Les thématiques sont bien intégrées quoique parfois un peu fourre tout et brouillon. J’ai parfois décroché mais la proposition reste très intéressante. Un beau coup d’essai.
Je ne comprends pas les mauvaises critiques, ce film pourtant clairement son propos, son message, sa morale. Peut-être l’avait vous regardé en VF et les dialogues étaient différents. Ce film est beau et réussi par des séquences burlesques à nous faire passés un beau message. En dépit de tous les regrets et choses qu’on aurait pu être, pu faire, embrassons le moment présent et toutes les personnes qui nous épaulent et partagent notre vie car malgré que vous auriez pu être une célébrité adoré de tous dans un autre univers, dans celui-là vous n’avez pas un mari et une fille qui vous aime et qui constitue ce qui est votre famille.
Certains ont crié (très fort) au génie devant ce film, moi je n'ai vu qu'un tissu d'absurdités incohérentes, une image laide et une narration soporifique. Faut-il parle de l'interprétation ? J'ai rarement vue Jamie Lee Curtis aussi mauvaise. Quand je pense que Clouzot nous disait "Un bon film c'est d'abord une bonne histoire ! Le pauvre doit se retourner dans sa tombe. Ah j'oubliais, j'étais content de voir Jenny Slate au générique, une actrice que j'adore ! Tu parles, on ne la voit que 5 minutes. Je vous dis rien ne va !
J’ai rarement vu un truc aussi farfelu. L’histoire ne m’a pas plu, c’est beaucoup trop perché. Par contre il y a quelques scènes d’action divertissante et rigolote. On est aussi bien pris par ce récit survitaminé (c’est le moins que l’on puisse dire !), en espérant toujours comprendre quelque chose ou deviner la fin. En fait il n’y a rien à comprendre c’est juste un immense immense délire.
On a dit tellement de bien de ce film que cela m'a donné envie de le découvrir. Quelle déception ! Ça part dans tous les sens, sans véritable ligne directrice, sauf à la fin. Les genres sont mêlés, entre le kung fu, la satire sociale, le drame familial... On ne donne pas les outils au spectateur pour qu'il entre pleinement dans l'intrigue. La 1ère partie m'a semblé longue et confuse et j'attendais la deuxième pour mieux comprendre, mais ça a été pire. Je suis resté jusqu'au bout par respect pour ceux qui ont fait ce film, mais j'ai failli couper plus d'une fois. Ce film est à réserver à un certain public, celui qui a compris le film "The Fountain" et la fin de "2001, l'odyssée de l'espace".
Un déballage d'idées inintelligent, encore un de ces films "casse-tête" qui cache une absence totale de profondeur par des couches littéralement croulantes (histoire de s'assumer) de fioritures. Grossier, pseudo-intellectuel, pataquès à souhait... et on nous balance comme bien souvent une "vue de l'extérieur" de ce qu'est l'âme de la communauté asiatique, ça sent grave le toc... on sent pourtant que les têtes d'affiche impliqués dans le casting ont envie d'y croire. Tout ça pour nous dire "Attention, y a un message, le multivers vous parle du fin fond de son trou noir en forme de donut bordé de chocolat", le tout étant de ne pas le voir nu. Ceux qui n'auront pas lâcher l'allégorie interstitielle pourront s'autocomplairent en fins-gourmet de ce navet métaphysique.
Malgré des acteurs talentueux et l'esthétisme de certaines scènes, on a du mal à suivre le fil de l'histoire qui ressemble souvent à un rêve sans queue ni tête ! Un exemple que le ridicule peut tuer un film. Dommage !
