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    La Bonne épouse
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    2,6
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    jspl
    jspl

    23 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 juin 2020
    Au début tout va bien, puis on tombe dans l'invraisemblance et caricature. La fin est carrément stupide,
    sylounette
    sylounette

    45 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 juin 2020
    comédie caricaturale jusqu’à la dernière séquence (musicale). Un sommet de ridicule. ! c'est affligeant ! il ne ressort rien de ce film, tout est survolé de manière qui doit se vouloir burlesque ??? à fuir !!
    benoitG80
    benoitG80

    3 409 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2020
    « La Bonne épouse » est l’exemple même de la comédie intelligente, percutante et finalement instructive, tout en étant drôle à souhait, malicieuse et pour conclure très innovante dans son concept !
    Un tour de force que Martin Provost nous sert sur un plateau, tenu par une épouse modèle, (mais plus pour très longtemps évidemment !) de celle que l’on forme dans ce type d’institution privée ou d’école ménagère.
    Comme celle tenue de main de fer au fin fond de l’Alsace par Paulette, interprétée par Juliette Binoche étonnante et rayonnante !
    Mais ce qui fait des étincelles tient aussi à ses deux acolytes que sont Yolande Moreau et Noémie Lvosky, respectivement belle-sœur un peu rêveuse et religieuse au caractère trempé !
    Toutes deux, sont aussi de sacrés personnages, d’une poésie pour l’une et d’un punch pour l’autre qui font plaisir à voir et à entendre...
    François Berléand n’est pas longtemps à l’écran et pour cause (!), mais son remplaçant (!), Edouard Baer assure vraiment lui aussi.
    Et si on ajoute quelques jeunes actrices qui ressortent de ces « élèves futures parfaites épouses », toutes plus délurées les unes que les autres, on est comblé...
    Tout l’intérêt de cette comédie épatante repose donc sur son contexte, où en 1968, l’idée de la bonne épouse soumise et parfaite, perpétuée depuis des lustres, vient se trouver en pleine remise en question lors de cette période de révolution où fourmillent enfin d’autres idées de progrès.
    Comme celles de l’émancipation et de la libération de la femme, et ce sur tous les plans !
    Traiter ce fait marquant de société par le prisme d’une comédie aussi enlevée, dans un esprit sixties aussi réussi, finit par nous convaincre et nous séduire comme pas deux...
    Toutes ces actrices s’en donnent à cœur joie pour illustrer ce mouvement, en temps que début de lutte pour l’égalité homme/femme dont malheureusement, il reste encore du chemin à parcourir !
    Un film pertinent qui vient en écho servir la cause des femmes, tout en étant bourré d’humour et pétri de situations sacrément farfelues, pour ne pas se prendre trop au sérieux malgré tout...
    Une très bonne idée !
    Chris M
    Chris M

    21 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2020
    Une bonne surprise de ce début d'année. Juliette Binoche, Edouard Baer, François Berléans, Yolande Moreau sont très bons et il y a une flopée de jeunes actrices pleines de promesse. Par contre je ne vois pas l'intérêt d'une fin «comédie musicale». Mais cela demeure un très bon divertissement
    traversay1
    traversay1

    3 560 abonnés 4 859 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2020
    La bonne épouse nous entretient d'une époque qui parait si lointaine mais ne l'est pas tant que cela, quelques mois avant la Révolution de 68. En ce temps-là, fleurissaient les écoles ménagères dont le but était de former des épouses parfaites, soumises et fières de leur condition d'esclaves domestiques. Pilier n°1 de l'éducation : "la bonne épouse est avant tout la compagne de son mari, ce qui suppose oubli de soi, compréhension et bonne humeur." En résumé : sois une bonne ménagère et tais-toi ! De ces préceptes d'un autre âge, le film de Martin Provost, dont les films parlent toujours d'émancipation féminine (Séraphine, Violette), fait évidemment son miel, forçant presque jusqu'à la caricature dans les premières minutes, histoire de bien poser la situation. Le côté documentaire et réaliste de La bonne épouse avec la formation dispensée dans cette école ménagère nourrit tout le début du film et permet à la fiction de prendre ses droits, un peu avec ses élèves adolescentes mais surtout avec son trio d'enseignantes, volontairement montrées comme des archétypes (la BCBG, la vieille fille et la religieuse) dont la confrontation avec de jeunes femmes potentiellement rebelles ne peut que faire des étincelles. Avec son rythme soutenu et ses dialogues crépitants, le film tient ses promesses de comédie euphorisante et colorée, à l'écriture impeccable, même avec quelques menues facilités narratives au passage, et une évocation précise de quelques icônes de l'époque (de Ménie Grégoire à Guy Lux, en passant par Adamo et Yvonne de Gaulle). La troïka à la tête de l'école ménagère est incarnée par des actrices en état de grâce dont l'enthousiasme à composer leurs personnages est palpable. Yolande Moreau est comme toujours inénarrable et Juliette Binoche est formidable en bourgeoise coincée mais c'est Noémie Lvovsky, en nonne pète-sec, qui mérite tous les superlatifs. Dommage que ces trois-là ne puissent concourir qu'aux César 2021, on leur aurait donné immédiatement un prix collectif d'interprétation féminine.
    Joce2012
    Joce2012

