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VeroniqueL
8 abonnés
38 critiques
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0,5
Publiée le 19 mars 2023
Incohérent, sans queue ni tête! Les images s'enchaînent à une vitesse incroyable, enlevant tout sens au propos. Fatigant! J'ai renoncé au bout d'une heure. Incompréhensible que ce film soit multi récompensé !
Comment se réconcilier avec ceux que nous aimons mais avons un peu négligé ? comment redonner un sens à sa vie et aller à l’essentiel ? ce sont les thèmes abordés dans le film. Je n’avais pu l’histoire mais attiré par la notoriété et l’oscar du meilleur film. Il m’a donc fallu un certain temps pour comprendre que ces innombrables vies parallèles permettait à l’héroïne d’y parvenir. Michelle Yeoh et surtout Jamie Lee Curtis jouent parfaitement bien et ont mérité leurs oscars. Je suis moins enthousiaste pour celui du meilleur film.
hou là là c'était compliqué cette histoire. Faut apprendre à marcher sur la Tête, vraiment. Le 'gros point d'interrogation' pour beaucoup après la séance.
Ce film commence pas mal et après une 30aine de minutes ça devient du n'importe quoi à la limite du regardable... ma femme s'est endormie et moi j'ai souffert jusqu'à la dernière minute. Bref sur vendu un vol total et les oscars pour moi n'ont plus aucune crédibilité. L'actrice principale a fait de bien meilleurs films.
Franchement, vu les critiques, je me suis dit il faut y aller, il est bien noté. J ai tenu une heure : des combats magnifiques, beaucoup d'humour ,des acteurs superbes mais franchement, toute cette violence, j ai attendu une morale, un message qui m'aurait motivé pour rester, mais j'ai dit stop, j'en pouvais plus je suis partie.
Après voir fait une razzia aux Oscars dimanche soir, « Everything Everywhere all at once » revient coloniser vos écrans chéris pour arrondir son chiffre annuel. Cate Blanchett s’est donc vu soufflé la statuette promise par une bonne actrice sans génie (Michelle Yeoh), les réalisateurs ont empoché celui de « Best Director » sous le nez et la barbe de Spielberg (avec l’admirable « The Fabelmans », dont je reparlerai très vite), et le film sacré « Best Feature ». La vieille dame délabrée qu’est l’institution américaine des Oscars a donc planté son drapeau dans la jugulaire d’un cinéma qui, définitivement, ne peut plus être « classique » (ce gros mot), ou véhiculer des émotions simples et fortes sans passer par la surcharge du cortex pré-frontal, à coup de multivers en-veux-tu-en-voilà et de mixage clippesque où la forme (grande absente) n’est qu’une ébullition malodorante dans une vieille marmite rouillée.
Quelle mouche a donc bien pu piquer les votants pour se courber d’admiration devant cet horrible gloubi-boulga de flashs et de traumas sonores? Sans surprise, les deux réalisateurs viennent du clip (forme ingrate traversée par de rares coups de génie), c’est-à-dire une forme qui ressasse en boucle les mêmes obsessions : vitesse, profusion, efficacité, illustration. « Everything everywhere all at once » n’y échappe pas, et d’ailleurs son titre prouve s’il en était besoin que ce cinéma volontairement populaire se targue de tout pouvoir faire d’un seul geste, dans un même chaudron. La tristesse qui en découle, c’est qu’en plus d’être désespérément abrutissant et vide, le film fait d’une idée spirituelle riche de sens et de formes (la pluralité des mondes, ce que l’esprit ne conscientise pas, la possibilité d’une autre vie) une simple recette de foire à joujoux où s’invite un grand n’importe quoi d’idées mal dégrossies, auto-justifiées par la formule magique du : « dans le multivers, tout est possible ».
