film dessin animé, conseillé aux gosses, pour les adultes c'est un vrai supplice...les gags sont lourds, faut s'accrocher pour tout regarder, on se demande qu’es que robert de niro fait la dedans...
Soyons clairs et mettons nous d'accord tout de suite : ce film est une merde ! On s'en aperçoit a peine le générique débuté. Ce film est chiant, sans rebonds, pas drôle du tout, et aux héros mal dessinés.
Mais si jamais la curiosité vous pousse à boire ou à fumer avant de le regarder... Vous allez y trouver une pure merveille. Le film changera litteralement de dimension. Et il vous apparaîtra comme un film animé pissant de rire, avec des situations plus absurdes les unes que les autres, avec des dialogues cultes, une voix-off débile et inutile à souhait, des personnages attachant et caractériels, et un Robert De Niro explosif dans le rôle du méchant qui veut gouverner le monde. Excellent film donc pour ma part, moi qui ai eu la chance de le voir pour la première fois non-sobre.
C'est de plus en plus officiel à chaque nouvelle expérience dans le genre : « live » et animation ne font décidément pas bon ménage (et qu'on ne me parle pas du lapin à salopettes, car c'est vraiment l'énorme exception à la règle!!). Des McAnuff avait pourtant pensé à une technique imparable pour que la formule fonctionne : signer un film ouvertement stupide et assumé comme tel, à base de jeux de mots affligeants, de scènes d'action cartoonesques et de caméos juste là pour amuser la galerie. À la limite, pourquoi pas. Encore fallait-il proposer autre chose que ce récit aussi délirant qu'indigent, mais surtout... jamais drôle. On peut retourner le problème dans tous les sens, durant plus d'une heure, ces gags très cour de récré ont dû m'arracher deux, trois sourires (en comptant large), me plongeant le reste du temps dans un embarras souvent total. Un léger mieux se fait toutefois ressentir dans le dernier tiers, un peu plus dynamique, un peu plus inventif dans sa dimension parodique afin de nous sortir vaguement de notre léthargie. La pauvreté (en partie volontaire) des effets spéciaux rendent le graphisme de Rocky et Bullwinkle assez sympa, la voix du premier étant une expérience quasi-éthylique. L'idée de se moquer ouvertement de la bêtise des programmes télévisés américains était également savoureuse, encore aurait-il fallu que le résultat ne le soit pas encore plus que ceux qu'ils dénoncent... Enfin, côté casting, Piper Perabo s'avère charmante face au cabotinage effréné du trio Robert De Niro - Rene Russo - Jason Alexander, le premier, spoiler: auto-parodiant même sa scène mythique de « Taxi Driver » , débutant plus ou moins à cette période son vertigineux effondrement artistique. Ce léger sursaut final compense un peu, me poussant à un semblant d'indulgence. Il est toutefois très relatif, démontrant une fois encore l'extrême difficulté de concilier deux techniques cinématographiques opposées, surtout lorsqu'on les met au service d'une comédie aussi pesante. Un gros échec artistique et commercial, hélas pas totalement immérité.
