Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce qui pourrait passer pour une mécanique froide et rigide est plus certainement une écriture coupant court à toute forme de sentimentalisme pour retrouver l'émotion par d'autres voies.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Difficile d’étreindre pareil film – et c’est là toute sa beauté – car J’étais à la maison, mais… est hors sol, mystique et pourtant complètement ancré dans le présent, dans le pragmatique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film difficile d’accès, mais intellectuellement passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Le film le plus surprenant de ce début d'année, fiction neurasthénique qui crée une vraie émotion sur la durée par la beauté de ses cadres et son étrangeté du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Alexandre Moussa
Le paradoxe de cette entreprise sophistiquée est qu’elle échoue par excès de lisibilité à incarner ce qu’elle veut figurer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Camille Nevers
Flou comme les conséquences du drame qu’il n’évoque qu’à peine, le film de l’Allemande Angela Schanelec suit son cours sans jamais décoller.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
Parfois, comme l’explique le poète éponyme Torquato Tasso dans le premier acte de la tragédie de Goethe : « On sent l’intention et cela nous dérange. » Ce fut notre expérience.
Première
par Thierry Chèze
Mais cette rigidité finit par étouffer. Et, quand dans la dernière droite, le film entend tendre vers plus de chaleur, il est trop tard. Son artificialité explose plein écran, rendant impossible ce grand écart.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
Ce qui pourrait passer pour une mécanique froide et rigide est plus certainement une écriture coupant court à toute forme de sentimentalisme pour retrouver l'émotion par d'autres voies.
Les Inrockuptibles
Difficile d’étreindre pareil film – et c’est là toute sa beauté – car J’étais à la maison, mais… est hors sol, mystique et pourtant complètement ancré dans le présent, dans le pragmatique.
Les Fiches du Cinéma
Un film difficile d’accès, mais intellectuellement passionnant.
Paris Match
Le film le plus surprenant de ce début d'année, fiction neurasthénique qui crée une vraie émotion sur la durée par la beauté de ses cadres et son étrangeté du quotidien.
Critikat.com
Le paradoxe de cette entreprise sophistiquée est qu’elle échoue par excès de lisibilité à incarner ce qu’elle veut figurer.
Libération
Flou comme les conséquences du drame qu’il n’évoque qu’à peine, le film de l’Allemande Angela Schanelec suit son cours sans jamais décoller.
Positif
Parfois, comme l’explique le poète éponyme Torquato Tasso dans le premier acte de la tragédie de Goethe : « On sent l’intention et cela nous dérange. » Ce fut notre expérience.
Première
Mais cette rigidité finit par étouffer. Et, quand dans la dernière droite, le film entend tendre vers plus de chaleur, il est trop tard. Son artificialité explose plein écran, rendant impossible ce grand écart.