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Votre avis sur Last Night in Soho ?
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Un vrai moment de cinéma : audacieux, fascinant, effrayant... Un thriller horrifique qui sait ménager ses effets et tient en haleine, porté par deux actrices sublimes et une réalisation somptueuse.
Voilà un film qui interpelle : ça commence comme un récit gnangnan pour se terminer en film d’horreur très gore. Manifestement, le scénario est malin, et on applaudit à la façon de filmer, à la bande son au top et aux acteurs irréprochables. Seulement j’ai toujours eu du mal avec les scènes d’horreur, même si ici il faut reconnaitre une certaine réussite. Et la plongée crue dans les boites de Soho à Londres est également réussie. Un film pour amateurs de ce genre.
Belle petite découverte avec Last Night in Soho, même si je n'ai pas été aussi charmé que certains. Pour commencer par les énormes points positifs, les actrices sont bluffantes et l'esthétique du film est impressionnante. La mise en scène est super tapageuse et donne un rythme effréné à Last Night in Soho, une oeuvre enivrante et qui ne ralentit jamais. Le tout est en plus très bien accompagné par la musique rétro. Le mélange des genres est en plus très réussi, à mi-chemin entre un film pour ados et un thriller psychologique. Mais pour en arriver sur les points négatifs, je trouve justement que le côté thriller se fait un peu trop ressentir. Le quotidien d'Eloise n'est au final qu'en second plan et Edgar Wright n'a à aucun moment plus envie que ça de traiter de son mal être dans son école. Les visions horrifiques sont tellement présentes qu'elles ne me faisaient même plus peur, en plus de freiner constamment les évènements présents. La parfaite illustration de ça est la relation amoureuse entre Éloïse et le garçon (sorry j'ai oublié son nom), qui aurait pu être mignonne mais qui ne décolle jamais vraiment. Bref, Last Night in Soho reste un bon film à mes yeux principalement grâce à sa mise en scène dantesque, mais je trouve que Wright a vraiment forcé sur les "flashbacks". Le film aurait peut être mérité d'être un peu plus long pour laisser respirer l'intrigue dans le présent.
Ca commence comme un drame, puis on tombe dans le fantastique, puis l'épouvante, pour tomber dans le thriller et finir comme un film d'horreur façon slasher. Le tout donne un ensemble original et un film captivant, voir envoutant dans sa première partie. La dernière partie est la moins intéressante, plus conventionnelle et sans surprises.
Sinon le film est bien réalisé avec de bons acteurs, un scénario plutôt bien écrit et une atmosphère qui ne manque pas d'originalité et de saveur.
Sinon le film est bien réalisé avec de bons acteurs, un scénario plutôt bien écrit et une atmosphère qui ne manque pas d'originalité et de saveur.
Un très bon film, sauf que ce n'est pas seulement un film d'horreur. Je dirais plutôt un mélange d'horreur de fantastique et de thriller. Sinon l'histoire est originale, l'esthétique visuelle est soignée, les 2 actrices principales sont parfaites. J'ai aussi apprécié le dénouement que je n'avais pas vu venir.
Vous passerez un bon moment.
Vous passerez un bon moment.
impressionnant! un thriller musical! je n'aurai jamais imaginé un tel style, vraiment la première fois que je vois un film avec ces 2 faces : la musique, la danse, le chant; et un thriller vibrant jusqu'au gore (teinté de références au genre bien daté des années 60/70. un très bon travail pour toute l'équipe !
Un drôle de voyage entre le swinging London et celui d'aujourd'hui. On est plongé dans cette histoire vite mystérieuse et envoûtante. Comme beaucoup de films d'Edgar Wright, le film est malin et astucieux, mais n'arrive pas à "dramaturger" son histoire. On aurait du être plus effrayé, plus dans la tête de l'héroïne, plus dans les enjeux. Au lieu de ça, on est dans un film de petit malin, avec une bande son reorchesté chaleureuse (une reprise de I got my set on you de George Harrison , version sixties). Le film se fait même répétitif quelque peu. Un mot pour citer le charisme absolu d'ana Taylor Joy qu'on suit, elle, avec passion.