Comédie d'aventure fantastique, réalisée par Des McAnuff, Les Aventures De Rocky Et Bullwinkle est un long-métrage aussi déroutant que sympathique. L'histoire nous fait suivre Rocky, un brave petit écureuil volant, et Bulwinkle, un élan un peu niais, qui ont ravi les téléspectateurs pendant des années dans leur dessin animé. Seulement, après l'interruption de leur émission, les deux vedettes animées sont tombés dans l'oubli. Trente-cinq ans plus tard, le FBI décide de les tirer de leur retraire pour affronter leur ennemie de toujours, l'ancien dictateur de Pottsylvanie, Fearless Leader, qui tente de se faire élire à la présidence des Etats-Unis en zombifiant les habitants à travers leurs télévisions via des programmes abrutissants. Ce scénario nous embarque, pendant une heure et demie, dans une intrique totalement barrée mêlant monde réel et animé. On assiste tout du long de cette durée à une série de péripéties stupides donnant lieu à un enchaînement de scènes plus absurdes les unes que les autres. Si la première heure est légèrement redondante à la longue, la dernière partie parvient pour sa part à relancer l'intérêt qui commençait à légèrement disparaître. Derrière la légèreté et le ton drôle qui fait mouche à de nombreuses reprises, le récit traite tout de même en fil rouge de l'anti-communisme via son show télévisé et se veut être une satire de la télévision et d'Hollywood dans le monde des humains. Ce grand n'importe quoi, narré par une voix off enjouée, est porté par des personnages appréciables, à commencer par le binôme d'animaux. Ces deux êtres fictifs partent en mission avec l'intrépide Piper Perabo. Face à eux, on retrouve à la distribution Rene Russo et Jason Alexander qui campent les sbires de Robert De Niro qui incarne un antagoniste volontairement très caricatural. Son rôle audacieux est tout aussi surprenant que de voir également les visages de John Goodman et Woopi Goldberg. Tous ces individus hauts en couleur entretiennent des échanges amusants, soutenus par des dialogues et des quiproquos savoureux. Sur la forme, la réalisation de Des McAnuff s'avère de bonne facture. Surtout, sa mise en scène évolue dans deux univers très différents puisqu'on assiste à la rencontre entre le cinéma d'animation et celui des prises de vues réelles. Ce mélange fonctionne bien, notamment à la faveur d'effets spéciaux convaincants et d'environnements variés. Ce visuel saugrenu est accompagné de bout en bout par une b.o. très présente, aux compositions dynamiques, donnant encore plus de tonus aux scènes d'actions. Cette aventure loufoque s'achève sur une fin satisfaisante, venant mettre un terme à ce film décomplexé. Car oui, Les Aventures De Rocky Et Bullwinkle ne se prend jamais au sérieux et c'est tant mieux car il nous offre un métrage hautement distrayant, méritant grandement d'être découvert.
Bon alors c'est vite réglé ! Piper Perabo, Rene Russo et De Niro dans un navet bien concret qui se targue de loin de donner quelques ingrédients à la Roger Rabbit. Les Aventures de Rocky et Bullwinkle peut trouver probablement un intérêt aux rayons des enfants en bas âge, pour ce qui est de vous les adultes, ils vous reste à prendre le chemin d'une autre aventure en dehors de celle-ci.
Un film façon Roger Rabit ou Space jam avec l'innovation de la 3D, distrayant, mais pas sublime non plus. Le fond est intéressant mais pas spécialement subtile. L'avantage est qu'on peut regarder avec toute la famille. Le hic est probablement que je n'ai jamais connu cette animation auparavant.
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2,5
Publiée le 31 juillet 2011
L'histoire de "The Adventures of Rocky and Bullwinkle" donne un côtè kitsch assez ètonnant parce qu'on y voit un Robert de Niro dans la peau d'un mèchant très mèchant rèsolu à contrôler les mèdias! il doit faire face à deux stars amèricaines du dessin animè, l'ècureuil Rocky et l'èlan Bullwinkle! Basè d'une sèrie TV de Jay Ward, Des McAnuff signe un cocktail surprenant dans la lignèe de "Who Framed Roger Rabbit" de Zemeckis mais en moins bien puisqu'en 1988, il n'y avait pas les images de synthèses 3D qu'on a associè sur les comèdiens! A noter que les seconds rôles sont de qualitè puisqu'on trouve dans un même et seul film Renè Russo, Randy Quaid, John Goodman, Whoopi Goldberg et Billy Crystal! Sans oublier Bobby de Niro qui se paye le luxe d'être coproducteur du film...
Il y a quelques gags vraiment drôles et intelligents mais il faut bien ouvrir l'œil pour ne pas les rater au milieu des jeux de mots foireux et des prestations d'acteur honteuses (on est vraiment gêné pour Russo et De Niro). Le film n'est que péripéties à l'humour très lourd, chiant à regarder donc. A voir pour ceux qui doutent que "Qui veut la peau de Roger Rabbit ?" est un chef d'œuvre.