C’est donc bien la tambouille néo-digitale qui s’invite en premier lieu, de manière à peine masquée, dans ce programme rutilant et m’as-tu-vu : une sorte d’allégeance à la culture Facebook et Google Maps, cernée d’une réflexion puérile sur le sens de la vie et le poids des décisions. Pas drôle pour un sou, affreusement réalisé (les scènes d’action en accéléré évoquent l’option des différentes vitesses de lectures proposées sur Netflix), le film des Daniels agresse le système nerveux pour bien vous dire en vous secouant la tête que le cinéma, de toute façon, doit nous réveiller d’une léthargie poétique et nous amener à vivre la vie de manière mille fois plus intense. Etrange et violente injonction du spectacle sur l’homme en paix, qui aurait bien préféré qu’on le laisse pleurnicher candidement devant le dernier Spielberg, dont l’art de l’émerveillement n’a besoin d’aucun autre artifice que du regard de l’enfant.
nullisimme, je ne comprends pas les critiques, c'est la 1ere fois que je ne vais pas jusqu'au bout d'un film. Je sais que dans certains films on recherche l'originalité mais là ça devient du grand n'importe quoi ! A fuir, économisez 2 heures dans votre vie !
Habitué aux scénarios convenus, il faudra garder un oeil ouvert afin de saisir toutes les subtilités de Everything, everywhere, all at Once.
Les acteurs atteignent un niveau rarement égalé en incarnant plusieurs personnages, piochant à la fois dans le comique, l'absurde, le registre dramatique, la science fiction...
Si le scénario semble peu compréhensible à première vue tant il y a de niveaux dans ce méta verse. Il n'en est pas moins puissant. Avec une grille de lecture, on arrive enfin à entrevoir la pluralité des thèmes abordés.
Parce que Everything, everywhere, all at once est plus qu'un pastiche des films d'art martiaux ou de science fiction, il aborde avec finesse et intelligence l'état du monde actuel et la vision qu'ont ses réalisateurs.
Dans ce monde incertain où les jeunes générations se disent que tout est fichu et n'ont plus goût à rien (écologie, covid, guerre, inflation, travail...).
Les Daniels répondent au nihilisme de Joy par l'existentialisme de Waymond et sa philosophie de profiter des choses qu'on a même si ce n'est pas facile tous les jours.
Dans ce monde du chacun pour soi et dieu pour tous, où l'individualisme prime sur le reste.
Les Daniels montrent les valeurs destructrices de l'individu et les conséquences qu'elles apportent sur les autres. Evelyn est l'instigatrice de la fin de son monde en laissant pour compte Waymond et Joy. Elle est la responsable directe de la création du bagel. Ce n'est qu'à partir du moment où elle s'ouvre aux douleurs de ses proches et de son entourage qu'elle parvient à sortir de son cercle vicieux.
Dans un monde noyé de nouvelles technologies où l'individu devient captif et ne fait plus attention aux choses simples de la vie.
Evelyn est aveugle aux autres, entièrement concentrée sur elle-même. Elle tente d'utiliser le métaverse pour échapper aux conditions misérables de sa vie et n'est pas à l'écoute des autres. Elle provoque aussi la fin du monde en poussant Joy à explorer le méta verses et ses effets, l'amenant à devenir cette entité maléfique sans émotions. La technologie détruit ainsi, elle mène Joy à la dépression.
Dans un monde où l'individu se fantasme en un être unique, se mettant en scène et dévoilant aux autres une image irréelle.
Evelyn lorsqu'elle se plonge dans l'univers où elle est une star de Kung-Fu ne rêve plus que d'y rester. Elle assène à Waymond qu'elle a raté sa vie en restant avec lui. Ce n'est que bien plus tard qu'elle se rend compte que même bardée de toutes les compétences du monde, elle reste seule. Ce n'est qu'une fois qu'elle s'accepte telle qu'elle est, qu'Evelyn parvient à se réconcilier avec elle-même et accepter que sa vie n'est peut-être pas si misérable.
Dans un monde où être différent, c'est lutter au quotidien.
Le refus d'accepter sa fille homosexuelle et vivant avec différences valeurs pousse Evelyn à renier ses liens et s'auto détruire. Accepter que notre vision de la vie n'est pas toujours la vérité absolue nous permet de nous ouvrir à l'autre et nous enrichir.
Il y a encore une multitude de thèmes différents comme les différences entre génération, le cheminement d'un immigrant sud asiatique aux USA, la détérioration de nos relations, etc. Ce film est d'une telle richesse sur les thèmes abordés qu'il faudra bien plusieurs visionnages pour le saisir dans son ensemble.
Oscar du meilleur film !!! La plus grande farce du cinéma. C'est tellement loufoque que j'ai rapidement décroché, avant de couper le film au bout d'1h30. Autant je suis très bon public et des films barrés j'en ai vus et appréciés, mais là, c'est du grand n'importe quoi. Je n'ai absolument pas saisi l'intérêt de l'histoire, à part surfer sur la vague du multivers, qui est visiblement la grande inspiration scénaristique du moment. Bref un véritable hold-up.