FaRem
« Londres peut être éprouvant. » C'est peu de le dire et la jeune Eloise va en faire la difficile expérience. Cette dernière se rend dans la capitale pour poursuivre son rêve de travailler dans la mode, mais rien ne va se passer comme elle l'avait imaginé, car elle a l'impression de ne pas être à sa place. Fan des années 60, Eloise va avoir l'occasion de se rendre à cette époque, qui elle aussi n'est pas toute rose. Les premiers moments dans l'ancien Londres sont pourtant absolument magiques. On en prend plein les yeux grâce à la manière de filmer d'Edgar Wright et surtout la reproduction d'époque. Émerveillée, Eloise est bercée d'illusions qui vont se transformer en désillusions lorsqu'elle réalise où elle a mis les pieds. La frontière entre rêve et réalité se brouille seulement, ce n'est pas le retour à la réalité qui est brutal, c'est la réalité du rêve qui l'est. Le réalisateur nous plonge dans deux mondes aussi cruels l'un que l'autre. Avec un background bien développé, Edgar Wright propose un film à l'univers riche et à l'esthétique soigné avec également une très bonne bande-son. Un voyage en quelque sorte, entre les époques avec une petite enquête et une existence menacée par des fantômes du passé. Ce n'est pas le meilleur Edgar Wright, mais "Last Night in Soho" m'a fait passer un bon moment.
Alors là wow !
Du début à la fin c'était une véritable aventure psychologique penchant dans le paranormale accompagnés de musiques fantastiques !
Le casting et le jeu d'acteur est incroyable et le film possède de nombreux twist qui nous fascinent même une fois que nous voyons les crédits.
Je ne peux que recommander !
Du début à la fin c'était une véritable aventure psychologique penchant dans le paranormale accompagnés de musiques fantastiques !
Le casting et le jeu d'acteur est incroyable et le film possède de nombreux twist qui nous fascinent même une fois que nous voyons les crédits.
Je ne peux que recommander !
Nouveau film d'Edgar Wright, "Last Night in Soho" propose un retour nostalgique sur une époque bien particulière. Si j'avais un peu peur de voir le cliché du long-métrage nostalgique par défaut, comme on en voit beaucoup aujourd'hui, j'ai été assez surpris de la direction prise par le film. À part le synopsis et le casting, je ne m'étais absolument pas renseigné sur le projet, dans l'optique de pouvoir me laisser la surprise au visionnage. J'y ai donc découvert un film extrêmement surprenant, et qui va surtout osciller entre différents styles, de manière plutôt intéressante. Tout le début du film va débuter d'une façon assez classique, on a même l'impression de voir un teenage movie, même si celui-ci est très bien réalisé. Mais par la suite, on va nous faire explorer un univers un peu plus fantastique. Pour finalement, finir avec un dernier acte qui mélange l'horreur et le thriller. Ses différents changements de ton peuvent paraître un peu forts sur le papier, mais tout est parfaitement maîtrisé et permet de toujours maintenir le spectateur en haleine. On ne s'ennuie absolument jamais, la gestion du rythme étant l'une des grandes spécialités du réalisateur. Tout est mis en œuvre pour vous maintenir éveillé, visuellement surtout, tant l'ambiance du film passe par les choix de mise en scène ou de photographie. C'est très étudié, j'ai beaucoup apprécié les mélanges assez singuliers de couleur par exemple, ceux-ci allant de l'éclairage rural très bien retranscrit, à des couleurs néon donnant une atmosphère spécifique à chaque scène. On est donc vraiment pris dans le film, du début à la fin. Une fin qui est d'ailleurs vraiment surprenante, et dont je n'avais absolument pas vu venir le dénouement ! C'est très impressionnant comment le récit est géré, bien que je sois un peu déçu que le concept de base du film ne soit pas un peu plus expliqué. Mais cela reste une déception vraiment minime, ce n'est que du chipotage, car l'ensemble est bien plus que correct. Je vous recommande donc vivement le film, vous allez passer un bon moment. Pour conclure, un film qui sait faire tenir en haleine.
