Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Positif
par Jean-Loup Bourget
Rarement le texte foudroyant de la pièce de Shakespeare nous aura paru si limpide, si musicalement restitué – grâce à une troupe d’acteurs exceptionnelle, menée par Denzel Washington et Frances McDormand. Surtout, sa splendeur visuelle emploie le noir et blanc comme jamais, peut-être, depuis la disparition de la pellicule orthochromatique au temps des chefs-d’œuvre du muet !
20 Minutes
par Caroline Vié
Joel Coen a confié à Denzel Washington le rôle-titre de « The Tragedy of Macbeth ». L’acteur libre une performance éblouissante dans cette fresque filmée comme un thriller en noir et blanc.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Avec la flamboyance et l'intensité qu'on lui connaît, Denzel Washington règne sur "The Tragedy of Macbeth" et inspire et expire toute la force tempétueuse du film.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Maîtrisé de bout en bout, The Tragedy of Macbeth a surtout pour lui Denzel Washington et Frances McDormand qui font de leurs personnages de belles figures tragiques vieillissantes, portées par un écrin virtuose. Voire un peu trop.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un grand Coen pour l'immense Shakespeare.
L'Obs
par François Forestier
Il y a eu, au cinéma, des dizaines d’adaptations de « Macbeth » (depuis Stuart Blackton en 1908 jusqu’à Roman Polanski en 1971, en passant par Orson Welles en 1948), mais celle-ci est absolument originale, dans son dépouillement, sa beauté plastique, son obsédante présence.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Joel Coen dit adieu à toute mythologie et poursuit le désenchantement jusque dans l’esthétisme du film, télescopage étrange et fascinant entre l’imagerie glacée d’une pub Apple (qui produit le film) et d’une distanciation brechtienne dont l’extrême dépouillement des décors fait basculer le récit dans la plus grande abstraction.
Libération
par Marius Chapuis
Brutaliste et gothique, ce Macbeth travaille ses formes en creusant l’image, en s’appuyant sur les espaces négatifs, les pleins et les déliés. Un dispositif minimaliste qui permet au film de mieux regarder ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Macbeth de William Shakespeare inspire à Joel Coen l'un de ses longs-métrages les plus puissants.
Télérama
par Sébastien Mauge
Dans un monde vacillant, la vanité jusqu’au-boutiste de personnages devenus jouets d’un engrenage incoercible est effrayante. Et ne manque pas de trouver un écho dans nos préoccupations contemporaines…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Stéphane Dreyfus
La version de Joel Coen ne tranche pas, fidèle à celle de Shakespeare (...). La descente aux enfers de la culpabilité et de la paranoïa n’est pas aussi subtile, ponctuée de bruits sourds qui taraudent Lady Macbeth et son époux, tels les battements d’un compte à rebours avant la fin inexorable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Le crime dans ce qu’il a de plus machiavélique ou impulsif, la gratuité de la violence, le rythme rapide de la narration : pas de doute, on est bien chez l’un des frères Coen.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Filmée dans un noir et blanc sublime, la tragédie de Shakespeare prend ici des allures de cauchemar surréaliste. Du cinéma exigeant.
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Sortant de cette visite culturelle, on a le sentiment d’avoir assisté à un défilé de têtes parlantes dans lequel les formes dramaturgiques du théâtre, comme le soliloque, sont réduites à la simple expression de la folie.
Critikat.com
par Marin Gérard
On retient moins la maîtrise autoconvaincue d'un cinéaste en perte d'inspiration depuis plusieurs années que la grande vanité d'un film étriqué.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
Rarement le texte foudroyant de la pièce de Shakespeare nous aura paru si limpide, si musicalement restitué – grâce à une troupe d’acteurs exceptionnelle, menée par Denzel Washington et Frances McDormand. Surtout, sa splendeur visuelle emploie le noir et blanc comme jamais, peut-être, depuis la disparition de la pellicule orthochromatique au temps des chefs-d’œuvre du muet !
20 Minutes
Joel Coen a confié à Denzel Washington le rôle-titre de « The Tragedy of Macbeth ». L’acteur libre une performance éblouissante dans cette fresque filmée comme un thriller en noir et blanc.
CinemaTeaser
Avec la flamboyance et l'intensité qu'on lui connaît, Denzel Washington règne sur "The Tragedy of Macbeth" et inspire et expire toute la force tempétueuse du film.
Ecran Large
Maîtrisé de bout en bout, The Tragedy of Macbeth a surtout pour lui Denzel Washington et Frances McDormand qui font de leurs personnages de belles figures tragiques vieillissantes, portées par un écrin virtuose. Voire un peu trop.
Elle
Un grand Coen pour l'immense Shakespeare.
L'Obs
Il y a eu, au cinéma, des dizaines d’adaptations de « Macbeth » (depuis Stuart Blackton en 1908 jusqu’à Roman Polanski en 1971, en passant par Orson Welles en 1948), mais celle-ci est absolument originale, dans son dépouillement, sa beauté plastique, son obsédante présence.
Les Inrockuptibles
Joel Coen dit adieu à toute mythologie et poursuit le désenchantement jusque dans l’esthétisme du film, télescopage étrange et fascinant entre l’imagerie glacée d’une pub Apple (qui produit le film) et d’une distanciation brechtienne dont l’extrême dépouillement des décors fait basculer le récit dans la plus grande abstraction.
Libération
Brutaliste et gothique, ce Macbeth travaille ses formes en creusant l’image, en s’appuyant sur les espaces négatifs, les pleins et les déliés. Un dispositif minimaliste qui permet au film de mieux regarder ses acteurs.
Mad Movies
Macbeth de William Shakespeare inspire à Joel Coen l'un de ses longs-métrages les plus puissants.
Télérama
Dans un monde vacillant, la vanité jusqu’au-boutiste de personnages devenus jouets d’un engrenage incoercible est effrayante. Et ne manque pas de trouver un écho dans nos préoccupations contemporaines…
La Croix
La version de Joel Coen ne tranche pas, fidèle à celle de Shakespeare (...). La descente aux enfers de la culpabilité et de la paranoïa n’est pas aussi subtile, ponctuée de bruits sourds qui taraudent Lady Macbeth et son époux, tels les battements d’un compte à rebours avant la fin inexorable.
Rolling Stone
Le crime dans ce qu’il a de plus machiavélique ou impulsif, la gratuité de la violence, le rythme rapide de la narration : pas de doute, on est bien chez l’un des frères Coen.
Télé 7 Jours
Filmée dans un noir et blanc sublime, la tragédie de Shakespeare prend ici des allures de cauchemar surréaliste. Du cinéma exigeant.
Cahiers du Cinéma
Sortant de cette visite culturelle, on a le sentiment d’avoir assisté à un défilé de têtes parlantes dans lequel les formes dramaturgiques du théâtre, comme le soliloque, sont réduites à la simple expression de la folie.
Critikat.com
On retient moins la maîtrise autoconvaincue d'un cinéaste en perte d'inspiration depuis plusieurs années que la grande vanité d'un film étriqué.