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    Apocalypse Now Final Cut
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    4,4
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    965 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 février 2020
    Dans une sordide chambre d'hôtel de Saïgon, un soldat rêve de la guerre. Le début du film, mêlant regard dans le vague et bruit de rotor d'hélicoptères, met le spectateur directement dans une ambiance assez spéciale, presque mystique.
    La première partie du film est absolument géniale, c'est la guerre dans toute sa brutalité, démasquée, terrible. Le ton donné est terrifiant, on assiste impuissant à la dévastation, à l'horreur du napalm.
    Et le film nous plonge ensuite dans une seconde partie où l'agitation laisse place à la torpeur, où la brise marine laisse place à la brume quasi-mystique de la jungle, spoiler: avec en prime la rencontre avec un tigre qui annonce la suite du film.

    Et c'est vers la dernière heure du film que le plaisir qu'on a à regarder ce spectacle s'évanouit, car le film devient long, s'étire à l'infini sans aucune raison valable. spoiler: On s'attendait à retrouver Kurtz à la tête d'une bande de mercenaires qui mènent des actions de sabotage, mais c'est juste un fou à la tête d'une secte sans queue... ni têtes.
    Bref, les deux premières heures sont superbes, mais la troisième est tout à fait soporifique. A regarder tout de même !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 janvier 2020
    Le meilleur film de guerre.... Se trouve être un film contre la guerre. Un chef d'œuvre absolu. Avec en prime un Fishburn tout jeunot 😁
    Emmanuel Ncll
    Emmanuel Ncll

    1 abonné 181 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2020
    J'ai mis cette note à ce film là car je ne sais pas si je l'apprécie ou non... Même si le rythme du film n'est pas des plus dynamique je ne me suis jamais ennuyé cependant je ne le conseillerais pas à un ami. Ce film est troublant.
    02/01/2020
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 novembre 2019
    Avec apocalypse now, Coppola signe un chef d'œuvre tant magistral que visionnaire dans la photographie.
    Chaque détail est pris en compte les paysages sont à couper le souffle, vraiment un film magnifique.
    Il dénonce ici la cruelle guerre du Vietnam et ses conséquences sur les vies des combattants notamment le capitaine Willard qui participe à une guerre qu'il ne tolère pas.
    Vraiment un classique à voir !!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 novembre 2019
    Un monstre cinématographique , des monstres d'aciers et de sang . Le chef d'oeuvre d'un réalisateur qui s'engage .
    le videoclub
    le videoclub

    1 abonné 20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2019
    Le lieutenant willard a une mission, éliminer le colonel kurtz...
    Depuis saigon jusqu au terre désolé du cambodge en pleine guerre du Vietnam.
    Tout y est de la cavalerie aéroporté jusqu'au pont de nolang, reconstruit tout les jours, detruit chaque jour.... Coppola nous promet la griserie du Vietnam, c est ce qu il nous offre. Avec ce patrouilleur qui remonte doucement la riviere jusqu au cambodge... Branché sur kurtz... Et sa bande de sauvage desquels ils croyent voir un dieu... Jusqu au final. Drop the bomb kill them all...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    J'ai vu ce film à sa sortie. J'étais jeune, mais je pense que c'était plutôt pas mal.
    Puis, je viens de voir(2019) la version longue. Très différente, même si le fond reste similaire.
    C'était en VF... Et, cette version VF est nulle, niveau des voix. Mais aussi, à cause d'un tas de scènes(supprimées sur l'original) aussi inutiles que médiocres.
    De plus, à moins que ma mémoire me joue des tours, la fin est sensiblement différente dans sa présentation. ET beaucoup plus bavarde.
    En tout cas, très, très décevant...
    Makimax74
    Makimax74

    4 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2019
    c une version plus courte que la version redux , plus de rythme, peut être. rien de vraiment nouveau le redux est meilleur pour moi.cela reste un film excellent film sur la guerre, son absurdité,,ses atrocités ,avec de scène magnifique d hélicoptère, de jungle, de combat sanguinolent, une bande son géniale, une magistrale interprétation de M.Sheen.
    Hervé L
    Hervé L

    80 abonnés 639 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 octobre 2019
    Un film à revoir qui traite de façon magistrale l absurdité des guerres même si les parties ajoutées la rencontre avec la veuve française aux jolis seins le commandant surfer sous les bombes et les têtes coupées de la fin apportent peu à la version vue en 79
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 septembre 2019
    lumière, rythme, musique, images, acteurs (tous) parfaits… un plaisir de revoir ce chef d'œuvre dans cette version parfaite, je ne vois pas d'autre mot.
    Bernard D.
    Bernard D.