    203 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 mars 2020
    Désolée aussi mais ce film est un vrai navet, pour une comédie ce n'est pas drôle et vraiment on nous prend pour des idiots. ...
    Krebs
    Krebs

    32 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mars 2020
    Ce film a un intérêt principal : faire connaître au spectateur l'existence des écoles ménagères, ainsi que leur ambiance. Joué par des actrices de talent, le film prend d'emblée le parti de l'humour et de la dérision, et nous fait passer un bon moment de détente. Dommage qu'il se mette un peu à patiner en son milieu, et qu'il semble finalement bien trop long. Je laisse aussi l'appréciation de la fin à la sensibilité de chacun, personnellement l'évolution des personnages me semble trop brutale et donc pas totalement crédible. Au final, un film qui se laisse voir avec plaisir.
    Les choix de pauline
    Les choix de pauline

    131 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2020
    Plutôt raté et insipide.
    Une comédie qui dégage un charme certain. Les acteurs sont sincères et s'impliquent à retranscrire le kitch et le ridicule de ces années où le rôle de la femme se réduisait à celui de bonne ménagère.
    Mais le film n'arrive jamais à être vraiment drôle et cinglant. Il peine à faire décoller le propos et reste assez fade. Les dialogues sont pauvres et ne font pas mouche, les rôles sont peu travaillés et platement caricaturaux.
    Le final est ,lui , carrément gênant de ridicule.
    Dommage car l'intention était bonne et sincère.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    375 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 février 2020
    C’est une bonne comédie tout à fait réjouissante emmenée par un superbe casting d’actrices et d’acteurs qui assurent très bien. L’histoire de cette école ménagère dans les années 67/68 est intéressante à suivre et nous replonge dans le contexte de l’époque avec les remises en question liées à l’esprit révolutionnaire des mœurs. Tout cela est très bien rendu par le réalisateur avec humour et fantaisie. On passe vraiment un bon moment de détente.

    Bernard CORIC
    tixou0
    tixou0

    696 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 juin 2020
    1967/1968 : entre la loi Neuwirth légalisant la pilule contraceptive en France (qui mettra cependant 7 bonnes années à s'appliquer effectivement...), et les événements que l'on sait... Soit une école ménagère dans l'Alsace rurale, dont la directrice se retrouve spoiler: (bêtement - une histoire de lapin...)
    veuve ("Paulette van der Beck", alias Juliette Binoche - qui en fait des tonnes...), ruinée spoiler: (le défunt aimait trop les courses...)
    , et spoiler: renouant par hasard avec son grand amour de jeunesse
    (Edouard Baer à la manoeuvre). Ce nouveau film de Martin Provost (celui des excellents "Séraphine", ou "Sage-femme") se veut sans doute, ce faisant, une fable féministe - ou quand l'émancipation vient à titiller les sujets les plus improbables (outre Paulette, ses deux "bras droits" et autres chantres du bonheur conjugal à l'usage des tendrons enseignés par elles : "Gilberte", sa belle-soeur - vieille fille au coeur d'artichaut, alias Yolande Moreau, une habituée des castings MP, et "Marie-Thérèse", une religieuse pittoresque et ancienne résistante, alias Noémie Lvovsky). Las ! Deux ou trois moments pas trop mal tournés mis à part, la sauce ne prend jamais : la charge manque singulièrement de grâce, et même tout simplement de cohérence....
    tisma
    tisma

    290 abonnés 1 965 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2020
    Un bon film qu'est la bonne épouse ! Et pour être un bon film, il faut suivre quelques règles.

