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    Nomadland
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    lilyzab
    lilyzab

    24 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2021
    Embarquez avec ce film sur les chemins des nomades américains. Les home less mais pas sans toit! Dans les paysages à couper le souffle que sait si bien filmer la réalisatrice , nous voyageons au fil des saisons dans l'univers de ceux qui vivent dans leur camping car par choix ou par nécessité..... Magnifique interpretation de tous . Une mention spéciale pour tous ceux qui ont accepté de partager dans ce film
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2021
    Adapté du livre « Survivre en Amérique en XXIe siècle » (2017) de la journaliste Jessica BRUDER, le film traite du monde des personnes nomades (non pas sans abri mais sans maison), souvent âgées (percevant une maigre retraite mensuelle de 500 $), allant d’Etat en Etat pour travailler (chez Amazon avant la période des fêtes de fin d’année puis dans des campings [parc national des Badlands (Dakota du sud)] ou des restaurants ou lors de la récolte des betteraves dans le Nebraska), se logeant dans leur van aménagé et se réunissant même annuellement à Quartz Site (Arizona) où ils apprennent à se débrouiller par eux-mêmes (réparation de pneus, gestion des W-C, etc.). C’est aussi le portrait d’une femme, Fern (Frances McDORMAND) qui a tout perdu, son travail (suite à la fermeture en janvier 2011 de l’usine d’extraction du gypse à Empire dans le Nevada), sa maison, son mari (Bo, décédé de maladie), sans enfant mais libre. C’est le portrait d’une certaine Amérique, peu connue, loin des clichés des pionniers du XIXe siècle. Le film est beaucoup plus proche de ceux de Ken Loach que de celui de John Ford, « Les raisins de la colère » (1940). La réalisation sobre, avec de belles images de Nature, à l’aube ou au crépuscule (grâce à son fidèle directeur britannique de la photographie, Joshua James RICHARDS) et la musique au piano du compositeur italien Ludovico EINAUDI, renforcent la puissance du sujet et justifient ses nombreuses récompenses.
    benoitG80
    benoitG80

    3 412 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juin 2021
    « Nomadland » est certes magnifique au niveau des images, avec en arrière-plan ce rapport de dimension, entre l’infiniment petit du grain de sable que nous sommes et ces paysages grandioses à perte de vue...
    Il reste pourtant la dimension humaine, celle qui à priori était l’enjeu de la réalisatrice Chloé Zhao, et là, on se perd un peu en conjectures, tant le personnage pourtant intéressant de Fern reste hermétique au possible...
    Rien ne permet en effet d’entrer dans le mental de cette personne et de comprendre véritablement ce choix de vie, cette fuite en avant qui l’empêche de s’attacher à un lieu, de même qu’à ceux qui l’approchent en lui témoignant de l’affection, de l’amitié, comme si dès qu’une possibilité de se poser enfin devait inévitablement être sabordée par elle-même.
    Alors que Frances McDormand aurait pu donner bien plus de force et de conviction à cet être en rupture resté sur la touche.
    Si bien, que petit à petit, on a de plus en plus de mal à s’attacher ou s’identifier en tant que spectateur à cette femme devenue nomade, dont on ne connaît presque rien.
    De même que tous ses compagnons de route, tous des éclopés de la vie, ont aussi vécu la terrible épreuve de la maladie et de la mort, sans qu’aucun d’entre eux ne renvoie un message plus positif, ne serait-ce que par un choix délibéré de vivre ainsi et de s’y sentir bien.
    On reste sur l’idée que ce choix l’est par défaut, alors que quelques jeunes itinérants auraient pu faire la différence en évoquant leurs profondes motivations.
    La tonalité très noire et plombée l’emporte ainsi et on aurait donc juste aimé de temps en temps une lueur d’espoir, un horizon plus dégagé à l’image de ceux superbes que l’on découvre de manière un peu trop contemplative.
    Peut-être que le scénario n’est pas assez construit, qu’il manque aussi une véritable histoire à ces femmes et hommes toujours attirés par un autre lieu, un autre environnement pour en faire un film totalement abouti.
    De plus, Fern semble rester délibérément seule quoiqu’il arrive et même lorsqu’elle se trouve dans des lieux publics qui restent étonnamment toujours déserts.
    On y verra sans doute de la part de la réalisatrice une volonté d’isoler son héroïne, de la magnifier également mais à force d’insister sur ce point, son film en devient trop sombre, alors que le nomadisme tel qu’il est montré aurait pu donner matière à reflexion, et surtout l’occasion de croire à un monde meilleur, et d’espérer ainsi une autre philosophie de vie...
    Ici, on quitte Fern qui vadrouille toujours et toujours sans savoir pourquoi, comment et jusqu’où...
    On aurait tant aimé la comprendre, l’accompagner, et rêver avec elle...
    Le Cinémane
    Le Cinémane