Une fois n'est pas coutume, les Oscars ont fait preuve d'audace, en récompensant un film complètement dingo, sans doute pas un chef-d’œuvre, mais une œuvre qui procure du plaisir à qui sait rentrer dans son univers.
L'intérêt repose beaucoup sur les épaules de Michelle Yeoh, qui est placée dans des situations très contrastées, la poussant à développer une assez grande palette de jeu. (Cate Blanchett peut être légitimement déçue de ne pas avoir reçu une nouvelle statuette, mais je suis d'accord avec l'idée que ce film était l'occasion d'enfin récompenser une excellente actrice méconnue.)
Pour pouvoir suivre l'intrigue, il faut prendre l'un des deux partis suivants. A partir du moment où la famille de héros se retrouve chez l'employée du fisc américain (Jamie Lee Curtis, épatante), soit tout se passe dans la tête de l'héroïne (qui fait une sorte d'AVC) façon David Lynch, soit l'on admet qu'il existe des univers parallèles... et cela devient jouissif, autrement plus intéressant que dans les meringues de Disney-Marvel.
Principal bémol (pour moi) : c'est un peu long et je trouve la fin un peu trop "familiale", en contraste avec le ton général du film, beaucoup plus irrévérencieux.
Film spécial j avoue - quelques scènes qui m ont fait pensé à Kill Bill : mélange de film et dessin une technique bien maitrisé avec un scénario déjanté - les acteurs sont super avec l actrice principale Michelle Yeoh qui joue très bien tout comme Jamie Les Curtis qui est parfaite - après il y a des scènes recambolesques image du bagel - de la pierre ... le film est techniquement une réussite et une réflexion sur l univers oui on aimerait être l autre - avoir une autre vie - un autre parcours - un sens différent mais le passé nous rattrape et ce qui compte c est bien la famille et l acceptation de l autre - alors tout ´ est pas simple mais la nécessité de se poser et de réfléchir - voilà c'est que veux dire ce film - faire un bilan de sa vie et aller à l essentiel - savoir aimé dans ce monde où les gens sont de plus en plus seuls et surtout s accrocher -
Ce film est le reflet de notre époque : beaucoup de moyens au service du vide. J'ai eu envie de partir tant le spectateur est pris pour un imbécile. Ça gesticule dans tous les sens sans maîtrise, c'est long, d'un ennui mortel, une morale à 3 centimes qui a plu aux Oscars ("ben voyons" comme dirait l'autre...) C'est nul nul nul!
C'est nul pour toutes les raisons du monde c'est nul! je ne sais pas si les gens qui ont mis un oscar à ce film ont vraiment vu ce film! mais il est vraiment nul! Avec des références toutes les 15secondes insupportable À mi-chemin entre sucker punch et matrix Mets dans le but de nous faire comprendre que" olala attention le mari et le pere dans notre société c'est le méchant!" Les blagues ne sont pas drôles ,elles sont pas drôles elles sont lourdes! Tout va très vite comme une pub de parfum c'est vraiment ridicule!
Une pluie d'oscars pour ce film. Il faut se pincer pour y croire. Comment peut-on trouver un quelconque intérêt à cette débauche "loufoque "d 'effets plus ou moins réussis, de parodies plus ou moins ratées, et de clins d'œil sans saveur. The fabelmans n'est pas parfait mais au moins c'est un film intéressant. Je n'ose pas dire que celui-ci est un navet mais j'ai attendu la fin avec impatience..
Film chiant à souhait. Rires faciles et factices des spectateurs. A raflé tous les oscars : pas croyable.! Beaucoup d'effets spéciaux qui ont dû couter un bras, 2 univers parallèles qui sèment la confusion, quelques scènes d'art martial primaires, on ne sait pas trop où l'on veut nous emmener. Soit je suis devenu insensible aux nouveaux films US qui font appel à d'innombrables effets spéciaux visuels, regrettant les bons films de l'avant et après-guerre (2eme) qui comptent une histoire et maintiennent les spectateurs en haleine, soit je suis devenu un vieux con... Ai tenu 40 mns quand même donnant ses chances au film