    115 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 septembre 2019
    Quel plaisir que de voir sur grand écran « Apocalyspe now » dans la version « restaurée » du « now cut » qui dure pas moins de 3 h 22 (jusqu’à 4 h 30 dans une des autres nombreuses versions) sachant que le film de Coppola était sorti en 1979 dans une version plus courte … en 1979 soit 4 ans seulement après la fin officielle de la guerre du Vietnam même si celle-ci était prévisible après les accords de Paris de 1973.
    Lorsque j’avais vu ce film à sa sortie, je l’avais jugé comme un excellent film de guerre mais avec une fin difficile d’accès et des images « horribles ». Et bien 40 ans après, le jugement est autre : c’est effectivement l’horreur qui est le thème majeur de cette histoire sur fond de guerre et c’est d’ailleurs une des dernières paroles du film. Même si il y a quelques soupapes pour détendre la tension nerveuse (le colonel de cavalerie héliportée et sa planche à voile et qui aime l’odeur du napalm le matin, le spectacle offert aux GI avec les bunny girls, la maison de la plantation des Français établis au Cambodge …), c’est bien le but du film que de nous saturer d’images de plus en plus insoutenables pour tout comme le fait capitaine Willard qui remonte la rivière Nung pour aller à la rencontre du colonel Kurtz déclaré « fou » par les autorités de Saigon, remonter dans sa et notre conscience le fait que l’enfer peut exister sur terre en particulier en temps de guerre. Où se trouvent les limites du bien et du mal dans une guerre interminable dans laquelle les appelés sont broyés (cf. le soldat de la Nouvelle Orléans dont le rêve était d’être cuisinier et mieux saucier après un stage à Paris chez Escoffier et qui s’est engagé dans la marine car on y mange mieux) et les gradés isolés du commandement suprême (plusieurs fois il est dit « qui est le chef ici »). La saturation de faits de guerre horribles fait qu’on finit par s’y habituer avec une escalade impossible à contrôler arrivant à des gestes délirants mais logiques dans le contexte de la guerre (cf. les petits bras des enfants venant d’être vaccinés par les Américains). En prenant conscience – tout comme le fait le capitane Willard – du fait que l’horreur n’a pas de limites et qu’un homme peut à la fois aimer et tuer, peut à la fois être un animal et un dieu finit par s’y habituer même si s’il s’y refuse moralement, on finit par comprendre le cheminement du colonel Kurtz qui s’est isolé dans son monde et qu’on voit finalement peu de temps souvent masqué par l’ombre, pour in fine y attendre sa libération.
    L’image est superbe que ce soit dans les plans larges (cf. le vol des hélicoptères) que dans les gros plans sur les visages. Quant à la bande son elle est exceptionnelle que ce soit en termes de musiques (« Satisfaction » des Rolling Stones, « This is the end » des Doors, « La Chevauchée des Walkyries » de Wagner comme seuls exemples) que de sons associés à la guerre. A noter aussi l’interprétation excellente de Dennis Hopper décédé il y a peu, célèbre pour « Easy Rider » sorti en 1969, sous la forme d’un journaliste américain vivant auprès de Kurtz et complètement disjoncté par la drogue. Un film extraordinaire qui avait obtenu la palme d’or à Cannes en exæquo avec un autre excellent film « Le Tambour » de Volker Schlöndorff.
    Un regret : le film n’a été projeté qu’une seule fois et une question : j’aimerais bien savoir comment il a été perçu aux fins fonds des Etats-Unis lors de sa sortie ?
    kingbee49
    kingbee49

