Derniers Avis : Blue Beetle - Page 15

Bon moment passé à voir ce film avec de l'aventure, des sentiments, un bon paquet d'action.
Jusque quelques choix que je trouve améliorables dans le scénario.
Prendre en compte que c'est un film Warner, donc un côté pour jeune adulte qui se ressent, mais ça passe.

Me suis je ennuyé pendant cette projection d'un peu plus de 2 heures ? Oui. Très nettement ! des super héros, des combats nébuleux, des effets sonores "graves" perturbants - une horreur entre nous - failli partir avant la 1ère demi-heure.... mais j'ai fait l'effort de constater que la suite était finalement du même tonneau.
Incongru, archi archi vu et convenu, pas grand chose en ressort....non désolé......!!**

Avant-dernier projet du feu DCEU avant "Aquaman 2", le Scarabée Bleu aura malgré tout l'honneur d'être un des rares super-héros de cette ère à survivre dans le prochain DCU comme l'ont officialisé ses initiateurs James Gunn & Peter Safran, et c'est peut-être là la seule véritable raison d'accorder un minimum d'intérêt à ce "Blue Beetle" dont tout le monde semble n'avoir que faire dans une période très compliqué pour le genre qui plus est.
Après des récents films DC à la qualité plus que... contestable disons, on n'en voudra pas à la majorité des spectateurs, d'autant plus qu'outre le statut assez confidentiel de ce super-héros auprès du grand public, les premières images de "Blue Beetle" ne laissaient guère présager quelque chose d'innovant en matière d'origin story super-héroïque, si ce n'est de mettre en valeur la communauté latino-américaine via la naissance de ce justicier à l'armure bleue.

Avec son cadre urbain futuriste mais rappelant bel et bien un Porto Rico sous très forte influence américaine (le réalisateur en est originaire), "Blue Beetle" paraît en effet affirmer un semblant d'identité par ce prisme à son héros Jaime et sa famille, les plaçant au sein d'une population locale pauvre, vivant dans l'ombre et au service d'une élite US visiblement décidée à les spoiler de leurs maigres propriétés une bonne fois pour toutes. Une dynamique à laquelle d'ailleurs Jaime n'échappe pas, devant troquer ses habits de jeune diplômé en droit contre ceux d'un nettoyeur de piscine engagé pour le compte d'une riche PDG. Par l'intermédiaire fortuite de la nièce de cette dernière, un scarabée bleue issue d'une technologie alien va lui arriver entre les mains pour... euh... eh bien... tout simplement régurgiter un pêle-mêle ahurissant de séquences déjà vues dans n'importe quel film de super-héros de ces vingt dernières années !
C'est bien simple, sans que le moindre petit flagrant délit d'originalité ne vienne transcender "Blue Beetle", vous pourrez y reconnaître en vrac du "Spider-Man" avec son héros à la situation précaire et contaminé par un "insecte" échappé d'un labo, du "Iron Man" et du "Deadpool" via la technologie et le design de son costume, du "Green Lantern" avec l'étendue de ses pouvoirs, du "Shazam" avec la famille en thématique centrale, du "Batman" vintage à l'évocation d'un certain passif, du "Superman" lors d'envolées littérales et tragiques, du "Shang-Chi" via le personnage de la sœur, décalque latino de celui de Awkwafina dans le MCU... Bref, tous les éléments d'autres films à succès du même type, encore et toujours repassés à la moulinette du recyclage (réglé cette fois en mode très coloré/cosmopolite et un peu 80's, il y a même du synthé, quelle audace...) afin de nous refourguer une origin story des plus banales et emmenée dans un univers où tout le monde semble hystérique ou, au mieux, caricatural jusqu'au bout des antennes.

Mettant hélas trop longtemps à embrasser ce qui pourrait faire leur différence de façon un peu plus astucieuse, les membres de la famille vont vite en être réduits à des esquisses de personnages tout bonnement insupportables (mentions spéciales à l'oncle et à la grand-mère), s'agitant jusqu'à l'overdose pour la moindre vanne (pas drôle) en "spanglish" autour de leur super-héros de Jaime rarement très charismatique. Et ne comptez surtout pas trouver de la subtilité du côté des vilains, Susan Sarandon livrera un constant numéro de cabotinage dans son rôle de marâtre cupide dont on se demande comment l'image involontairement hilarante renvoyée par ses publicités rend un tant soit peu crédible sa société (et elle-même en fait)...