    5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 juin 2021
    Ce film est surcoté, wow !
    Le thème abordé est pourtant pas trop con, assez original, mais bordel que c'est pas prenant ! Et ce film ne mérite aucun des 3 oscars qu'il a eue : la réalisation n'est pas particulièrement frappante, et l'actrice principale, bah... c'est un actrice, elle joue assez bien mais pppffffffichtre. Je dais qu'il y avait pas beaucoup de films de dispo en 2020, mais là c'est qu'ils avaient vraiment du mal !
    Le film, est long, chiant, traîne, ne va dans aucune direction... pourtant ça part d'une bonne idée ! Mais le tout est carrément pas mémorable...
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juin 2021
    Une fois encore TRÈS RÉUSSI!
    Avec un regard bienveillant, Chloe Zhao se penche sur les « déshérités » de son pays d’adoption.
    Quitter ou rester dans la réserve indienne (Les chansons que…)
    Cette autre famille d’indiens, passionnée de rodéo, mais la Vie d'après? (The Rider).

    Cette fois ce sont les travailleurs précaires, au point d’habiter sur place, dans son van ou camping car….
    Sa façon de filmer les gens modestes et les liens qui les unissent…. avec tant d’empathie nous montrer le quotidien trivial avec lenteur mais aussi beaucoup de poésie, dans ces grands espaces….
    Entre longs plans sur l’immensité et la beauté des paysages à toute heure; rugosité de la vie quotidienne
    et liens fraternels

    Plus de travail, plus de maison, puis la vie précaire de « sans domicile fixe » mais toujours l’humanité,
    la fraternité.
    Une autre forme de vie que les « gens du voyage » ?
    William Dardeau
    William Dardeau

