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pfloyd1
128 abonnés
2 106 critiques
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1,0
Publiée le 18 octobre 2024
L'un des plus mauvais film du maître des Zombies avec Bruiser où les turlupinades d'un type de la finance qui pète un câble et met son masque de zorro blanc pour devenir un "méchant". (ça ne vous rappelle pas un autre film ça ?). Personnages antipathiques qui n'accrochent pas le spectateur, bande son mauvaise et une histoire bien connue qui ne propose aucune originalité. Le traider avec son masque blanc est d'une crétinerie absolue, c'est moche et on se moque de ce qu'il fait et ou il veut en venir. Il n'y a que la première partie du film qui intéresse mais une fois le zorro blanc en place, c'est nul. Film à oublier.
Une critique horrifique et dramatique de la banalisation de la normalité de tout dans la société actuelle. Sujet intéressant, ça a un peu vieillit mais ça reste assez prenant ! Pas mal !
Venant après plusieurs années de projets avortés, cette histoire de vengeance sociale fait ainsi peine à voir tant elle est poussive et paraît éculée. Certes, ça ressemble à un honnête téléfilm fantastico-policier mais voilà, on reste sur notre faim et c’est indigne d’un Romero des grands jours. Ne serait-il bon qu’avec des zombies le bougre ? Débutant pourtant de manière originale malgré un scénario empruntant ici et là, le film sombre peu à peu dans la mollesse et la platitude. Visuellement raté, le métrage est pourtant bon psychologiquement parlant : mettre en scène les tourments intérieurs d’un être désirant extérioriser sa rancune à la suite de la perte de sa personnalité pouvait être prometteur, seulement voilà, par manque de moyens sans doute mais aussi d’inspiration, « Bruiser » se révèle au final, loupé. Heureusement, les fans de zombies ont pu se rattraper en 2008 avec « Diary of the dead », une très bonne satire de la médiatisation et véritable retour aux sources pour son réalisateur grand amateur de critiques acides envers une société percluse de maux !
Bien qu'il n'ai pas trop d'intérêt ce film se laisse regarder si on a du temps à dépenser, le scénario de monsieur tout le monde qui devient d'un coup charismatique est effectivement du réchauffé mais ici le scénario se donne un côté "philosophique" avec le côté "on ne sait pas qui se cache derrière les masques"... Il y a un peu de longueurs mais c'est pas trop mal, c'est plus drôle qu'autre chose finalement.
On en ressort assez mitigé, après avoir visionné Bruiser (2001), qui démarrait plutôt bien et qui se termine dans du grand n’importe quoi.
Ici, il est question d’un homme, bien sous tous rapports, qui a toujours fait bonne figure (peut-être un peu trop) et respecté les règles, sans poser la moindre question. Mais à trop vouloir en faire, au risque de ne plus se reconnaître, il en a fini par littéralement en perdre son identité.
Le film narre sa rébellion contre le système et le capitalisme. Et il démarrait plutôt bien, avec les visions d’horreur auxquelles doit faire face le héros. L’idée était ingénieuse, mais pas ou peu développée. Rapidement, le film va prendre une toute autre tournure et virer dans le grand n’importe quoi. Sombrant, tel un banal téléfilm, George A. Romero a semble-t-il dû faire face à un tournage expéditif et un manque de moyen évident. Ce qui expliquerait pourquoi le film laisse un arrière-goût d’inachevé, malgré ses bonnes volontés. Dommage, on aurait voulu y croire.
Quel dommage que ce film n’ait pas été plus soigné, qu’il n’ait pas bénéficié d’une photo plus soignée et pas de cette esthétique série télé. Cette variation sur l’homme invisible par Romero aurait méritée un meilleur traitement. Malgré cela le film n’est pas désagréable, son sous texte sur l’oppression sociale et l’impunité est intéressant, mais l’ensemble fait trop vite expédié pour être une vraie réussite.
Georges Romero nous a habitué à ses films de zombies. Là, il change de style (même si on reste dans une histoire sombre) et garde son côté dénonciateur de la nature humaine, ce qui est une bonne chose. Après, cette réalisation "saccadée", comme il le dit lui-même, ne m'a pas convaincue. j'ai trouvé le tout un peu lent et certaines réactions des personnages incohérentes. Et j'ajouterai qu'à mes yeux, la fin est gâchées. Dommage.
il ne se passe pas grand chose dans ce "fantastico-thriller", même si l'idée de base est bonne. Le coté psychologique est bien prononcé mais s'adresse a des imbéciles. tout est prémâché. Aucun rebondissement dommage.
Partant d'une bonne idée, je trouve que le film peche dans le rythme. Finalement, il se passe pas grand chose, il ne tue pas beaucoup (malgré la plupart des humiliations qu'il subit). Dommage
Fan de Romero pour sa saga de Zombies, je n'ai pas accroché à ce film, trop lent, trop mou, même si l'ambiance est bien présente, ce film ne me laissera pas un gros souvenir et je préfère me reconcentrer sur Zombie qui est un chef d'oeuvre.
Un loser perd sa face et se venge de ses tourmenteurs: femme adultère, patron tyran et faux ami. Le cynisme de cette société fait penser au cinéma des annés 80. Pourtant il date de 2001. Roméro n'a pas fait que de bons films, dans celui-là pas grand chose à sauver, peut etre l'acteur qui surjoue Milo, le patron de mode dégénéré, à un point fascinant et certaines scènes.
Un mec en soif de vengeance afin de reconquérir son identité. Résultat d'une œuvre psychologique à souhait au rythme assez lent et un tantinet bordélique. Le jeu des acteurs n'est pas si mauvais mais dans l'ensemble, pas de quoi se relever la nuit. 2,5/5
Bruiser affiche une vitalité et une force qui semblent passer inaperçues. Roméro a pour habitude d'utiliser le cinéma d'horreur comme un miroir du monde réel en y intégrant, subtilement, des critiques acerbes. Ici, il en est de même : ce cadre complètement inhibé, esclave d'un métier qui lui fait miroiter une ascension sociale espérée, anéanti par un patron qui le méprise, épris d'une femme qui le trompe et qui se gausse de lui, se fait justicier de ses souffrances. Le masque qu'il porte ( et qui donne au film son caractère de cinéma fantastique ), immaculé, lui donne une seconde vie. Celle d'un nettoyage en règle dans un esprit vengeur, il devient un assassin par droit et devoir de réhabilitation. Qui n'a jamais rêvé, subrepticement, de ce faire justice lui-même ? Bruiser interpelle par un propos très transgressif, sans compromis. Et la mise en scène de Roméro vaut le coup d'oeil, c'est carré et ambitieux. Du très bon cinéma. 4/5