Et, même si, parfois, ici et là, en faisant appel au lore des comics "Blue Beetle" ou en installant un parallèle familial dans l'idylle naissante entre Jaime et la nièce orpheline, "Blue Beetle" ne se retourne pas complètement sur sa carapace, ses excès permanents en termes de légèreté et son acharnement à faire appel aux moules les plus prévisibles du genre ne pourront qu'engendrer l'ennui et un désintérêt immédiat pour les premiers pas de cet insecte apparemment juste bon à être écrasé par la tapette de la concurrence.

Heureusement pour lui, lorsque le long-métrage délaisse quelque peu son ton d'hystérie collective (vers sa dernière partie) pour un peu plus de sérieux et de gravité, le petit Scarabée Bleu paraît grandir un minimum, trouvant un meilleur équilibre entre ses spécificités culturelles, sa dimension familiale et ses passages obligés pour quelques moments d'émotions que l'on n'espérait plus à ce stade.
Ce ne sera pas assez (car finalement très "Shazam-esque" premier du nom dans l'esprit) pour le rendre globalement moins oubliable mais, dès que les personnages apparaîtront plus rationnellement humains au gré de quelques rebondissements dramatiques dans les ultimes virages de l'intrigue (les épreuves traversées par Jaime, la destinée d'un antagoniste, etc), "Blue Beetle" y gagnera un peu de cœur derrière son armure pourtant si préfabriquée, nous laissant sur de bien meilleures notes que tout ce qui avait pu précéder jusqu'ici.

Malgré une première scène post-générique intrigante au sujet de la mythologie Blue Beetle, ce ne sera également pas suffisant pour nous faire réclamer à corps et à cri une suite à cette aventure inaugurale n'ayant jamais su nous prouver sa réelle plus-value au milieu de la masse de films du même acabit. Mais, en compagnie d'autres collègues dotés de super-pouvoirs (et évidemment d'un certain Booster Gold), il est possible que le futur DCU trouve une place et un rôle à jouer plus intéressant à ce Scarabée Bleu. Croisons les pattes... ou pas, on ne vous en voudra pas si vous vous en fichez.

Film très bien.
Je ne comprends pas les critiques, le film est touchant et drôle fin inattendu et très bien

Alors les gens sont de mauvaise langue car il ne mérite pas 2/5 en notation.
Ok c’est pas le film de l’année mais il est pas mal l’idée est bonne.

A la fois avant dernier du DCEU actuel et considéré par James Gunn comme le premier de la nouvelle ère, une affiche d'abord ultra coloré, pop et rétro ne pouvant rappeler (personnellement) que la saga "G.T.A." pour le premier film super-héroïque 100% latino. Alors certes Warner / DC culmine cette année dans la catégorie des studios cumulant successivement les échecs au box-office la même année (sauf évidement "Barbie") en espérant renouveler le futur, pour autant ils ont réussis pour ma part à 2 reprises, à livrer non pas une bonne qualité visuelle ("The Flash") mais une très bonne direction. Ce récit aux fortes allures d'Iron-Man mêler à Spider-Man s'est montrer efficace sur l'humour, très marvélien j'aurai trouvé, un très bon visuel (enfin), ainsi qu'une assez bonne direction d'action et une très bon développement des personnages. Sur tous l'univers DC à ce jour, celui-ci est le seul à mettre en lumière, en plus de la communauté latino, la différence sociale énorme dans un pays ou l'ethnie et les origines sont trop souvent montrées du doigts. Un récit qui mêle assez rapidement le côté social de l'héroïsme mais parvient à crédibiliser l'ensemble un temp soit peu. Le scénario lui-même, assez basique une fois encore, une vieille relique dont on ne sait strictement rien (dommage) qui donne le pouvoir d'armure cybernétique, le tous créer par une société crapuleuse... On à vu mieux c'est clair mais le genre n'à jamais réellement été conçu pour démarrer la chose autrement (disons-le clairement). Niveau cast, toutes et tous, inconnu au bataillon mais alors, quelle petite perle de voir en action hystérique (parfois très surjouer), des latinos dont l'humour verbale et facial est si propre à eux. George Lopez, Damián Alcázar, Adriana Barraza et Elpidia Carrillo sont des bêtes de scènes humoristique et sont le grand point fort comique du film en tant que parents et grand parents gênant et adorable à la fois. Belissa Escobedo fait, avec son camarade Xolo Maridueña, nettement rappeler le duo Marvel Shang-Shi / Katy par son humour et complicité débordante. Avec Bruna Marquezine, Warner aura clairement fait le choix de la jeune bombe latine pour le rôle de jeune femme en détresse devenue rebelle. Notre protagoniste enfin, si sa v.f. à été moyenne par instant, il est donc la version jeune et latine d'Iron-Man et Spider-Man mais reste convainquant et l'ensemble de ses scènes furent propres et belles. Susan Sarandon enfin joue le rôle du vilain sans grand charisme et autorité, dont le final ne marquera pas l'histoire loin de là. Un avant dernier récit coloré, pop, comique et personnellement convainquant. Warner & DC s'apprêtent donc à conclure leur chaotique univers connecter par leur unique succès planétaire à ce jour ("Aquaman"), mais ce dernier semble t-il, n'est pas encore près de sortir. James Gunn et Peter Safran de leur côté, poursuive leur bien lourde tâche de rétablir de l'ordre et de la confiance dans une franchise qui aura, depuis "Justice league" (2017), enfoncée cette dernière à sa perte. Mine de rien, conclure par un personnage du même âge ou presque que Shazam, sachant que ce dernier n'à jamais évoluer moralement et est rester stupide, contrairement à ce jeune-là qui, en un seul premier film, devient clairement adulte, c'est assez fort de café.