    32 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juin 2021
    Très belle réussite que ce film qui décrit la vie de personnes cabossées par la vie choisissant finalement de prendre la route en van pour tenter de renaître dans les grands espaces, en communiant avec la nature. Avec son directeur de la photographie attitré Joshua James Richards, déjà remarqué pour The rider, Chloé Zao démontre une nouvelle fois un talent impressionnant pour filmer les paysages grandioses de son pays d’adoption (on pense à Terence Mallick, c’est dire !). Mais Nomadland n’est pas (heureusement) qu’une suite de séquences documentaires grandioses, c’est aussi un film qui s’attache à suivre sans pathos la vie quotidienne de ces « hobos » modernes. On sent bien que Chloé Zao éprouve une grande tendresse pour ces personnages, et elle dirige Frances MacDormand (très bien, une nouvelle fois) avec une grande maîtrise. Evidemment certains ont trouvé que Nomadland ne dénonce pas assez les méfaits du capitalisme, et même, comble de l’horreur, trouve des qualités au modèle Amazon, qui d’une certaine manière, dépanne nos infortunés voyageurs. Chloé Zao n’est pas Kenneth Loach, ça se saurait ! Il ne faut pas écouter ces mauvais coucheurs qui voudraient refaire le film à leur idée, et se laisser aller à une rêverie forcément mélancolique en contemplant Nomadland pour ce qu’il est : un hymne aux déclassés solitaires et solidaires touchés par la grâce de la nature et finalement apaisés. Il est difficile de nier qu’à certains moments on les envie !
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    181 abonnés 2 268 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juin 2021
    Ce film a le mérite de mettre en lumière la vie de travailleurs pauvres américains qui vivent de petits boulots et de déménagements fréquents à bord de leur van ; c’est aussi, en creux, celui d’un système social peu aidant où chacun doit se prendre en main pour s’en sortir. Malheureusement, le film n’est pas assez critique vis-à-vis de ce système capitaliste qui montre bien ici ses limites. Frances McDormand se met littéralement à nue dans ce road movie et nous donne à ressentir l’ambivalence entre la liberté et la vulnérabilité des personnages croqués. Malheureusement, le film, tout auréolé qu’il est de ses oscars du meilleur film et de la meilleure réalisatrice, manque sérieusement de rythme. Alors, c’est beau – les grands espaces, de magnifiques paysages naturels – mais c’est lent.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    113 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juin 2021
    Nomadland est un film monté à la manière d'un documentaire. D'ailleurs Swankie et Linda May jouent leur propre rôle à l'écran. Nomadland se penche sur les laissés pour compte des crises économiques et industrielles des USA. Mais il ne s'agit pas de critiquer le capitalisme dans un film fort en gueule ou politisé. Il s'agit bien plutôt de rendre hommage aux Nomads, ces personnes qui ont mis tout ce qu'ils avaient dans un camping car ou un mini van pour parcourir les routes à la recherche de petits boulots souvent saisonniers et de lieux où ils peuvent stationner. Nomadland a donc largement l'accent de la vérité et offre de très belles images, dans une ambiance quasi contemplative et paradoxale: le fait d'être en mini-van et mobile leur permet de profiter de lieux et de paysages que la majorité des gens ne verront jamais, mais s'ils là, c'est dans une situation de précarité extrême. AU-delà de ça, le film, sans être activement pessimiste, laisse une impression amère au spectateur. Si vous voyez le film un vendredi ou un samedi, que vous êtes seul-e et/ou déprimé, c'est lourd à porter...
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    110 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2021
    Ai vu le magnifique film de Chloé Zhao, Lion d'Or au dernier festival de Venise et Oscar du meilleur film entre autre. Quelle leçon d'écriture et de cinéma ! Chloé Zhao qui a écrit également le scénario d'après le roman de Jessica Bruder, réussi à allier d'une façon extrêmement fluide la fiction et le documentaire. Sa mise en scène discrète et étudiée sait aussi bien filmer les non-acteurs au plus près et au plus juste que les paysages sur-dimensionnés du fin fond des Etats-Unis. Nous suivons sans aucun pathos ni aucune complaisance pendant une année, Fern qui comme des milliers d'autres américains vit par obligation économique dans son van au grès des travaux saisonniers (Amazon, la récolte des betteraves, serveuse dans des restaurants, ouvrière sur des chantiers...) Frances McDormand fait une prestation hallucinante puisque ce qu'elle propose va au delà du simple jeu... elle partage la plupart de ses scènes avec des non-comédiens qui interprètent leur propre rôle et face à eux Mc Dormand est d'une immense humanité, on sent que l'actrice est totalement au service de ses partenaires, son incarnation met totalement en lumière l'autre. Plus que le parcours de Fern, c'est surtout l'histoire d'une reconstruction où l'humain se retrouve à vivre au rythme des saisons, à retrouver le contact avec la nature et les éléments pour mieux se recomposer et où la fraternité, la solidarité, l'amitié sont absolument vitales. Ce long métrage très minéral, où il est souvent question de pierre, où Fern est également taillée toute en rugosité dans un décor de déserts, de falaises... est surtout un film humaniste et philosophique. C'est réjouissant de savoir que l'industrie du cinéma américain a élu et remarqué ce film d'auteur réalisé par une femme. Sans aucun doute le meilleur film sur les écrans actuellement.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    632 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juin 2021
    Au vu des nombreux prix que "Nomadland" a reçu, encensé de toutes parts, je m'attendais à recevoir une grosse claque. Visuellement, y'a pas à dire, ce road-movie dans l'Amérique des laissés-pour-compte offre un lot de panoramas magnifique et la réalisation de Chloé Zhao, mêlant intimement fiction et réalité, s'avère être un cinéma-vérité pur et fort. Mais pour ce qui est du reste, je suis resté quelque peu sur ma faim et j'avoue que "Nomadland" a su éveiller en moi que peu d'émotions. La faute sans doute à un côté américano-centré qui ne m'a pas trop parlé et à une interprétation quasi-documentaire, sans fulgurances ni débordements. Ceci se reflète également dans le scénario qui ne suis pas une trajectoire classique mais rend simplement compte d'un présent fait de hasards, de rencontres, d'introspection. Les rebondissements relèvent de l'intimité la plus enfouie, servi par le prisme authentique de ces acteurs qui partagent leurs véritables bagages de vie. On ne peut reprocher à cette plongée au coeur d'une réalité sociale de ne pas être plus spectaculaire que ce qu'elle n'est... Ce serait dénaturer tout le propos. Mais bon, pour ma part, bien que j'ai apprécié traverser ce morceau de vie de nomade marqué par la fatalité et la résilience, je n'ai pas été saisi ni ému au point de le considérer comme un chef-d'oeuvre. Ensuite, c'est pas bien de comparer, mais l'incarnation de Frances McDormand, étonnement, m'a nettement moins emballé que celle de Carey Mulligan dans "Promising Young Woman". Je m'attendais à autre chose sûrement, sur beaucoup de points. Mais je garderai tout de même en mémoire "Nomaldand" comme une ode à la liberté, un regard sur l'humanité oubliée des déserts américains, riche de sagesse et d'humilité.
    Christoblog
    Christoblog

    827 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juin 2021
    Tous les films de Chloé Zhao possèdent plusieurs qualités en commun : une extrême attention aux protagonistes, une connexion à la nature qu'elle partage avec peu de cinéastes, et une mise en scène souple et déliée.

