Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un drame qui brille par sa simplicité et sa pudeur, et qui va droit au coeur.
Marianne
par Olivier de Bruyn
La violence d’une micro société fâchée avec l’altérité et les fragilités du sentiment parental : Carlos Sorin traite ses grands sujets avec délicatesse et évite les pièges de la sensiblerie qui lui tendaient les plus bras. Un des beaux films à découvrir cet été.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Le regard du cinéaste sur ses personnages est, comme toujours, curieux et bienveillant (...).
Voici
par A.V.
Un film sensible et juste sur la violence d'un combat permanent pour l'amour.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si les thèmes de l’ostracisme et du repli communautariste sont forts, le traitement aurait mérité plus de nuances.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Pour montrer les failles qui se dessinent dans le couple, et – plus important – la mutation inquiétante d’une communauté sans histoire, le cinéaste n’infléchit pas sa manière minutieuse et tranquille, laissant à sa formidable actrice et aux spectateurs le soin de charger le film de leurs sentiments.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Dans [un] petit village pieux, recroquevillé sur lui-même, figé dans un hiver sourd, l’intrusion du nouveau venu brise une harmonie hypocrite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
Près d’Ushuaïa, des villageois réprouvent l’arrivée d’un petit garçon venu de Buenos Aires. Un film subtil et courageux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Carlos Sorín prend pour moteur l’amour d’une mère, pour mieux faire apparaître la violence sociale que peut engendrer le communautarisme. Que cet affrontement se fasse dans un village reculé altère toutefois l’universalité du propos.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Le réalisateur décrit ce drame au ralenti avec une douceur, un calme qui engendrent parfois un léger ennui.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Sulamythe Mokounkolo
Un film trop distant et lacunaire pour émouvoir.
Libération
par Luc Chessel
Le film de Carlos Sorín, sur l’arrivée d’un enfant dans une petite ville argentine, révèle la couardise des adultes sans s’intéresser à son sujet principal.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Journal du Dimanche
Un drame qui brille par sa simplicité et sa pudeur, et qui va droit au coeur.
Marianne
La violence d’une micro société fâchée avec l’altérité et les fragilités du sentiment parental : Carlos Sorin traite ses grands sujets avec délicatesse et évite les pièges de la sensiblerie qui lui tendaient les plus bras. Un des beaux films à découvrir cet été.
Positif
Le regard du cinéaste sur ses personnages est, comme toujours, curieux et bienveillant (...).
Voici
Un film sensible et juste sur la violence d'un combat permanent pour l'amour.
L'Obs
Si les thèmes de l’ostracisme et du repli communautariste sont forts, le traitement aurait mérité plus de nuances.
Le Monde
Pour montrer les failles qui se dessinent dans le couple, et – plus important – la mutation inquiétante d’une communauté sans histoire, le cinéaste n’infléchit pas sa manière minutieuse et tranquille, laissant à sa formidable actrice et aux spectateurs le soin de charger le film de leurs sentiments.
Les Inrockuptibles
Dans [un] petit village pieux, recroquevillé sur lui-même, figé dans un hiver sourd, l’intrusion du nouveau venu brise une harmonie hypocrite.
Télérama
Près d’Ushuaïa, des villageois réprouvent l’arrivée d’un petit garçon venu de Buenos Aires. Un film subtil et courageux.
aVoir-aLire.com
Carlos Sorín prend pour moteur l’amour d’une mère, pour mieux faire apparaître la violence sociale que peut engendrer le communautarisme. Que cet affrontement se fasse dans un village reculé altère toutefois l’universalité du propos.
Le Figaro
Le réalisateur décrit ce drame au ralenti avec une douceur, un calme qui engendrent parfois un léger ennui.
Les Fiches du Cinéma
Un film trop distant et lacunaire pour émouvoir.
Libération
Le film de Carlos Sorín, sur l’arrivée d’un enfant dans une petite ville argentine, révèle la couardise des adultes sans s’intéresser à son sujet principal.