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    Last Night in Soho
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    Lilicot
    Lilicot

    4 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2021
    Une intrigue originale et prenante. Film à tiroirs interprété par des acteurs talentueux. Beaucoup de plaisir à se replonger dans l'ambiance musicale des années 1960.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 novembre 2021
    Bonjour a tous 🙂 tout(es) je ne peux comprendre votre indignation les hommes notables de leur communauté se sont fait sauvagement assassiné par cette vulgaire nymphomane qui en plus a reçu la somme de leur heure supplémentaire de travail alors aujourd'hui on peut plus boire on peut plus s'accoupler on peut plus rien faire ! cordialement votre 🌹
    Thomas Dehaudt
    Thomas Dehaudt

    13 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2021
    Film correct, gros point triste du film, Ces pauvres hommes honnêtes qui se font assassiné lâchement par une dames qui n'a plus toutes sa tête et qui plus est à étais payé pour des prestations qu'elle n'a point servie. Cerise sur le gâteau, cette dernière en profite pour assassiné ces personnes au lieu d'assassiné directement le principal concerné ça aurait d'ailleurs pû raccourcir ce contenu cinématographique.
    Maud Vbg
    Maud Vbg

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 novembre 2021
    Mon mari a tapé la meilleure sieste de sa vie devant ce film, ce dernier aura au moins servi à cela. Tout est tellement prévisible... L'idée initiale est bonne mais il aurait fallu amener les choses différemment. Les images sont néanmoins belles mais on n'arrive pas tellement à entrer dans le film... J'ai regardé ma montre a plusieurs reprises, attendant le moment d'action.
    charles_films
    charles_films

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 novembre 2021
    Commençons, ce film est époustouflant du début à la fin avec une atmosphère qui nous tient du début à la fin, le scénario est très convaincant !
    Les acteurs sont très bons, les musiques du film nous emmènent dans un époque qui nous permet de voyager dans une époque qui paraît lointaine, le réalisateur à réaliser un film ingénieux et innovateur dans le genre !
    A voir absolument sans hésiter
    labadens
    labadens

    13 abonnés 242 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2021
    Approuvé comme un génie sans faille après sa trilogie Cornetto ("Hot Fuzz" , "The World's End" ), mon rapport à Edgar Wright est peut-être inutilement complexe, mais j'ai commencé à prendre mes distances avec le bonhomme lorsqu' à débuté sa période américaine. J'apprécie sans plus "Scott Pilgrim VS The World" que je trouve visuellement fascinant, mais qui, malgré mon amour du jeu vidéo, me touche un peu, mais sans plus. L'objet de la discorde fut "Baby Driver" dans lequel je ne me suis jamais senti investi et où je trouvais qu'il employait son style de la manière la plus forte possible afin de ne pas être dépassé par un genre de films où il faisait ses premières armes.

    Me faisant ensuite la même réflexion rétrospectivement sur "Scott Pilgrim", j'ai commencé à me façonner une image imparfaite de ce cher Edgar : il a un style propre à lui, avec son travail minutieux du cadre et du rythme, sublimé par son amour de l'utilisation de la musique préexistante pour composer des instants forts. Avec ce style, il a envie d'explorer des genres cinématographique multiples pour poser sa patte dessus (déjà le cas sur la trilogie Cornetto), mais ,depuis 2 films et notamment "Baby Driver", je trouve qu'il pousse son style jusqu'à la surcharge, pour cacher certaines faiblesses de scripts et s'assurer que oui, ce sera bien un film d'Edgar Wright, et non pas un film geek ou un film de braqueurs "par Edgar Wright".

    Mon assottement est ainsi devenu un peu fade, et malgré le retour d'une histoire intégralement tournée en Angleterre, je n'avais aucune attente pour "Last Night In Soho", et n'étais pas plus motivé que ça à voir le film. Mais maintenant nous y sommes, je l'ai vu, et je vais essayer de retranscrire comment j'ai vécu cette expérience d'Edgar Wright s'essayant au genre du thriller horrifique.

    Jouant sur notre conflit avec la nostalgie dans notre époque bien triste et abreuvée de technologie, la première partie du film est une grande réussite qui m'a engagé avec ferveur. Dès la première scène, le style de Wright explose et on comprend tout ce qui traverse la vie d'Eloise, campée par une Thomasin Mckenzie en puissance. Froid et pessimiste face à notre monde actuel, Wright joue sur sa promesse et nous fait attendre le moment où le passé fera son entrée. Une fois transporté dans les années 60, le film devient tout simplement sublime, combinant avec intelligence le travail du mouvement, de la couleur, de la lumière, sans omettre les effets spéciaux , que j'ai trouvé assez simples mais impressionnants.

    La découverte de Sandy (Anya Taylor-Joy, toujours aussi talentueuse ) mettra en place le pont entre les époques, qui nous fera comprendre progressivement qu'aucune période n'est parfaite, que la nostalgie n'est parfois qu'une illusion construite sur un fantasme ( soit de ce qu'on a oublié, soit de ce qu'on aurait voulu connaître) et qu'il faut faire le tri entre le pire et le meilleur.

