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Votre avis sur Promising Young Woman ?
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Très belle surprise ! Les détails dans le décor sont intéressant notamment sur la psycho du personnel principal
J'ai adoré. C'est fin, intelligent et émouvant. Une excellente surprise.Les acteurs sont de qualité et le film est bien mené, sans faux-rythme ni longueurs.
Très agréablement surpris par ce film. C'est un film qui dénonce les violences sexuelles que subissent les femmes et ce sujet est extrêmement bien traité. Le scénario est très bien écrit. La progression tout au long de l'histoire rend le film captivant.
spoiler:
La fin spectaculaire où Cassie réussi à venger son amie m'a laissé bouche bée.
Waouh !! Ce film, au scénario et au casting impeccables, peut rivaliser avec tous les #metoo du monde !! Une vraie réussite, étonnante, surprenante, sans longueurs.
En s'attaquant de manière très intelligente à la culture du viol, Promising Young Woman surprend et régale. Un scénario très malin, des interprètes parfaits... Le film nous emmène parfois là où on ne voudrait pas aller, pour mieux servir le propos, sans violence ni effet de style appuyés.
Je le reverrai très certainement. Premier coup de cœur de cette courte année ciné !
Je le reverrai très certainement. Premier coup de cœur de cette courte année ciné !
Un film qui est en réalité exactement ce qu'il tente de dénoncer, à savoir misogyne.. La réalisation est plutôt moyenne, ne perdez pas votre temps pour votre retour en salle, il y a beaucoup mieux !
Yves G.
Cassie (Carey Mulligan) fut longtemps une jeune femme à l’avenir prometteur. Mais, à l’aube de la trentaine, elle végète chez papa-maman dans un job minable. Chaque week-end, outrancièrement maquillée, elle va en boîte où elle simule la gueule de bois pour donner une leçon aux prédateurs qui feignent de jouer au bon Samaritain pour abuser d’elle. Quel drame dans sa vie explique un tel comportement ? La rencontre de Ryan (Bo Burnham), un ancien camarade de faculté, qui lui fait une cour assidue, la conduira-t-elle à enfin tourner la page ?
"Promising Young Woman", premier film d’Emerald Fennell, l’actrice qui campe Camilla Parker Bowles dans la série "The Crown", vient d’obtenir l’Oscar du meilleur scénario original. Original, son scénario l’est en effet, qui est construit autour d’une énigme qu’on découvre peu à peu et qui nous ménage jusqu’à sa conclusion d’étonnants rebondissements.
Ces énigmes, ces twists, compliquent la tâche de la critique bien en mal de parler d’un film dont elle s’interdit de divulgâcher ce qui en fait tout le prix. Dire, comme on en lit partout, qu’il relève du "rape and revenge", c’est déjà trop en dire – sauf à ajouter immédiatement, pour contredire la conclusion à laquelle vous avez, cher lecteur, trop vite sauté, que, non, Cassie n’a pas été violée durant ses études. Mais cet ajout – dont le seul but était de vous éviter de vous lancer sur une fausse piste – n’est-il pas déjà de trop, l’un des ressorts du film étant peut-être justement de laisser imaginer au spectateur qu’elle avait en fait été violée ? Oh la la… je sens que je m’enfonce…..
Bref, comme on l’aura compris (ou pas !), "Promising Young Woman" est construit autour d’un concept (mais n’en dis-je pas déjà trop en l’écrivant ?) : l’espoir post #MeToo de modifier les comportements prédateurs masculinistes qu’on a subis en frappant ceux qui les ont fait subir.
Le sujet est d’actualité. Il est même d’utilité publique. Il parlera, espérons-le, aux jeunes spectateurs, garçons ou filles, auxquels le film s’adresse. Reste maintenant, au-delà de toutes considérations éthiques ou politiques, à apprécier sa valeur cinématographique. Et c’est là peut-être que le bât blesse.
Car, après s’être laissé prendre au jeu d’une bande annonce aguichante, on se retrouve face à un rouleau compresseur. Le personnage de Cassie, loin de susciter l’empathie, et aussi remarquablement interprété qu’il soit par la toujours excellente Carey Mulligan ("Une éducation", "Drive", "Shame", "Gatsby le magnifique", "Loin de la foule déchaînée", "Wildlife", "The Dig" …), se réduit à une seule dimension : être l’instrument d’une vengeance voire d’une croisade. Une fois qu’on a compris son rôle, on prend moins d’intérêt aux événements qu’elle traverse. On en prend d’autant moins que leur crédibilité se réduit de plus en plus jusqu’à un dénouement certes surprenant, mais totalement abracadabrantesque.