    39 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 septembre 2019
    Combien de temps, combien d'années peut-on passer à épuiser le sens d'un film à travers le prisme d'une fascination toujours renouvelée? Un film démesuré mais qui fait paradoxalement oeuvre intime à l'intérieur de soi comme peu de films savent le faire... La question se pose obstinément face à l’incroyable voyage cinégénique que représente « Apocalypse Now » depuis quarante ans. Et cette nouvelle vision du film en 4K, intitulé « Final Cut » (une version « Redux » en moins longue) prolonge la question, l'admiration surtout...
    Objet aux multiples lectures, le film de Coppola reste son entreprise la plus périlleuse, puisqu'elle consacre les digressions existentielles d'un auteur dans un environnement de superproduction hollywoodienne dont la fabrication bascula dans le chaos. A travers le genre envisagé, le film de guerre contemporain, "Apocalypse Now" déroule sa trame le temps d'un long périple cathartique. A l'origine, il a fallu que le roman de Joseph Conrad, "Heart of Darkness", soit le matériau premier sur lequel travaillèrent successivement Georges Lucas, Coppola et John Milius et dont l'idée centrale fut de transposer l'action dans la guerre du Vietnam, le trauma générationnel de l'Amérique des années 60/70. C'est toute l'alchimie du film, cet arrière plan historique en phase avec cette remontée du fleuve Nung effectuée par un militaire chevronné à qui on commande d'aller mettre fin à un haut-gradé, le colonel Kurtz. L'absurdité de cette mission résonne en écho avec l'absurdité du conflit de l'époque.
    De là, les mises en abyme ne manquent pas. Le tournage du film porta sa propre guerre, on le sait, au point d'être devenu mythique. Ce qui ajoute (parfois excessivement) à la côte d'amour du film, sachant qu'il a failli ne pas aboutir, rester du domaine de l'impossible et du fantasme. Coppola du se battre avec lui même, frôlant le suicide et marinant dans la dépression nerveuse. Le réalisateur du "Parrain" et de "Conversation secrète" survit néanmoins et finit par donner une dimension métaphysique à ce projet à travers deux thématiques : celle du l'illusion du spectacle (l'attaque des hélicos au son de Wagner, Kilgore et ses cartes de la mort, le show des playmates, l'équipe télé...) et celle du retour à la nature, au rituel (l'arrivée du tigre, le sacrifice du bœuf sacré, la mort de Kurtz, l'omniprésence de flèches, de machettes, etc…). La transition entre les deux idées se faisant lors de la séquence du pont de Do Lung, avec ces allures de fête foraine de fin du monde ou soldats américains et vietnamiens se combattent à l'aveugle... Coppola nous montre que la vraie nature de l'homme est sauvage, sans aucune notion de bien ou de mal, et que c'est la seule qui se rapproche de sa vérité propre et de l'horreur « dont il faut se faire une amie ». A ce titre, l'histoire des bras coupés raconté par Kurtz est autant révélatrice que fondamentale à cause de ce que cela a signifié personnellement pour lui ; cela accrédite parfaitement le projet thématique du film et le rend d'autant plus puissant...
    Justement, une des constantes d'« Apocalypse Now », quand on y revient, c'est la force d'identification qu'on se découvre, d'abord avec le personnage du capitaine Willard, brillamment interprété par Martin Sheen et auquel s’additionne parfaitement son monologue mental. Jamais personnage et voix off n'ont été à ce point liés sur un écran pour rendre parfaitement les émotions d'un homme à la fois endurci et déstabilisé par la mission ultime... Quant à Marlon Brando en colonel Kurtz, il trouve-là son dernier grand rôle, inventant une sorte de poète guerrier cruel et théâtral, qui passe son temps à lire, tapi dans les ombres de son repaire… De ce fait, tous les acteurs convergent idéalement dans la forme à la fois réaliste et expressionniste du film, que ce soit par la grandiloquence roublarde de Kilgore (Robert Duvall, génial), la naïveté rock n’roll de Clean (Lawrence Fishburne et ses 14 ans !), le trip psychédélique de Lance le surfeur (Sam Bottoms), la paranoïa de Chef (Frédéric Forrest), la lucidité de Philips (Albert Hall), les calculs mystiques du photographe (Dennis Hopper).... Dans la sueur, la fumée, l’ombre et la lumière, le sang et la fureur, leurs personnages traversent le film comme autant de guides vers le non sens et la folie.
    Paradoxalement, cet hallucinant périple est illustré de la meilleure des façons par une technique ahurissante de maîtrise. Il faut ici rendre hommage à Vittorio Storraro, le chef opérateur de Bertolucci qui crée ici le plus bel ouvrage de sa carrière. Un cinémascope judicieusement utilisé qui s’étire dans un magnifique format 2.35 auquel répond la flamboyance de la photographie et la composition inouïe des cadrages. Même idée d’excellence pour le son, avec un soin du détail qui nous emmène dans les moindres recoins de la jungle ou lors des scènes de batailles (le Dolby Atmos accentue encore mieux tous ces effets...). On citera évidemment le travail de Dean Tavoularis, dont les décors (le temple de Kurtz, Le pont de Do Lung, le podium des girls...) sont grandioses. Et tout le travail de post-production : le montage, le mixage, les choix musicaux judicieux (les Doors, les Stones, les nappes électroniques ...). Bref, un travail d'artisan minutieux -miraculeux- qui transcende le film et l'élève au statut de référence majeure même quatre décennies plus tard, à l'heure du tout numérique...
    Qu'il soit en 4 K ou pas, rallongé ou pas, le film agit de toute façon comme un grand huit en enfer, malaxé par tellement de visions contemporaines mais jamais émoussé, jamais vieilli et donc jamais mort de son propre statut. Moins énigmatique que le «2001... » de Kubrick (auquel on le rapproche souvent), le film de Coppola a pour lui la force de l'expérience sensorielle qui accroît son pouvoir réflexif. Quelque soit sa durée, sa forme, son extravagance, son passé ou son futur, « Apocalypse Now » est un de ces rares films qui dépasse justement la notion de film. C'est un indispensable voyage, d'une puissance immersive extraordinaire qu'il faut avoir vécu au moins une fois dans sa vie de spectateur. Un classique absolu qui fascinera encore longtemps.
    PastajonPL1
    PastajonPL1