    Inutile de développer sur l'aspect visuel, c'est tout simplement sublime : mélangeant les couleurs avec intelligence, plaçant de discrètes références aux Giallos et même à l'enfer de Clouzot le temps de quatre secondes, reconstituant le passé avec brio, le travail des décors et des costumes n'étant pas en reste, Wright est comme toujours présent en force et son style ne lui fait pas défaut. Toutefois, par moments , je songeais à Mario Bava dans ce que celui-ci a réalisé de plus médiocre ...

    Cette critique, dont le pessimisme s'accentue scène après scène, aurait pu continuer dans cette voie tout en équilibre, mais la deuxième partie du film pointe maintenant le bout de son nez pour nous rappeler qu'on a payé pour un film d'horreur. Vous le voyez peut-être venir, mais c'est là que pour moi le film baisse drastiquement en qualité et que mes griefs envers ce cher Edgar sont revenus en force. Jouant sur un chaos psychologique de plus en plus insistant, les bonnes idées se répètent encore et encore sans proposer du neuf.

    L'apocalypse des couleurs forme une compote de plus en plus indigeste, les effets de style de l'horreur s'empilent, et la musique s'enchaîne dans un bazar constant. Il en va de même pour le propos féministe du film, qui bien que subtil en première partie, pourra finir par en laisser certains perplexes tant il peut devenir maladroit dans son traitement. Le film avance, et ne devient qu'un film d'horreur essayant d'être aussi efficace qu'un "Conjuring" .

    Cette partie horrifique fonctionne finalement bien peu, tant, encore une fois, Wright gonfle son style pour être sûr que ça passe, tuant à petit feu ce qui a été construit avant. Les hommages perdent en valeur, le propos devient confus, son style est de moins en moins percutant et la subtilité s'écroule jusqu'à atteindre un instant de dialogue ridicule que je ne prendrais même pas la peine d'expliquer, même pas en section divulgâche.

    "Last Night In Soho" relève mon appréciation pour Wright avec sa première heure qui dépasse de loin sa période américaine, mais ma déception grandissante pour la deuxième heure ne me fera pas accorder le pardon. Je resterai donc sur mes opinions concernant ce génie "infaillible" dont j'aimerais apprécier les films sans être parasité par toutes les craquelures qui compose ses dernières œuvres.
    Kristen Karlsson
    Kristen Karlsson

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2021
    Techniquement très réussi, un casting impeccable, une reconstitution des sixties incroyable. Mais le film ne tient pas toutes les promesses de la bande annonce, ceci dû à quelques longueurs. Mais on se laisse volontiers emporter par l'ensemble.
    AlexandCalyDiCapio
    AlexandCalyDiCapio

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    whoua quelle splendide travail. Jack me rappel celui de Titanic ou encore avata bon visionnage
    Sam Cordier
    Sam Cordier

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Une perfection, ni plus, ni moins ! Un excellent film à regarder seul ou (mieux) en couple. Un véritable chef d'oeuvre !
    titouhbk
    titouhbk

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    un ovni magnifique, pour un thriller horrifique... graphiquement splendide, un concept génial
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    179 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    J'ai adoré le film. Tout est maîtrisé de bout en bout. J'ai été pris par le film et n'en suis jamais sorti jusqu'à la fin. Le scénario est prenant et bien écrit. J'adore la façon dont on plonge pas à pas vers la folie et la façon dont le basculement psychologique s'opère. Tous les éléments sont amenés petit à petit en montée crescendo au niveau de l'intensité et du côté horrifique. On est plongé au coeur du quartier Soho d'aujourd'hui et surtout des années 60, avec une vision de la ville bien loin de ce qu'on imagine d'elle à cette époque.
    J'ai trouvé la photographie magnifique, des lumières très nuancées, et une ambiance rougeâtre elle aussi utilisé de façon pertinente et sublime.
    La mise en scène est riche, les scènes de transitions entre les 2 époques et les crises de folie sont hyper bien pensées et mis en image par un montage précis et terriblement efficace. La musique joue également son rôle, surtout pour les scènes de l'époque 60.
    Le casting est brillant, et les actrices Thomasin McKenzie et Anya Taylor-Joy sont très convaincantes et magnifiques à l'image. Il y a juste un petit détail qui me gêne chez l'actrice Anya Taylor-Joy et je l'avais déjà remarqué dans Le jeu de la Dame. Elle doit avoir un problème de circulation au niveau des mains, mais elle a souvent les mains rouges... ce qui se voit énormément à l'image (encore plus dans la vie réelle lorsque le dessus de ses mains ne sont pas maquillées) mais ici même maquillée cela se voyait et casse un peu du coup le glamour du personnage qu'elle incarne. Je pense que cela pose un vrai problème pour les chefs opérateurs et maquilleuses sur les tournages... c'est un détail esthétique mais qui malheureusement se voit. Ce qui n'enlève rien au talent de l'actrice, qui une nouvelle fois dans ce film prouve son incroyable palette de jeu et de séduction.
    Et enfin le twist final, bien que légèrement trop explicatif et verbieux, est efficace et non prévisible. Ce qui donne encore plus de force au récit et au film. Un excellent film qui m'a semblé très peu mis en avant pour sa sortie alors qu'il mérite pourtant un succès bien plus important, de par sa qualité à quasi tous les niveaux artistiques.
    jlbabelaere
    jlbabelaere