    Règle numéro 1 : le bon film se doit d'avoir de bons acteurs, et c'est le cas, Juliette Binoche joue son rôle magnifiquement bien et les deux autres actrices que sont Yolande Moreau et Noémie Lvovsky rajoutent du dynamisme à ce film. La jeune génération qui joue les élèves de l'établissement promets aussi quelques perles.

    Règle numéro 2 : le bon film a une belle trame. Ici, on une belle trame et un beau message. Le film suivait une bonne ligne scénaristique qui permettai une belle évolution du personnage principal.

    Règle numéro 3 : le bon film nous touche. Et ici, c'est le cas, on passe du rire à des moments très touchant et très prenant. C'est très fort.

    Règle numéro 4 : le bon film a un bon dynamisme. Dans notre cas, on a très peu de temps mort et le film ne stagne pas et évolue tout le long.

    Au final, on est face à une bonne comédie qui parle de féminisme et en 2020, malheureusement, on en a encore besoin !
    vidalger
    vidalger

    320 abonnés 1 249 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 juin 2020
    L'humour poussif de ce film sent le rance et reflète davantage la ringardise du réalisateur et du scénariste que les canons de la fine plaisanterie du 21 ème siècle. Le casting lui-même - qui peut encore penser que Binoche a un potentiel humoristique ? - réunit une brochette de coureurs de cachets visiblement peu concernés par les dialogues dont on les afflige. Même celui qui a connu les années 60 a un peu de mal à sourire à cette caricature qui enfile les clichés - la vieille fille, la bonne sœur - comme des perles à un collier de niaiseries toutes plus lourdingues les unes que les autres : la scène de l'amoureux récitant la recette de l'apfelstrudel sous la fenêtre de sa belle m'a semblé durer un quart d'heure, mais j'ai peut-être dormi. On peut donc s'abstenir de subventionner ce type de cinéma qu'on croyait mort et enterré depuis longtemps. 1968, rappelons-nous, c'était l'année de Baisers volés ou de Rosemary's baby. Mais aussi malheureusement du Gendarme se marie ou du Petit baigneur. Visiblement, davantage l'inspiration de Martin Provost.
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 672 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juin 2020
    J’ai repris le chemin des salles obscures ce lundi avec le film que je m’ apprêtais à voir le jour du confinement…La Bonne Epouse…On est en 1967-68, en Alsace, mais cela aurait pu se passer ailleurs tant existaient de ces écoles ménagères où les jeunes filles souvent de la campagne apprenaient à devenir des ménagères accomplies …En ce temps-là, qui n’est pas bien vieux, les filles portaient des jupes plissées, gardaient les yeux baissés, apprenaient à coudre, à broder leur trousseau….à « être avant tout la compagne de son mari, ce qui suppose oubli de soi, compréhension et bonne humeur » comme le précise l’un des sept piliers de cette école privée tenue par Paulette Van den Beck (Juliette Binoche) , son mari (François Berléand) , sa belle-sœur Gilberte ( Yolande Moreau) , célibataire endurcie, et sœur Marie-Thérèse ( Noémie Lvovsky) , religieuse au caractère bien trempé, ancienne résistante….Quant au devoir conjugal, un des piliers précise que cette « épreuve aussi pénible et ingrate soit-elle » s’accepte en y mettant « un peu de soi-même » … Il faut dire aussi que cela ne faisait que peu d’années que les françaises avaient obtenu le droit d’exercer une activité professionnelle, ouvrir un compte bancaire, sans l’autorisation du mari ou du père…et que le port du pantalon par les femmes était proscrit dans la plupart des entreprises…. La confrontation de trio de femmes haut en couleur avec les jeunes filles dont elles ont la charge, toutes caractéristiques de l’époque (Albane, issue d’un milieu favorisé, ne manque jamais d’afficher sa supposée supériorité ; Corinne sacrifiée au bénéfice d’un frère à qui son statut de mâle confère le droit de poursuivre des études supérieures ; Annie, la rebelle qui peu à peu dévergonde Yvette, à qui son père a enseigné la soumission depuis son plus jeune âge) est prétexte à des scènes pleines d’humour et de vivacité.
    Malheureusement, la fin se perd dans un activisme un peu trop poussé. La cocasserie du début s’évapore et le film dégringole à mesure qu’il égrène des scènes qui ne sont envisagées que comme des bouées de sauvetage scénaristiques – et donc purement anecdotiques. Noémie Lvovsky et Yolande Moreau, actrices confirmées et sympathiques semblent un peu trop utilisées en pompiers de service pour sauver leurs personnages du néant…Yolande Moreau abuse trop de ses regards égarés, et de ses déhanchements maladroits…Noémie Lvovsky campe une religieuse un peu trop caricaturale…Martin Provost qui avait dans ses mains un sujet en or le gâche en appuyant trop sur les effets et en faisant s’éterniser des scènes anecdotiques comme celle où quatre élèves dansent sur une chanson de Joe Dassin… Film féministe cette Bonne Epouse ? Opportuniste sans aucun doute, cette histoire d’émancipation féminine qui arrive en pleine ère MeToo mais on se surprend toutefois à sourire de l’innocence d’une époque qui a cru que l’abolition du conservatisme suffirait à accorder aux femmes libération et épanouissement…
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    764 abonnés 1 516 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Entre 1967 et 1968, nous allons nous immiscer dans la vie d'une école de l'est de la France formant de futures femmes au foyer "parfaites".
    Le souci, c'est que l'époque est en plein chamboulement, la révolution féminine (entre autre) est en marche...
    Tout n'est pas mauvais dans cette comédie gentillette dans laquelle la caricature de l'épouse modèle des années 1960 est largement appuyée, le souci c'est que ce n'est pas vraiment drôle, on frôle même souvent le lourd ou le grotesque, le dernier quart d'heure en est la parfaite illustration !
    En conclusion : de bons comédiens, un thème principal engageant, mais un scénario totalement plat dans une ambiance générale frôlant dangereusement le loufoque.
    Sans grand intérêt.
    Site cinemadourg.free.fr
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 mars 2020
    La famille Van der Beck dirige depuis plusieurs générations, dans une demeure cossue des Vosges, une école ménagère qui enseigne à quelques jeunes filles à devenir de bonnes épouses. Mais quand son directeur (François Berléand) décède brutalement, il revient à son épouse (Juliette Binoche) de reprendre seule les rênes de l'établissement. Pour la seconder, elle ne peut guère compter que sur sa belle-sœur (Yolande Moreau), chargée des cours de cuisine, et sur une religieuse (Noémie Lvovsky) pénétrée des préceptes d'un autre temps. Le défi s'annonce difficile à relever : l'établissement se révèle grevé de dettes et le vent de révolte qui balaie la France en mai 68 pousse les jeunes filles à la rebellion. Mais Paulette van der Beck peut compter sur le soutien de son banquier (Edouard Baer) qui fut jadis son premier amour.