Oui, c’est bien vrai, ce film bourré de qualités, relève d’abord de science-fiction, mais encore de fantastique et de comédie dramatique et même de Kung-Fu ! Une belle profusion, que l’on retrouve déjà dans le titre, qui est une sorte de résumé du scénario, et du thème, comme on voudra. Inspiré de l’œuvre de Hugh Everett, physicien et mathématicien américain, et de son multivers quantique, les personnages sont confrontés à cette trame infinie des univers chacun légèrement en décalage avec ses voisins, suivant le principe que plus on s’éloigne d’un univers donné et plus les différences s’accentuent. Ensuite, il y a cet autre principe, celui de « sauter » d’un univers dans un autre, inspiré de lama Darjeeling et son essai « Changer d’univers ». Et, comme je le disais, la profusion du titre annonce celle du scénario, avec des changements, des sauts constants d’un univers dans un autre, l’essentiel de l’intrigue consistant à naviguer au bon endroit, au bon moment, quand on le peut ! Donc, un récit fantastique, bourré de surprises, de jeux d’humour, de drames, de conflits, où les acteurs (Michelle Yeoh, Stephanie Hsu, Ke Huy Quan, James Hong, Jamie Lee Curtis...) interprètent leurs personnages avec brio et auxquels on s’attache très vite. J’ai adoré ce film qui vous propulse, vous chahute, vous étonne, vous sidère, vous transporte en un kaléidoscope infini, dans tous ces mondes possibles et bien d’autres…
A mon grand regret je n'avais pas eu la possibilité de voir ce film en salle. J'avais été hypé par la bande annonce et les retours critiques très positifs et une fois la chose vue, je pense avoir échappé à l'une de mes pires séances de cinéma. Le film est dingue et foutraque, et en soi il est conforme à ce que j'imaginais, sauf que je ne suis jamais parvenu à entrer dans le délire. Et pour ce genre de films très clivants, soit on fait partie de ceux qui trouvent ça génial, soit on fait partie de l'autre camp qui trouve ça horrible, ce qui est malheureusement mon cas. Passons sur le scénario bordélique au rythme épileptique qui reprend le concept à la mode du multivers, qui, contrairement à ce que j'imaginais, ne nous fait pas voyager dans des mondes parallèles barrés, mais se contente de nous montrer quelques courtes scènes pour expliquer comment l'héroïne acquière de nouvelles capacités. L'autre grosse déception est son visuel très bas de gamme et une réalisation aux fraises. Les scènes d'action sont illisibles, les chorégraphies à la chinoise des combats sont massacrées par le cadrage et le découpage, bref rien ne va pour moi. Il reste le ton irrévérencieux avec quelques événements 'provocateurs'... mouais... c'est juste vulgaire et ce n'est pas suffisant pour faire passer cette grosse chose indigeste.
Un genre de Matrix familial avec, dans le même tambour : Spielberg, Kubrick, Mathew Vaughn... Bon, alors, il y a bien quelques pastilles ludiques, subversives ou touchantes ici et là mais perdues au milieu d'un insupportable zapping qui vous gifle le cerveau pendant deux heures.... Le multiverse, les réalités virtuelles, non vraiment pitié ! Stop ! Ras-le bol ! Aucune tension dramatique, rien qui tienne en haleine à part cette pyrotechnie 6.0. A croire que le film entier est passé au lavomatic, d'ailleurs c'est à cet endroit-là que ça commence ! Et tout ça pour un racolage de bons sentiments tout propres avec la mère, le père, le grand père, la fille qui se réconcilient à la fin... Arrêtez je vais pleurer ! Et pour le coup, oui, on sort de là complétement essoré.
Séduite par la trame, j'ai pris le risque de le regarder sans grande conviction. En effet, ce film n'a ni début ni fin. C'est un enchevêtrement de scènes qui n'ont aucun sens les unes avec les autres. On attend en vain que l'intrigue commence enfin, mais rien ! Toutes les scènes sont répétitives et au bout d'un certain temps, on est obligé de décrocher du film. Tant de combats et de violence dans quel but ? J'ai pris la poudre d'escampette ! Un gros navet. Dommage que Jaimie Lee custis ait accepté ce rôle.
Beaucoup trop long. Le concept de base est bon, les interprètes au top, l'originalité de traitement et les inspirations variées plaisantes MAIS... le mixage de références culturelles et cinématographiques finit par anesthésier. D'autant que des traits créatifs sous forme de clin d'oeil serait plaisant mais leur répétition quand ce n'est pas la longueur des scènes, rend l'ensemble pesant