    8 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Du grand n importe qui qui ne correspond en rien aux 4 étoiles attribuées. On n a jamais peur ce qui est un comble pour un film d horreur. Un scénario peu compatible pour ce genre de film dans la mesure où la remontée dans le temps n apporte rien de particulier.seul bon point les musiques des années 60....ha et puis deux personnes ont quitté la salle avant la fin du film ce qui est plutôt rare au cinéma.
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Il n’y a plus rien à prouver du côté d’Edgar Wright et pourtant, son style continue de fasciner. Le temps de la trilogie Cornetto est loin derrière lui et le cinéaste ne peut pourtant pas s’empêcher de jeter un œil derrière son épaule. La nostalgie aura sa part du gâteau et du spectacle dans sa derrière œuvre, sorte de continuité à son « Baby Driver », où il fait danser sa playlist au montage. Il repousse de nouveau les limites de son rythme enjoué, mais pour justement aborder le contrepied de cette euphorie, qui fait à la fois sa fortune et sa perte. Secondé par Krysty Wilson-Cairns (1917) au scénario, il façonne son récit entre deux mondes, qui se répondent spirituellement et qui partagent une douleur, plus proche du physique et du mental.

    Eloise (Thomason McKenzie) est une héroïne que l’on connaît suffisamment pour comprendre qu’elle va trébucher et gaspiller de l’effort afin de subsister au-delà de son patelin rural, qui n’a rien à voir avec la capitale londonienne. L’apprentie téméraire styliste se fait marcher dessus par ses camarades, la poussant à s’isoler dans le quartier de Soho, sorte de bulle temporelle des sixties. Et c’est à partir de là qu’on verra venir le cinéaste britannique, prêt à démontrer son amour profond à cette période et à la ville. Comme Eloise, il fantasme sur le passé et nous donne l’occasion de l’explorer à travers les yeux de cette dernière, ne sachant plus distinguer le rêve du cauchemar. La limite s’expose donc un peu plus lorsque la demoiselle évolue dans un labyrinthe référencé, de Clouzot à Argento, en passant par Polanski. Un jeu de symboles et de teintes nous renvoie à d’autres œuvres, dont on rend hommage avec une aisance mortelle.

    Malheureusement, il existe un petit remous dans ce vertige. Techniquement impeccable et implacable, il continue de surprendre avec des effets les plus simples et les plus fantasmagoriques, en pensant fortement à une scène de danse, au zénith de son art. Mais lorsqu'on apprend qu'il souhaite investir les codes de l'horreur, avec le prisme musical qui l'anime, on attendait quelque chose de spécial et de personnel. C’est le cas, c'est un film d'auteur assumé, qui s'embourbe un peu trop dans sa mise en scène et autres jeux de miroir sur-explicatifs. Le frisson n'est pas toujours de rigueur, même s’il y a quelques situations qui ne manquent pas de filer les chocottes pour autant. Ce genre d’avertissement s’adresse autant à notre époque, qui sirote la vibe des années 80 jusqu’à en perdre nos repères et la raison. C’est ce qui arrive à Wright, décidant de passer outre cette barrière dans le but d’expérimenter, encore et encore. Le pari blesse alors plus souvent qu’à l’accoutumer, passé la première partie, aguicheuse et envoûtante.

    Sandie (Anya Taylor-Joy), incarne ainsi le glamour qu’Eloise choisit comme modèle d’étude et comme modèle féminin. C'est l'histoire de femmes actuelles et de la misogynie qui sévie entre deux époques colorées, mais surtout d'une passion, celle d'une ambition toxique et amère, dans le showbiz de la chair féminine. Ce n’est pas Matt Smith ou ses homologues masculins qui gagneront à hanter ces « promising young women », elles-mêmes devenues leur propre fantôme, si l’on a constamment un coup d’avance sur les protagonistes. Le message est alors flou ou tapi dans l’obscurité, faute d’une écriture exigeante pour un scénario plus complexe. Les freins se superposent ainsi, jusqu’à ce que « Last Night In Soho » devienne aussi anecdotique que honteusement psychédélique.
    Mathilde Herbin
    Mathilde Herbin

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Ce film est un réel chef d'œuvre, le scénario est vraiment incroyable, j'ai été prise d'émotion du début jusqu'à la fin.
    Mr Justice
    Mr Justice

    7 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    Une première partie de haute voltige, une deuxième beaucoup plus quelconque mais conserve néanmoins son esthétisme brillant.
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