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 septembre 2019
    Apocalypse now, est un film incroyablement fort sur la nature humaine et le désespoir, tout cela est dépeint dans une ambiance apocalyptique et psychédélique qui rend ce film complètement unique à mes yeux. La photographie est juste sublime. Un film qui marque et qui reste dans la tête.
    Jacques K.
    Jacques K.

    7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 septembre 2019
    Simplement, le plus grand film de tous les temps.
    Coppola a réalisé un chef d'oeuvre dans des conditions dantesques.
    Toutes les versions de ce film sont exceptionnelles, la version initiale, la version longue et le "director's cut".
    A voir et revoir absolument.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    273 abonnés 1 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 septembre 2019
    Chef-d'oeuvre hallucinant, film de guerre contemplatif, voyage au bout de la folie des hommes, voyage au bout d'un enfer extérieur et intérieur : le film tient à la fois d'une aventure ample dans un contexte de guerre et d'une descente vertigineuse au tréfonds de l'humain, où se rejoignent dans une confusion sublime le bien et le mal, les puissances de vie et de mort, la beauté et l'horreur… Ici, la réalité concrète côtoie la dérive imaginaire, la politique tutoie l'absurde, la philosophie questionne la raison et le mythe. Projet démesuré. Et démesure incroyablement maîtrisée : par la mise en scène, monstre, d'un Coppola frappé de mégalomanie géniale ; par la photo, exceptionnelle, de Vittorio Storaro ; par les décors impressionnants de Dean Tavolaris… Et bien sûr par l'interprétation qui, pourtant, concernant Brando, a beaucoup relevé de l'improvisation. Sa performance est "héneaurme", dans un registre paradoxalement posé et furieusement inspiré. Mais c'est surtout Martin Sheen, plus discret et non moins excellent, qui tient tout le film. Bref, il y a là une alchimie rare.
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