Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Awkwafina. Souvenez-vous de ce nom. La rappeuse, devenue célèbre en 2012 avec My Vag, clip viral sur YouTube, illumine L’Adieu, comédie intergénérationnelle savoureuse.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
C'est bourré d'autodérision, plein de fantaisie, d'absurdité, et son actrice vedette, la rappeuse Awkwafina, est épatante.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
20 Minutes
par Caroline Vié
Une comédie toute en tendresse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Ce long-métrage intergénérationnel, qui s’inspire de la vie de la cinéaste, s’interroge sur le deuil, et oppose deux cultures sans jamais prendre parti.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Très attachant.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Emouvant et souvent drôle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Lulu Wang s’inspire d’un événement familial personnel pour mener une réflexion sobre et douce-amère sur les racines.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Nathalie Simon
Lulu Wang livre une chronique familiale douce et drôle autour d’une grand-mère en fin de vie. Un «feel good movie» de qualité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
On retrouve les éléments qui font la matière du cinéma chinois d’aujourd’hui – la transformation constante, le refoulement du passé, l’attachement aux bien matériels – mais ils sont ici tenus à distance.
Le Parisien
par Renaud Baronian
L'Adieu, s'il est formaté pour les Oscars, surprend à plusieurs titres. D'abord en évitant de sombrer dans le lacrymal à outrance : le ton de la comédie donne plutôt lieu à des scènes, certes émouvantes, mais souvent traitées de façon cocasse. Et la mise en scène, assez audacieuse, procure de jolies surprises (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Guillaume Tion
Wang, qui expliquait dans une interview craindre le caractère «de niche» de son histoire, parvient à transformer cette ambiance familiale autobiographique en terreau fictionnel anonyme que l’on peut arroser des rancœurs et singularités de nos propres origines.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Philippe Niel
[...] cette « comédie des erreurs » qui pourrait tourner au drame devient un film à suspense, belle façon de traiter du thème trop souvent convenu des relations intergénérationnelles !
Voici
par Daniel Blois
Un drame très touchant sur le déracinement.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un sommet de mélo indépendant pudique. Un peu trop, même...
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"L'Adieu" touche par son regard sur les gouffres culturels, sa douceur étrange, et grâce à Awkwafina, d'une justesse irrésistible. Mais le film peine à dépasser cet intéressant point de départ.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
Film émouvant, dominé par Awkwafina (« Crazy Rich Asians »), comédienne qui trouve la juste saveur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Quelques longueurs mais qui ne gâchent pas l’émotion.
Télérama
par Frédéric Strauss
À l’écran, ces souvenirs qu’on devine forts renaissent dans une fiction tendre mais timide, parfois un peu terne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
En affichant un scénario autobiographique, Lulu Wang tue la fiction pour la réduire à sa petite histoire ; le spectateur n’a pas de place sur la photo.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
C’est sur la pente de la comédie chic et sophistiquée que s’avance "L’Adieu". La cinéaste adjoint un tableau chargé sur le choc des cultures entre deux pays qui donne lieu à un déballage de rancœurs mal digérées. Le film reste à la surface de son impossible vérité, vaste idée contrôlée par une mise en scène tirée à quatre épingles qui aplanit tout sur son passage et laisse l’émotion sur le bas-côté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Ce mélo, desservi par une BO dégoulinante, est plus intéressant par les thématiques qu'il aborde que par leur traitement.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Reste un récit autobiographique, hybride, dont Lulu Wang, cinéaste sino-américaine de 36 ans, ne tire pas tous les avantages malgré son amour plein de vitalité.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Thomas Lequeu
La lourdeur formelle du film vient plaquer sur cette histoire de déracinement tous les tics d’un cinéma d’auteur états-unien standardisé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Thierry Chèze
Faire chialer Margot semble la seule quête d’une réalisatrice qui noie sous une BO dégoulinante les thématiques pourtant intéressantes qu’elle aborde, dont la quasi-impossibilité de se reconnecter au mode de vie chinois quand on s’est exilé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Awkwafina. Souvenez-vous de ce nom. La rappeuse, devenue célèbre en 2012 avec My Vag, clip viral sur YouTube, illumine L’Adieu, comédie intergénérationnelle savoureuse.
