Note moyenne
2,4
11 titres de presse
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L'Ecran Fantastique
Outre l’action, le film vaut par son ancrage autrement très quotidien, celui de Billy, fils adoptif d’une famille modeste avec ses demi-frères et sœur, Freddy, Eugene, Darla, Pedro, Mary, où l’on ne coupe évidemment pas aux bons sentiments [...] ni à l’esprit de sacrifice, mais traités avec légèreté, et l’humour attendu [...].
Le Parisien
Effets spéciaux, explosions et castagnes, voici deux heures de distraction idéales.
CNews
S’il ne révolutionne pas le genre, et reste un divertissement familial qui s’adresse surtout aux adolescents, «Shazam ! La rage des dieux» de David F. Sandberg - encore aux manettes -, offre quelques scènes assez drôles qui prêtent à sourire, à défaut de rire à gorge déployée.
Le Journal du Geek
Épique à souhait, drôle parfois et surtout très enfantin, le second volet des aventures de Billy Batson est anecdotique mais pas catastrophique.
Télé 2 semaines
Entre bons sentiments, humour potache et visuels épiques, ce deuxième volet, aussi spectaculaire qu'anecdotique, séduira surtout les plus jeunes.
Les Fiches du Cinéma
Une suite qui se cherche toujours, entre comédie familiale et film d’action très conventionnel.
Mad Movies
Deux bonnes heures de compilation des passages obligés du blockbuster pour jeune public : moments d'action systématiquement ponctués de vannes sur l'âge mental des justiciers costumés, gags à répétition qui font long feu, parodie poussive de péplum mythologique, intrigue rebattue, énormes séquences de destruction urbaine...
Télérama
Après un récit d’apprentissage façon teen-movie, la suite des aventures de ce héros DC Comics se résume à un divertissement kitsch et puéril.
Ecran Large
À force d’avoir été repoussé, Shazam 2 a le mérite de coïncider avec l’utilisation accrue des intelligences artificielles dans l’art. Au moins, cette honte de blockbuster devrait servir à une chose : prouver que confier l’écriture et la réalisation de films à Chat GPT n’est pas une bonne idée.
GQ
À titre personnel, j’ai trouvé ça assez laid, mal rendu et j’en ai ma claque de tout ce toutim, le genre n'étant plus qu'une succession de morales minables qui flanquent la migraine et de spectacle généré par ordinateur, mais c'est à prendre ou à laisser à ce stade. Néanmoins, une scène du dernier acte provoquera, je l’espère, la résignation et l’exaspération du cinéphile averti.
Le Figaro
Reste un «gloubi-boulga» indigeste de séquences d'action, de mythologie confuse, avec des adolescents immatures en lutte contre un dragon ridicule appartenant aux trois filles du géant Atlas venues se venger sur la terre. Shazam la rage des dieux ne fait décidément aucune étincelle.