"Last Night In Soho", film britannique réalisé par Edgar Wright, sorti en 2021.
Avec Thomasin McKenzie (déjà vue dans "Jojo Rabbit") et la célèbre Diana Rigg, dont ce fût le dernier rôle.
Un film décevant, car très bien réalisé, avec un magnifique graphisme, une magnifique photo, et une très belle esthétique générale. Une belle plongée dans le Londres des années 60 ... qui se termine hélas en simple film horrifique. Dommage.
Avec Thomasin McKenzie (déjà vue dans "Jojo Rabbit") et la célèbre Diana Rigg, dont ce fût le dernier rôle.
Un film décevant, car très bien réalisé, avec un magnifique graphisme, une magnifique photo, et une très belle esthétique générale. Une belle plongée dans le Londres des années 60 ... qui se termine hélas en simple film horrifique. Dommage.
Mise en place de l'intrigue un peu compliqué au début. Mais finalement le twist final et vraiment efficace. On bascule dans l'horrifique.
Edgar Wright s'est fait plaisir avec une atmosphère très réussie du Londres des années 60 et de beaux plans. Le scénario est original et intriguant mais pourra effrayer les moins téméraires dans sa seconde moitié. Le plus étrange c'est que le pouvoir de l'héroïne (qu'on connait dès le début du film) de voir des proches décédés n'est pas tant exploité que cela et part sur un concept plus élargi.
Depuis Ghostland et Midsommar, je n'avais pas vu un film aussi prenant. Un chef d'œuvre à tous les niveaux (casting, image, bande son épatante, scénario et effets spéciaux). Une histoire entre le fantastique et l'horreur (scènes vraiment impressionnantes), qui tient en haleine jusqu'au bout. Terence Stamp icône du cinéma britannique est parfait et énigmatique, quant à Diana Rigg (inoubliable Emma Peel), elle joue dans un rôle ou l'on ne l'attend pas. Le final semble être un clin d'œil au "Rebecca" d'Hitchcock. Une grand cru.
Last Night in Soho est un film réalisé co-écrit par Edgar Wright et sorti en 2021. L’histoire se déroule au Royaume-Unis et suit les péripéties d’Eloise Turner, jeune étudiante en mode qui arrive à Londres pour poursuivre ses études. A son plus grand malheur, elle se retrouve bientôt dépassée par cette nouvelle vie qui la mine. En colocation difficile, Eloise Turner, jouée par Thomasin McKenzie, se décide à déménager chez une vieille dame qui lui propose une chambre de bonne.
Subjuguée par le lieu, Eloise se retrouve bientôt happée dans le Londres des années 60 où elle incarne une danseuse qui cherche à faire ses preuves. Cependant, ce fantasme dont on ne saurait pas capter la réelle matérialité va bientôt se transformer en véritable cauchemar dont elle ne pourra s’échapper…
Faire une critique objective de ce film est compliqué à tel point que certains éléments fonctionnent et d’autres pas, on se retrouve dans un film intéressant mais inégal sur certains aspects au point d’en être frustrant.
Le film possède de nombreux points positifs qui font qu’il est agréable à regarder : L’ambiance, la narration, les effets spéciaux, les plans et l’idée de base est juste excellente. Les thèmes abordés permettent au film d’être suffisamment marquant et de pouvoir apporter son message de façon convaincante tout en étant moderne.
La découverte de ce monde parallèle est particulièrement intéressante, et on se sent particulièrement attaché au personnage principal et ce qu’il vit, un peu à la manière de ce qu’un film comme Coraline aurait pu faire.
Je pense que là où le film commence à pêcher lourdement c’est dans sa deuxième partie, qui m’a personnellement permis de réaliser les défauts de ce film.
->La vacuité de presque tous les personnages secondaires. Ce sont des personnages unidimensionnels qui n’évoluent pas et n’ont pas de volonté propre. Cela se ressent dans leurs écritures et leurs dialogues qui donnent un côté netflix au film.
->La bully du film est une bully, elle va le rester jusqu’à la fin et aura des répliques dignes de méchantes de Disney Channel.