Sur-saturé pour cacher la faiblesse des plans, sur-joué pour cacher la faiblesse des acteurs, mais surtout convenu et cousu de fil blanc. Le film reprend sans imagination tous les archétype du film d'action et du film de super héros, sans y ajouter la moindre originalité, et en l'entourant d'un humour qui tombe systématiquement à plat. Aucune émotion, aucune idée originale, et un grossier mélange entre spider man, Batman, Transformers et une telenovela.
DC n'en finit plus de se vautrer dans la bêtise et massacre un à un chaque personnage de ses comics.

Connaissant le personnage et n'ayant pas d´attente particulière, j'ai passé un bon moment en regardant ce film, malgré les défauts (stéréotypes des sud américains, les quelques personnages secondaires parfois ennuyant bien que la plupart de leur action fait dans le film sont appréciables). Le film adapte bien le personnage tel qu'il est dans les comics, en l´occurence donc Jaime Reyes, le personnage principal auquel le film lui est dédié.

Un film auquel je m'attendais c'est-à-dire pas forcément un chef-d'œuvre mais quelque chose qui est fait sans prétention et qui nous fait passer un bon moment on a l'impression de se retrouver dans les années 80 mais avec de bien meilleur effets spéciaux un jeune acteur qui est prometteur et qui mériterait d'avoir plus de succès.

Un film DC très bien réalisé, je m'attendais à un flop et à la place j'ai était surpris du résultat et de la forme que ça a pris. Des scènes tournées avec différents angles et des musiques correspondant au personnage. Un film à voir selon moi.

Je crois que j'ai vu trop de films de super héros... ^^' je n'ai pas passé un mauvais moment devant le film mais c'est du déjà vu, sans grosses fulgurances ou scène particulièrement marquante. On retrouve une pâte DC sympa dans quelques scènes assez violentes mais on retombe très vite dans les blagues pas ouf toutes les 2min et les sidekicks inutiles et trop nombreux style Marvel

Un nouvel opus de la franchise avec un héros mexicain. Une pointe d'humour avec cette famille mexicaine sympathique mais c'est tout , le reste est d'une bêtise assez profonde. Sans intérêt.

Pas le film de l'année et on s'attend à ce qu'il va se passer dans l'histoire dès le début du film, mais on passe un bon moment avec des personnages auxquels on s'attache vite

l'histoire est originale surtout j'ai trouvé le costume du scarabée très réussi et les personnages très attachants.

bon film un nouveau super héros arrive sur les écrans un jeune homme victime des minorité en Amérique du Nord mais il sera l'élu pour fusion avec une tenologique d'un notre monde il fera de lui un super héros l'action commence doucement puis sa montre en puisent je recommande pour les amateurs du genre il son rond pas des su par le film puis il vidamen il secarde la porte ouverte pour faire une suite