Vous vous souvenez des dessins animés "Rocky and His Friends" et "The Bullwinkle Show" ? Non ? C'est normal, moi non plus. Inédites en France, ces deux séries créées par l'auteur de "George de la Jungle" enchantaient les bambins américains dans les années 60. Aujourd'hui, ce n'est qu'un lointain souvenir kitch et ringard... Et c'est pourtant l'idée principale du scénario de cette adaptation live sortie en l'an 2000 ! Nos deux héros animés vont devoir rentrer dans le monde réel afin d'empêcher leurs pires ennemis de prendre le contrôle de la Terre grâce à leur nouvelle émission ensorceleuse. Okay, c'est pas terrible, ça flirte beaucoup avec Qui veut la peau de Roger Rabbit et l'humour infantile ne vole pas très haut mais force est d'admettre que cette auto-dérision est plutôt osée. Hélas, oscillant constamment entre humour niais et légère critique de l'industrie cinématographique américaine mélangée à cette nostalgie des vieux dessins animés oubliés, le long-métrage ne satisfera que les gamins nouvelle génération uniquement friands de gags balourds et d'action bas de gamme, chose dont regorge indubitablement le film. On applaudira donc la qualité de l'animation, l'intégration des personnages colorés dans le monde réel étant plutôt réussi, contrairement à l'horrible interprétation des protagonistes dits 'réels' à savoir Rene Russo, Jason Alexander, et même ce pauvre Robert De Niro, cabotinant ici à l'extrême (du jamais vu pour l'acteur). Toutefois, pris au jeu, on s'amusera volontiers des jeux de mots foireux de l'élan stupide Bullwinkle, des remarques acérées de son écureuil de compagnon Rocky et de quelques boutades cartoonesques. Inégal voire nanardesque, le film réussira à nous divertir un tout petit peu durant 1h20 ; c'est déjà ça.
Rocky et Bullwinkle sont apparemment les personnages d'une série animée américaine des années 60. Etant parfaitement inconnus en France, on n'a dès le départ aucune sympathie pour ces personnages ahuris de dessin animé, un écureuil bleu qui vole et un élan ahuri. L'histoire est très chiante à suivre, tellement niaise que c'est prendre les enfants - les destinataires j'imagine - pour des abrutis, les acteurs surjouent dans la débilité, les gags sont lourdingues et c'est tout sauf drôle. S'ils ont voulu faire un nouveau Roger Rabbit, c'est raté. On se demande ce que De Niro est venu faire dans un navet pareil. Et puis il faut supporter la voix nasillarde de Laurence Badie, très irritante et pas adaptée au personnage. A éviter.
Il est difficile pour nous français de juger un film basé sur des héros que seuls les Etats-Unis connaissent ! Néanmoins, nous pouvons dire qu'en soit le film ne vaut pas grand chose et que l'ennui apparaît dès la première demi-heure : mais le rôle tenu par Robert de Niro est suffisamment bien mené pour que le film ne se classe pas dans la plus parfaite nullité. Le casting dans son ensemble reste assez audacieux ! Aussi, et parce que je considère que cette adaptation est destinée aux enfants, le film mérite 2.5 / 5 ! Pas moins mais pas plus...
un soir j'ai vue un esprie . il ma dit " tu vas mourir " est il a disparue . maintenant que vous avez lu sa vous aller mourir dans 3 jours exactement sauf si vous mettez sa sur 50 video, c'est pas de moi
Franchement j'ai jamais accroché aux cartoons américains mais ce film basé sur des soi disant personnages de dessin animé connu aux usa et très inconnu en France m'a fait encore plus détester les séries animées made in USA. L'histoire est heureusement compréhensible grâce au narrateur mais ça tourne souvent en rond. Les seuls points positifs sont les hilarantes quiproquos entre les héros et les méchants acolytes de Fearless Leader Boris et Natacha , et notamment une petite liste de guest stars que vous pouvez apercevoir tout au long du film comme Randy Quaid ou les célèbres comiques américains Jonathan Winters connu pour ses hilarantes prestations dans le show télé culte de Johnny Carson et Carl Reiner qui est l'un des fidèles acolytes de Steve Martin et Mel Brooks pour d'autres films. Et que foutait De Niro dans son propre navet!!