Un régal ce film sur le père ancêtre de toute sorte de vampire 🧛�♀�maléfique imaginé nombre de fois au cinéma, l’investigateur curieux bibliothécaire s’aventure dans l’antre ténébreux des Carpates. La curiosité sera son vilain défaut vampirisé par la fiancée malgré elle, crucifiée en une véritable forme humainement mortelle, après X temps indéterminé plongée dans les ténèbres terrestres, mordu et transformé par le maudit Comte roumain de Transylvanie. Après le docteur baron Frankie le foldingue manipulateur science anatomique, Peter Cushing est Sir Van Helsing, un gentleman « vampire slayer », spécialiste sollicité en la question sur ces phénomènes obscurs qui s’abattent sur la famille du défunt intrigué et égaré des lieux. Le comte Dracula n’est pas en reste avec la perte de sa dulcinée tourmentée, son état d’âme démoniaque se penche vers sa prochaine victime, ce sera la sœur au malheur. Yes Sir ! Le manuel du chasseur de croc, leçon primaire à l’école, alors l’ail comme condiment culture populaire, les vampires de pâleur froide n’aiment pas ce goût culinaire, une forte senteur pour leur haleine qu’ils dégusteront amèrement que le sang frais, le crucifix pour les croyants, et que la lumière soit et la lumière fût ! La Sainte Bible prescription remède afin de brûler ces apostates créatures, c’était trop drôle comme réalisation, ne doutant pas une seconde de ce chef-d’œuvre fascinant hypnotisé vampirique, digne du splendide « Dracula 🧛�♂�1992 ». Allons-y avec réjouissance voir ces deux bâtons croix du milieu pour le repousser dans ses retranchés enfouies Christianophobiques. Thank you Sir pour votre sollicitation combattante anti-suceur d’hémoglobine, l’origine du mal est battue, luminosité vaincra sur l’ombre gothique en un plaisir cinématographique. Quelle joie de voir le jeune mari tracassé par son épouse contaminée sauvée de justesse, majordome de l’homme chauve-souris joué dans ce film. Le géniteur mordant de « Blade », « une nuit en enfer », « thirst ceci est mon sang », « Daybreakers » entre autre.