Le Dauphiné Libéré
C'est bourré d'autodérision, plein de fantaisie, d'absurdité, et son actrice vedette, la rappeuse Awkwafina, est épatante.
20 Minutes
Une comédie toute en tendresse.
CNews
Ce long-métrage intergénérationnel, qui s’inspire de la vie de la cinéaste, s’interroge sur le deuil, et oppose deux cultures sans jamais prendre parti.
Femme Actuelle
Très attachant.
La Croix
Emouvant et souvent drôle.
La Voix du Nord
Lulu Wang s’inspire d’un événement familial personnel pour mener une réflexion sobre et douce-amère sur les racines.
Le Figaro
Lulu Wang livre une chronique familiale douce et drôle autour d’une grand-mère en fin de vie. Un «feel good movie» de qualité.
Le Monde
On retrouve les éléments qui font la matière du cinéma chinois d’aujourd’hui – la transformation constante, le refoulement du passé, l’attachement aux bien matériels – mais ils sont ici tenus à distance.
Le Parisien
L'Adieu, s'il est formaté pour les Oscars, surprend à plusieurs titres. D'abord en évitant de sombrer dans le lacrymal à outrance : le ton de la comédie donne plutôt lieu à des scènes, certes émouvantes, mais souvent traitées de façon cocasse. Et la mise en scène, assez audacieuse, procure de jolies surprises (...).
Libération
Wang, qui expliquait dans une interview craindre le caractère «de niche» de son histoire, parvient à transformer cette ambiance familiale autobiographique en terreau fictionnel anonyme que l’on peut arroser des rancœurs et singularités de nos propres origines.
Positif
[...] cette « comédie des erreurs » qui pourrait tourner au drame devient un film à suspense, belle façon de traiter du thème trop souvent convenu des relations intergénérationnelles !
Voici
Un drame très touchant sur le déracinement.
CinemaTeaser
Un sommet de mélo indépendant pudique. Un peu trop, même...
Ecran Large
"L'Adieu" touche par son regard sur les gouffres culturels, sa douceur étrange, et grâce à Awkwafina, d'une justesse irrésistible. Mais le film peine à dépasser cet intéressant point de départ.
L'Obs
Film émouvant, dominé par Awkwafina (« Crazy Rich Asians »), comédienne qui trouve la juste saveur.
Le Journal du Dimanche
Quelques longueurs mais qui ne gâchent pas l’émotion.
Télérama
À l’écran, ces souvenirs qu’on devine forts renaissent dans une fiction tendre mais timide, parfois un peu terne.
Les Fiches du Cinéma
En affichant un scénario autobiographique, Lulu Wang tue la fiction pour la réduire à sa petite histoire ; le spectateur n’a pas de place sur la photo.
Les Inrockuptibles
C’est sur la pente de la comédie chic et sophistiquée que s’avance "L’Adieu". La cinéaste adjoint un tableau chargé sur le choc des cultures entre deux pays qui donne lieu à un déballage de rancœurs mal digérées. Le film reste à la surface de son impossible vérité, vaste idée contrôlée par une mise en scène tirée à quatre épingles qui aplanit tout sur son passage et laisse l’émotion sur le bas-côté.
Ouest France
Ce mélo, desservi par une BO dégoulinante, est plus intéressant par les thématiques qu'il aborde que par leur traitement.
Sud Ouest
Reste un récit autobiographique, hybride, dont Lulu Wang, cinéaste sino-américaine de 36 ans, ne tire pas tous les avantages malgré son amour plein de vitalité.
Critikat.com
La lourdeur formelle du film vient plaquer sur cette histoire de déracinement tous les tics d’un cinéma d’auteur états-unien standardisé.
Première
Faire chialer Margot semble la seule quête d’une réalisatrice qui noie sous une BO dégoulinante les thématiques pourtant intéressantes qu’elle aborde, dont la quasi-impossibilité de se reconnecter au mode de vie chinois quand on s’est exilé.