    Moi j’ai décidé d’amorcer cette critique par une adresse lancée à Abdellatif Kechiche et à Jacques Audiard.
    Une évidence aussi pour moi, surtout que je repense aux récompenses qui ont été distribuées ces dernières années à « L’Esquive » et à « Dheepan » ; deux films sensés parler de nos banlieues.

    Alors voici.

    Cher Abdel et cher Jacques,

    Je vous invite cordialement à aller voir « les Misérables » et à réfléchir.
    Réfléchir au cas où l’envie vous reprendrait de parler de banlieue.
    Allez voir et constatez par vous-mêmes.

    Constate, cher Abdel, qu’il est possible de parler des habitants de la banlieue avec humanité sans pour autant sombrer dans la bluette féérique et occultante. On peut montrer des jeux, de la tendresse et de l’amitié, sans oublier pour autant le repli sur soi et les petits larcins.
    Constate aussi, cher Jacques, qu’il tout aussi possible de parler de caïds et autres Frères muz sans pour autant sombrer dans la caricature outrancière et risible.
    Mais surtout, messieurs, à côté de tout ça je porte également votre attention sur un détail qui n’en est pas un.
    Je porte votre attention sur le fait qu’on puisse parler de banlieue sans oublier de faire du cinéma.

    Alors certes, le début fait peur tant il rappelle les procédés cache-misère du cinéma à la française. Cadre chaotique peinant à construire un espace et une dynamique. Photographie sans relief. Seul le sujet est roi. Un sujet que le cadre suit péniblement, sans idée.
    Un sujet d’ailleurs qu’on n’a pas manqué de peinturlurer aux couleurs nationales. Une banlieue des fantasmes. Celle qui chante la Marseillaise et qui fait corps avec le reste de la patrie. La banlieue que tu aimes peindre, Abdel, pour tous tes copains du Palais du Châtelet. Mais une banlieue qui n’existe pas. Du moins une banlieue qui n’existe plus à part, peut-être justement, lors de ces rares instants de communion sportive…
    Mais bon, à croire que c’était un clin d’œil que Ladj Ly t’adresse à toi, Abdel, puisqu’une fois la fête finie, c’est une autre banlieue qui soudainement se dessine.

    Certes, la caméra au poing restera présente, quasiment systématiquement., et cela jusqu’au bout. Mais si au départ elle singe maladroitement un « The Wreathler » sans trop le comprendre ; suivant des épaules qui parcourent un espace dont on ne voit finalement pas grand-chose, au bout d’un moment l’aisance arrive. Les idées fusent.
    La caméra devient l’occasion de transiter d’un espace à un autre, marquant parfois les ruptures folles qui peuvent se générer entre une rue déserte et une planque de camés, entre un pied d’immeuble et une cage d’escaliers coupe-gorge, entre un toit d’immeuble minérale et une soudaine envolée radieuse au dessus des immeubles.

    En d’autres mots, des misérables « invisibles » auxquels des Louis-Julien Petit font croupir le cinéma social français, Ladj Ly les hissent progressivement vers, non pas vraiment vers un équivalent hugolien de cinéma – certes – mais au moins jusqu’à atteindre du bon Ziad Doueiri, voire même carrément jusqu’à côtoyer vers la fin une sorte de « The Pusher » refnien.

    Mais je pense que ce qui devra le plus attirer votre attention, chers Abdel et Jacques, c’est cette capacité qu’à ce film de s’enrichir en permanence en multipliant les points de vue, sans oublier de les structurer autour d’un axe directeur commun. Ainsi voit-on les choses sous de multiples facettes, mais sans jamais perdre de vue le rythme ; sans jamais perdre de vue qu’au cinéma on raconte aussi des histoires. Or des histoires, c’est très différents que de tenir des discours.

    Car de discours, il est certes bien question dans ces « Misérables ».
    Mais ce discours ne distribue ni les bons ni les mauvais points. Il nous invite juste à regarder les choses différemment. Le temps est peut-être venu de comprendre qu’il n’est plus nécessaire de rechercher qui sont les responsables entre les gamins des cités, les flics, les caïds ou les frères muz. Le temps est au contraire venu de questionner l’endroit.
    Ce lieu.
    La banlieue.
    Ce lieu qu’on sait nous montrer alternativement à hauteur d’hommes mais aussi avec distance ; comme un ensemble de groupes antagonistes ou bien comme une multitude d’individualités.
    Un lieu de vie. Un lieu de mort aussi.
    Un lieu riche en tout cas, où chaque minute passée, chaque événement rajoute une épaisseur à cet écosystème bien complexe.
    Une démarche qui d’ailleurs n’est pas sans rappeler, aussi bien dans le fond que dans la forme, celle de « The Wire »

    Et voilà qu’à tout cela vient se mêler un étrange hasard.
    Il a fallu que ces « Misérables » sortent quelques semaines juste après le très corrosif « Joker ». Et s’il est évident que le film de Ladj Ly ne peut rivaliser en termes d’inventivité et de rigueur plastique avec le film de Todd Phillips, au moins partage-t-il avec lui cette intelligence et cette énergie si agréable à voir et à sentir sur l’écran.
    Un regard large qu’on offre plutôt qu’un discours biaisé qu’on assène.
    Pas de méchants. Pas de gentils.
    Juste des individus qui essayent de faire ce qu’ils peuvent mais qu’on pousse à bout.
    Et qui craquent.

    Alors voilà, chers Abdel et Jacques, à quoi ça ressemble du cinéma sur la banlieue.
    D’abord on y retrouve pas mal de cinéma dedans, et ce n’est jamais désagréable.
    Et puis ensuite et surtout, on y retrouve de la banlieue. De la vraie. Pas celle de ton enfance, Abdel. Pas celle des années 60 et 70 que tu fantasmes avec l’âge et l’éloignement. Pas celle non plus de ton journal télévisé, Jacques.
    Au final, il apparait assez évident que le meilleur moyen de faire un film fort sur la banlieue reste encore celui de l’honnêteté et de l’humilité. Honnête en n’occultant rien. Humble en n’oubliant pas qu’avant d’être un prophète, on est avant tout un conteur.

    J’espère d’ailleurs que vos copains du Palais du Chatelet sauront le comprendre aussi.
    Expliquez leur bien, parce que ça n’est pas toujours évident pour eux.
    Et s’ils hésitent, rappelez-leur qu’avant de récompenser vos erreurs, ils avaient jadis su voir la beauté de « La Haine ».
    Alors qu’ils voient désormais la beauté brute de ces « Misérables. »
    A défaut d’être du bon Hugo, au moins c’est du bon cinéma…

    Cordialement les potos,

    HG
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