    Le résultat est ici tout à fait convaincant, comme l'étaient ses deux premiers films. Je craignais que sa collaboration avec une actrice de la renommée de Frances McDormand nuise aux qualités quasi-documentaires de son travail, mais il n'en rien. L'actrice multi-oscarisée se fond avec un naturel stupéfiant au milieu d'un casting où les personnages jouent leur propre rôle.

    Le résultat est d'une humanité rare. Le moindre geste d'attention (offrir un briquet, toucher la main, partager un feu) prend des proportions de sainteté, alors que la descente vers le Sud des Etat-Unis se transforme en une sorte d'épiphanie des marges.

    Bien sûr le film montre la pauvreté en lisière du rêve américain, comme le faisaient ceux de Chaplin et de Ford, et certains le verront probablement principalement sous cet angle, mais il est aussi (et pour moi surtout) une formidable ode à la liberté absolue, entre grâce et dénuement, trivial et sublime.

    La mise en scène de Zhao est confondante de beauté, enchaînant travellings inspirés, montage rythmé et gros plans émouvants, le tout dans des tonalités bleutées et grisâtres.

    Nomadland mérite tous ses prix, mais il est plus qu'un gagnant, il est un passeur.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juin 2021
    On connait surtout un cinéma américain qui fait du spectacle sa matière première. Ici, c'est un cinéma feutré, un cinéma des petites gens, un cinéma qui va à la rencontre des quelques milliers d'invisibles qui colorent les Etats-Unis. Fern a perdu son mari. Elle a perdu la ville aussi où elle avait choisi de vivre son union. Car la crise 2008 est arrivée, avec son lot de fermetures d'usines, de désertions d'habitations bradées à des financiers peu scrupuleux, et cette masse de gens simples qui se retrouvent privés de logements et de boulots fixes. Voilà à peu près le destin de Fern qui faute de mieux, va à la rencontre des jobs précaires avec son van aménagé. Elle traverse les routes désertiques, les villes fantômes, et se pose pour quelques jours ou semaines sur des parkings aménagés pour les voyageurs.

    La très grande surprise du film demeure la mise en scène d'une communauté de voyageurs, essentiellement composée de seniors. La réalisatrice talentueuse nous montre un univers social totalement atypique. On sait que la France est un rare pays où les retraités peuvent survivre avec leur pension. Ce n'est pas le cas des Etats-Unis où les gens de peu doivent continuer de travailler. Chloé Zao invite le spectateur dans ce monde bigarré, souvent jovial, où la débrouille, le troc, et la solidarité sont les pierres angulaires de leur culture. Fern intègre peu à peu cette communauté.

    "Nomadland"; c'est d'abord l'immense comédienne Frances McDormand, qui habite d'un bout à l'autre ce récit tout autant aérien que spirituel. La caméra accompagne la comédienne au milieu de ce peuple de fugitifs, comme si elle avait toute sa vie partagé cette vie-là. Le film ne cède jamais à la compassion ou au cynisme. Il tient lieu d'une sorte de balade anthropologique , sensible et magnifique.
    Marcel D
    Marcel D

    104 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juin 2021
    Oeuvre d'art équilibriste : entre mélancolie et espoir, entre majestueux et miséreux, entre description et dénonciation, entre quête de sens et mektoub et une Mc Donald entre justesse et performance, Nomadland questionne le rapport à la vie, à son sens, à sa fin, dans les deux sens du terme. Paysages sublimes et laissés pour compte fascinants, à la manière d'un American Honey ou d'un Florida Project, on se délecte de cette Amérique anti-Hollywoodienne, on s'enrichit de cette réflexion sur les (anti)-héros américains que ne renieraient pas Clint Eastwood, qui a sûrement dû déjà apprécié comme nous le précédent opus de Zhao : the Rider. Allez garer votre van devant le ciné : vous ne le regretterez pas !
    Pierru M
    Pierru M

    21 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 juin 2021
    Belle musique. C'est bien filmé. L'actrice principal est parfaite. Mais on trouve le temps long. Dommage.
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    183 abonnés 1 084 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 juin 2021
    Un trop long documentaire sans émotion, une succession de scènes sans lien, qui ne disent rien et n'ont pas d'intérêt esthétique. Un film déprimant.
    La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/
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