    Les écoles ménagères ont existé. On y enseignait à des jeunes filles d'origine souvent modeste, auxquelles l'accès à l'enseignement général avait été refusé la cuisine, la couture, la puériculture, l'hygiène…

    Dans une veine qui n'est pas sans rappeler "Les Choristes" de Christophe Barratier, Martin Provost ("Sage femme", "Violette", "Séraphine"…) en ressuscite la mémoire pour gentiment s'en moquer. La cible est facile tant rétrograde était l'enseignement qui y était dispensé. Considérer "La Bonne Épouse" comme un brûlot féministe à l'heure où #MeToo et l'affaire Polanski rebattent les cartes des relations hommes-femmes est sans doute excessif. Sa seule ambition est de faire rire.

    Et c'est bien là que le bât blesse. Il y a certes dans le film quelques scènes drôles. Sa bande-annonce les a pour la majorité déflorées. Dans une salle remplie de spectateurs hilares du troisième âge, les outrances de Juliette Binoche (dont je ne comprends, après l'avoir vu dans le calamiteux "Ma Loute", comment on peut penser qu'elle ait le moindre potentiel comique), les roucoulades de Yolande Moreau, les beuglantes de Noémie Lvovsky et la partition sans surprise d'Edouard Baer ne m'ont pas arraché un sourire. Est-ce le signe que je suis désespérément cul-serré ? ou - hypothèse plus optimiste que je préfère largement - que je n'ai pas encore atteint l'âge où ces pitreries pas drôles me feront rire ?
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