->Le copain d’Eloise est littéralement la définition parfaite du Manic pixie dream boy et n’évolue pas lors du film ou ne contredit jamais l’héroïne, il est écrit pour être plat et c’est bien dommage.
Justement, c’est car le film n’arrive pas à présenter correctement ses enjeux moraux et scénaristiques qu’il en devient redondant. Là où justement pour les téléspectateurs il faut savoir ce qui est réel et faux aurait dû être tout l’intérêt de l’intrigue, on ressent que le film peine à se renouveler et finit par présenter une Éloïse, totalement désabusée et malade mentalement sans que cela soit réellement convaincant. spoiler: On se retrouve dans une deuxième partie du film qui peine à suspendre au-delà de screamers ou d’éléments d’intrigues qui n'apportent rien à l’histoire. Le plot twist est correct, mais je n’ai pas personnellement réussi à me sentir passé par le sort de la grand-mère, ni de cette happy-end en scène finale qui n’apporte littéralement rien à l’intrigue à part de mieux remplir cette formule de teen movie.
En somme, je conseille tout de même « Last night in Soho », mais je regrette cependant ces aspects « teen movie » qui rendent ce film plus « secure »d’un point de vue financier, mais aussi plus fade. Il faut reconnaître que l’idée de base du film marche tout de même très bien.
Subjuguée par le lieu, Eloise se retrouve bientôt happée dans le Londres des années 60 où elle incarne une danseuse qui cherche à faire ses preuves. Cependant, ce fantasme dont on ne saurait pas capter la réelle matérialité va bientôt se transformer en véritable cauchemar dont elle ne pourra s’échapper…
Faire une critique objective de ce film est compliqué à tel point que certains éléments fonctionnent et d’autres pas, on se retrouve dans un film intéressant mais inégal sur certains aspects au point d’en être frustrant.
Le film possède de nombreux points positifs qui font qu’il est agréable à regarder : L’ambiance, la narration, les effets spéciaux, les plans et l’idée de base est juste excellente. Les thèmes abordés permettent au film d’être suffisamment marquant et de pouvoir apporter son message de façon convaincante tout en étant moderne.
La découverte de ce monde parallèle est particulièrement intéressante, et on se sent particulièrement attaché au personnage principal et ce qu’il vit, un peu à la manière de ce qu’un film comme Coraline aurait pu faire.
Je pense que là où le film commence à pêcher lourdement c’est dans sa deuxième partie, qui m’a personnellement permis de réaliser les défauts de ce film.
->La vacuité de presque tous les personnages secondaires. Ce sont des personnages unidimensionnels qui n’évoluent pas et n’ont pas de volonté propre. Cela se ressent dans leurs écritures et leurs dialogues qui donnent un côté netflix au film.
->La bully du film est une bully, elle va le rester jusqu’à la fin et aura des répliques dignes de méchantes de Disney Channel.
->Le copain d’Eloise est littéralement la définition parfaite du Manic pixie dream boy et n’évolue pas lors du film ou ne contredit jamais l’héroïne, il est écrit pour être plat et c’est bien dommage.
Justement, c’est car le film n’arrive pas à présenter correctement ses enjeux moraux et scénaristiques qu’il en devient redondant. Là où justement pour les téléspectateurs il faut savoir ce qui est réel et faux aurait dû être tout l’intérêt de l’intrigue, on ressent que le film peine à se renouveler et finit par présenter une Éloïse, totalement désabusée et malade mentalement sans que cela soit réellement convaincant. spoiler: On se retrouve dans une deuxième partie du film qui peine à suspendre au-delà de screamers ou d’éléments d’intrigues qui n'apportent rien à l’histoire. Le plot twist est correct, mais je n’ai pas personnellement réussi à me sentir passé par le sort de la grand-mère, ni de cette happy-end en scène finale qui n’apporte littéralement rien à l’intrigue à part de mieux remplir cette formule de teen movie.
En somme, je conseille tout de même « Last night in Soho », mais je regrette cependant ces aspects « teen movie » qui rendent ce film plus « secure »d’un point de vue financier, mais aussi plus fade. Il faut reconnaître que l’idée de base du film marche tout de même très bien.
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