"Promising Young Woman", premier film d’Emerald Fennell, l’actrice qui campe Camilla Parker Bowles dans la série "The Crown", vient d’obtenir l’Oscar du meilleur scénario original. Original, son scénario l’est en effet, qui est construit autour d’une énigme qu’on découvre peu à peu et qui nous ménage jusqu’à sa conclusion d’étonnants rebondissements.
Ces énigmes, ces twists, compliquent la tâche de la critique bien en mal de parler d’un film dont elle s’interdit de divulgâcher ce qui en fait tout le prix. Dire, comme on en lit partout, qu’il relève du "rape and revenge", c’est déjà trop en dire – sauf à ajouter immédiatement, pour contredire la conclusion à laquelle vous avez, cher lecteur, trop vite sauté, que, non, Cassie n’a pas été violée durant ses études. Mais cet ajout – dont le seul but était de vous éviter de vous lancer sur une fausse piste – n’est-il pas déjà de trop, l’un des ressorts du film étant peut-être justement de laisser imaginer au spectateur qu’elle avait en fait été violée ? Oh la la… je sens que je m’enfonce…..
Bref, comme on l’aura compris (ou pas !), "Promising Young Woman" est construit autour d’un concept (mais n’en dis-je pas déjà trop en l’écrivant ?) : l’espoir post #MeToo de modifier les comportements prédateurs masculinistes qu’on a subis en frappant ceux qui les ont fait subir.
Le sujet est d’actualité. Il est même d’utilité publique. Il parlera, espérons-le, aux jeunes spectateurs, garçons ou filles, auxquels le film s’adresse. Reste maintenant, au-delà de toutes considérations éthiques ou politiques, à apprécier sa valeur cinématographique. Et c’est là peut-être que le bât blesse.
Car, après s’être laissé prendre au jeu d’une bande annonce aguichante, on se retrouve face à un rouleau compresseur. Le personnage de Cassie, loin de susciter l’empathie, et aussi remarquablement interprété qu’il soit par la toujours excellente Carey Mulligan ("Une éducation", "Drive", "Shame", "Gatsby le magnifique", "Loin de la foule déchaînée", "Wildlife", "The Dig" …), se réduit à une seule dimension : être l’instrument d’une vengeance voire d’une croisade. Une fois qu’on a compris son rôle, on prend moins d’intérêt aux événements qu’elle traverse. On en prend d’autant moins que leur crédibilité se réduit de plus en plus jusqu’à un dénouement certes surprenant, mais totalement abracadabrantesque.
bon film sur le monde post "me too" un 'revenge movie" entre thriller et narration psycho social. Carey Mulligan joue plutôt facettes qui réussies
Un divertissement de facture correct mais très inégal et qui ne fait pas dans la subtilité et qui n'hésite pas à alligner les clichés.
Sylvain P
Certes un peu immoral, mais tellement jouissif, Promising young woman est un film à mettre devant les yeux de tous les adolescents mâles hétérosexuels. Son rythme et son esthétique en font un pur produit du cinéma actuel, la thématique féministe (ou devrait-on dire dans ce cas précis simplement humaniste) également. Carey Mulligan y est divinement talentueuse. Il y manque bien évidemment quelques nuances (on ne pense pas que tous les hommes sont des porcs), mais c'est le prix à payer pour un film diablement efficace, musical et plein d'idées brillantes. Une des plus belles surprises de cette "rentrée" du cinéma.
Il faut passer sur certaines incohérences qui fait que le scenario est parfois pas trop crédible. Passé cela , l'histoire monte en puissance jusqu’à une très bonne fin inattendue et maligne.
Malgré quelques longueurs, ce film fini par être fortement inattendu. Le travail sur la colorimetrie est intéressant.
Très bon film, un scénario inattendu, de bons acteurs. Sur un sujet qui mérite d'être abordé
Je le recommande
Je le recommande
PLR
Scénario découpé en trois parties d’intérêt inégal (I, II et III) et surtout de compréhension et donc d’attention, inégales aussi, pour le spectateur. Dans le registre thriller, les scènes de l’acte valant dénouement seront bien entendu les plus intenses. Mais avant ça force est de constater que ce drame, celui d’un abus sexuel suivi d’un désir de vengeance poussé jusqu’à la névrose sera poussif. Ça a donc des airs de série B américaine. Moi qui n’aime pas ce genre américain avec voix féminine nasillarde (version originale) !
très bonne surprise; c'est assez lent, le film prend son temps, tout comme l'histoire, cela coule tranquillement, mais la tension monte - pas comme un film d'action ou d'horreur, ce qui serait ridicule - mais comme la douleur sourde que ressent le personnage principal. Carey Mulligan joue bien (je suis pas trop d'accord avec d'autres critiques sur le sujet).
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